Kurt Cobain: Montage of Heck
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Tchi Tcha
Tchi Tcha

13 abonnés 247 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 17 juillet 2015
Un documentaire bien travaillé pour apprendre toute la complexité de la légende. On regrettera la partie finale des « Last Days » non expliquée.
Charlotte28
Charlotte28

133 abonnés 2 097 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 mai 2018
Brett Morgen dresse, à travers l'évocation du destin de Kurt Cobain, le portrait d'une époque et file la singulière route d'un homme devenu icône. La variété des points de vue rend le documentaire réellement cinématographique puisqu'il alterne entre notes personnelles, témoignages de proches, dessin animé retraçant les pensées du héros et images d'archives afin de laisser le spectateur se forger sa propre image de l'artiste. La dynamique du montage respecte cependant le déroulement chronologique du récit en évitant redites et esthétisme vain. Un long-métrage prenant et réfléchi, sans tomber dans la psychanalyse ou la moralisation, jusqu'à la pudique dernière ligne.
apotheme
apotheme

120 abonnés 2 031 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 1 juin 2015
Un documentaire réserver au fan de nirvâna qui nous montrent des vidéos totalement inédites du défunt leader de nirvâna même si certaines vidéos étaient déjà présente dans d'anciens reportages.
On se lasse pas de revoir Kurt même si j'ai trouvé que certains moments étaient un peu trop intimes pour être dévoilé dans un documentaire.
willyzacc
willyzacc

80 abonnés 1 544 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 8 juillet 2015
Nirvana vu par le prisme de Kurt Cobain, mais ici on part des travaux réalisés par Kurt (dessins, animations, montages sonores sous influence) et le film prend une autre dimension. Plus qu'un documentaire c'est un véritable travail d'orfèvre sur le montage, le son et l'image. Rarement un documentaire n'aura été aussi expérimental dans son approche, et le réalisateur rend parfaitement hommage au groupe. Tout en permettant aux fans et non fans d'en apprendre un peu plus sur le mythe Cobain (et son groupe par la même occasion).
SansCrierArt
SansCrierArt

54 abonnés 421 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 3 septembre 2015
Brett Morgen nous invite à pénétrer dans l'esprit et l'estomac de Kurt Cobain, leader du groupe Nirvana. Le réalisateur a eu accès aux archives personnelles du chanteur. Dessins, correspondances, journal intime, vidéos familiales composent la très grande majorité du film auxquels s'ajoutent des extraits de concerts et les témoignages de Courtney Love, des parents et de la soeur de Cobain. Une richesse et une diversité de documents, parfois gênant parce que très intimes mais qui cassent la possible monotonie d'un récit chronologique et favorise l'immersion dans l'univers malade de Kurt Cobain qui mit fin à ses jours à l'âge de 27 ans.
DavY Croquette
DavY Croquette

54 abonnés 1 228 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 mai 2015
Très bon documentaire sur la vie de mon idole Kurt Cobain, des scènes dans l'intimité, des bous de concert, des interviews, étant un grand fan c'est plutôt difficile d'être objectif.
anonyme
Un visiteur
5,0
Publiée le 11 mai 2015
Brillant de génie ! Cobain l'artiste, Cobain le triste. La bouleversante descente aux enfers d'un génie du rock, frustré par la vie, par sa notoriété, dépassé par son talent. Les écrits, films, dessins de Cobain sont partout, d'une richesse incroyable, d'une tristesse bouleversante.
L'incroyable richesse retrouvée dans ce garde meuble à permis un documentaire très complet, sans parti- pris et permettra de perdurer la légende.
A voir
Blue_Iris
Blue_Iris

