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    Ouija : les origines
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    157 critiques spectateurs

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    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    412 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 novembre 2016
    Une suite pas si horrifiante. Terme à prendre dans les deux sens tant ce prequel s’avère être d’une part, nettement meilleur que son prédécesseur (!) mais d’autre part également très pauvre en éléments de terreur. Nourri au jump scares, disséminé plus ou moins habilement, Ouija : les origines ne repose que sur la tension induite pour effrayer son spectateur. Refusant (intelligemment) le gore, tout autant que les autres partis pris des films d’horreur, le film se cherche un style qu’il ne trouve pas.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 février 2017
    Je n'ai pas vu le premier volet, mais celui-ci remplit son rôle avec une montée en puissance bien maîtrisée et des effets sobres mais efficaces qui arrivent au moment propice pour faire peur.
    chrischambers86
    chrischambers86

    13 706 abonnés 12 423 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 8 décembre 2022
    Les règles, vous les connaissez dèjà : Ne jamais y jouer seul, ne jamais y jouer dans un cimetière, et toujours dire au revoir! C'est reparti, avec toutes vos mains sur le pointeur de la planche à spiritisme! Esprit de l'au-delà es-tu là ? Allez fais nous un petit signe ? [...] Le monde des esprit est vraiment imprèvisible, certainement moins que cette prèquelle de "Ouija" sorti deux ans après l'original! il y a toujours ce petit truc de peu commun et des choses peu ordinaires auquel on ne comprend pas toujours! il ne suffit pas de claquer le vieux logo de la « Universal » pour faire nouveau! Et pourtant ce deuxième volet est globalement mieux que le premier, le scènario est plus travaillè, et l'interprètation plus attrayante grâce à la très photogènique Annalise Basso et à l'ètonnant Henry Thomas! Ce qui ne veut pas dire que "Ouija : Origin of Evil" (2016) soit un essentiel du genre malgrè quelques effets bien ficelès dans la toute dernière partie...
    Ti Nou
    Ti Nou

    493 abonnés 3 494 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 septembre 2022
    Le premier épisode était ce qui comptait de plus basique et générique au sein des productions Blumhouse. Cette préquelle, sans être un film d’épouvante extraordinaire, lui est infiniment supérieure sur tous les plans.
    moket
    moket

    524 abonnés 4 329 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 janvier 2020
    Une énième resucée de l'exorciste, mais pour une fois plutôt réussie, plus en tout cas que le premier opus. Cette production horrifique n'est pas d'une grande originalité mais remplit son cahier des charges en matière d'horreur et de frissons.
    GyzmoCA
    GyzmoCA

    175 abonnés 1 749 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 janvier 2019
    "Ouija les origines" est le Prequel du premier film Ouija afin d expliquer les origines de l’esprit malsain .
    On frisonne par moment . On sursaute . La mise en scène n en fait pas trop mais les plan de camera donnent le suspense . La petite possédée est excellente et donne le frisson . Blumhouse les producteurs de insidious, dossier Warren , réussissent encore à nous faire peur avec cet outil d invocation des esprits . Le Ouija !
    Ce deuxième opus est moins bon que le premier mais permet de donner une explication.
    Matt D.
    Matt D.

    51 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 novembre 2016
    Film décevant malgré une histoire qui tient la route mais vraiment trop peu d'action horrifique... quel dommage de l'avoir épurée de scènes qui auraient pu être plus gore ...
    ptitmayo
    ptitmayo

