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    Ouija : les origines
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    jthuil
    jthuil

    13 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 mars 2018
    La réalisation soignée et la justesse des comédiennes ne gomment en rien la faiblesse de ce scénario déjà vu et beaucoup trop sage, au point qu'on se demande comment on a pu interdire ce film aux moins de 12 ans. Ouija rejoint ainsi le rayon de tous les films de possession réalisés ces vingt dernières années, sans jamais s'en démarquer.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 5 janvier 2017
    Le premier épisode de Ouija sorti l’année dernière répondait honnêtement à un cahier des charges mais était loin de bousculer les codes du film d’horreur. Nouveau réalisateur à la barre, Ouija : les origines en est un préquel. Elizabeth Reaser qui a fait un peu de chemin depuis Grey’s Anatomy est ici plutôt convaincante en mère arnaqueuse. A ses côtés deux jeunes actrices jouent ses filles et le font formidablement bien, Annalise Basso désormais connue depuis dans Captain Fantastic et Lulu Wilson qui a déjà tournée dans quelques films d’horreur. Le film est très correct dans sa mise en scène et son intrigue est alléchante. Mais si vous décidez de quitter votre siège avant la fin du générique qui donne quelques explications, vous n’aurez pas l’impression d’être dans la même histoire que le film original.
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    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    111 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 31 décembre 2016
    "Meilleur que le premier" qu'ils nous disaient! Ben en même temps, vu le niveau de nullité de l'affaire, pas difficile de faire mieux, ce qui ne veut pas forcément dire bien non plus!

    Malgré un début de film un peu plus profond que la moyenne (avec son titrage typique des films d'exploitation des années 70) Ouija 2 s'essouffle très rapidement bien qu'agrémenté de quelques idées intéressantes relevant plus du pompage des classiques que du renouveau qu'il prétendait apporter.

    Pas vraiment surprenant de la part d'une boite de production dont l'intérêt pour le genre a plus à voir avec la quantité d'oseille qu'ils peuvent en tirer qu'une réelle envie de faire du bon cinoche à l'ancienne...
    duartelittle
    duartelittle

    37 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 décembre 2016
    Ouija??? Et ben non, Ja toujours pas aimé!!!! Un peu plus d'un an après le dernier "Ouija" (voir l'article ici), qui n'était déjà pas très fameux, voici son préquel, pas plus fameux d'ailleurs. Alors ok, la fillette est flippante (comme la plupart des enfants possédés dans le films d'horreur), mais en dehors de ça, la tension ne monte pas, la terreur ne prend pas, c'est prévisible et sans relief, si bien qu'on en sort déçu prêt à se coucher sans risquer de mauvais rêves. 

    Peut-être que si vous avez aimé le premier, celui-là vous plaira, dans le cas contraire, préparez-vous à une seconde déception.

    Retrouvez cette critique et bien d'autres sur mon blog au lien suivant:
    Sally Ecran et toile
    Sally Ecran et toile

    62 abonnés 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 24 novembre 2016
    Alors que le premier « Ouija », sorti en 2014, nous avait déjà un tantinet déçu, ce deuxième opus (qui est en réalité une préquelle au précédent) a-t-il su nous surprendre ? Pas vraiment.

    Si les amateurs de frissons voient dans la sortie d’un nouveau film d’horreur une occasion rêvée de sursauter dans les fauteuils de leur ciné, « Ouija : les origines » risquent de les désenchanter. En effet, après un petit suspense amené crescendo au bout de la première demi-heure, on tombe dans les mécanismes habituels des films du genre. Ajoutez à cela une petite touche de « The grudge » et vous obtenez un alignement de clichés horroresques à la limite du kitsch.

    Comme souvent, c’est un enfant qui est choisi comme canal et on doit le dire, la petite deviendra vite très inquiétante avec ses yeux révulsés. L’histoire suit la ligne de conduite habituelle, surprend peu et abouti sur un final manquant cruellement d’originalité. Si l’air de déjà vu nous titille durant toute la durée de « Ouija 2 », tout n’est pas à jeter non plus.

