Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Que dire de plus sinon que le regard que pose l’auteur sur cette jeunesse désenchantée est d’une beauté suffocante.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Cahiers du Cinéma
par Camille Bui
"Mekong Stories" devient, par incursions saisissantes, un film de visions poétiques.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Dans ce monde-là, le spectateur doit se laisser emporter sans s'inquiéter de ne pas toujours tout saisir.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Didier Péron
Rarement l’idée d’une image léchée aura aussi bien mérité son nom, et c’est comme si le cinéaste et son chef-op s’étaient mis en tête de dresser un début d’inventaire des fantasmagories alimentant les circuits surchauffés de toutes les rice queens vibrionnant au-dessus de l’Asie du Sud-Est.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Yannick Vely
Expérience de cinéma immersif, "Mekong Stories" prend parfois son temps pour trouver la note juste. Mais quand la nuit tombe et que l'on ne sait plus qui sont les amants dans la boue, quand on découvre les photos prises par Vu, jeune garçon en plein doute sur son identité sexuelle, la petite musique du film se fait mélodie et la saudade du Mékong finit par nous toucher au coeur.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Yann Tobin
Dans ces lueurs d'espoir, on peut déceler la mise en abyme déterminée de son art par un réalisateur qui, après s'être cherché, parvient ici à maturité en déjouant les embûches d'un environnement tour à tour hostile et accueillant.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Cet art si délicat du contraste permet de saisir au plus juste ce temps des possibles, pour le pire et pour le meilleur.
Télérama
par Louis Guichard
Ce récit initiatique au pluriel, le cinéaste l'éloigne du film choral classique. Impressionniste, fluide, presque liquide, son style envoûte. La sensualité guide l'agencement et la teneur des scènes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Benoît Smith
Désillusion de voir le film passer d’une sensation de pureté du geste (...) à quelque chose de plus programmatique, de plus contrôlé, et dont la sincérité est devenue moins évidente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Un peu trop maniéré, le film en dit long sur la récente mutation sociale et économique de l'Asie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film fait de petites histoires, un peu émietté, mais où passe la vision d’un pays en pleine mutation, où le malaise de la jeunesse est l’indice d’une société qui se cherche, prise entre une tradition qui vacille et une modernité qui vient tout bouleverser.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
(...) le cinéaste dépeint les troubles et difficultés d’une génération en privilégiant l’onirisme au réalisme ordinaire. C’est ce qui fait l’originalité de ce drame doux et âpre à l’intrigue un peu sinueuse mais visuellement magnifique, dont il émane une émouvante nostalgie.
Les Fiches du Cinéma
par Valentine Verhague
Le deuxième film de Phan Dang Di s'émancipe de la narration classique au profit d'instantanés d'une poésie remarquable, mêlant vraisemblablement vécu et fiction, le tout au moyen d'un réalisme magique et onirique.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Dommage que Phan Dang Di ne parvienne pas à réunir les fils de son récit, ce qui émousse finalement la sensualité de sa vision de la jeunesse vietnamienne.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
(…) un récit brutal et poétique qui s’attache plus à l’ambiance onirique qu’à la description des faits. Déroutant !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Idéalement filmé, mais, au bout du compte, les tenants et les aboutissants du récit nous échappent.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Voix du Nord
Que dire de plus sinon que le regard que pose l’auteur sur cette jeunesse désenchantée est d’une beauté suffocante.
Cahiers du Cinéma
"Mekong Stories" devient, par incursions saisissantes, un film de visions poétiques.
L'Obs
Dans ce monde-là, le spectateur doit se laisser emporter sans s'inquiéter de ne pas toujours tout saisir.
Libération
Rarement l’idée d’une image léchée aura aussi bien mérité son nom, et c’est comme si le cinéaste et son chef-op s’étaient mis en tête de dresser un début d’inventaire des fantasmagories alimentant les circuits surchauffés de toutes les rice queens vibrionnant au-dessus de l’Asie du Sud-Est.
Paris Match
Expérience de cinéma immersif, "Mekong Stories" prend parfois son temps pour trouver la note juste. Mais quand la nuit tombe et que l'on ne sait plus qui sont les amants dans la boue, quand on découvre les photos prises par Vu, jeune garçon en plein doute sur son identité sexuelle, la petite musique du film se fait mélodie et la saudade du Mékong finit par nous toucher au coeur.
Positif
Dans ces lueurs d'espoir, on peut déceler la mise en abyme déterminée de son art par un réalisateur qui, après s'être cherché, parvient ici à maturité en déjouant les embûches d'un environnement tour à tour hostile et accueillant.
Studio Ciné Live
Cet art si délicat du contraste permet de saisir au plus juste ce temps des possibles, pour le pire et pour le meilleur.
Télérama
Ce récit initiatique au pluriel, le cinéaste l'éloigne du film choral classique. Impressionniste, fluide, presque liquide, son style envoûte. La sensualité guide l'agencement et la teneur des scènes.
Critikat.com
Désillusion de voir le film passer d’une sensation de pureté du geste (...) à quelque chose de plus programmatique, de plus contrôlé, et dont la sincérité est devenue moins évidente.
L'Express
Un peu trop maniéré, le film en dit long sur la récente mutation sociale et économique de l'Asie.
Le Dauphiné Libéré
Un film fait de petites histoires, un peu émietté, mais où passe la vision d’un pays en pleine mutation, où le malaise de la jeunesse est l’indice d’une société qui se cherche, prise entre une tradition qui vacille et une modernité qui vient tout bouleverser.
Le Journal du Dimanche
(...) le cinéaste dépeint les troubles et difficultés d’une génération en privilégiant l’onirisme au réalisme ordinaire. C’est ce qui fait l’originalité de ce drame doux et âpre à l’intrigue un peu sinueuse mais visuellement magnifique, dont il émane une émouvante nostalgie.
Les Fiches du Cinéma
Le deuxième film de Phan Dang Di s'émancipe de la narration classique au profit d'instantanés d'une poésie remarquable, mêlant vraisemblablement vécu et fiction, le tout au moyen d'un réalisme magique et onirique.
Les Inrockuptibles
Dommage que Phan Dang Di ne parvienne pas à réunir les fils de son récit, ce qui émousse finalement la sensualité de sa vision de la jeunesse vietnamienne.
aVoir-aLire.com
(…) un récit brutal et poétique qui s’attache plus à l’ambiance onirique qu’à la description des faits. Déroutant !
L'Humanité
Idéalement filmé, mais, au bout du compte, les tenants et les aboutissants du récit nous échappent.