    37 abonnés 969 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2019
    Le premier "Ouija" était mauvais, pour la simple et bonne raison que les personnages manquaient d'intérêt, que l'épouvante était faible et que l'ensemble mettait 3 heures à se lancer. Ce volet revenant sur les origines de la saga, loin d'être parfait, a le mérite de corriger les premier et troisième défauts cités plus haut. L'atout majeur de ce film est d'instaurer un contexte habile et parfait pour la naissance de l'horreur spoiler: (période ancienne en 1965, perte du père ou du mari, pauvreté (l'avis de saisie de la maison et l'arnaque (bien foutue) de la voyance pour payer les factures), la petite Doris qui est possédée)
    , où le deuil et la pauvreté rendent vulnérables les 3 femmes de la famille Zander spoiler: (Lina et Doris jouent au Ouija, amenant l'esprit malfaisant dans leur vie)
    et les poussent à agir contre leurs intérêts spoiler: (l'esprit fragilise la maison du père décédé, le Ouija leur donne de l'argent sale (celui du mur ou des clients))
    . Ainsi, le scénario évoque intelligemment la thématique du deuil spoiler: (le conflit mère-fille à ce sujet, la mère et Doris qui bossent ensemble pour se reconnecter avec le défunt, le prêtre quia perdu sa femme)
    tout en créant une mythologie intéressante (la maison était celle d'un docteur occulte de la Seconde Guerre mondiale), qui bien que dévoilée d'un coup, est idéalement connectée aux éléments du film spoiler: (Doris a appris le polonais, le langage de l'esprit de Marcus; les cauchemars de Lina sur les lèvre scellées résonnent avec les tortures infligées à Marcus (en plus de la langue arrachée pour empêcher de crier); la poupée cousue par le père pour alerter les autres; le sous-sol important, comme dans le premier "Ouija"; l'esprit manipule les Zander (anecdote de la douche ou le piège du prêtre sur Lynn, qui n'existe pas) car il est dans la maison et entend donc tout)
    . Ma grosse frustration, outre la faible utilisation de la religion, a alors été la matérialisation de l'horreur de façon gênante et gentiment flippante mais pas réellement angoissante. Ainsi, rares sont les passages effrayants spoiler: (la créature à travers l'oeil du Ouija; Doris possédée; le petit-ami pendu; Doris marche sur les murs; la mère tuée par sa fille sous emprise)
    et nombreuses sont les séquences juste dérangeantes spoiler: (le mal de cou de Doris; Doris qui contrôle le lance-pierre du petit Jack; Doris qui raconte l'étranglement au petit-ami de Lina; le prêtre sous emprise)
    ou ratées spoiler: (la mise en scène de la couture de la bouche de Doris par sa soeur est très grossière)
    . Sur la distribution, d'ordinaire médiocre dans ce genre de film, je dois dire qu'elle est excellente. Bien sûr, Lulu Wilson est celle qui remporte le plus l'adhésion (son regard est terrifiant quand même) mais Annalise Basso et Elizabeth Reaser sont très bien également. En bilan, "Ouija: Origin of Evil" a plein de très bonnes idées et de thématiques, et un casting réussi, mais aurait mérité bien plus d'angoisse et de terreur ainsi qu'une exploitation plus aboutie de la religion.
    Orianne N
    Orianne N