    A commencer par Doris, interprétée par la toute jeune Lulu Wilson. Celle que l’on retrouvera l’an prochain dans « Annabelle 2 » (une suite indispensable ?), a déjà fait preuve de son talent de comédienne dans « Délivre-nous du mal », film d’horreur de Scott Derrickson. Il est loin d’être évident de trouver une enfant convaincante pour des rôles aussi difficiles que celui de Doris : matérialiser la peur, la possession, l’étrangeté, ce n’est pas donner à tout le monde et Lulu se débrouille plutôt bien ! Figure centrale du film, son personnage évolue au fil de l’heure trente passant de la curiosité à l’animosité avec une facilité déconcertante. Dans le reste du casting, on retrouve, entre autres, Annalise Basso, vue dernière dans l’excellent « Captain Fantastic » de Matt Ross et Elizabeth Reaser (Esmée Cullen dans « Twilight »).

    L’histoire se déroulant dans les années 60, on assiste à une reconstitution d’époque intéressante. Le générique d’ouverture prend d’ailleurs des allures des films d’autrefois. Durant les vingt premières minutes, on plante le décor, on découvre le fonctionnement de la famille, les petites arnaques que mère et filles ont mise en place pour attirer les âmes en peine et tout cela en délicatesse. Même les petites émotions que ressentent les trois femmes suite au décès du mari/père sont bien amenées. La démarche de faire entendre le discours des morts à ses clients est même honorable car Alice use de son « don de communication » pour rassurer les gens, les aider à faire leur deuil et non pas pour une raison exclusivement pécuniaire. La psychologie des personnages installée, les scénaristes Mike Flanagan et Jeff Howard trouvent un élément déclencheur pour faire entrer le mal dans la maison familiale.

    Mike Flanagan n’est pas seulement scénariste du film, c’est également le réalisateur de « Ouija : les origines » et ce n’est pas la première fois qu’il porte cette double casquette puisqu’il avait fait de même pour ses autres longs métrages : « The mirror » et « Absentia ». Prolifique dans ce domaine, l’Américain a d’ailleurs deux films en post-production : « Before I wake » et « Hush ». Il se murmure même qu’il a accepté d’être la plume du film « Souviens toi l’été dernier », un nouvel opus de la saga de notre adolescence. Par ailleurs, être abonné aux films d’horreur ne signifie pas pour autant performer dans cette catégorie et les amateurs du genre que vous êtes peut-être, sont de plus en plus exigeants en la matière, il faut donc assurer haut la main pour convaincre.

    « Ouija les origines » est donc un film de plus dans la lignée « horreur qui surprend peu ». Les inconditionnels du genre pourront être déçus ou amusés d’y retrouver ce que l’on a déjà vu ailleurs mais quoiqu’il en soit, en matière de frissons, c’est sûr, on a déjà vu bien mieux ! Il a fort à parier que vous frissonnerez bien plus dans une soirée entre potes, une boîte de Ouija (des éditions Hasbro tant qu’à faire) entre les mains plutôt qu’à la vue de ce film...
    Nitquen57
    Nitquen57

    24 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 23 novembre 2016
    Je dois le concevoir, pour une fois, je n’ai pas été au cinéma en tentant d’être objectif. Ouija, premier du nom, n’était pas bon, mais du tout, cliché, prévisible sur ses jumpscare, pas forcément bien réalisé, flagrant au niveau de sa mise en scène, bref, un échec.
    Les raisons d’aller voir Ouija 2 ? Une simple envie de rire entre amis et un abonnement au cinéma.
    Première chose, le long-métrage a fait des tests, et ça se ressens. L’histoire étant un préquel, le réalisateur a tenté d’ajouter un grain à l’image qui fait vraiment ancien et c’est, pour le coup, très réussi.
    Autre chose plutôt réussie, le jeu des acteurs qui, bien qu’un peu poussif par moment, marche au niveau de la mise sous tension du spectateur. Bien sûr, nous n’atteignons pas des sommets, mais cela reste agréable.
    Pour être franc, ce deuxième opus est beaucoup plus réussi que son prédécesseur, mais tout de même…
    Les mécanismes de l’horreur ne sont pas choses évidentes à mettre en place, chaque public a sa sensibilité et sa vision de l’épouvante, ainsi que ses sujets de prédilection. Un film d’horreur est un jeu au cours duquel le réalisateur fait croire des choses à son spectateur, par la musique, par l’angle de sa caméra par des subterfuges au cours desquels chacun croit anticiper mais en vain, c’est ce qu’a compris James Wan par exemple, modèle à suivre dans le cinéma de genre aujourd’hui.
    Il reste néanmoins une constante dans toute cette subjectivité : tout ce qui touche à la réalité quotidienne des gens a plus de chances d’effrayer, et c’est là que le long-métrage se rate dans son écriture.
    Tout la première heure est plutôt crédible et peut faire croire à un semblant de réalité, l’histoire est bien tissée, mais mon Dieu, la dernière demi-heure est un calvaire cliché et incohérent au possible. Je ne citerai pas toutes les scénes où la logique même des esprits du point du vue des sciences physiques me dépasse (car marcher sur un mur est plus rapide que prendre l’escalier) mais il y a un tel potentiel de drainage d’esprit logique dans la fin de cette œuvre qu’on croirait à un film de Nicolas Wending Refn écrit par Quentin Dupieux, mais sans le talent.
    Ouija : les origines est donc meilleur, globalement, que Ouija premier, mais il a sans doute gâché tout ce qui aurait pu faire de lui un long-métrage à la hauteur.
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    396 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 novembre 2016
    J’ai failli y croire, sincèrement, en fait à la base je me demandais juste ce que venait foutre Mike Flanagan dans cette commande qu’on refile d’ordre habituel au premier quidam venu pour nous servir la soupe avec un entonnoir; apparemment Universal a donc eu un éclair de lucidité en confiant à un bon réalisateur le projet de prequel d’un ratage complet, Ouija, histoire de tenter désespérément de sauver les meubles et ainsi enclencher un processus d’accouchement d'une possible saga (?). Sorte de mission suicide en d’autres termes, avec un type qui n'a rien d'une petite bleusaille, choc des extrêmes assez excitant.

