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29 critiques presse
L'Humanité
par Dominique Widemann
Christophe Honoré donne pour tous les âges une superbe adaptation du célèbre livre de la comtesse de Ségur.
L'Obs
par Grégoire Leménager
Elle découpe des poissons rouges comme du saucisson, martyrise un écureuil et torture sa poupée, sert l'eau du chien à ses cousines dans une théière. C'est Sophie de Réan (...). Un siècle et demi plus tard, Christophe Honoré réussit ce miracle : lui donner un coup de jeune, sans rien gommer de ce qui la sépare de notre époque.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Point
par Sophie Pujas
POUR : Christophe Honoré réussit son pari : pour son premier film pour enfants, s'attaquer à la comtesse de Ségur tout en échappant à l'adaptation compassée.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Honoré trouve dans ces Malheurs de Sophie la plus juste formulation du motif qui obsède depuis toujours son cinéma : le deuil, la disparition, cette déchirure irréparable qui hantait "Les Chansons d’amour" et "Homme au bain."
Ouest France
par Pierre Fornerod
Au final, ces "Malheurs de Sophie" sont vraiment réjouissants.
20 Minutes
par Caroline Vié
"Les malheurs de Sophie" de Christophe Honoré est à la fois respectueux et novateur. Les aventures de cette fillette de cinq ans qui multiplie les bêtises avant de découvrir la cruauté du monde en devenant orpheline sont drôles, poignantes, cruelles et tendres à la fois.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Anne-Claire Cieutat
Christophe Honoré s’empare des Malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur et en propose une adaptation délicate, où fantaisie, mélancolie et noirceur se font la courte échelle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Femme Actuelle
par La Rédaction
Une adaptation réussie, pleine de fraîcheur et d'allant.
L'Express
par Christophe Carrière
Le naturel de la pitchoune Caroline Grant, la douceur d'Anaïs Demoustier et le générique de fin suffisent à rassurer le spectateur, heureux de ne pas avoir été pris pour un amateur de guimauve.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Au gré des mésaventures de Sophie, l’auteur de "La Belle personne" et "Métamorphoses" brusque son découpage, faisant crisser l’image comme une craie sur un tableau. Un détournement insidieux, insolent, électrique et vivifiant.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Au final, ces joyeux Malheurs sont emportés par Caroline Grant, 5 ans, qui cabotine un peu mais fait preuve d’un sacré caractère. Face à elle, Anaïs Demoustier se montre bienveillante, et Muriel Robin s’impose, formidable, en madame Fichini. Il fallait bien ça pour résister à cet infernal petit diable.
Libération
par Julien Gester
Christophe Honoré ravive avec poésie le destin de l'héroïne de la comtesse de Ségur.
Paris Match
par Karelle Fitoussi
Près de dix ans après "Les Chansons d'amour", le cinéaste livre sa version pop, insolente et cruelle des "Malheurs deSophie". Avec un casting détonant.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Le film d'Honoré ressemble à un immense terrain de jeu, où l'expérimentation serait reine.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L’adaptation de Christophe Honoré a cette netteté, cette modernité, même si on peut lui faire le reproche d’un maniérisme que le cinéaste assume par ailleurs.
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
François Truffaut aurait adoré ces 400 coups de Sophie, chronique de l'enfance d'une liberté folle, aussi joyeuse qu'émouvante.
Télérama
par Frédéric Strauss
De bout en bout s'exprime l'envie d'entraîner personnages et spectateurs dans une ronde, souvent en musique. Et ça marche : ces "Malheurs de Sophie" ont un air de fête.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Emmanuelle Lucas
La poésie émerge au détour de certaines scènes. Dommage peut-être que le film n’utilise que si peu la musique d’Alex Beaupain, très réussie, et l’animation, qui n’ajoute que des touches trop rares pour embarquer dans le monde échevelé de Sophie, loin de la folie des grands.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce refus de donner au récit une forme unifiée qui serait la signature d'un auteur au point de vue omniscient revient souvent dans le cinéma d'Honoré. Mais il n'avait jamais assumé ce parti pris avec une telle générosité.
