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Votre avis sur Vicky ?
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Le problème, c'est que Victoria Bedos est une piètre scénariste. Sur les plateaux de télé où elle a été invitée grâce à son nom pour la promo de La Famille Bélier, elle n'a, pas une fois, cité son co-scénariste, Stanislas Carré de Malberg, elle-même n'ayant quasiment qu'apporté l'"idée originale", largement inspirée - pour ne pas dire plagiée - d'un film Allemand de 1996, Au-delà du silence.
Le scénario de Vicky est pathétique, construit sans rigueur, mal écrit, sans l'ombre d'un intérêt. On se fout totalement de la vie de cette fille de. Et on rajoute un couple muet - la Famille Bélier a bien marché, alors, on reprend un bout de la recette. Etre "fille de" ne suffit pas à donner du talent.
Le scénario de Vicky est pathétique, construit sans rigueur, mal écrit, sans l'ombre d'un intérêt. On se fout totalement de la vie de cette fille de. Et on rajoute un couple muet - la Famille Bélier a bien marché, alors, on reprend un bout de la recette. Etre "fille de" ne suffit pas à donner du talent.
Sexe, alcool, langage cru... Vicky, un film rock'n'roll! Bon on n'ira pas jusque-là. C'est surtout l'histoire d'une révélation, d'un dépassement de soi, un peu maladroitement, un peu excessivement, avant de trouver sa voie. L'histoire est plutôt sympa, les personnages attachants, le rythme n'est pas toujours agréable mais les chansons sont cools! Au final, même s'il sera vite oublié, ce film nous offre un bon moment drôle et musical.
bien et enlevé comme histoire d'une fille qui s’émancipe contre l'avis des hommes de la famille. On ne s'ennui pas même si on connaît déjà la trame de l'histoire.
film qui se laisse bien regardé avec de très bon jeu d acteur et une histoire bien ficelé avec des moments un peux bizarre perso j ai bien aimé
Le ton badin de la comédie cache en fait un propos bien plus sérieux qu'il n'y paraît. Et la fin heureuse ne fait que rehausser cette tranche de vie douloureuse autobiographique. Une bande son originale rehaussé le propos.
A la base, je suis allé voir ce film pour Chantal Lauby, que j'ai toujours beaucoup aimée depuis les Nuls. Malgré un début que j'ai trouvé assez peu crédible, j'ai adhéré au jeu de Victoria Bedos et aux facettes qu'elle sait donner à son personnage. Je n'ai pas été déçu par Chantal Lauby, qui apporte sa touche de tendresse et de complicité envers sa fille, le tout avec beaucoup de justesse et de générosité. L'histoire en elle-même peut sembler déroutante ou irréaliste. Quoi qu'il en soit, j'ai eu plaisir à écouter chanter cette jeune première et à suivre les aventures rocambolesques de Vicky.
Caine78
De la famille Bedos, je connaissais le père et le fils, mais pas la fille : c'est (malheureusement?) chose faite avec « Vicky », comédie légèrement dramatique et probablement autobiographique à pas mal d'égards. Comme quoi, le talent n'est pas toujours héréditaire, car rarement j'ai eu l'occasion de voir spectacle aussi pauvre, triste, d'une platitude de tous les instants dans ses dialogues comme ses situations, seules quelques visions pouvant faire sourire
spoiler:
(et encore, cette histoire de vagin auquel l'héroïne parle : WTF??!!)
. Pourtant, ne serait-ce que par son récit d'émancipation, son éloge de la liberté, le film devrait fonctionner ne serait-ce qu'un peu, mais non. Il faut dire que de s'accorder le rôle principal n'était probablement pas l'idée du siècle pour Victoria Bedos, tant celle-ci est fade, transparente. C'est mieux du côté des seconds rôles, les seuls à apporter un peu de substance à l'ensemble, la présence de François Berléand, Chantal Lauby et à un degré moindre de Jonathan Cohen apportant un semblant d'humour et de personnalité à un titre particulièrement insipide. Allez, quelques textes de chansons sont plutôt sympas... et c'est à peu près tout. Bref, si l'avenir me donnera peut-être tort sur les réelles capacités de la jeune Victoria, en attendant, difficile d'avoir une quelconque attente la concernant après un tel gadin quasiment à tout point de vue.
. Pourtant, ne serait-ce que par son récit d'émancipation, son éloge de la liberté, le film devrait fonctionner ne serait-ce qu'un peu, mais non. Il faut dire que de s'accorder le rôle principal n'était probablement pas l'idée du siècle pour Victoria Bedos, tant celle-ci est fade, transparente. C'est mieux du côté des seconds rôles, les seuls à apporter un peu de substance à l'ensemble, la présence de François Berléand, Chantal Lauby et à un degré moindre de Jonathan Cohen apportant un semblant d'humour et de personnalité à un titre particulièrement insipide. Allez, quelques textes de chansons sont plutôt sympas... et c'est à peu près tout. Bref, si l'avenir me donnera peut-être tort sur les réelles capacités de la jeune Victoria, en attendant, difficile d'avoir une quelconque attente la concernant après un tel gadin quasiment à tout point de vue.
weihnachtsmann
Ce film c'est la boum version comédie musicale à 30 ans!!!
L'émancipation d'une jeune femme qui découvre les plaisirs du sexe. C'est assez léger et ça parle d'amour de façon crue et décomplexée témoin cette chanson "j'aime faire l'amour". Néanmoins il y a cette petite douceur triste comme un regret de ne pas savoir si l'amour était vraiment une chose inoubliable ou non.
