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Ykarpathakis157
4 541 abonnés
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3,5
Publiée le 26 août 2020
Pour une raison quelconque j'ai vraiment apprécié ce film. La qualité de l'histoire, la direction très solide et déterminée et l'excellent jeu d'acteur de Vincent Macaigne. Bien que l'histoire des épreuves et des tribulations ne soit certainement pas nouvelle. Nous l'avons vue racontée quelques fois auparavant et généralement d'un point de vue américain. Cette fois nous la voyons dans une perspective uniquement française. La différence des mentalités et de la culture fait-elle une différence dans les résultats ? Le protagoniste français va-t-il reconquérir sa dame américaine ? Quelles méthodes utilisera-t-il pour y parvenir et à quel prix ? Le réalisateur nous met face à un dilemme séculaire : est-il trop tard pour une seconde chance d'aimer une personne et devrait-il vraiment y avoir une seule réponse objective à cela ?...
Ce film est d'une lenteur agaçante. Aucune surprise dans le déroulement de l'histoire, celle d'un pauvre type amoureux, le tout très mal filmé - du vu et revu... et re revu. Si l'on peut juger de la nullite d'un film au nombre de fois où le peu de personnes présentes dans la salle ont allumé leur portable pour verifier l'heure, alors ce film est un très mauvais film
Après une tentative de visionnage de "hungry hearts" avec le très pénible Adam Driver, "Une Histoire américaine" génère au moins une réelle empathie pour le personnage de Vincent Macaigne. L'impression est parfois celle d'un Antoine de Maximy qui ferait une spéciale déprime de "J'irais dormir chez vous" après s'être entiché d'une new-yorkaise. Cette spirale progressive dans l'abandon de soi est touchante. A l'heure où il ne faut surtout pas montrer ses failles et sa fragilité, c'est même rassurant. Yes, "nous sommes Vincent"!
dès les premières minutes, on se dit, tiens ça va être chiant; et bien figurez vous que c'est le cas, histoire inintéressante au possible d'un individu antipathique, laid et con comme un manche qui cherche à reconquérir sa belle, tout est long, des dizaines de scènes inutiles, des plans de vue interminables, il pourrait être nominé pour les bouses d'or, qui est donc le réalisateur : Armel Hostiou, je ne connaissait pas mais je m'en souviendrai...
Une histoire américaine fait passer des rires aux larmes en un quart de fraction de seconde. Armel Hostiou réalise ici un Grand Film dans la langue de Shakespeare, sur le thème de la quête amoureuse, qui redonne foi en l'avenir du Cinéma Français. D'une justesse inédite, sensible et humain, ce long-métrage sur le fil, fait partager l'errance de Vincent (merveilleux Vincent Macaigne) dans un New York polymorphe.