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    La Fidélité
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    Thibault L
    Thibault L

    131 abonnés 1 267 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 24 mai 2007
    C(est vraiment le film français sans interprétation , trés fade , mort à l'intérieur bref trés ennuyant.
    barbarafels
    barbarafels

    13 abonnés 110 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 26 mai 2019
    Celui-ci n'échappe pas à la règle : les "films" de Zulawsky sont un incroyable fourre-tout, un pot-pourri indécent de la noirceur et de la souffrance d'une vie humaine ! Il utilise le prétexte d'un thème (ici la difficulté de rester fidèle semble-t-il.....?) qui apparaît juste en filigrane pour nous servir des scénettes qui ne sont rien d'autres qu'un répertoire : A comme "alcoolisme", B "brutalité", C "cupidité", D "drogue", E "exhibitionnisme", F "fusillade", G "grossièreté, .... Il arrive ainsi à nous fourguer une scène de mort avec souffrance, une de suicide, des sports bien virils, un travesti,.... à évoquer ci et là la religion, le trafic d'organes humains, la mafia,... entre sexe et violence. Que tout cela manque de lien et de cohérence ! La nudité n'a plus rien de gracieux, elle est voyeurisme, et tout cela va en empirant, et on hésite entre la nausée et le ridicule, et les larmes de Sophie Marceau pourtant très bonne actrice, il faut bien le reconnaître, finissent par nous agacer. Le film a zéro message, c'est lamentable.
    Matthias T.
    Matthias T.

    46 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 décembre 2016
    Il faut savoir que, dans sa jeunesse, Andrzej Zulawski a étudié la philosophie à l'Université de Varsovie; il s'est aussi affirmé comme un grand adepte de littérature, adaptant à l'occasion de ses films des livres de Christopher Frank, Dostoiëvsi ou encore Raphaëlle Billetdoux - et a lui-même écrit plusieurs romans, à côté de son travail de cinéaste (relevons La Chose de la Chair en 1981, La Forêt Forteresse en 1991, Comme un rien en 2004).

    Ces deux caractéristiques (intérêt pour la philosophie, veine littéraire) se retrouvent à l'aune de La Fidélité; son dernier film à ce jour, et le quatrième qu'il a fait avec Sophie Marceau, son ancienne épouse (après L'amour braque; Mes nuits sont plus belles que vos jours et La Note bleue). On retrouve en effet dans La Fidélité plusieurs réminiscences de La Princesse de Clèves de Mme Lafayette; à travers le personnage d'une jeune femme (ici Clélia, photographe) épousant un mari de quinze ans son aîné (ici Clèves un éditeur de trente-cinq ans - "Je sais aimer les livres à défaut de les écrire"), et soumise à la tentation d'un amant (ici en la personne de Nemo, un photographe de reportages chocs, et amateur de sensations extrêmes - par exemple à travers des courses de moto dangereuses). Cet argument permet au cinéaste polonais d'affirmer une nouvelle fois son intérêt pour "les choses de la chair": naissance du désir, érotisme à fleur de peau, atteinte du septième ciel... Par ailleurs, l'évocation du milieu de la presse (avec un journal à gros titre canadien, "La Vérité") permet une interrogation sur le rapport à l'information, la société de l'image, le voyeurisme (d'où ici le motif récurrent du miroir au sein du film). Et il faut bien dire, au vu du film, que Zulawski devait avoir du fil à retordre avec ce milieu de la presse, tant l'image qui est en peinte ici est dépréciative: tout le monde y couche avec tout le monde; il n'y a aucune éthique ni morale dans le "travail" de ces journalistes mi-paparazzis mi-pornographes; ils n'ont aucun sens de l'honneur...

    Ce qui frappe aussi à la vue de La Fidélité, c'est la multiplicité des tons, des styles. Entre une évocation de la presse à scandale, une reprise contemporaine de l'argument principal de La Princesse de Clèves, une exploration des mystères de la chair, une étude de société et une réflexion sur le métier de photographe, c'est la moindre des choses de dire que Zulawski fait ici le grand écart. Le film lorgne tantôt vers la comédie décalée par le biais de l'interprétation de Pascal Greggory en amoureux comiquement maladroit et bégayant à souhait (la scène où il aborde Clélia - "Je veux un tas d'enfants..." ainsi que celle où il lui fait une déclaration en pleine réception sont tout simplement hilarantes), tantôt vers le pur action movie (voir la scène de la mort de Mac Roi qui se prend une épée dans l'oeil; ou celle où Nemo tue tout le monde avec une arme à feu) ou encore la chronique familiale (relevons les émouvantes scènes dans lesquelles la mère de Clélia, jadis une grande vedette du music-hall, chuchote laborieusement des morceaux de paroles des Feuilles Mortes, du Temps des Cerises ou encore de Malbrough s'en va-t-en guerre)...

