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    Nosferatu le vampire
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    4,0
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    Votre avis sur Nosferatu le vampire ?

    242 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 février 2012
    Des plans magistraux, Max Schreck est hallucinant, une œuvre forte emplie de poésie. Et encore une fois, un film se regarde en le resituant un minimum dans le contexte de son époque. Un chef d’œuvre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 janvier 2012
    Voici donc le légendaire Nosferatu, film muet des années 20, le premier à mettre en scène à l'écran l'histoire du roman Dracula de Bram Stoker, et c'est franchement réussi dans mon oppinion. Tout d'abord, j'ai été séduit par l'ambiance, assez sombre, voire un peu mystérieuse, elle est en tout cas bien mise en avant grâce à une musique plutôt bonne et surtout grâce aux superbes jeux d'ombre et de lumière habilement utilisés par Murnau. Un autre aspect intéressant du film est l'image du Comte Dracula, ici appelé Orloff, par manque des droits d'auteur. Le fameux vampire est ici présenté comme une espèce d'ombre, un fantôme en quelque sorte, et non pas un être de chair et de sang. Avec cela, il perd également le côté plus séducteur qu'il possède dans de nombreuses autres adaptations cinématographiques. Pour en faire donc ce personnage "ténébreux", Murnau a très bien choisi le comédien Max Schreck, qui campe le vampire de manière vraiment convaincate, aidé, il faut le dire, par son physique qui est parfait pour un tel personnage. Finalement, j'évoquerai encore quelques plans, que j'ai trouvés non seulement beaux ésthetiquement, mais également intéressants de par leur sens. Comme exemple, je pourrais citer le plan ou ils observent des parasites sous un microscope. Pour le reste, je dirai donc que Nosferatu est un bon et beau film, à découvrir sans aucun doute. On peut dire que l'histoire avance parfois un peu trop vite, mais c'est tout à fait pardonnable quant on considère l'oeuvre en son tout, qui reste quand même bien plus que sympathique. Pour être bref, Nosferatu est un morceau de l'histoire du cinéma, à voir.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 janvier 2012
    Un peu lent je trouve, peut être que le scénario est un peu trop simple. Par contre réalisation très bonne pour l'époque je pense. Bonne interprétation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 13 janvier 2012
    Ce film expressionniste est tout simplement parfait pour un muet. Le dialogue est secondaire, seules les images montrant le terrifiant Nosferatu et les autres personnages appeurés devant le vampire assoiffé de sang. Qui peut oublier Max Scherck les bras levés devant la fenêtre de son château...
    matt240490
    matt240490

    83 abonnés 1 062 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 mai 2016
    De l'illustre Friedrich Wilhelm Murnau, et souvent considéré comme le premier métrage relatant des suceurs de sang, Nosferatu le vampire est, à bien des égards, un classique du genre. En effet, mêlant musique glaçante et plans de caméra tremblotants, le muet sorti en 1922 fait dans la dentelle. Car, en y regardant de plus près, le film reste largement en avance sur son temps, en partie pour ses scènes, cultes pour la plupart (on pensera à l'ombre du monstre dans les escaliers ou à son réveil menaçant). Toutefois, ayant quelque peu mal vieilli, l'effet désiré se transforme en un ennui relatif chez ses spectateurs.
    Yohan Marques
    Yohan Marques

    23 abonnés 64 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 décembre 2011
    Même si je n'en suis pas un fan transi et que je lui préfère -de trés loin- "Le cabinet du dr Caligari", force est de reconnaître que "Nosferatu" constitue à plus d'un titre le film le plus enblematique du mouvement expressionniste, de par ...les contrastes permanents entre la lumière et l'obscurité, mais aussi par sa radicalité qui l'installe comme une oeuvre hors-normes, un OVNI dans le paysage cinématographique de l'époque : accélération de l'image, négatif saturé, surimpressions et autres techniques d'avant-garde qui permettent à Murnau de graver sur pellicule quelques-unes des images les plus persistantes et les plus obsédantes de l'histoire du cinéma. Si l'on rajoute à cela la sale gueule de Max Schreck dans le rôle-titre, on comprend donc sans peine le statut quasi-mythique d'une oeuvre-repère dont l'aura se trouve perpétuée depuis plusieurs décennies par la culture alternative dans son ensemble, du théatre experimental au "Black métal" en passant par la danse contemporaine.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 4 novembre 2011
    Il y a de belles images et Max Schreck est fascinant, mais sinon c'est plutot long et chiant. Je préfère la version Herzog.
    schemaman
    schemaman

