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    Julieta
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    4,1
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    337 critiques spectateurs

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    may J.
    may J.

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2016
    Un film noir comme je les aime, mais plus léger que la plupart des films d'Almodovar.
    Les actrices jouent superbement bien, l'ambiance est géniale... Un peu déçue par la fin que j'ai trouvé bâclée et un peu "trop facile".
    Jean T
    Jean T

    32 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 mai 2016
    c'est extrêmement bien joué, les actrices sont splendides, les plans sont magnifiques mais je n'ai pas été touché comme j'ai pu l'être par le passé avec les films de Almodovar. En y repensant, le scénario n'est pas exceptionnel.
    1ou2mo
    1ou2mo

    9 abonnés 468 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 27 mai 2016
    Mélancolie , tristesse sont traitées tout en délicatesse par ce talentueux réalisateur qu'est Monsieur Almodovar ce, à travers de ses personnages favoris, les femmes, les mères courage ou autres héroïnes.Sa Julieta subit les vicissitudes de la vie et doit supporter le grand vide...de l'absence .En filigrane les méfaits des ces entités floues, influentes et destructrices.
    coraly
    coraly

    13 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 mai 2016
    Pedro Almodovar signe un magnifique drame, avec en son cœur une relation mère-fille et autour les non-dits, la culpabilité, le remord, le manque... On se laisse prendre progressivement dans cette histoire mystérieuse et délicate, qui bouleverse et hante l'esprit encore longtemps après la projection.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mai 2016
    une très belle histoire très émouvante film à voir sans hésitation. des acteurs plein de charmes qui savent très bien tenir leur rôle
    dagrey1
    dagrey1

    100 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mai 2016
    Alors qu'elle s'apprête à quitter Madrid avec son compagnon pour le Portugal, Julieta croise Bea, une amie de sa fille Antia dont Juanita n'a plus de nouvelles depuis 12 ans. Celle-ci lui apprend qu'elle a croisé sa fille en Suisse avec ses enfants. Bouleversée par cette rencontre, Juanita rentre chez elle, décide de ne plus partir pour le Portugal et se souvient.....

    Avec "Julieta", Almodovar revient aux portraits de femmes qu'il affectionne tout particulièrement depuis "Talons aiguilles". L'histoire de Juanita est triste, faite de de regrets et de remords, marquée par la perte de son compagnon, le père d'Anita et la disparition de cette dernière. Le film est plein de sensibilité et ménage un certain suspense psychologique jusqu'à son dénouement. On ne peut qu'être frappé par le destin tragique de Julieta, seule et plongée dans l'incompréhension après toute une série d'évènements dramatiques ayant émaillés sa vie.

    Si le film, plein de sensibilité et bien construit, est réussi dans son genre, je lui ai préféré "la piel que habito", plus dérangeant et décalé. Sans misogynie aucune, je considère que Julieta séduira peut être davantage les femmes que les hommes... mais ces propos n'engagent que moi.

    Le casting du film est très bon avec Emma Suarez (Julieta à 50 ans), Adriana Ugarte (Julieta à 25 ans), Daniel Grao (Xoan) et Imma Cuesta dans le rôle d'Ava sans oublier Rossy de Palma qui jouait pour Almodovar pour la sixième fois.
    tabco
    tabco

    17 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mai 2016
    Fan des films d'Almodovar depuis le début. Mais là, je suis bluffée par ce portraits de femmes.
    Le film est très abouti, les personnages ciselés à souhait.
    Film plein d'émotion sans jamais tombé dans le pathos.
    La couleur rouge toujours très présente dans ses films à ici un "rôle" important et privilégié.
    À voir absolument.
    Kloden
    Kloden

