Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
Comment désapprendre tout ce qu'on a appris dans la rigueur et la douleur pour devenir enfin maître de sa vie ? C'est la grande question que sous-entend ce beau film.
Adaptation de la bande dessinée à succès Polina de Bastien Vivès, ce film à deux regards est une ode à la créativité, la résistance et la gratitude, à travers la danse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Adaptée d’une B.D. culte, une histoire qui offre tous les ingrédients d’un grand récit de danse garanti par la caution chorégraphique d’Anjelin Preljocal.
Construit comme une succession de tableaux qui voient filer la jeune Polina vers son destin, le film invente un langage propre qui passe par les corps, par la danse, par les regards. Renouant avec la grande tradition de la comédie musicale hollywoodienne classique, avec des scènes dansées qui prennent littéralement en charge le récit, il brouille volontairement les frontières entre la danse et la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Subtilement interprété, gracieux, ce film en contient trois : le premier voit Polina imiter le talent des autres, le deuxième la voit se remettre en cause, et le troisième trouver sa voie. Une belle métaphore de la vie.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
"Manuel d'une libération" : le titre d'un récent documentaire russe sorti en France aurait parfaitement collé à cette "Polina" dont la magie et la grâce se révèlent sur le fil quand le visage d'Anastasia Shevtsova (...) s'illumine (...).
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Le pari est réussi. Grâce à une maîtrise formelle qui épouse le propos : fluidité du format Scope qui réunit deux corps dans l’espace, finesse de l’image et des teintes, pertinence de l’environnement sonore, du souffle au cri, du bruissement à la chute.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Polina apprend et grandit en ouvrant des portes, sans savoir ce qu'il y aura derrière, sans peur du vertige ni du saut dans l'inconnu. C'est en cela que le film reste intrigant.
Les séquences de danse sont superbes. Non seulement Shevtsov en héroïne, mais la Binoche s'en tirent fort bien. (...) Ce qui ne marche pas, c'est la tentative appuyée de mettre cette fable d'apprentissage dans un contexte hyperréaliste.
Il y a du "Billy Elliot" dans ce film adapté d'une BD à succès, qui n'échappe pas toujours aux conventions du genre. Mais la fougue de son interprète principale, Anastasia Shevtsova, la présence de Juliette Binoche et les séquences chorégraphiées emporteront, toutes géénrations confondues, les amateurs de danse.
De galères en déconvenues, Polina finira bien sûr par trouver sa voie au fil d’un scénario balisé, adapté de la BD éponyme de Bastien Vivès, aussi peu engageant que le jeu hermétique de la jeune et jolie Anastasia Shevtsova.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cette histoire simple et touchante se déroule entre France et Russie, avec un bon chef opérateur et la belle Anastasia Shevtsova. Mais les personnages secondaires peinent à s’incarner dans ce récit froid, prévisible et balisé, qui manque de souffle et de danger.
Ne reste que le moins intéressant, soit les stéréotypes les plus frelatés du milieu de la danse (...). Inutile de s’attarder sur cette adaptation d'une triste banalité, dont les choix artistiques et notamment musicaux manquent cruellement de raffinement.
À vouloir jouer sur tous les plans (fresque sociale sur une famille pauvre, documentaire sur un métier méconnu, étude sur l’adolescence et travail hagiographique), Polina bâcle ce qui aurait pu être une belle entreprise de démocratisation de la danse contemporaine - elle encore si rare sur les écrans.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Toute la délicatesse de la BD est engloutie dans la tentative raté de mêler film social et récit initiatique . Seules les scènes de danse apportent un peu de poésie.
Là où la bande dessinée éponyme de Bastien Vivès, tout en délicatesse, brossait jusqu’aux émotions les plus enfouies, Antonin Preljocaj et Valérie Müller n’engendrent ici qu’une adaptation bien terne. Hormis quelques chorégraphies réussies, un échec de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Si le parti-pris ne manque pas d’intérêt, Preljocaj et Müller ne parviennent toutefois pas véritablement à intégrer les chorégraphies à une dynamique dramaturgique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Elle
Comment désapprendre tout ce qu'on a appris dans la rigueur et la douleur pour devenir enfin maître de sa vie ? C'est la grande question que sous-entend ce beau film.
L'Humanité
Dans "Polina, danser sa vie", Angelin Preljocaj et Valérie Müller, avec brio, racontent dans un corps élu l’histoire d’un art d’hier à aujourd’hui.
La Croix
Adaptation de la bande dessinée à succès Polina de Bastien Vivès, ce film à deux regards est une ode à la créativité, la résistance et la gratitude, à travers la danse.
Le Dauphiné Libéré
Adaptée d’une B.D. culte, une histoire qui offre tous les ingrédients d’un grand récit de danse garanti par la caution chorégraphique d’Anjelin Preljocal.
