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FaRem
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2,0
Publiée le 4 janvier 2017
Jon Cassar qui avait réalisé "Forsaken" s'attaque à quelque chose de très différent puisqu'il passe du western à un thriller sulfureux et très sensuel avec une mère porteuse dérangée qui va tout faire pour séduire le mari. Sur ce point, c'est plutôt réussi avec des acteurs convaincants, malgré des personnages lisses, surtout Jaz Sinclair qui s'en sort très bien et incarne parfaitement le personnage le plus intéressant. Je trouve quand même qu'elle aurait pu être plus incisive et dangereuse, ça aurait multiplié les situations et installé un climat plus pesant qui aurait été plus approprié, car là, on dirait qu'on regarde un thriller érotique. De toute façon, je ne vois pas comment le réalisateur aurait pu sauver un scénario si limité et digne d'un vulgaire téléfilm. "When the Bough Breaks" n'est pas forcément un mauvais film, c'est juste un film banal, mal rythmé et sans surprise dont on devine toute l'histoire et le final dès les premiers instants.
Un scénario intéressant, même si on à déjà eu l'occasion de le voir mille fois, cependant les acteurs ne sont pas au niveau et l'ennuie se fait ressentir très vite. De plus on assiste à un film prévisible et bancale et dont la fin achève le tout. Un divertissement vite vu vite oublié.
contrairement à ce qui est noté, ce n'est ni à classer en drame, ni en épouvante horreur..."when the bough breaks" est à classer dans ces films qui démarrent par des séquences de vie idyllique qu'une seule personne va faire basculer dans la folie furieuse : "JF partagerait appartement", "liaison fatale", "la main sur le berceau" etc.... là c'est une mére porteuse qui a les fils qui se touchent. C'est bien mené mais tous les poncifs du genre s'emboitent comme des poupées russes, on sait très vite ou ca va aller et comment ca va se finir. La dingue de service est assez crédible. Téléfilm smpathique. 3.5 / 5
même s'il aurait pu être plus poussé et plus intense, ce scénario est habile et le suspense plutôt maintenu. un brin prévisible et lisse, pour autant ce thriller psychologique (et non horreur/épouvante ou drame comme qualifié par allociné!) se laisse suivre. il ne faut pas s'attendre au grand frisson.
« When the bough breaks » manque totalement d'originalité et il ne risque pas de marquer la mémoire des amateurs de thriller (sauf, peut-être, pour son titre totalement imprononçable). Pour autant, je mentirais si je prétendais m'y être ennuyé. En effet, il faut reconnaître à Jon Cassar une réalisation plutôt riche et intéressante qui le place dans la liste des jeunes cinéastes à suivre avec intérêt. Sa technique est propre et, sur la forme, il n'y a vraiment pas grand chose à signaler. Comme je l'ai déjà laissé entendre, c'est sur le scénario que le bât blesse. On suit l'histoire avec une certaine passivité, tant la finalité de l'intrigue paraît évidente. Pour autant, malgré le manque de surprise et de frissons, l'ensemble est sauvé par l'efficacité du rythme qui parvient à garder l'attention du spectateur envers et contre tout. Il faut dire que les acteurs, et surtout les actrices, manifestement bien dirigés, font preuve d'un agréable professionnalisme qui tend largement à garder le bateau à flot. Du coup on marche (presque) dans la combine de ce (presque) bon film qui se révèle finalement (presque) agréable à suivre. Je vous laisse seul juge, après tout c'est à vous de voir... ou non !
