Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
L'Obs
par Nicolas Schaller
Les heures passées à fantasmer sur le profil Facebook, les tentatives d’approche avortées, les potes solidaires mais lourdauds… Andreï Zaytsev filme tout cela avec humour et sensibilité, un mélange de rusticité russkof et de finesse sentimentale.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Transfuge
par Nathalie Dassa
Au rythme d’une bande son entraînante, "14 ans" nimbe de fraîcheur la jeunesse russe à l’ère des réseaux sociaux.
Voici
par Lola Sciamma
Ce "Roméo et Juliette" russe avec happy end au temps des réseaux sociaux (...) a un charme fou.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
La délicate chronique de la naissance d'une idylle adolescente.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
On peut trouver que le film lisse un peu son exploration affective, mais (…) il s’avance modestement mais sûrement, et sait recueillir, dans de beaux moments calmes, la forme sérieuse et enchantée de ce « premier amour ».
Critikat.com
par Ophélie Wiel
Ce long métrage venu de Russie propose une vision juste et subtile de l'adolescence et de ses jeux innocents qui l'entraînent petit à petit vers le monde des adultes.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Eric Libiot
Le film fourmille de petits détails touchants et souriants qui font penser, en moins poétique et plus réaliste, à "Deep End", sommet du genre amours adolescentes.
La Croix
par Marie Soyeux
Dans sa simplicité, ce film apaise et ravit. Les adolescents ne s’y sont pas trompés, qui s’en sont emparés sur les réseaux sociaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Biberonnés aux nouvelles technologies, les ados s’y retrouveront. Leurs parents aussi. Car il se révèle universel et intemporel. Comme sa formidable BO.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Avouons-le : en matière de récit de formation, 14 ans, premier amour est loin d’avoir inventé la poudre. Il a toutefois pour lui des acteurs naturels choisis dans la rue, une bande musicale haute en couleurs, un accommodement russe du « feel good movie ».
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Télérama
par Pierre Murat
Alex et Vika connaîtront-ils le destin de Roméo et Juliette ? On s'en fiche un peu, hélas ! Que le réalisateur tente d'échapper au misérabilisme qui englue le cinéma russe actuel, pourquoi pas ? De là à sombrer dans la mièvrerie...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Les heures passées à fantasmer sur le profil Facebook, les tentatives d’approche avortées, les potes solidaires mais lourdauds… Andreï Zaytsev filme tout cela avec humour et sensibilité, un mélange de rusticité russkof et de finesse sentimentale.
Transfuge
Au rythme d’une bande son entraînante, "14 ans" nimbe de fraîcheur la jeunesse russe à l’ère des réseaux sociaux.
Voici
Ce "Roméo et Juliette" russe avec happy end au temps des réseaux sociaux (...) a un charme fou.
aVoir-aLire.com
La délicate chronique de la naissance d'une idylle adolescente.
Cahiers du Cinéma
On peut trouver que le film lisse un peu son exploration affective, mais (…) il s’avance modestement mais sûrement, et sait recueillir, dans de beaux moments calmes, la forme sérieuse et enchantée de ce « premier amour ».
Critikat.com
Ce long métrage venu de Russie propose une vision juste et subtile de l'adolescence et de ses jeux innocents qui l'entraînent petit à petit vers le monde des adultes.
L'Express
Le film fourmille de petits détails touchants et souriants qui font penser, en moins poétique et plus réaliste, à "Deep End", sommet du genre amours adolescentes.
La Croix
Dans sa simplicité, ce film apaise et ravit. Les adolescents ne s’y sont pas trompés, qui s’en sont emparés sur les réseaux sociaux.
Le Journal du Dimanche
Biberonnés aux nouvelles technologies, les ados s’y retrouveront. Leurs parents aussi. Car il se révèle universel et intemporel. Comme sa formidable BO.
Le Monde
Avouons-le : en matière de récit de formation, 14 ans, premier amour est loin d’avoir inventé la poudre. Il a toutefois pour lui des acteurs naturels choisis dans la rue, une bande musicale haute en couleurs, un accommodement russe du « feel good movie ».
Télérama
Alex et Vika connaîtront-ils le destin de Roméo et Juliette ? On s'en fiche un peu, hélas ! Que le réalisateur tente d'échapper au misérabilisme qui englue le cinéma russe actuel, pourquoi pas ? De là à sombrer dans la mièvrerie...