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Christophe Honoré fait une incursion dans le cinéma pour enfants en y prolongeant ses thèmes. La dimension théorique du projet semble, hélas, avoir fait passer au second plan le plaisir du spectateur.
Première
par Christophe Narbonne
(...) la mayonnaise ne prend pas toujours : la spontanéité se confond souvent avec l’approximation. Reste un vrai geste de cinéma et l’énième résurrection (la bonne, cette fois ?) de Muriel Robin, impériale dans la peau de l’horrible madame Fichini qui a fait cauchemarder des générations entières de petites filles.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Bernard Achour
Le résultat ne manque pas d'un second degré très noir et d'une modernité visuelle propres à captiver les "grands" cinéphiles.
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
Le principal problème de ces Malheurs de Sophie – remix des Petites Filles modèles et des Malheurs de Sophie –, c’est de ne pas savoir à quelle hauteur se placer pour parler de l’enfance aux enfants.
Critikat.com
par Marie Gueden
(...) si fantaisie il y a un peu, elle reste trop ponctuelle et timide, dans des séquences coups de force marquées par l’hybridation.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La première partie dépareille trop le film pour remporter l’adhésion. Dommage, l’appréciation d’ensemble en pâtit grandement.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La comtesse de Ségur revue à la mode musicale par Christophe Honoré, comme un souvenir d’enfance revisité de façon assez mièvre. Heureusement, Muriel Robin apporte un peu de piment.
Positif
par Eithne O'Neill
Malheureusement, le charme ne fait pas long feu.
Le Point
par Julie Malaure
CONTRE : L'ensemble est bancal, comme mal accordé, l'adaptation manque de souffle et d'ambition. Les enfants n'y verront peut-être que du feu – c'est un classique de la littérature, tout de même...
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Metro
par Mehdi Omaïs
De fait, les péripéties (pas si) saugrenues de Sophie s’enchaînent sans tension ni lumière, enveloppées dans la partition musicale un brin débilitante d’Alex Beaupain. Et donnent à vivre un spectacle dont le cul est constamment coincé entre deux chaises.
La critique complète est disponible sur le site Metro
L'Humanité
Christophe Honoré donne pour tous les âges une superbe adaptation du célèbre livre de la comtesse de Ségur.
L'Obs
Elle découpe des poissons rouges comme du saucisson, martyrise un écureuil et torture sa poupée, sert l'eau du chien à ses cousines dans une théière. C'est Sophie de Réan (...). Un siècle et demi plus tard, Christophe Honoré réussit ce miracle : lui donner un coup de jeune, sans rien gommer de ce qui la sépare de notre époque.
Le Point
POUR : Christophe Honoré réussit son pari : pour son premier film pour enfants, s'attaquer à la comtesse de Ségur tout en échappant à l'adaptation compassée.
Les Inrockuptibles
Honoré trouve dans ces Malheurs de Sophie la plus juste formulation du motif qui obsède depuis toujours son cinéma : le deuil, la disparition, cette déchirure irréparable qui hantait "Les Chansons d’amour" et "Homme au bain."
Ouest France
Au final, ces "Malheurs de Sophie" sont vraiment réjouissants.
20 Minutes
"Les malheurs de Sophie" de Christophe Honoré est à la fois respectueux et novateur. Les aventures de cette fillette de cinq ans qui multiplie les bêtises avant de découvrir la cruauté du monde en devenant orpheline sont drôles, poignantes, cruelles et tendres à la fois.
Bande à part
Christophe Honoré s’empare des Malheurs de Sophie de la Comtesse de Ségur et en propose une adaptation délicate, où fantaisie, mélancolie et noirceur se font la courte échelle.
Femme Actuelle
Une adaptation réussie, pleine de fraîcheur et d'allant.
L'Express
Le naturel de la pitchoune Caroline Grant, la douceur d'Anaïs Demoustier et le générique de fin suffisent à rassurer le spectateur, heureux de ne pas avoir été pris pour un amateur de guimauve.