    L'appréhension positive était déjà permise lors de l’introduction du film et ce côté old school mis en avant : le logo de production 80s, la typographie du générique et un grain style 70 mm où on repérera d’ailleurs par la suite quelques "cigarette burns" ajoutées ici et là; il y a donc une volonté rétro clairement affichée, le truc on ne peut plus à la mode mais plutôt sympa si bien exploité. L’histoire est placée dans les années 60 mais l’esprit se veut eighties, et la première séquence va d’ores et déjà jouer du contre-pied car elle laisse tellement présager la pire absurdité que relativiser avec le côté arnaque organisée c’est un bon point, on ne se fout pas de notre gueule comme dans le dernier James Wan par exemple, il y a un peu de respect. Et du coup la séance de ouija dans la chambre permet de suggérer la tricherie de la fille ainée, sans plonger dans l’occultisme express, et même niveau mise en scène c’est astucieux car on anticipe très facilement le jumpscare de la porte qui s’ouvre, donc la volonté de rupture avec le cinéma d’horreur actuel est établit pour miser sur une ambiance tout à fait efficace et accessoirement ludique.

    Niveau scénario ça tient debout durant une bonne partie, Flanagan expose ses personnages et leur dramaturgie familiale, la perte du mari/du père, la reconstruction, le tuteur (joué par Henry Thomas d’ailleurs, alias Eliott de E.T., sans doute un autre clin d’oeil 80s), et c’est la fille cadette qui va se retrouver au milieu de tout ça pour faire basculer le film dans le fantastique, le cadran du jeu va se mettre à bouger tout seul et la menace va s’afficher comme sous-jacente et ambigüe. Là il est obligatoire de prendre le virage tant bien que mal, car la suite va assez sérieusement se gâter, spoiler: rien que la représentation démoniaque dans le reflet du miroir est vraiment de trop, imager de cette façon le mal je n’en vois pas l’intérêt, surtout que le thème de la possession se suffisait très bien sans ce détail, là on comble l’imaginaire du spectateur, donc mauvais point
    . Et du reste je m’interroge sur l’importance du ouija, n’ayant qu’un rôle bien mince dans l’histoire (à part un plan en particulier), comme un relai de communication éphémère devenant purement grotesque, on le remplace par du spiritisme et c’est quasiment la même chose, le problème étant bien entendu du fait que le réalisateur soit prisonnier de son contrat, pour preuve, sa destruction ne changera rien à l’affaire.

    En fait c’est l’instinct de Flanagan pour l’imagerie horrifique qui préserve l’ambiance globale, notamment grâce à une réalisation jouant admirablement du premier et de l’arrière plan, du cut (dont un en particulier rappelant un flip épique de Ring), ainsi que quelques choix de cadres bien sentis. Mais malgré tous ces efforts pour sauver les apparences cela n’empêchera pas la dernière demi-heure de perdre pied et se mélanger les pinceaux entre ce que le film veut insinuer et démontrer, je trouve le second virage très/trop facile, pour ne pas dire atterrissant de nulle part, spoiler: le coup du docteur nazi m’a fait gentiment sourciller, car on ne sait plus où va l’histoire, si l’esprit a un rapport avec le père de famille, une entité démoniaque, des fantômes du passé enfouis au sous-sol de leur maison, le tout en même temps,
    c'est le bordel ! Et ce qui est je dirais cruel c’est que l'aspect grossier du film ne vient quasiment jamais de la forme (j'insiste sur le "quasiment" parce qu'à certains moments il n'y a rien à faire) mais bien du fond, le ridicule du scénario, de certains dialogues et de divers éléments finissent par sauter aux yeux et par extension avoir une répercussion sur la mise en scène, pour sûr Flanagan ne méritait pas ça.