    17 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 31 octobre 2011
    Plutôt déçu et endormi pendant le film... Il y cependant nombre de plans sublimes faits de portraits à couper le souffle. Je suis enfin déçu d'apprendre que Murnau n'a pas voulu payer les droits d'auteurs : ce qui n'est pas très valorisant pour lui-même. Il fallait qu'il invente son propre personnage s'il n'avait pas les moyens d'utiliser celui inventé par Bram Stoker.
    Buzz063
    Buzz063

    75 abonnés 919 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 18 septembre 2011
    Adaptation libre de Stoker.
    Murnau utilise nombres d'effets visuels alors originaux (accéléré, pellicule colorée, éclairage) pour renforcer l'ambiance assez morbide et dérangeante du film. L'histoire s'accorde très bien avec l'esthètique expressionniste qui domine le cinéma allemand de l'époque, Murnau et son inoubliable acteur laissent nombre d'images inoubliables tout au long du métrage.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 9 septembre 2011
    Vraiment pas très bon, je ne vois pas trop pourquoi on me l'a tant vanté.
    Pour un film de 1922, je le trouve beaucoup trop théâtral, et surtout très confus... Je pense que beaucoup est dû à son manque de fonds. Enfin, j'ait tout de même apprécié 1. le rôle de la femme et 2. le costume du vampire.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juillet 2011
    Film célèbre comme étant le 1er film d’horreur et considéré comme un chef d’œuvre en tant que film muet, il ne m’a pas déçu. On assiste à la première adaptation du roman « Dracula » de Bram Stoker, où le vampire est décrit comme un être hideux, malfaisant apportant la mort et la désolation sur son passage. L’histoire est bien conté avec en guise d’introduction ces mots poétique qui donne le ton : « Il est des mots lugubres comme l’appel d’un oiseau de la mort. Garde-toi de les dires ou ta vie sera peuplée d’ombres et les fantômes qui hanteront tes rêves, se nourriront de ton sang ». Le film possède une ambiance sombre et morbide, très bien retranscrit dans l’image et la musique, certaines scènes restent terrifiante, chose qui m’as vraiment impressionné surtout pour un film qui date de 1922. Par contre le film souffre de quelque longueurs où il faut se forcer pour poursuivre le visionnage. La musique offre une certaine tension, une angoisse et un sentiment de malaise. Film expressionniste, les acteurs surjouent bien entendu, Max Shreck est formidable dans son rôle incarnant un vampire frêle, cadavérique, aux doigts crochus et dents pointus, inspirant la terreur. Bref, un film inscrit dans l’histoire du cinéma qui a popularisé le mythe du vampire dans le 7ème art.
    ZOGAROK
    ZOGAROK

    14 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2011
    3sur5 Considéré comme l'un des films inauguraux du cinéma d'horreur, Nosferatu est l'emblème absolu, avec le Métropolis de Fritz Lang, du cinéma expressionniste allemand des 20's. Il s'agit de la oremière adaptation (détournée) du Dracula de Bram Stoker, quoique non-officielle et interdite en son temps dans de nombreux pays pour des raisons juridiques. A l'inverse des Dracula''officiels'' et postérieurs, nobles gentlemans raffinés (Bela Lugosi en tête), Nosferatu y est hideux, contre-nature par son allure et cadavérique et s'il fascine comme eux, les émotions qu'il suscite sont presque exclusivement axées autour du dégoût, de la frayeur, bref de la répulsion d'une façon ou d'une autre.
     
    Il est souvent accordé au film certaines visions avant-gardistes ou polémiques : pour certains, le personnage de Nosferatu serait antisémite (il en serait le parangon de la caricature physionomique), pour d'autres, plus nombreux, il préfigurerait intentionnellement l'émergence du nazisme (on peut juger cette idéalisation de film prophétique assez baroque et romantique, donc aucunement valide en réalité). Dans les deux cas, Nosferatu incarne ''la peste'', c'est le monstre qui vient troubler l'ordre et la paix. C'est le protagoniste par qui la crise (doit-elle alors être métaphorique et donc politique ?) arrive ; il est le Ça qui une fois démasqué, poursuit ceux qui l'ont côtoyé, amène le chaos et sème lamort. Il vampirise sinon le système, au moins la civilisation.
     
