Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
Metro
par Mehdi Omaïs
Raphaël Personnaz (...) s'y montre impeccablement sobre face au froid et à la solitude.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Sud Ouest
par Sophie Avon
Jouant de ces mirages sans rien forcer, trouvant l'équilibre juste entre la musique d'Ibrahim Maalouf et le silence d'un paysage qui se suffit à lui-même, injectant les hasards de la fiction sans tomber dans l'anecdote, le film avance avec son double désir de dépaysement et de retour à soi.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Charlie Hebdo
par Sigolène Vinson
Un film de lac gelé, un peu de lenteur dans un monde qui ne devrait pas refuser l'ennui.
Femme Actuelle
par Valérie Beck
Sur une musique sublime d'Ibrahim Maalouf et des images de toute beauté, Safy Nebbou a réussi à capter l'indicible, le poids de la solitude, le temps qui passe, la beauté d'un paysage brut ou l'ivresse de la liberté retrouvée. Un dépaysement garanti à découvrir en famille.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Gren
Face au spectacle de ce naufragé volontaire, chacun trouvera ce qu'il cherche. Le caressant réconfort de ne pas être à sa place… ou, au contraire, l'envie puissante d'affronter, comme lui, l'air glacé et les tempêtes de neige.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Avec Raphaël Personnaz, seul à l’écran l’essentiel du film, Safy Nebbou adapte le livre de Sylvain Tesson et livre une enivrante ode à la nature.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Safy Nebbou réussit son pari dès les premiers plans et nous garde avec lui jusqu’aux dernières notes du générique final. La grâce d’Ibrahim Maalouf, père de la bande-son, n’est pas étrangère à ce charme.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Noémie Luciani
Adaptant – assez librement – le récit autobiographique de Sylvain Tesson, Safy Nebbou emmène un voyageur, Teddy (Raphaël Personnaz), au bord du lac Baïkal, et offre au spectateur une expérience sensorielle de la belle solitude et du silence aussi dépaysante que bienfaisante, à rebours des poncifs d’un genre souvent bavard et donneur de leçons.
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Une intense aventure polaire et solitaire adaptée du récit éponyme de l'écrivain voyageur Sylvain Tesson.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Pierre Fornerod
Certes le discours est parfois convenu : la vie urbaine n'est pas la vraie vie et il faut se séparer de tout pour se retrouver soi-même, moralise le film. Mais l'aventure est sublime.
Paris Match
par Alain Spira
Une photographie magnifique, un Raphaël Personnaz convaincant, de l'action, de la contemplation et de la réflexion font de ce voyage "Dans les forêts de Sibérie" un repas cinématographique complet.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Raphaël Personnaz, quasiment seul à l'image les trois quarts du film, livre une performance remarquable de justesse, tout en ajoutant des touches d'humour bienvenues. C'est certainement l'une de ses plus belles compositions.
TF1 News
par Yves Grosjean
Un grand bol d'air frais que ce film qui invite le spectateur à réfléchir sur sa propre existence. Raphaël Personnaz, impeccable.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Guillemette Odicino
Grâce à cet acteur au jeu sobre et sincère et à la belle lumière du chef opérateur, Gilles Porte, cette odyssée devient une ode à l'humilité des vrais aventuriers.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Une oeuvre exaltante qui resitue avec magnificence l’homme au sein d’un macrocosme naturel de glace plus que jamais cinématographique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un récit d’aventure en forme de quête existentielle qui, dans un décor impressionnant, offre toutes les garanties d’intensité du genre.
Les Fiches du Cinéma
par Aude Jouanne
En dépit de paysages splendides, le film se distingue par son récit maladadroit.
Positif
par Olivier de Bruyn
Même si l'on peut regretter les facilités d'écriture et une musique assourdissante, le film se distingue toutefois de l'ordinaire grâce à la rigueur de son script et à l'interprétation de Raphaël Personnaz (...), une fois encore convaincant.
L'Express
par Eric Libiot
L'impression étrange qui se dégage après la vision du film est que le tournage a dû être incroyable, quand le résultat, lui, n'arrive pas à rendre l'exaltation de Teddy et ce qu'il est allé chercher pendant six mois. Comme si le projet, en fait, était une fausse bonne idée.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Obs
par Jérôme Garcin
Cela ne suffit pas, malheureusement, à faire une intrigue ni à susciter la curiosité du spectateur, qui comprend mal comment un homme jeune lassé par la routine parisienne adopte si bien le train-train sibérien.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Malgré les superbes images de paysages enneigés, on reste un peu de glace face aux épreuves physiques et morales du héros.
Libération
par Luc Chessel
S’inscrivant dans le genre du film-manuel ou de sa déclinaison plus récente, le film-tutoriel (...), il a le malheur de ne pas nous apprendre grand-chose, ni de la survie ni de la vie. Ce qui, dans les conditions polaires où il embarque son spectateur, relève de la non-assistance à personne en danger.
Critikat.com
par Marie Gueden
Cette "Sibériade" égotiste tout droit issue de la franchise "Sylvain Tesson" (...) manque d’ampleur.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
"Dans les forêts de Sibérie" est pétri d'un bidonnage proprement télévisuel, où des figurants rustauds à barbe enneigée figurent moins une véritable altérité qu'une bande d'ours en peluche, à la disposition du personnage et de ses velléités touristiques.
