Avis sur Queen Of Katwe

Un merveilleux conte de fée comme on aimerait en voir plus souvent !!
Merci à monsieur Robert Katende n'avoir permis à tous ces enfants plus que défavorisés d’accéder à l'instruction et à une vie meilleure
Respect Mademoiselle Phiona Mutesi !!!
Excellent !!!

Film avec beaucoup de fraîcheur, de candeur et de sincérité dans l'interprétation. Une immersion réussie, un focus tout le long du film sur les "déshérités", les oubliés et le "pouvoir" de s'en sortir, ici par les échecs.
D'excellentes interprétations, peu de moyens mais cela est suffisants. Un film d'espoirs. 3/5 !!!

Attachant, mais vraiment à la limite du trop simpliste pour un biopic, Queen Of Katwe n'est en rien mémorable, mais on est content de revoir ces belles images du paysage africain. L'univers ni trop dramatique, ni trop émotionnel nous annonce bien que ce film est estampillé Disney et qu'il n'y a ni violence, ni scènes complexes. Bref, biopic réellement minimal.

Je ne peux m'empêcher d'être un peu déçu par ce film !! Sans doute parce que c'est un Disney et qu'il est avant tout destiné à un public assez jeune... je m'attendais à quelque chose d'un peu plus creusé, d'un peu plus profond et du coup je me suis ennuyé. J'ai trouvé le scénario un peu lisse, un peu cliché et bien que je n'ai pas grand chose à reprocher à ce Queen of Katwe, je n'ai pas été emballé. Juste un film gentillet mais sans grand intérêt ! Dommage...

Queen of Katwe va bien au-delà du film cliché habituel de l'outsider qui surmonte l'adversité pour remporter le championnat d'échec. Des acteurs merveilleux dépeignent de vraies personnes qui luttent contre les réalités de leur vie comme la maternité monoparentale, la lutte contre la pauvreté, le sentiment de ne pas être à sa place dans la société et les défis que représente la pratique du jeu d'échecs de haut niveau. L'histoire de Phiona qui a perdu son mari et se bat pour subvenir aux besoins de ses quatre enfants en vendant du maïs cuit sur le marché est particulièrement fascinante. L'actrice qui l'incarne dépeint avec intégrité sa force mais aussi ses limites. Bien sûr l'histoire de Phiona prodige des échecs dans les bidonvilles de Katwe en Ouganda est poignante inspirante et perspicace. Le film ne se contente pas d'un trophée comme résultat mais se concentre sur les impacts sur Phiona et sa famille tout au long de son parcours. L'histoire de l'entraîneur de Phiona est aussi inspirante que son histoire. Ses sacrifices ceux de sa femme et ses difficultés à subvenir aux besoins de sa famille alors qu'il tente d'aider les enfants de Katwe constituent un film dans le film en soi. C'est pourquoi l'ensemble est si satisfaisant. C'est une histoire étonnante de personnes réelles légèrement modifiées pour les besoins du film bien interprétées et surtout fascinante...

J’ai regardé le film du fait des bonnes critiques mais je n’ai vraiment pas été emballé..
C’est un film gentillet, bien lisse pour un public assez jeune.
Si on ne rentre pas dans cette catégorie, on s’ennuie très vite…

J'avais adoré regarder sur Netflix la série le jeu de la Dame, mais en regardant ce film, j'ai trouvé la série moins forte, car là, il s'agit d'une histoire vraie et non inventée.
Comment une fille des bidonvilles et devenu maître des échecs, la réalisation est top servi par des acteurs Hollywood, confirmés.
Un film qui rappelle la chance d'être né dans le bon coin du globe, et de dire que certains ont un destin prédestiné.
Ma note 13.5/20 pour ce conte moderne.

Un film Disney proche de la perfection. Encore mieux si c'est une histoire vraie. C'est très bien fait, avec de vrais parties d'échecs pour faire réfléchir, le bidonville réaliste quoique trop gentil pour être vrai, mais peut-être vrai, bon travail des acteurs et une incroyable beauté pour Phiona, sa mère et plusieurs autres. Du parlé en ougandais, ajoute une couche de véracité. spoiler: Super histoire de pauvre à riche, idéale pour Disney. Mon seul bémol: ça finit riche.
Un peu anticlimactique.

Chronique complète :
spoiler: https://sunread26.wordpress.com/2023/12/02/queen-of-katwe/


Extrait :
Une chronique sur un film, ça vous dit ? Enfin, je dis ça, mais vous n’avez pas vraiment le choix… Désolé. En ce moment, j’aime beaucoup les récits inspirés d’histoires vraies, j’ignore pourquoi, mais j’aime beaucoup en apprendre sur la vie des autres. Dans ce film, c’est l’histoire de Phiona Mutesi qui est mise en avant, une jeune fille issue des bidonvilles d’Ouganda, qui va devenir championne du monde d’échec à un jeune âge. Preuve que l’intelligence n’est pas une question d’éducation scolaire, et que l’on passe sans doute à côté de nombreux génies, qui n’ont pas l’occasion de le montrer…

Le film peut sembler un peu long, puisqu’il dure un peu plus de deux heures, mais c’est tout simplement parce que le réalisateur prend son temps. Afin que l’on est le quotidien et l’évolution de celui-ci avec un bon rythme, sans couper les scènes de parties d’échecs pour autant. Tout est bien rythmé, pour les échecs, je connais les règles, mais j’avoue être assez néophyte dans ce domaine. Les parties m’ont semblées de plus en plus difficiles, mais je suppose que l’expression des acteurs et la musique m’ont aidé à le comprendre. Je suis un peu comme la mère de Sophia, à me demander si elle gagne ou non, même si j’arrivais à suivre au début. C’est surprenant, non, c’est génial, que ce que l’on considère comme un jeu, peut aussi être un tremplin pour améliorer sa condition de vie. Je savais qu’il y avait des compétitions, mais j’étais assez loin d’imaginer tous les enjeux et récompenses qu’il y a derrière. Pour les personnes considérées comme des maîtres, il y a une rente de payée, en échange de la participation à certains concours.

Dans ce film (et dans la réalité), le jeu d’échec est présenté par Katende, comme un jeu où pauvre et riche sont sur un pied d’égalité. Lui-même jouait souvent contre des riches, et gagnait les paris, ce qui lui permit de financer un peu ses études. Orphelin, il n’a pas non plus eu la vie facile, mais il s’en est plutôt bien sorti. En présentant le jeu de cette manière, les jeunes, qui voyaient alors ce jeu comme un truc ennuyeux, ont totalement retourné leur veste, s’ils peuvent battre des gosses de riches tout en se faisant un peu d’argent, pourquoi refuser ? C’est ainsi qu’il monte un groupe d’apprentissage des échecs, qui regroupe plusieurs enfants. Phiona suivra son frère pour savoir ce qu’il fait de ses après-midi, et c’est là qu’elle tombera dans le jeu. Le film ne passe pas à côté de ses changements d’humeurs, c’est une enfant, il est normal qu’elle est un peu les chevilles qui enfles. Malheureusement, ça veut aussi dire qu’elle tombera de haut lorsqu’elle subira sa première défaite importante, ce qui lui brisera le moral.

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