    15 abonnés 55 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2019
    Amatrice de films d'action, de frissons, voire d'horreur malgré mon "grand âge", ce film m'a laissée totalement sur ma faim et est bourré de clichés et de scènes attendues. Le sujet n'a pas été suffisamment exploité, on nous sert la "solution" d'on ne sais où, l'entité n'a ni queue ni tête. Ce film est écrit par des petits joueurs.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 178 abonnés 4 173 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mars 2017
    "Ouija" de Stills White proposait dans sa forme tout en surfant sur le retour en force du spiritisme dans le genre horrifique, une virée nostalgique dans les années 80 et 90 quand les adolescents se faisaient joyeusement défourailler en nombre à longueur de saga par des tueurs en série ("Vendredi 13", "Halloween") ou croquemitaines aux doigts crochus ("Freddy"). Le succès commercial a été au rendez-vous mais la critique a eu la dent très dure avec "Ouija", ne supportant pas la résurgence d'un mode opératique usé jusqu'à la corde. La tentative sans doute pas d'une originalité folle, n'était pourtant pas si infamante, réalisée sans fausse note avec une belle application. Le succès aidant, Universal Pictures a aussitôt envisagé une suite qui s'avère en fait une préquelle confiée à Mike Flanagan, jeune réalisateur prometteur ayant déjà une certaine expérience dans le genre avec trois films sortis directement en vidéo qui lui ont apporté une petite renommée ("Occulus", "Hush" et "Before I wake" ) après des passages dans quelques festivals (Toronto, Gérardmer, Chicago) . C'est en 1967, dans la maison où se sont passés les tragiques évènements du premier volet que nous emmène le jeune réalisateur. Alice Zander (Elizabeth Reaser) utilise ses deux filles pour mettre au point des séances de spiritisme bidon fafin de gagner sa vie suite à la mort de son époux. Si la démarche est assez perturbante pour les deux filles notamment pour Doris (Lulu Wilson très convaincante) la plus jeune qui croit ainsi rester en contact avec son père, la vie se déroule sans heurts notoires. L'arrivée de la planche Ouija et l'imprudence d'Alice qui zappe les consignes (ne jamais jouer seul ou dans un cimetière) vont aboutir à la possession de l'âme et du corps de la jeune Doris par des esprits maléfiques. Dès lors, Mike Flanagan montre sa parfaite maîtrise de la gestion de la peur selon un schéma lui aussi classique mais parfaitement éprouvé. C'est plutôt du côté de William Friedkin et de "L'exorciste" (1973) que le jeune réalisateur va puiser son inspiration en introduisant la figure rassurante du prêtre qui va tenter de prendre le mal sur lui. A ce sujet il est cocasse de constater que c'est Henry Thomas autrefois Elliot, jeune héros de "E.T." (Steven Spielberg en 1982), qui endosse la soutane. Davantage salué par la critique, le film a eu un peu moins de succès au box-office que son prédecesseur car entrant directement en concurrence avec "Conjuring 2 : le cas Enfield" qui bénéficiait de la solide réputation de James Wan, le réalisateur de "Saw". Le scénario dans sa chute laisse entrevoir une possible autre préquelle qui remonterait au locataire précédent, ancien médecin nazi réfugié aux States. Si Universal Pictures est opportuniste en diable, la franchise peut nous faire remonter jusqu'à la guerre de Sécession !
    Roub E.
    Roub E.

    949 abonnés 4 994 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 juin 2020
    Un cas de suite qui surpasse l’original, d’emblée c’est suffisamment rare pour être signalé (même si on est ici dans le cas d’un prequel). Ça fait vraiment bien le job, les personnages sont mieux écrits et caractérisés et du coup on s’inquiète plus de ce qui pourrait leur arriver. Il n’y a pas de quoi en perdre le sommeil, mais c’est assez efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mars 2017
    "Ouija Les origines" est meilleur que le premier film... L'ambiance est parfaitement maîtrisée, le scénario prend son temps pour nous embarquer et quelques séquences procurent leur petit effet ! Attention, restez bien jusqu'au bout du bout après le générique de fin...
    gabdias
    gabdias

    85 abonnés 1 800 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 mars 2017
    Préquel de Ouija et il y a monde entre les 2 celui-là étant nettement meilleur et pourtant il n’a rien exceptionnel. Film d’épouvante dans une maison hantée en mode huit clos avec des acteurs plutôt bons notamment la petite fille. Le film aurait mérité un développement plus poussé de ses scènes effrayantes.
    Michael R
    Michael R

    103 abonnés 1 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 janvier 2020
    Je n'avais pas vu le 1er, ayant lu que c'était un navet, par contre celui-ci avait des retours très positifs d'où mon intérêt. Et en effet c'est une très bonne surprise ! Un drame intimiste, des femmes et des enfants mis à l'épreuve, une réalisation soignée et de l'épouvante pure, pas de doute c'est le Mike Flanagan de House of Haunted Hill (d'ailleurs une partie du casting est présente).
    kevinsolstice
    kevinsolstice

    56 abonnés 1 931 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 septembre 2019
    Fan de film d'horreur depuis très longtemps et vues les notes, je m'attendais encore à un nanar j'ai été agréablement surpris malgré quelques scènes risibles.
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