2 abonnés 23 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 14 juin 2015
Trop romancé et dans le pathos, surtout la famille.. Absence des groupes avec qui ils ont joué pendant des années et que Cobain admirait (ex. les Melvins...) et sa meilleure amie n'intervient même pas (Kim Gordon), alors qu'elle a certainement été plus proche et plus souvent avec lui que sa famille. C'est bien qu'il y a eu un tri dans les infos! Tri qui profite à qui? En tout cas, le discours de la famille sonne creux et Courtney est "dédiabolisée". Pourtant on n'est pas dans people magasine là, on parle d'un artiste, musicien, c'est l'art qui est important, pas de savoir ce qu'il a eu comme cadeaux au Noël de ses 2 ans.
Je n'ai pas encore lu l'article d'Osborne qui dit que 90% du docu est bidon, mais je pense que je vais être d'accord avec lui! "Il y a un truc sur Cobain que beaucoup de gens ignorent ou oublient : ce mec n'avait pas son pareil pour vous mener en bateau." (article sur le site noisey.vice)
Aussi, étant une grande fan, j'ai eu l'impression de ne rien apprendre. Les seuls trucs inédits sont pour moi c'est sa famille qui pleurnichent sans comprendre grand chose, et des vidéo de quand il était bébé (on s'en fou un peu) et aussi des moments presque gênants, saisit dans une grande intimité avec Courtney (mais souvent une troisième personne filme, alors a quel point c'est spontané et intime?) Bref... Ils ne pouvaient pas plus parler de la musique?! On en apprends plus sur l'univers de Cobain dans le docu Hype Grunge seattle de 1996, que je conseille grandement (sur youtube)
Et pour moi ceux s'en sortent le mieux c'est son ex qui est super cool (Tracy) et Krist Novoselic.
Bon sinon les animations type 3D, la manière d'animer ses carnets et ses dessins, j'ai adoré, c'est d'ailleurs pour cette raison que je mets deux étoiles. (c'est déjà ça, ça m'a permis de découvrir l'artiste Hisko Hulsing) Quand je pense que c'est ça le documentaire officiel sur Cobain..
conrad7893
conrad7893

310 abonnés 1 679 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 8 janvier 2017
j'ai trouvé ce docu sur Kurt COBAIN pas mal fait . La réalisation est assez originale avec des séquences de sa vie familiale, de l'utilisation de ses dessins, de ses notes personnelles, et de nombreux morceaux de musique.
On y voit le petit garçon blondinet, l'ado incompris et fragilisé par la séparation de ses parents , et les débuts de sa carrière qui furent difficiles.

On y voit l'homme torturé, au caractère auto-destructeur dont la célébrité et la paternité n'ont pas réussi à venir à bout de ses démons.

Dommage une vie gâchée

très bon film sur cette icône du rock
MC feely
MC feely

78 abonnés 660 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 3 avril 2019
Très bon documentaire fidèle à la personnalité torturée de Cobain qui n'arrive pas à comprendre le monde qui l'entoure et en permanence révolté contre la société et ses traditions avec une vulnérabilité importante face aux attaques de la critiques.Moi qui ai lu ses écris, j'ai pris rapidement conscience du coté hypersensible de Cobain en perpétuelle réflexion sur le monde et sur lui même qui ne supporte pas les règles et l'autorité comme un éternelle adolescent et en plus de ça en souffrance psychologique et physique avec ses maux d'estomac ce qui est surement liés,et tout ça est parfaitement retranscris avec des vidéos inédites et assez révélatrice de cette déchéance personnelle,est ce le revers de la médaille du au succès qui était bien trop lourd pour les épaules de Cobain?dieu seul le sait maintenant... 4,5/5
Jahro
Jahro

59 abonnés 684 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 1 octobre 2017
La première biographie du légendaire grunge maudit que tolère son entourage. De quoi ravir les fans qui rêvent d’en savoir plus sur ce chantre des distos cradingues, et les mystérieuses circonstances qui entourent sa mort. Qu’ils soient prévenus, ils seront déçus. L’inconnu Brett Morgan évite de trop suivre l’enquête, et c’est bien mieux ainsi. Assez de conjectures graveleuses, de déductions alambiquées. Lui, il préfère illustrer l’existence de ce joyeux bambin devenu symbole maladif des désespérés. D’une interview à l’autre, de la famille, de ses amis, de son bassiste, de l’abhorrée Courtney Love, on vogue entre citations non sourcées, et curieuses animations dont on ne sait trop la part qu’elles doivent à la star ; mais au moins apprend-on qu’il maniait autant la guitare que ses crayons de papier. C’est surtout ça Montage of heck, un assemblage sans grande cohérence de témoignages retravaillés, qui ne défend aucune thèse, ne prend aucun parti, et mise avant tout sur la nostalgie, sur le plaisir de retrouver l’énergie d’un des derniers combos parfaitement hermétiques aux strass et paillettes, ce déferlement scénique de rage créatrice et de violence désabusée. Alors certes, il n’y a rien là d’incontournable, mais bon – revivre le gros son de son enfance, qui s’en priverait ?
Amaury F
Amaury F

