Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
Culturopoing.com
par Sarah Mallégol
Loin de tout formalisme ou esthétisme la mise en scène installe un effleurement du réel très libre, s'attachant au visage de son interprète dont la fragilité se métamorphose au cours du film en un bloc substantiel de rejet de l'existence.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une comédie dramatique d'Armel Hostiou conçue et mise en scène pour son interprète (...) A la fois touchant et exaspérant.
Paris Match
par Sarah Louaguef
Vincent refuse d'oublier Barbara, Vincent rejette la possibilité d'une nouvelle vie - rayonnante Sofie Rimestad - et Vincent répudie son entourage, sa propre existence. Une interprétation borderline mais tellement juste.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Télérama
par Samuel Douhaire
L'antihéros volubile et attachant s'est enfermé dans le mutisme et la dépression. Le film perd au passage un peu de légèreté, mais il gagne en intensité. (...) Grâce à la manière libre, fluide, du jeune réalisateur, qui excelle à saisir la solitude de ses personnages perdus dans la grande ville.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Jean-Patrick Géraud
Une belle comédie aux registres variés, portée par des acteurs convaincants.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Damien Bonelli
Quatre ans après "Rives", où Paris était déjà un personnage à part entière, Armel Hostiou confirme un talent singulier pour s’approprier les espaces urbains, ici New York, et en filmer l’aliénation inhérente.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Si “long métrage avec Vincent Macaigne” est le nouveau label qualité française, il est à encore constater que l'acteur apporte à un récit mineur l'épaisseur d'une humanité complexe, qu'A. Hostiou “illumine” d'une noirceur très profonde.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Gilles Renault
Celles et ceux qui ont déjà vu Vincent Macaigne au cinéma (...) devineront trop aisément la facilité avec laquelle le comédien épouse ici les contours d’une figure dont il reconduit de film en film (...). De chaque plan (serré) ou presque, tuméfié, ivre, lessivé, l’acteur parvient toutefois à entraîner l’errance romantique potentielle (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Time Out Paris
par La Rédaction
Bricolé en quelques jours avec un budget dérisoire et porté à bout de bras par un Vincent Macaigne omniprésent à l’image et coscénariste du film, "Une histoire américaine" fait preuve d’une fraîcheur assez immédiate, qui tient largement à ses marges d’improvisation à travers les rues, les rames de métro ou les bars de nuit de New York.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
20 Minutes
par Caroline Vié
Entre amoureux et psychopathe, Macaigne oscille, renouvelant suffisamment son personnage pour nous rendre indulgent face à la maladresse du projet.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Comme souvent, Vincent Macaigne joue ici le séducteur maladroit et lourdingue, en restant dans la ligne de son personnage de "Tonnerre". Certes, les situations sont poussées dans le rouge et dans l'absurde, très au-delà du ridicule que souligne plaisamment un filmage quasi amateur de la vie à New York.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Passé quelques agréables impressions, on se sent un peu blousé par cette histoire somme toute insignifiante.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) cette comédie du remariage semble tout miser sur le chic de son casting, de son décor, de ses références au "mumblecore" new-yorkais.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Quelques séquences réussissent leur cuisine romantico-dépressive mais l’impression persistante d’une fatigue de fin de tournée ne suscite en nous qu’un engouement poli.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Première
par Eric Vernay
Si l’acteur est intéressant quoi qu’il fasse devant une caméra ou presque, "Une histoire américaine" échoue à renouveler son personnage moitié clown séducteur moitié monstre autiste.
La critique complète est disponible sur le site Première
Transfuge
par Damien Aubel
C'est [le] leurre du film: le portrait de Vincent, le personnage, est d'abord celui de Vincent, l'acteur. (...) Une histoire américaine? Une histoire Macaigne, plutôt.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La patience manifestée à l'égard de Vincent par les différents protagonistes (...) se mesure à celle dont doit faire preuve le spectateur envers le film.
Culturopoing.com
Loin de tout formalisme ou esthétisme la mise en scène installe un effleurement du réel très libre, s'attachant au visage de son interprète dont la fragilité se métamorphose au cours du film en un bloc substantiel de rejet de l'existence.
Ouest France
Une comédie dramatique d'Armel Hostiou conçue et mise en scène pour son interprète (...) A la fois touchant et exaspérant.
Paris Match
Vincent refuse d'oublier Barbara, Vincent rejette la possibilité d'une nouvelle vie - rayonnante Sofie Rimestad - et Vincent répudie son entourage, sa propre existence. Une interprétation borderline mais tellement juste.
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Télérama
L'antihéros volubile et attachant s'est enfermé dans le mutisme et la dépression. Le film perd au passage un peu de légèreté, mais il gagne en intensité. (...) Grâce à la manière libre, fluide, du jeune réalisateur, qui excelle à saisir la solitude de ses personnages perdus dans la grande ville.
aVoir-aLire.com
Une belle comédie aux registres variés, portée par des acteurs convaincants.
Critikat.com
Quatre ans après "Rives", où Paris était déjà un personnage à part entière, Armel Hostiou confirme un talent singulier pour s’approprier les espaces urbains, ici New York, et en filmer l’aliénation inhérente.
Les Fiches du Cinéma
Si “long métrage avec Vincent Macaigne” est le nouveau label qualité française, il est à encore constater que l'acteur apporte à un récit mineur l'épaisseur d'une humanité complexe, qu'A. Hostiou “illumine” d'une noirceur très profonde.
Libération
Celles et ceux qui ont déjà vu Vincent Macaigne au cinéma (...) devineront trop aisément la facilité avec laquelle le comédien épouse ici les contours d’une figure dont il reconduit de film en film (...). De chaque plan (serré) ou presque, tuméfié, ivre, lessivé, l’acteur parvient toutefois à entraîner l’errance romantique potentielle (...).
Time Out Paris
Bricolé en quelques jours avec un budget dérisoire et porté à bout de bras par un Vincent Macaigne omniprésent à l’image et coscénariste du film, "Une histoire américaine" fait preuve d’une fraîcheur assez immédiate, qui tient largement à ses marges d’improvisation à travers les rues, les rames de métro ou les bars de nuit de New York.
20 Minutes
Entre amoureux et psychopathe, Macaigne oscille, renouvelant suffisamment son personnage pour nous rendre indulgent face à la maladresse du projet.
L'Humanité
Comme souvent, Vincent Macaigne joue ici le séducteur maladroit et lourdingue, en restant dans la ligne de son personnage de "Tonnerre". Certes, les situations sont poussées dans le rouge et dans l'absurde, très au-delà du ridicule que souligne plaisamment un filmage quasi amateur de la vie à New York.
Le Journal du Dimanche
Passé quelques agréables impressions, on se sent un peu blousé par cette histoire somme toute insignifiante.
Le Monde
(...) cette comédie du remariage semble tout miser sur le chic de son casting, de son décor, de ses références au "mumblecore" new-yorkais.
Les Inrockuptibles
Quelques séquences réussissent leur cuisine romantico-dépressive mais l’impression persistante d’une fatigue de fin de tournée ne suscite en nous qu’un engouement poli.
Première
Si l’acteur est intéressant quoi qu’il fasse devant une caméra ou presque, "Une histoire américaine" échoue à renouveler son personnage moitié clown séducteur moitié monstre autiste.
Transfuge
C'est [le] leurre du film: le portrait de Vincent, le personnage, est d'abord celui de Vincent, l'acteur. (...) Une histoire américaine? Une histoire Macaigne, plutôt.
L'Obs
La patience manifestée à l'égard de Vincent par les différents protagonistes (...) se mesure à celle dont doit faire preuve le spectateur envers le film.