    L'interprétation psychanalytique, tout aussi prégnante et bien moins sujette à controverse, rejoint l'interprétation politique sur ce point. Le film mettrait en scène les trois pôles de l'Etre selon les topiques freudiens, c'est-à-dire le Moi, le Surmoi & bien sûr surtout le Ça. Hutter, clerc de notaire s'invitant chez Nosferatu, serait alors le Surmoi ; s'il se laisse aller à son enthousiasme, il est en quête d'expériences et de connaissances et se montre rationnel et logique. Son épouse Ellen serait le Moi ; elle cultive son image, comme toute jeune fille sociable et qui se respecte ; elle est simple et ancrée dans le réel. Enfin, Nosferatu est le Ca, la part cachée, monstrueuse et déshinibée de l'Homme. Coupé de la Civilisation, il est une somme de pulsions ; il est l'Eros & Thanatos réunis, contenant et distribuant sa pulsion de mort, mais aussi la pulsion sexuelle, donc de vie (le vampire demeure une métaphore du désir charnel).
     
    Lorsque le Ca approche, le ''Moi'' tombe malade, est en proie à de violentes émotions et à la peur (d'autant plus qu'il n'est plus sous l'égide du Surmoi). Perdant leurs repères au contact du Ca, le Moi et le Surmoi sont tous les deux entraînés vers leurs ressources primaires (voir leur animalité), recroquevillés sur leurs instincts défensifs. Le Moi est cependant attiré par la démence, tandis que le Surmoi y résiste. Si on suit cette méthodologie, Hutter/le Surmoi opérerait ainsi une plongée dans son inconscient avec sa visite dans l'antre de Nosferatu ; en authentique Surmoi, il rejetterait et nierait alors les forces obscures aperçues. Ellen/le Moi est alors le carrefour de ces deux entités.
     
    Près d'un siècle plus tard, Nosferatu berce toujours par son atmosphère anxiogène, mais découvrir ce Graal aujourd'hui mettra un terme à certains fantasmes. Expressionniste et métaphorique certes, le ''chef-d'oeuvre'' laisse peu de place à la terreur pure ou aux abstractions graphiques ; Nosferatu lui-même est la seule attraction un tant soit peu excessive et étrange (son aspect gothique marquera Burton qui citera l'oeuvre de Murnau à plusieurs reprises dans sa filmographie). L'ensemble du film est quand à lui très fidèle aux émotions du réel le plus pur et bénin ; on voit somme toute assez peu Nosferatu, le récit se concentrant davantage autour de doutes et spéculations assez redondantes à son propos. Nosferatu reste attractif par la beauté picturale des séquences-clés (la traversée du pont) et des apparitions de son héros éponyme dont la plupart, d'une grandiloquence monumentale, constituent des visions mémorables, d'ailleurs devenues d'authentiques vignettes kitschs.
     
    Aujourd'hui tombé dans le domaine public, le film est accessible de des formats différents : il existe divers accompagnements musicaux, du jazz au rock agressif, et toutes les éditions ne proposent pas la gamme de couleurs (via trois filtres, jaune, bleu et rose, employés de façon très symbolique) que Murnau intégra à son oeuvre, affichant un Nosferatu simplement en noir et blanc. On ne saurait trop recommander d'éviter une telle version, puisqu'elle amoindrirait la force de ce classique parfois fascinant mais quelque peu émoussé.