Film qui ne restera pas dans les annales mais qui se laisse néanmoins regarder...Le scénario est basique (et vu un million de fois déjà !!) mais il reste efficace, les acteurs sont convaincants (même si leurs personnages sont clichés à mourir) et la fin est un peu tirée par les cheveux (digne d'un téléfilm de milieu de journée sur TF1) mais au final on se prend au jeu et on passe une bonne soirée même si 1h40 c'est un peu long quand même (1h20 ça aurait largement suffi)
Typiquement le même film et scénario que "Obsessed" avec Beyoncé ou tous les films qui mettent en avant la destruction de la vie parfaite d'un couple par l'intervention d'un élément externe ; souvent une amie, une secrétaire, une mère porteuse (ici) ou n'importe quelle envieuse. Tout est tiré par les cheveux, donc peu crédible. Les acteurs cette fois, sont meilleurs que Obsessed. Mais on s'en lance, c'est prévisible et ça manque de fond, de pertinence. Je déconseille fortement.
« When the Bough Breaks » est un film correct, disposant d’une histoire convenable, mais dont l’intrigue est cruellement familière. L’ambiance fait penser à toute cette série de films du type « La Main sur le Berceau » (1992) où une famille se retrouve rapidement avec un invité qui devient brusquement indésirable et dangereux. La distribution offre de bonnes prestations avec un petit plus pour Jaz Sinclair qui termine le film avec un look de psychopathe. Reste un divertissement correct et agréable sans prise de tête.
-When the bough breaks est un film Netfix réalisé par Jon Cassar. Les acteurs principaux sont Morris Chestnut (John Taylor), Regina Hall (Laura Taylor) ainsi que de Jaz Sinclair (Anna). -C'est l'histoire d'un couple qui n'arrive pas à avoir d'enfants, ils font appel à une mère porteuse. Bientôt la femme portant l'enfant devient une obsédée par le mari. -Le film en lui-même est plutôt réussi, c'est un bon petit film Netflix. Les acteurs sont vraiment tous convaincants. C'est banal certes, mais c'est rythmé. La dénouement m'a assez surpris, mais j'en suis satisfait. J'ai bien aimé poursuivre cette intrigue avec le couple Taylor.
Ce film est tout simplement nul. Prévisible du début à la fin, le scénario est vu, revu et rerevu. La fin est comme tous les films de ce genre c'est à dire grotesque. Si vous avez une heure à perdre allez y
Vraiment mauvais. L'histoire est banal mais il y aura peut-être pu y avoir moyen d'y ajouter un peu de nouveauté. Mais on a le droit à tous clichés du genre.
Le problème pour ma part est le casting de la jeune fille. L'actrice est mauvaise. Son petit ami n'est pas mieux. 2 têtes à claques qui surjouent.
Je ne recommande pas. C'est plus du niveau d'un téléfilm sur M6 que d'un film de cinéma.
Scénario globalement meilleur que la moyenne des films du genre (qui font généralement intervenir une nounou ou une femme de ménage ou une prof à domicile malfaisante), un peu plus recherché que la moyenne, sans pour autant sortir des clous (fin prévisible).
Toutefois, je retrouve toujours les mêmes clichés et messages implicites présents dans tous ces films familiaux conservateurs américains : les gens bien sont des bourgeois, riches, ils sont avocats, chirurgiens ou grands chefs, vivent dans de belles maisons et sont moralement irréprochables, ils sont gentils, généreux, fidèles, etc. au contraire des classes populaires, les pauvres, qui eux sont moralement déficients, ils sont voleurs, manipulateurs, criminels, trompeurs, violents, etc etc.
Le message ici est clair : il s'agit de justifier les inégalités sociales par un ordre moral (on est riche car on est moral, on est pauvre car on est immoral),spoiler: l'illustration est faite par exemple avec le petit ami de la mère porteuse, qui envie la belle maison (provoquant un sentiment d'injustice chez le téléspectateur) avant de nous montrer juste après qu'il est violent avec sa petite amie et est un voleur (il mérite donc sa situation sociale).
Et comme dans tous ces films, les gentils riches ont des problèmes quand ils sont trop généreux avec des gens des classes populaires, qui finissent par leur détruire leur vie, le message est donc qu'il vaut mieux pour les riches éviter tout contact avec la populace.
Le point positif est que la question raciale est dépassée, mais concernant la question sociale ce film reste très conservateur.