Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Les Inrockuptibles
par Luc Chessel
La sobriété terrienne de "Kommunisten" met en place pour nous l'émotion la plus active, sa droiture nous jette dans la folie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
aVoir-aLire.com
par Claude Rieffel
Malraux, Vittorini, Fortini dialoguent dans ce film composé, tout en ruptures, qui explore en six savoureux chapitres l'histoire du vingtième siècle et de ses utopies. Radical, à l'image de son auteur.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Ce retour sur l’œuvre passée n’est en rien un repli sur soi, il témoigne au contraire d’une persévérance.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Campagne toscane et rues du Caire, balcon romain et pentes de l'Etna rendent profondément sensibles les textes d'Elio Vittorini, Mahmoud Hussein ou Hölderlin.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
La torture en Algérie, figurée par un fond noir ou une sortie d’usine au Caire (sublime plan séquence seventies), se condense dans une temporalité brute, hypnotique.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
par Marie Gueden
Du premier fragment au dernier, on appréhende une tonalité personnelle et affective, entre la voix de Jean-Marie Straub hors-champ et le visage et la voix de Danièle Huillet, disparue en 2006, contribuant à donner à "Kommunisten" qui peut se présenter en apparence comme un film paresseux un statut particulier : celui d’un manifeste autant intime et personnel que politique et artistique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Adrien Gombeaud
Montage de courts métrages et extraits de films anciens, Kommunisten (précédé de La Guerre d'Algérie) n'est donc ni un bon ni un mauvais Straub. Il est la continuation de ce travail où les acteurs lisent des textes, encadrés en plan fixe comme des papillons de collection.
Télérama
par Jacques Morice
Le monde change, mais pas lui. Rage au ventre, caméra au poing, Jean-Marie Straub continue son cinéma pur et dur (...). Le film possède néanmoins un atout : donner un aperçu accessible de la "Straubie", vu qu'il s'agit d'une sorte de compilation du cinéaste par lui-même.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Inrockuptibles
La sobriété terrienne de "Kommunisten" met en place pour nous l'émotion la plus active, sa droiture nous jette dans la folie.
aVoir-aLire.com
Malraux, Vittorini, Fortini dialoguent dans ce film composé, tout en ruptures, qui explore en six savoureux chapitres l'histoire du vingtième siècle et de ses utopies. Radical, à l'image de son auteur.
Cahiers du Cinéma
Ce retour sur l’œuvre passée n’est en rien un repli sur soi, il témoigne au contraire d’une persévérance.
Le Monde
Campagne toscane et rues du Caire, balcon romain et pentes de l'Etna rendent profondément sensibles les textes d'Elio Vittorini, Mahmoud Hussein ou Hölderlin.
Libération
La torture en Algérie, figurée par un fond noir ou une sortie d’usine au Caire (sublime plan séquence seventies), se condense dans une temporalité brute, hypnotique.
Critikat.com
Du premier fragment au dernier, on appréhende une tonalité personnelle et affective, entre la voix de Jean-Marie Straub hors-champ et le visage et la voix de Danièle Huillet, disparue en 2006, contribuant à donner à "Kommunisten" qui peut se présenter en apparence comme un film paresseux un statut particulier : celui d’un manifeste autant intime et personnel que politique et artistique.
Positif
Montage de courts métrages et extraits de films anciens, Kommunisten (précédé de La Guerre d'Algérie) n'est donc ni un bon ni un mauvais Straub. Il est la continuation de ce travail où les acteurs lisent des textes, encadrés en plan fixe comme des papillons de collection.
Télérama
Le monde change, mais pas lui. Rage au ventre, caméra au poing, Jean-Marie Straub continue son cinéma pur et dur (...). Le film possède néanmoins un atout : donner un aperçu accessible de la "Straubie", vu qu'il s'agit d'une sorte de compilation du cinéaste par lui-même.