La Septième Obsession
Au gré des mésaventures de Sophie, l’auteur de "La Belle personne" et "Métamorphoses" brusque son découpage, faisant crisser l’image comme une craie sur un tableau. Un détournement insidieux, insolent, électrique et vivifiant.
Le Journal du Dimanche
Au final, ces joyeux Malheurs sont emportés par Caroline Grant, 5 ans, qui cabotine un peu mais fait preuve d’un sacré caractère. Face à elle, Anaïs Demoustier se montre bienveillante, et Muriel Robin s’impose, formidable, en madame Fichini. Il fallait bien ça pour résister à cet infernal petit diable.
Libération
Christophe Honoré ravive avec poésie le destin de l'héroïne de la comtesse de Ségur.
Paris Match
Près de dix ans après "Les Chansons d'amour", le cinéaste livre sa version pop, insolente et cruelle des "Malheurs deSophie". Avec un casting détonant.
Studio Ciné Live
Le film d'Honoré ressemble à un immense terrain de jeu, où l'expérimentation serait reine.
Sud Ouest
L’adaptation de Christophe Honoré a cette netteté, cette modernité, même si on peut lui faire le reproche d’un maniérisme que le cinéaste assume par ailleurs.
Télé 7 Jours
François Truffaut aurait adoré ces 400 coups de Sophie, chronique de l'enfance d'une liberté folle, aussi joyeuse qu'émouvante.
Télérama
De bout en bout s'exprime l'envie d'entraîner personnages et spectateurs dans une ronde, souvent en musique. Et ça marche : ces "Malheurs de Sophie" ont un air de fête.
La Croix
La poésie émerge au détour de certaines scènes. Dommage peut-être que le film n’utilise que si peu la musique d’Alex Beaupain, très réussie, et l’animation, qui n’ajoute que des touches trop rares pour embarquer dans le monde échevelé de Sophie, loin de la folie des grands.
Le Monde
Ce refus de donner au récit une forme unifiée qui serait la signature d'un auteur au point de vue omniscient revient souvent dans le cinéma d'Honoré. Mais il n'avait jamais assumé ce parti pris avec une telle générosité.
Les Fiches du Cinéma
Christophe Honoré fait une incursion dans le cinéma pour enfants en y prolongeant ses thèmes. La dimension théorique du projet semble, hélas, avoir fait passer au second plan le plaisir du spectateur.
Première
(...) la mayonnaise ne prend pas toujours : la spontanéité se confond souvent avec l’approximation. Reste un vrai geste de cinéma et l’énième résurrection (la bonne, cette fois ?) de Muriel Robin, impériale dans la peau de l’horrible madame Fichini qui a fait cauchemarder des générations entières de petites filles.
VSD
Le résultat ne manque pas d'un second degré très noir et d'une modernité visuelle propres à captiver les "grands" cinéphiles.
Cahiers du Cinéma
Le principal problème de ces Malheurs de Sophie – remix des Petites Filles modèles et des Malheurs de Sophie –, c’est de ne pas savoir à quelle hauteur se placer pour parler de l’enfance aux enfants.
Critikat.com
(...) si fantaisie il y a un peu, elle reste trop ponctuelle et timide, dans des séquences coups de force marquées par l’hybridation.
Franceinfo Culture
La première partie dépareille trop le film pour remporter l’adhésion. Dommage, l’appréciation d’ensemble en pâtit grandement.
Le Dauphiné Libéré
La comtesse de Ségur revue à la mode musicale par Christophe Honoré, comme un souvenir d’enfance revisité de façon assez mièvre. Heureusement, Muriel Robin apporte un peu de piment.
Positif
Malheureusement, le charme ne fait pas long feu.
Le Point
CONTRE : L'ensemble est bancal, comme mal accordé, l'adaptation manque de souffle et d'ambition. Les enfants n'y verront peut-être que du feu – c'est un classique de la littérature, tout de même...
Metro
De fait, les péripéties (pas si) saugrenues de Sophie s’enchaînent sans tension ni lumière, enveloppées dans la partition musicale un brin débilitante d’Alex Beaupain. Et donnent à vivre un spectacle dont le cul est constamment coincé entre deux chaises.