Metro
Raphaël Personnaz (...) s'y montre impeccablement sobre face au froid et à la solitude.
Sud Ouest
Jouant de ces mirages sans rien forcer, trouvant l'équilibre juste entre la musique d'Ibrahim Maalouf et le silence d'un paysage qui se suffit à lui-même, injectant les hasards de la fiction sans tomber dans l'anecdote, le film avance avec son double désir de dépaysement et de retour à soi.
Charlie Hebdo
Un film de lac gelé, un peu de lenteur dans un monde qui ne devrait pas refuser l'ennui.
Femme Actuelle
Sur une musique sublime d'Ibrahim Maalouf et des images de toute beauté, Safy Nebbou a réussi à capter l'indicible, le poids de la solitude, le temps qui passe, la beauté d'un paysage brut ou l'ivresse de la liberté retrouvée. Un dépaysement garanti à découvrir en famille.
Franceinfo Culture
Face au spectacle de ce naufragé volontaire, chacun trouvera ce qu'il cherche. Le caressant réconfort de ne pas être à sa place… ou, au contraire, l'envie puissante d'affronter, comme lui, l'air glacé et les tempêtes de neige.
La Croix
Avec Raphaël Personnaz, seul à l’écran l’essentiel du film, Safy Nebbou adapte le livre de Sylvain Tesson et livre une enivrante ode à la nature.
La Voix du Nord
Safy Nebbou réussit son pari dès les premiers plans et nous garde avec lui jusqu’aux dernières notes du générique final. La grâce d’Ibrahim Maalouf, père de la bande-son, n’est pas étrangère à ce charme.
Le Monde
Adaptant – assez librement – le récit autobiographique de Sylvain Tesson, Safy Nebbou emmène un voyageur, Teddy (Raphaël Personnaz), au bord du lac Baïkal, et offre au spectateur une expérience sensorielle de la belle solitude et du silence aussi dépaysante que bienfaisante, à rebours des poncifs d’un genre souvent bavard et donneur de leçons.
Le Parisien
Une intense aventure polaire et solitaire adaptée du récit éponyme de l'écrivain voyageur Sylvain Tesson.
Ouest France
Certes le discours est parfois convenu : la vie urbaine n'est pas la vraie vie et il faut se séparer de tout pour se retrouver soi-même, moralise le film. Mais l'aventure est sublime.
Paris Match
Une photographie magnifique, un Raphaël Personnaz convaincant, de l'action, de la contemplation et de la réflexion font de ce voyage "Dans les forêts de Sibérie" un repas cinématographique complet.
Studio Ciné Live
Raphaël Personnaz, quasiment seul à l'image les trois quarts du film, livre une performance remarquable de justesse, tout en ajoutant des touches d'humour bienvenues. C'est certainement l'une de ses plus belles compositions.
TF1 News
Un grand bol d'air frais que ce film qui invite le spectateur à réfléchir sur sa propre existence. Raphaël Personnaz, impeccable.
Télérama
Grâce à cet acteur au jeu sobre et sincère et à la belle lumière du chef opérateur, Gilles Porte, cette odyssée devient une ode à l'humilité des vrais aventuriers.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre exaltante qui resitue avec magnificence l’homme au sein d’un macrocosme naturel de glace plus que jamais cinématographique.
Le Dauphiné Libéré
Un récit d’aventure en forme de quête existentielle qui, dans un décor impressionnant, offre toutes les garanties d’intensité du genre.
Les Fiches du Cinéma
En dépit de paysages splendides, le film se distingue par son récit maladadroit.
Positif
Même si l'on peut regretter les facilités d'écriture et une musique assourdissante, le film se distingue toutefois de l'ordinaire grâce à la rigueur de son script et à l'interprétation de Raphaël Personnaz (...), une fois encore convaincant.
L'Express
L'impression étrange qui se dégage après la vision du film est que le tournage a dû être incroyable, quand le résultat, lui, n'arrive pas à rendre l'exaltation de Teddy et ce qu'il est allé chercher pendant six mois. Comme si le projet, en fait, était une fausse bonne idée.
L'Obs
Cela ne suffit pas, malheureusement, à faire une intrigue ni à susciter la curiosité du spectateur, qui comprend mal comment un homme jeune lassé par la routine parisienne adopte si bien le train-train sibérien.
Le Journal du Dimanche
Malgré les superbes images de paysages enneigés, on reste un peu de glace face aux épreuves physiques et morales du héros.
Libération
S’inscrivant dans le genre du film-manuel ou de sa déclinaison plus récente, le film-tutoriel (...), il a le malheur de ne pas nous apprendre grand-chose, ni de la survie ni de la vie. Ce qui, dans les conditions polaires où il embarque son spectateur, relève de la non-assistance à personne en danger.
Critikat.com
Cette "Sibériade" égotiste tout droit issue de la franchise "Sylvain Tesson" (...) manque d’ampleur.
Les Inrockuptibles
"Dans les forêts de Sibérie" est pétri d'un bidonnage proprement télévisuel, où des figurants rustauds à barbe enneigée figurent moins une véritable altérité qu'une bande d'ours en peluche, à la disposition du personnage et de ses velléités touristiques.