27 abonnés 151 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 12 mai 2015
Nirvana est un groupe que j’apprécie plutôt bien, je ne suis pas spécialement un grand fan mais, comme tout le monde, j'aime écouter leurs morceaux incontournables. Je n'attendais donc pas grand-chose de ce docu dédié à Kurt Cobain, leader du groupe, qui s'était donné la mort en 1994. Je me suis juste dis que ce serait l'occasion d'en savoir un peu plus sur sa vie, que je ne connaissais que très vaguement. Et pourtant, à ma plus grande surprise, ce film m'a fait rire, m'a captivé et m'a beaucoup ému. Bien plus qu'un simple documentaire, Montage of Heck est une plongée viscérale et passionnante dans l'esprit de l'icône du grunge, de son adolescence difficile à son autodestruction, en passant bien sûr par ses années Nirvana et sa relation tumultueuse avec Courtney Love. C'est d'ailleurs elle qui confia au réalisateur Brett Morgen l’accès à des archives rares, donnant à découvrir un Kurt Cobain comme on ne l'avait jamais vu. Le film alterne entre des extraits de ses concerts, des témoignages de ses proches (ses parents, le bassiste Krist Novoselic, Courtney Love...), et des home movies parfois presque trop intimes, mais toujours saisissants. On y voit notamment Cobain en père de famille. Dans d'autres séquences tout aussi fascinantes, Brett Morgen donne vie aux dessins, peintures et carnets de notes personnels du chanteur, grâce à un montage habile et follement rythmé. On découvre également de vieilles interviews de l'époque ainsi que plusieurs archives musicales inédites. Enfin, certaines de ses confessions audio sont illustrées par de sublimes petits films d'animation réalisés par Stefan Nadelman et Hisko Hulsing. Saluée comme étant le rockumentaire le plus intime jamais réalisé sur Kurt Cobain, cette œuvre virtuose et innovante dresse un portrait fidèle et sincère d'un artiste mythique à la carrière fulgurante, également mari, père et homme en détresse. Émouvant.
Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

138 abonnés 543 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 18 août 2015
À force de se répéter et de faire perdre à son propre documentaire de l’intensité et de l’intérêt, Brett Morgen ne passionne plus. Et pourtant tout commençait le mieux possible. D’un seul abattage de cartes sur une table déjà bien remplie de notes de musique, de par une seule image, dans l’immédiat, nous nous retrouvons dans la tête de Cobain : rêves, objectifs, passions se retrouvent et se mélangent non pas dans un bouillon indigeste mais dans une pièce aux étagères multiples, là où on peut se retrouver sans problème, dessins animés à la clé. Car oui, Morgen ne fait pas que d’empiler photos d’archives et vidéos explicatives (au départ, tout au moins, cela se dégradera par la suite), il éveille, émoustille de par un seul coup de ce qui serait une baguette magique des ébauches constituées de leurs motifs, galbes et ornements. On se retrouve alors dans un univers particulier, entre recherches d’inspiration et paysages fantaisistes imagés, aussi bien touchants que réellement cruels envers autrui. Cela ne perdure pas durant tout le documentaire, celui-ci durant tout de même presque deux heures trente. Il y a des temps morts, une périodicité peu harmonieuse et donc des scènes en manque précaire de bons tempos, ou ce qu’on pourrait presque appeler du « swing », un attribut qui pourrait redonner de l’énergie à un projet contenant de bonnes idées mais qui ne les pousserait pas jusqu’au bout. Mais ce qui est le plus aberrant avec cette oeuvre, c’est qu’elle tombe dans la surexploitation d’échantillons, c’est-à-dire que tout ce qu’a pu récupérer l’équipe technique pour réaliser ce film est soit mal empilé, soit rajoutée au mauvais moment. Alors, pour parler de ce qui serait comme la période de « vide artistique » de Cobain, Morgen et son équipe font un montage grossier, âpre et écrasant, tellement considérable et tarabiscoté qu’on a juste envie de voir arriver l’annuité. Alors, durant plus d’une bonne dizaine de minutes, on doit « contempler » l’homme, sa femme et leur enfant, les trois la plus grande partie du temps à moitié nus, en train de s’aimer et d’avoir une vie tout à fait… normale et épanouissante. Cela fait plaisir d’observer l’artiste et sa petite famille dans son intimité durant deux minutes, mais passer le quart d’heure et on se demande juste quand cela va se terminer. Et puis on ne va pas se mentir : cela devient très vite gênant. On a comme cette impression d’être une sorte de paparazzo caché derrière son buisson, et qui prendrait non pas des photos, mais une vidéo qui ne se terminerait jamais. Morgen n’a pas coupé assez vite; il a été trop gourmand et a voulu offrir trop de choses à la fois. Il s’est fourvoyé, en quelque sorte. Ce documentaire n’est pas une oeuvre « incontournable », elle est juste sympathique à voir et pas seulement à réserver à ceux qui apprécient le sujet.
anonyme
Un visiteur
4,5
Publiée le 12 novembre 2015
Rebelle désabusé, écorché vif, rock star surcotée, artiste junkie ? Les qualificatifs les plus péjoratifs et réducteurs sont nombreux pour, a priori, présenter Kurt Cobain, chanteur et leader du groupe Nirvana, suicidé en 1994, à l’âge de 27 ans, à l’apogée de sa gloire. Kurt Cobain : Montage of Heck, documentaire construit chronologiquement à partir de vidéos et images d’archives ainsi que de témoignages de l’entourage familial et musical du chanteur, nous aide objectivement à y voir plus clair sur cette destinée funeste hors norme, mais tellement rock, finalement. Les films super 8 de l’enfance du petit blondinet, puis ses nombreux dessins, textes et confidences manuscrites (tous plus ou moins sombres), ainsi que les interviews de sa mère et de Courtney Love (son seul amour et mère de sa fille), attestent du mal-être profond qui le rongeait insidieusement, la came dont il abusait ne faisant qu'accélérer un processus d'auto-destruction inéluctable.
D'une enfance non pas malheureuse mais gâchée par la séparation de ses parents, à l’adolescence incomprise et sans issue jusqu’à la découverte de la musique, de la scène et l’accès soudain à la notoriété que l’on sait (et que l’on penserait salvatrice), chacun de ses moments de vie est jalonné d’un irrépressible dégoût de soi-même, à peine masqué par une gueule d’ange au sourire mélancolique.