    Il est indéniable que La Fidélité est un peu (trop) long (2h39), qu'il manque d'unité et se révèle trop hétérogène et peut-être trop ambitieux par un excès d'enjeux (peindre le milieu de la presse à scandale; raconter une nouvelle version de La Princesse de Clèves aujourd'hui; réunir cinéphiles exigeants par une veine délibérément expérimentale et grand public par des scènes d'action facilement insérées dans la dernière demi-heure du film) et une multiplicité assommante de styles (chronique familiale; érotique; expérimental; comédie décalée)...
    Néanmoins ce manque d'unité n'enlève rien à l'intérêt qu'on peut légitimement porter à ce film. Son grand nombre d'ambitions, de styles et de registres différents fait aussi sa richesse. Tout en demeurant réticent à l'égard de l'ensemble du film; on peut être admiratif envers plusieurs scènes: celles où Clèves séduit Clélia puis lui fait sa déclaration d'amour en public; celles où la mère de Clélia se rappelle des chansons qu'elle chantait autrefois; la scène dans laquelle Clélia fait un reportage en photos d'un match de hockey sur glace...
    En tout cas, même s'il n'éveille pas totalement mon enthousiasme, La Fidélité m'encourage fortement à découvrir d'autres films de cet artiste polonais: notamment L'Important c'est d'aimer avec Romy Schneider, ou encore Possession avec Isabelle Adjani.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2007
    Le plus appaisé des Zulawski. Pourtant pas un film "calme", aimable, bien élevé ! Plein de fulgurances, de prises de risques, jouant avec la grammaire du cinéma, osant, se mettant en danger, interrompant sa narration linéaire pour rejoindre des intrigues parallèles pas évidentes au 1er coup d'oeil... Parfois lent, parfois frénétique. Mais le plus souvent juste, émouvant.
    Deux films en un. Un reportage sur Sophie Marceau, jamais aussi profonde, délicate, humaine que dans ce rôle, par l'homme qui vit avec elle et la regarde comme personne. D'où il ressort le cheminement d'une jeune femme droite, digne, courageuse et exigeante, qui va au bout de ses principes et de ses émotions. Le film la suit avec un infini respect, la plongeant au coeur d'une intrigue complexe, où tout le monde autour d'elle gesticule, alors qu'elle avance avec l'assurance calme de ceux qui s'acceptent. De ce 1er film l'actrice ressort métamorphosée. C'est son plus beau rôle.
    Un second, plus difficile sans doute mais tout aussi passionnant, dresse à travers le spectacle des médias un tableau sans doute noir mais visionnaire de la civilisation du vulgaire. Comme l'antithèse du 1er film. A l'héroine doutant d'elle même mais assise sur de beaux principes de vie, le "2e film" oppose la glauque suffisance des nantis de l'information, copulant entre unes à scandales et jeux de manipulations.
    Jamais démonstratif, Zulawski lance les deux films l'un contre l'autre et agite le tout. Le résultat, surprenant, est tout sauf consensuel. Il donne indéniablement un "spectacle" qui ne ressemble à aucun autre, porté par un style incandescent.
    leparrainz
    leparrainz

    10 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 novembre 2007
    Bon,alors j'ai vu ce film un peu par hasard, enfin non c'était surtout l'affiche qui m'avait donné envie de le voir et pour finir j'ai été un peu décu.
    En effet, on nous pose une histoire claire au bout d'une heure durant laquelle on ne peut pas vraiment faire de liens avec le reste.
    Sophie Marceau s'en sort, de même pour Pascal Greggory même s'il force un peu sur son jeu et que ça se voit. Mais alors Canet, pire que tout, il est extremement mauvais. Et ce film est fouilli, pas claire, on ne comprend pas les enjeux de l'entreprise Macroi, de même pour certains personnages, on ne sait pas trop ce qu'ils font, dans quelle sphères ils évoluent.
    Assez mauvais.
    stebbins
    stebbins

