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Felipe Dla Serna
20 abonnés
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1,0
Publiée le 27 novembre 2015
Vraiment un film d'amateur, mal joué, mal tourné, mal mis en scène..... L'histoire qui mêle, sans savoir très bien pour quoi, un sombre secret de famille et une initiation à l'amour homosexuel entre adolescents, n'a pas vraiment de sens. Mal ficelé, on s'y peur parfois. Vu lors du festival du film gay, lesbien, bi et trans Chéries, chéris, un film sans intérêt.
Tourné caméra à l'épaule, d'énormes gros plans sur les visages permettant au spectateur de compter boutons et points noirs, longueurs, bref un film sans intérêt ! Le réalisateur oublie que la sexualité, quelle quelle soit, c'est aussi l'attirance des corps : là, pas ou peu de situations ou d'images où le corps est mis en premier plan. Ce film mal joué, mal tourné, fait vraiment amateur. Et puis cette histoire de secret de famille ne vaut pas un pet de lapin.
Ces quelques jours vont leur permettre de découvrir aussi leur orientation sexuelle. Même si le sujet n’est pas abordé de manière frontal. C’est plus une évidence qu’un coming out. L’atmosphère est assez lourde. Les deux jeunes garcons s’ennuient, jouent aux jeux video, fument, boivent. On assiste à tout cela en nous ennuyant aussi. Les scènes révèlent des faits, des anectodes. Les discussions ne sont pas non plus intéressantes. Et finalement on ne saisit pas bien l’intérêt. Le récit est trop auto-biographique en fait.
A noter la superbe interprétation des deux acteurs principaux Mauricio Jose Barcellos et Mateus Almada. Ils sont parfaits et toujours justes.
Personnellement je suis passée à coté. A vous de voir.
Une production brésilienne à la mise en scène calamiteuse mais ce n'est pas le seul problème! En plus d'être extrêmement pauvre, ce récit est mal écrit, avec trop d'aspects en manque de développement, dont le revirement principal survient soudainement. sans rythme, sans enjeu ni émotion, des personnages sans relief : un résultat médiocre et très décevant.
Martin doit se rendre sur la côte pour régler des affaires familiales. Son meilleur ami l'accompagne. L'itinéraire de ces deux adolescents est jalonné de rencontres. Le voyage est surtout l'occasion de confidences entre eux jusqu'à la révélation de leur attirance l'un pour l'autre. Beira-Mar n'est pas à proprement parler un film sur un double coming out. Il y est plus question de recherche d'identité et de passage à l'âge adulte. Honnêtement, il ne se passe presque rien sur l'écran pendant 83 minutes. Mais la mise en scène retient l'attention. Des gros plans, une caméra portée et beaucoup de flous. Cela aurait pu être agaçant mais convient finalement à la tonalité et au thème du film, imprécis et hésitant. Pas un grand film mais une oeuvre en construction qui évite l'ennui et laisse une petite empreinte.
Les films brésiliens se donnent une nouvelle visibilité internationale depuis quelques années. Beira-Mar aborde le sujet de l'identité sexuelle à l'adolescence. Sur le plan de la mise en scène, c'est plutôt réussi avec des effets de flou (4 ou 5 fois), des lumières blanchardes comme la plage en hiver et des cadrages de visages bien sentis. Le problème c'est le scénario qui dilue la minimale intrigue sur 85 min et provoque une immanquable déception au coup de sifflet final. "Tout ce temps pour si peu" ne peut-on s'arrêter de penser.
Martin et Tomaz sont deux adolescents en phase de devenir adultes. Afin de régler une histoire familiale, Martin, accompagné de son ami, entreprend une escapade au bord de la mer. Ce séjour loin des conventions va leur apprendre à se connaître réellement et ainsi affirmer leur identité. Beira-Mar ou l’âge des premières fois est alors un film qui traite du coming-out en toute pudeur et en évitant les clichés. Le côté excentrique qu’on a l’habitude de voir dans le genre est ici absent et laisse place aux regards et aux mots plutôt qu’aux grandes démonstrations. Si ce côté minimaliste est appréciable, on regrette néanmoins les interminables discussions sur le passé qui ne font pas avancer le film. L’attraction mutuelle entre les deux protagonistes prend alors trop de distance et peine à nous toucher. L’écriture de ces derniers est pourtant aboutie et les comédiens sont doués mais les non-dits sont finalement abîmés par des scènes dont on se serait bien passés. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
"Beira Mar" film brésilien présenté lors du festival de Berlin est un film qui évoque l'âge des premières fois ainsi que celui on nous décidons de notre orientation sexuelle ce que je peux dire c est qu'il ne se passe quasi rien durant 1h15 heureusement que la scène finale est belle, sensuelle, pure et sensible qui permet à beira mar d'avoir la moyenne.
C'est un film qui décevra le public qui attend des images osées, des passions violentes, mais qui comblera par-contre celles et ceux qui s'intéressent aux études de caractères, à une jeunesse vulnérable qui se découvre peu-à-peu et s'assume. il y a ici un parti pris de retenue et de pudeur. Au travers d'une soirée alcoolisée, d'une affaire de famille à régler, on prend connaissance du caractère attachant de deux amis d'enfance. L'un est attiré par les garçons, l'autre par les filles, mais leurs confidences au lieu de les éloigner vont les rapprocher au point qu'une vraie tendresse va les conduire à s'aimer et faire l'amour : un secret d'adolescents qui laissera néanmoins pour chacun l'avenir ouvert. Remarquablement interprété par les deux jeunes gens, notamment dans ces regards croisés, incertains, fragiles, bienveillants, ce film donne une image émouvante de l'homosexualité. un film serein à propos d'êtres fragiles.