    128 abonnés 997 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 mai 2016
    Je suis, c'est vrai, sans doute un peu dur avec Julieta, mon tout premier Almodóvar. Un peu déçu, en fait, par la direction qu'il finit par prendre en désamorçant un possible climax et en choisissant la sobriété, moi qui suis c'est bien vrai un peu trop formaté à un cinéma définitif et parfois un peu boursouflé. S'il ne montre pas les retrouvailles supposées, s'il n'habille pas son récit d'un point d'orgue qui se terminerait en un cri du cœur (qu'il soit douloureux, plein de force, ou les deux peu m'importe), c'est sans doute parce que le réalisateur madrilène veut donner à son personnage une consistance supérieure, en faire un absolu qui existera extérieurement aux attentes qu'on a quant à son histoire, à un propos défini ou à une volonté d'émouvoir qui serait pour le coup aussi classique que prosaïque. Non, Almodóvar préfère finir par faire de son héroïne une figure souveraine, qui n'existe que par elle-même et finit par devenir le film lui-même, aspirer toute sa symbolique et tous ses personnages (qui gravitaient déjà autour d'elle) pour toucher, c'est vrai, à quelque chose qui ressemble au cœur d'une vie toute entière. Après coup, je comprend un peu mieux la démarche, mais il n'en reste pas moins que la dernière partie m'aura un brin décontenancé et paru perdre en intensité. Jusque là, pourtant, j'avais beaucoup aimé cette histoire, y voyant une magnifique fable sur la vie, déjà écrite (le parcours de Julieta s'imbrique dans celui de toutes les femmes qu'elle connaîtra) autour d'une jeunesse qui est éternelle mais volage, qui déchoit petit à petit les gens de la couronne qu'elle leur avait un jour offerte. Ainsi, Almodóvar réussit subtilement à marier la beauté éclatante dont est capable l'humain (avoir Adriana Ugarte comme vitrine et comme miroir peut aider, en ce sens) avec la banalité absolue qui la sous-tend, de par la nécessité du changement et la répétition infinie d'une beauté qui finit par en perdre tout sens. C'est peut-être dans cette première partie et ces moments de grâce déjà perdus au milieu des millions d'autres qui les ont précédés que le film trouve le mieux sa respiration. La photo chatoyante et pleine de vie s'y confronte parfaitement à une mise en scène clinique, comme un oiseau exotique retenu par une cage. La forêt de symboles, l'inféodation à la mythologie grecque et un vocabulaire très référentiel (on pense à Hitchcok, notamment) laissent aussi passer cet éclairage particulier et inquiétant sur des faits déjà écrits, dont on peut déjà lire les premières fissures si on sait regarder où il faut. Julieta, s'il ne se départ jamais de sa tendresse, arbore alors une supériorité pleine de regret sur ses personnages, qu'il parait accompagner dans leurs étreintes avec la conscience de ce à quoi ils sont promis. Peut-être un peu chargé par moments pour ne pas apparaître comme une machine à émotion trop huilée, Julieta évite quand même l'outrance par la souplesse et la retenue de sa mise en scène, qui sonde en profondeur son personnage principal. À regarder Julieta se débattre au sein de sa vie, dont les mystères lui sont insondables, on finit ainsi par en perdre tout recul, par plonger avec elle dans ce tourbillon existentiel (la mer amène aussi son aura intrinsèque) et, renvoyés à nos propres expériences, on finit par croire vraiment aux légers excès du scénario tant la matrice émotionnelle et psychologique du film parait crédible au point d'en être vitale. Tourné et écrit avec sincérité, Julieta est un très beau film, pas de doute là-dessus. Il sacrifie simplement à mes yeux un peu de son potentiel et de sa capacité à marquer pour rester fidèle à son personnage. Tout à fait défendable, juste peut-être pas complètement fait pour moi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 26 mai 2016
    Superbe, tout est beau malgré la tristesse et la douleur latente
    Le rythme des plans successifs rappelle la peinture de Van Gogh
    Merci, le jury de Cannes est incroyablement "sot"
    leoline
    leoline

    31 abonnés 93 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2016
    J'ai aimé ce film très espagnol nouvelle génération - même si Almodovar n est pas si jeune ! - Sur les traces de vécus magnifiquement ressentis. Je me suis posé la question de savoir pourquoi on aimait ce cinéma mi réaliste mi sociétal. Bien sûr l histoire est d'une banalité que l on adopte tout de suite puis d une complexité que l on décortique aussi avec le fil des images et du scénario. En clair on se retrouve tous un peu dans le rapport aux personnages. Julieta est donc un petit morceau de roman de vie qu il faut prendre dés le départ comme sur un tapis roulant et aller (sans regarder sa montre !) au bout de l histoire qui se termine sur une émotion forte et poignante. A voir !
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    209 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Sous l'égide de Sirk et Hitchcock, Almodóvar - le désormais mal aimé (la majorité des Espagnols, de droite comme de gauche, le haïssent, et sa popularité hors Espagne a sérieusement chuté depuis quelques années) - est entré dans l'ère du ressassement. "Julieta" ne nous offre rien de nouveau : du mélodrame à mèche lente (on s'en fout un peu et puis d'un coup, nous voilà bouleversés), un scénario trop riche (assemblage de plusieurs nouvelles, et ça se sent), une virtuosité technique de vieux maître, de beaux portraits de femmes, des actrices en état de grâce. Du pur Almodóvar, quoi. Avec quand même de moins en moins de couleurs, de fantaisie, et de plus en plus de tristesse glaçante. On ne connaît pas ceux qu'on aime, nous dit "Julieta", et nos pires erreurs sont inconscientes, involontaires : elles ne nous en paraissent pas moins impardonnables. Sinon, Madrid, l'Andalousie, la Galicie sont superbes et nous font battre le coeur, mais c'est la touche d'onirisme hollywoodien (très 50's donc) - le train dans la nuit, la mer cruelle - qui finissent par emporter notre adhésion. Oui, Almodóvar ressasse, et nous sommes de moins en moins nombreux à aimer ça, mais c'est désormais avec une douceur sans pareille.
    mat niro
    mat niro