Le Monde
Construit comme une succession de tableaux qui voient filer la jeune Polina vers son destin, le film invente un langage propre qui passe par les corps, par la danse, par les regards. Renouant avec la grande tradition de la comédie musicale hollywoodienne classique, avec des scènes dansées qui prennent littéralement en charge le récit, il brouille volontairement les frontières entre la danse et la vie.
Le Parisien
Subtilement interprété, gracieux, ce film en contient trois : le premier voit Polina imiter le talent des autres, le deuxième la voit se remettre en cause, et le troisième trouver sa voie. Une belle métaphore de la vie.
Le Point
Angelin Preljocaj et Valérie Müller donnent vie à la danseuse dessinée par Bastien Vivès. Un film sans faux pas, une jolie leçon de vie.
Paris Match
"Manuel d'une libération" : le titre d'un récent documentaire russe sorti en France aurait parfaitement collé à cette "Polina" dont la magie et la grâce se révèlent sur le fil quand le visage d'Anastasia Shevtsova (...) s'illumine (...).
Transfuge
La nervosité et la rugosité du montage apportent une tension anxiogène à ce film d'apprentissage adapté d'une bande-dessinée de Bastien Vivès.
Télérama
Müller et Preljocaj ont réussi une belle fiction grand public sur la danse contemporaine.
Bande à part
Le pari est réussi. Grâce à une maîtrise formelle qui épouse le propos : fluidité du format Scope qui réunit deux corps dans l’espace, finesse de l’image et des teintes, pertinence de l’environnement sonore, du souffle au cri, du bruissement à la chute.
CinemaTeaser
Polina apprend et grandit en ouvrant des portes, sans savoir ce qu'il y aura derrière, sans peur du vertige ni du saut dans l'inconnu. C'est en cela que le film reste intrigant.
Les Fiches du Cinéma
Adapté du roman graphique de Bastien Vivès, ce chant d’amour à la danse est porté par le talent conjugué des cinéastes.
Positif
Les séquences de danse sont superbes. Non seulement Shevtsov en héroïne, mais la Binoche s'en tirent fort bien. (...) Ce qui ne marche pas, c'est la tentative appuyée de mettre cette fable d'apprentissage dans un contexte hyperréaliste.
Télé 7 Jours
Il y a du "Billy Elliot" dans ce film adapté d'une BD à succès, qui n'échappe pas toujours aux conventions du genre. Mais la fougue de son interprète principale, Anastasia Shevtsova, la présence de Juliette Binoche et les séquences chorégraphiées emporteront, toutes géénrations confondues, les amateurs de danse.
L'Express
Une héroïne désincarnée, un scénario mité de partout. Ne subsistent que les scènes de danse, réellement superbes.
L'Obs
De galères en déconvenues, Polina finira bien sûr par trouver sa voie au fil d’un scénario balisé, adapté de la BD éponyme de Bastien Vivès, aussi peu engageant que le jeu hermétique de la jeune et jolie Anastasia Shevtsova.
La Voix du Nord
Alors qu’elle s’apprête à intégrer le ballet du Bolchoï, une danseuse découvre la danse contemporaine. Trop-plein de joliesses et de gentillesses.
Le Journal du Dimanche
Cette histoire simple et touchante se déroule entre France et Russie, avec un bon chef opérateur et la belle Anastasia Shevtsova. Mais les personnages secondaires peinent à s’incarner dans ce récit froid, prévisible et balisé, qui manque de souffle et de danger.
Les Inrockuptibles
Ne reste que le moins intéressant, soit les stéréotypes les plus frelatés du milieu de la danse (...). Inutile de s’attarder sur cette adaptation d'une triste banalité, dont les choix artistiques et notamment musicaux manquent cruellement de raffinement.
Libération
À vouloir jouer sur tous les plans (fresque sociale sur une famille pauvre, documentaire sur un métier méconnu, étude sur l’adolescence et travail hagiographique), Polina bâcle ce qui aurait pu être une belle entreprise de démocratisation de la danse contemporaine - elle encore si rare sur les écrans.
Studio Ciné Live
Toute la délicatesse de la BD est engloutie dans la tentative raté de mêler film social et récit initiatique . Seules les scènes de danse apportent un peu de poésie.
aVoir-aLire.com
Là où la bande dessinée éponyme de Bastien Vivès, tout en délicatesse, brossait jusqu’aux émotions les plus enfouies, Antonin Preljocaj et Valérie Müller n’engendrent ici qu’une adaptation bien terne. Hormis quelques chorégraphies réussies, un échec de cinéma.
Critikat.com
Si le parti-pris ne manque pas d’intérêt, Preljocaj et Müller ne parviennent toutefois pas véritablement à intégrer les chorégraphies à une dynamique dramaturgique.