    Pour conclure il est certain que ce prequel surpasse très nettement le précédent film mais il n’en demeure pas moins décevant compte tenu de son potentiel gâché, car la matière première, même modelée à l’infinie, était sans doute trop faiblarde pour rendre un contenu solide en accord avec le talent de son artisan. La réelle satisfaction étant de constater que lorsqu’on donne à un type qui connait son sujet les moyens de s’exprimer on voit qu’il en ressort des choses intéressantes, il serait donc bénéfique que la leçon soit retenue à l'avenir et que les scénaristes se mettent sérieusement au boulot.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 novembre 2016
    Le début est un peu long à démarrer, mais ensuite on y passe un bon moment. Un bon film, sans plus...
    cylon86
    cylon86

    2 517 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Le succès appelle des suites et pour le cas de "Ouija", les scénaristes ont eu la bonne idée de verser plutôt dans le préquel, basant le film dans les années 60, lui donnant un côté rétro qui donne tout de suite du cachet à l'ensemble, pas loin de l'ambiance de la saga "Conjuring" que l'on affectionne particulièrement. L'idée n'est pas mauvaise et repose sur des personnages intéressants : une veuve entraînant ses deux filles dans des séances de spiritisme truquées pour soulager la peine des gens et un prêtre (Henry Thomas, talent qui n'a pas décollé comme il le méritait) qui a rejoint les ordres après la mort de sa femme. Malheureusement la sauce ne prend pas vraiment. Certes, Mike Flanagan a quelques bonnes idées de mise en scène mais son scénario est paresseux, il va piocher vers les clichés et en tire le minimum syndical. S'il bâtit bien toute sa première partie, le film s'écroule alors qu'intervient le climax, désastreux en terme d'enjeux. Tout est expédié en un clin d’œil sans que l'on prenne la peine de se soucier du destin des personnages qui se solde par un ramassis d'idées à la noix, adoptant certains des pires poncifs du genre. L'ambiance avait pourtant de quoi séduire mais Flanagan donne souvent l'impression d'abandonner son film en cours de route, nous privant des frissons qu'on espérait. Un film qui ne tient pas ses promesses.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 17 novembre 2016
    Mais c'est quoi ce navet. J'y suis allé pour fiare plaisir. J'aime pas déjà ce type de film mais alors là c'est confirmé. Rien d'exceptionnel. Les scènes sont vu et re-vu. Bref évitons de perdre du temps et allons dans une autre scéance
    7fabcool7
    7fabcool7

    53 abonnés 595 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 novembre 2016
    La suite reste plus convaincante entre inquiétudes et véritables frayeurs _ le casting est très très bon avec la petite Lulu Wilson, effrayante à souhait et au jeu vraiment mature pour son âge. Un bon film d'épouvante en somme, réussi, maîtrisé et plutôt bien foutu, qui confirme la montée en régime d'un réalisateur en devenir. J'ai adoré (18/20). Avec comme disent certains une vraie histoire, un bon scénario! Un groupe de nanas dans la salle ont bien flippées leurs mères Lol! Je me répète mais ça change vraiment de Blairwitch2....PAS une seconde d'ennuie.
    Adrien P.
    Adrien P.

    4 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 novembre 2016
    Le scénario n'est pas mauvais dans son genre mais c'est trop lent, et je ne retrouve pas l'horreur dans ce film
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 novembre 2016
    L'histoire commence bien mais après les 25 premières minutes sa devient n'importe quoi. Je suis vraiment déçu par ce film qui avait pourtant l'air prometteur ( tellement rare les bon film d'horreur de nos jours).
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    Bien mais sans plus ! Très long au démarrage mais bien à la fin ces tout après on s'attend toujours à mieux
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 novembre 2016
    désolant scénario attendu, effets spéciaux manqués. je n'ai pas aimé. j'attends beaucoup plus d'adrénaline et de scénario dans ce genre de film.
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