L'émancipation d'une jeune femme qui découvre les plaisirs du sexe. C'est assez léger et ça parle d'amour de façon crue et décomplexée témoin cette chanson "j'aime faire l'amour". Néanmoins il y a cette petite douceur triste comme un regret de ne pas savoir si l'amour était vraiment une chose inoubliable ou non.
Comédie usant de la vulgarité pour tenter de faire rire. Rythme correct et au moins un peu féministe, légèrement osé. Pas suffisant pour que ce soit réussi. Chansons moyennes donc dans la lignée !
2,4/5
2,4/5
FaRem
Après avoir écrit le scénario de "La famille Bélier", Victoria Bedos s'oriente vers quelque chose de plus personnel avec cette comédie dite autobiographique qui est vraiment son premier gros projet et même si elle n'est pas derrière la caméra, c'est vraiment son film à elle. Plus qu'une histoire personnelle, c'est limite un argument de vente, c'est surtout un film sur l'indépendance avec Victoire, tout comme Victoria Bedos à travers ce film, qui cherche à s'affirmer en tant que femme et en tant qu'artiste et non plus uniquement comme étant la fille ou la sœur de... Le problème de ce film est qu'il arrive un peu tard, car l'histoire de la trentenaire qui commence à peine à vivre, c'est du vu et revu et malheureusement, il n'y a rien d'original ici qui pourrait nous faire oublier ce que l'on a déjà vu. L'histoire tourne vite en rond et entre les nombreuses scènes de concert et celles qui tournent autour du sexe, il n'y a pas grand-chose à se mettre sous la dent... Le scénario est cousu de fil blanc, ce n'est jamais drôle et malgré le dynamise de Victoria Bedos, le film s'éteint rapidement et devient ennuyeux.
J’aime beaucoup le synopsis du film (du moins celui qui écrit sur ce site), il fait un résumer raisonnable et logique, presque analysé, de ce film qui, en fait, est quand même plus foutraque. Cette comédie est une sorte de paraphrase de la vie de l’interprète principale Victoria Bedos, qui comme la protagoniste de ce film, est issue d’une famille d’artistes où père et frère monopolisent l’attention publique et médiatiques. Elle joue dont en terrain familier. J’ai plutôt aimé cette comédie, même si elle reste quand même, à mes yeux, bancale. La première heure est vraiment drôle et pleine d’énergie, puis tout d’un coup, environ dans la dernière demi-heure, elle cale et jamais elle ne va retrouver l’entrain et la drôlerie qu’elle déployait avant, pour se perdre dans un trou d’air et se crasher dans un happy-end très convenu, insipide. Pourtant, le personnage de cette trentenaire étouffée par un père surprotecteur et vieux jeux et un frère narcissique et oppressif, qui ne sait toujours pas ce qu’elle veut faire de sa vie est très attachante et ses mésaventures vraiment tordantes. Mais, on ne sait pourquoi le film a du mal à passer de cet état des lieux à une nouvelle phase de sa vie. Ou plutôt, s’il arrive à faire évoluer les personnages féminins, les personnages masculins (père et frère) comme dans un disque rayé sautent d’un état à l’autre sans que rien ne vienne vraiment expliquer ce changement, les discussions/mises au point étant trop inconsistantes pour les justifier de façon crédible. Du coup, le film laisse une impression de gâchis où l’intrigue aurait été bâclée un peu stupidement sur la fin alors que le film faisait jusque-là plutôt un bon parcours. Bref, une comédie sympathique qui pour une raison inexplicable se tire une balle dans le pied en fin de course, laissant son spectateur plein de regrets de ce qu’aurait pu être une conclusion plus réussie. A voir néanmoins pour la première heure, elle, très bonne.
Une petite comédie bourgeoise, parisienne et vaniteuse, où la fille Bedos cherche à exister. Le film n'a pas grand chose à dire, et s'il est parfois sympa, il est souvent nul.
Un film qui vole pas haut que soit dans son histoire et concept et sait parole ainsi que les acteurs vraiment un espisode lourd
Son père et son frère ont du talent et sont connus, en bonne Bedos la petite dernière jouit d'un énorme égo qui lui fait croire que son Biopic (à 32 ans) nous intéresserait. Elle n'a pas la profondeur ni le talent des autres. On se fiche un peu de l'émancipation de cette jeune parisienne bien née.
Un film mégalo qui aurait au moins pu amener à quelque chose s'il avait révélé son talent. Même pas !
Un film mégalo qui aurait au moins pu amener à quelque chose s'il avait révélé son talent. Même pas !
Cinéphiles 44
Comme si le film avait été réalisé et monté en vitesse, Vicky sonne comme une comédie brouillonne. En effet, l’introduction est expéditive, la présentation des personnages est épuisante et l’histoire est criarde. Le casting rassemble pourtant Berléand et Lauby, mais même la prestation de ces derniers laisse à désirer. Fille de Guy Debos et sœur de Nicolas Bedos, Victoria devrait avoir honte de présenter sa véritable histoire dans ce long-métrage biographique absolument indigeste. Vicky aurait pu être le film d’une rageuse en revanche de sa famille qui lui a toujours volé la vedette. L’effet inverse se produit. Victoria Bedos apparaît ici comme une indécise nymphomaniaque, qui plus est, chante mal.
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