Bien que co-produit par sa fille Frances, Montage of Heck est l'antithèse de l’hagiographie, le réalisateur Brett Morgen - qui avait déjà tourné un docu sur les Stones - parvenant brillamment à transmettre toute la tragédie, l'explosivité et une forme de poésie qui définirent Kurt Cobain. Ce sont ces mêmes singularités que l'on retrouve dans la musique de Nirvana, feu plus grand groupe de rock de la fin du siècle passé, dont il est acceptable que le titre phare Smells like teen spirit vienne d'être élu chanson emblématique de l’histoire par une étude britannique quasi scientifique. Encore un grand hommage.
Marc L.
Marc L.

48 abonnés 1 634 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 18 avril 2022
“Montage d’enfer” : Dans ce cas précis, c’est un atout. Là où tant de documentaires, qu’ils soient musicaux ou pas, optent pour un montage sage et réfléchi d’images d’archives souvent vues et revues et d’interviews où chacun y va de sa déclaration d’amour sans retenue, Brett Morgen privilégie une plongée vertigineuse dans l’intimité de Kurt Cobain, l’homme, pas la rockstar. Sur la forme, déjà, le résultat marque puissamment sa différence. On y découvre une masse compacte de bandes vidéo de concerts ou de tournées, certes, et quelques interviews des proches (sa mère, sa soeur, Krist Novoselic, Courtney Love) qui prennent évidemment une résonance particulière compte tenu de la fin tragique de l’artiste mais ce sont surtout les autres documents qui interpellent : annotations personnelles, dessins, ébauches de textes, qui laissent affleurer l’intériorité de Cobain mieux que ne le ferait un long discours et laissent au spectateur la liberté d’imaginer et de ressentir, comme il l’entend, ce qui se passait dans la psyché complexe de l’artiste. Courtney Love et Frances Bean ont simplement filé au documentariste les clés d’un hangar dans lequel étaient entreposés, dans une quinzaine de cartons, tous les papiers personnels et souvenirs restants de Kurt Cobain, à charge pour lui d’en tirer librement quelque chose. Les sections illustratives animées (excellente idée, au demeurant) cèdent peu à peu la place à des vidéos de familles, celles, brisées, dans lesquelles il a grandi, et celle, auto-destructrice, qu’il a fini par former avec sa femme et sa fille. Il ne s’agit pas de vidéos “autorisées”, avec une équipe de tournage qui serait venue filmer dans l’intimité des Cobain mais d’archives privées, banales, ce qui les rend d’autant plus précieuses : une discussion dans la salle de bain, une fête d’anniversaire, une séance de coupage de cheveux,.... Après l’imaginaire et les intentions qu’on peut lui prêter, cette incursion dans la réalité quotidienne du leader de Nirvana est inédite…mais elle peut aussi être dérangeante, en fonction du degré de proximité émotionnelle qu’on a pu entretenir, ado, avec lui, tant on a l’impression de pénétrer dans une intimité, physique et mentale, qui ne nous regarde pas : on y découvre un type ordinaire, un mari, un père, éperdu d’amour pour sa femme et pour sa fille…mais dont on suit, presque en temps réel, la rapide détérioration physique et mentale qui le conduira à sa décision fatale. ‘Montage of heck’ se positionne à l’extrême limite du voyeurisme, mais c’est aussi ce qui le rend aussi fascinant.
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