    360 abonnés 1 840 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 mai 2016
    Pedro Almodovar nous offre ici un drame tout en délicatesse et en nostalgie autour du personnage de Julieta (Adriana Ugarte à 30 ans et Emma Suarez à 50). Ce film commence par la rencontre de Julieta avec une amie d'enfance de sa fille et à travers cela un retour en arrière sur l'histoire de sa vie. On y retrouve un formidable portrait de femme libre mais qui porte un lourd fardeau. Il y a peu ou presque pas de scènes de conflits mais tout est en suggestion spoiler: jusqu'au dénouement final assez terrible pour Julieta.
    A noter, l'interprétation courte mais remarquée de Rossy De Palma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 mai 2016
    Julieta est un bon Almodovar. C'est très romanesque, pas forcément très vraisemblable, et pourtant Almodovar a ce pouvoir de réussir à nous faire entrer dans son film sans broncher. Ce n'est pas pour autant son film le plus fantaisiste. Il est quelque part très humain. Adriana Ugarte, la jeune Julieta, est sublime. Le premier plan du film, également superbe, annonce la couleur : un jeu autour du rouge. La musique est pratiquement omniprésente et créée une atmosphère de mystère assez jouissive. Je pense que les amateurs d'Almodovar ne seront pas déçus car on reconnaît le style Almodovar même s'il s'en éloigne en même temps par certains aspects. Le film n'atteint par contre tout de même pas les sommets des chefs d’œuvre du cinéaste selon moi, tels que Parle avec elle ou El piel que habito.
    cylon86
    cylon86

    2 548 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mai 2016
    Je n'ai pas vu énormément de films réalisés par Pedro Almodovar mais à chaque film que j'ai pu découvrir, j'ai été surpris. C'est un cinéaste qui, même s'il a son style, semble aimer surprendre et raconter des histoires imprévisibles. Le voilà ici qui délaisse l'humour pour un drame adapté de nouvelles écrites par Alice Munro, racontant l'histoire de Julieta. Une femme qui vit dans la culpabilité et qui n'a pas eu de nouvelles de sa fille Antia depuis des années. Une fille qu'elle a quasiment mise de côté mais qu'une rencontre va faire revenir dans ses pensées, laissant alors la douleur s'insinuer... Julieta se décide alors à raconter son histoire : sa rencontre avec le père d'Antia, la tragédie qui la frappa, le départ d'Antia, la façon dont elle le vit. Nous sommes dans une tragédie magnifique où l'héroïne ne vit que par la douleur, brisée par un destin cruel et ironique. Cette tragédie, le cinéaste la raconte sans artifices, sans avoir besoin de forcer le trait. Ce qui frappe dans "Julieta" c'est donc sa simplicité, la façon dont l'émotion naît juste au détour de petits détails mis au service d'une histoire forte. Sans jamais tomber dans le pathos, le film nous décrit la trajectoire de Julieta durant des années, offrant au passage aux deux actrices qui l'incarnent des rôles forcément magnifiques où elles se retrouvent toutes deux sublimées dans le malheur qui les frappe. L'air de rien, Almodovar abandonne l'humour pour se concentrer à l'essentiel et livre un superbe portrait de femme. Difficile de résister à l'émotion et à la simplicité de ce petit bijou dont la simplicité narrative est la plus grande force.
    Anne M.
    Anne M.

    75 abonnés 643 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2016
    Julieta s’apprête à quitter l’Espagne pour aller vivre au Portugal avec son compagnon. C’est alors qu’elle rencontre Bea, une amie d’enfance de sa fille , qui lui dit qu’elle a rencontré celle-ci à Côme. Antia a disparu de la vie de Julieta depuis bien des années sans aucune explication.

    Julieta, écrit à Antia et décide de rester à Madrid. Elle se remémore l’histoire de leur vie commune laquelle débute avec la rencontre du père d’Antia.

    Remarquablement interprété, ce film met en scène des femmes surtout, dont Julieta à 30 ans et à 50 ans.

    L’histoire est triste, parlant d’êtres ordinaires, de façon fine et délicate. Le ton d’Almodovar est tout en retenue et la caméra explore l’expression riche des visages.

    J’ai beaucoup aimé ce film questionnant le thème de la disparition volontaire des personnes, j’ai juste trouvé qu’il ne lassait passer que peu d’émotions.
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