    507 abonnés 1 747 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2012
    Exigeant... Trop peut-être. Ce Zulawski là m'a pas mal dérouté, loin du paroxysme artistique de ses précédents longs métrages ; la réflexion sur l'icône - au sens d'image sacralisée - est en elle-même passionnante, et le regard du cinéaste échappe une fois de plus aux conventions réalistes. La Fidélité ne cherche jamais à rassurer l'observateur de tout à chacun : il ne propose finalement pas autre-chose que de regarder différemment un film, une photographie, une image. Mettre en doute le regard... Perspective captivante et audacieuse. Sophie Marceau s'en tire merveilleusement bien, étrangement mise en valeur par ses camarades de jeu allant du bon au franchement médiocre. Le film possède son lot d'incongruités mais l'assagissement de Zulawski derrière la caméra finit par ennuyer plus qu'autre chose. Autre point positif : La Fidélité est un film contemporain, montrant une société hiérarchisant les images, les instrumentalisant, les prostituant. L’obscénité partielle du sujet se veut anti-pornographique, et donc essentiellement cinématographique. Cet aspect de La Fidélité est une réussite complète, très aboutie, mature. Pourtant l'intrigue amoureuse ne m'évoque rien, bien que je ne puisse juger s'il s'agit d'une bonne ou d'une mauvaise adaptation, n'ayant lu le roman de prime abord. Reste l'effet d'un film ambitieux et achevé, dramatiquement fin et précis mais trop long et inégalement captivant. Ma première grosse déception zulawskienne.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 février 2007
    L'expression des sentiments est ce qu'il y a de plus réussi dans ce film inégal, parfois étrange, frôlant parfois le ridicule, et peuplé de personnages curieux, déroutants, avec des intrigues et des situations parfois complètement inattendues et inutiles... La musique est excellente et parfaitement adaptée au sujet. Sophie Marceau, plus belle que jamais, est tout à fait convaincante dans le rôle de cette héroïne qui veut aller jusqu'au bout de ses engagements. Pascal Greggory en fait un peu trop, mais reste crédible et attachant. Guillaume Canet est le plus sobre des trois, tout en étant également convaincant. La mise en scène est grandiloquente dans l'ensemble, ce qui n'était pas forcément nécessaire pour une histoire au caractère essentiellement intimiste. Dans l'ensemble, malgré ses défauts et ses dérapages, l'histoire reste une histoire forte, admirablement servie par ses interprètes principaux, avec des scènes d'émotion très justes et pertinentes qui ne peuvent laisser indifférent. Un film marquant.
    Alain D.
    Alain D.

    600 abonnés 3 294 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2020
    Difficile d'adhérer pleinement au scénario du réalisateur Polonais qui déborde d'incohérences avec ses personnages fantasques à souhait. Dommage car Andrzej Zulawski nous offre une photographie grandiose et un très bon casting avec pour les rôles principaux, un excellent Pascal Greggory et une sublime Sophie Marceau, belle et très impliquée dans un rôle délicat.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 février 2010
    Excellent
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 693 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 octobre 2020
    Toute l'histoire est constamment bombardée de sous-intrigues, d'intrigues de personnages et d'informations sans signification qui ne vont nulle part. Il y a une intrigue sous-jacente où un garçon rencontre une fille. Elle a des doutes mais se marie quand même puis ses doutes refont surface et elle va voir s'ils sont réels. Ils s'avèrent ne pas l'être mais son mari ne croira pas qu'elle n'a pas été infidèle et son presque petit ami ne la veut pas car elle n'a pas été infidèle à son mari. Cela dit il n'y a pas moins de 1000 sous-intrigues et introductions de personnages qui rendent ce film incompréhensible. Dans les 15 premières minutes vous êtes inondé de tant de choses et de situations que vous arrêtez de vous en soucier. Vous ne vous souciez pas de l'un des acteurs confus qui dérive dans et hors de l'histoire. Chacun entre et détourne un peu d'intérêt du spectateur. Au bout d'une demi-heure complètement désintéressé je restai et regardai les deux heures et demie restantes par pure curiosité morbide. Comme tous les films de Andrzej Zulawsk, La Fidélité est un véritable supplice...
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 janvier 2009
    Bien le bonjour a tous, et bonne année ( on a le droit de le dire pendant tout le moi de Janvier ^^) Voilà, j'ai vue la première partie de ce film, et oui j'ai raté la fin mais sa serrait long a expliquer.Je voudrais avoir votre avis, Sophie Marceau,Clélia. J'ai remarqué qu'elle avait beaucoup de rapports sexuel.Et parfois avec des inconnus, j'ai l'impression qu'elle fait cela pour oublier une peine, ai-je bien compris le début du sens de ce film? Sinon, veuillez éclairez ma lanterne...
    Merci d'avance,
    Tsunade31
    No Quarter
    No Quarter

    6 abonnés 439 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 18 septembre 2024
    Un film plus complexe qu'il n'y paraît au premier abord. Deux sujets avancent en parallèle. Celui du parcours professionnel du personnage féminin principal. Et celui de sa vie amoureuse. Au milieu de tout ça, des doutes et des excès. Et un peu de folie. Sophie Marceau s'en sort honorablement compte-tenu de la difficulté des scènes imposées par Zulawski, amoureux de son interprète, marié avec elle. La logorrhée verbale de Pascal Greggory est asses insupportable et retire de la crédibilité au coup de foudre pour lui de l'héroïne principale.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 1 mai 2016
    Ce film est sans intérêt, ennuyeux, Sophie Marceau est parfois transparente, parfois en surjeux. Ce n'est pas nul, juste très mauvais. Rien d'autre à ajouter ! J'ai perdu mon temps, tant pis.
    Passez votre chemin, y a rien à voir !
    Jazoon
    Jazoon

    13 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 23 février 2024
    Je m'attendais à une adaptation moyenne de la princesse de Cleves d'1h45 et bim ça a été une adaptation désagréable de 2h30. J'ai lutté pour rester jusqu'à la fin et je n'en ai tiré aucun plaisir.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 novembre 2012
    Quand on voit l'affiche on se dit que le film ne peut être que très interessant mais à mon goût ça a été loin d'être le cas.. Beaucoup trop long et laborieux à mon goût.. Dommage!
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