    http://videodrome.over-blog.net/
    AlexTorrance
    AlexTorrance

    30 abonnés 486 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2011
    Il faut reconnaître que, autant de choses qu'il a pu révolutionner, ce film a quand même bien vieilli. Certains plans sont très beaux, d'autres beaucoup moins (dû au très faible budget du réalisateur). Alors même si c'est culte, même si ça peut être beau, c'est pourtant largement possible de s'ennuyer.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 avril 2011
    Film mythique, en tant qu'il appartient à l'imaginaire collectif, de Murnau (oui, Friedrich-Wilhelm), de 1922, muet donc, mais à juste titre sous-titré "Symphonie de la terreur", tant ce film doit être vécu comme une oeuvre d'art total (on voit résonner ici Wagner, et même plus proprement le Bauhaus avec toutes leurs tentatives pour réunir les formes d'art). Musique d'abord : parce que malgré le découpage en chapitres, et plus précisément en actes (manière de romaniser ou de théâtraliser le film, dont Lars von Trier notamment, aujourd'hui, use encore avec goût), la continuité du film est assurée par une sorte de fond inquiétant, angoissant, sorte de maelstrom infernal qui lie dissonances et cris instrumentaux en tout genre, pendant une heure et demi - ce qui ne signifie pas que ce fond un peu indifférencié au niveau des mélodies et des airs ne subisse aucune variation qualitative : il y a des montées et des descentes, mais en terme de suspense, de tension, et non en terme d'harmonisation, comme si rien ne comptait dans cette longue musique étrange que l'intensité, et absolument pas l'intelligibilité. En tous les cas, ce n'est pas difficile d'entendre des frottements wagnériens dans toute cette partie sonore, continue, imperturbablement dérangeante - mais cette musique est aussi ce qui fait l'unité de l'oeuvre, ce qui la clôt et l'achève.
    Littérature ensuite : l'écriture est bien évidemment très présente dans le film - ne serait-ce que pour cause d'absence d'oralité, loul - et se révèle de plusieurs façons. D'abord sous la forme d'un compte-rendu général de toute l'histoire, qui fait donc vivre le film dans une forme de grand renvoi en flash-back, même si les événements racontés suivent une chronologie toute linéaire (autrement dit, l'image naît entre les mots, dès le tout début du film : elle naît par les mots de ce compte-rendu, qui situe l'action en 1838, à Wisborg). Mais ce compte-rendu n'est pas une simple archive, un vieux document administratif avec son langage austère : ce compte-rendu est entièrement littéraire, vécu à la première personne - les textes sont très soignés tout au long du film ; par exemple les premiers du film : "il est des mots lugubres comme l'appel d'un oiseau de la mort". Bref, je n'insiste pas, mais il y a toute une poésie de l'horreur qui s'écrit dans Nosferatu, des mots que l'on a tenté de marquer par la peur, et par la mort. Bref, première occurrence de l'écrit qui signe la trame narrative (une sorte de voix-off écrite) du film. Seconde occurrence de l'écrit, évidemment, constituée par les dialogues, puisqu'il s'agit d'un film muet, décalés donc, postérieurs à leur énonciation réelle, comme dans tous les films du genre. Troisième occurrence de l'écriture : il s'agit de la lecture des lettres que les deux amants héros du film (gentils) s'envoient, ET de la lecture par les deux mêmes personnages d'un livre ésotérique, racontant la légende et en même temps la vérité de Nosferatu. Bref, l'image est continument traversée de notes, mais aussi de mots, qui interviennent davantage pour couper ce fond musical, l'ébréchant de multiples discontinuités. Si la musique forme l'unité totalisante de Nosferatu, les mots en sont les multiples fêlures internes.
    L'image enfin, avec la présence manifeste d'intuitions expressionnistes, à comprendre, non pas comme la reproduction fidèle de la réalité à travers le filtre subjectif du peintre (impressionnisme) mais comme la surimposition de l'auteur à la réalité, sa transfiguration, ayant pour finalité non la fidélité filtrée et sereine de la nature, mais l'intensité expressive, la violence des éléments, l'inquiétude des paysages et des hommes. Dans Nosferatu, il y ainsi une sorte de mélange étonnant entre les paysages sombres, mais filmés tels quels pour montrer à la fois leur beauté et leur caractère inquiétant, et le sujet humain écrasé, terrifié. On pourrait faire une équation simple : sur le plan pictural, Nosferatu = Friedrich Munch. Une sorte de Cri (ce sont aussi les dissonances musicales) permanent qui vient accompagner la toute-puissance effrayante de la nature. A part ça, Murnau s'amuse un peu avec les couleurs, avec des filtres bleu-nuit et jaune-jour qui font leur effet, je trouve, quelques effets visuels, pour rendre plus fantomatique Nosferatu par exemple, ou plus inhumain comme dans la scène finale, hypra-connue, où Murnau ne filme que l'ombre gigantesque de Nosferatu sur le mur qui mène à Ellen. Bon si on ajoute à ça un vrai travail de lumière, de clair-obscur, d'ombres en tous genres, on a quand même un travail de ouf pour l'époque. Dernière petite chose sur le statut même de Nosferatu, mort-vivant qui exprime à lui seul cet art total, totalisant l'image morte, picturale, scripturale, ET vivante, en mouvement, criée, musicale, cinématographique.

    La critique complète sur le Tching's Ciné bien sûr (note finale : 16/20):
    http://tchingscine.over-blog.com/
    Lilibreizh
    Lilibreizh

    12 abonnés 209 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 avril 2011
    D'habitude, j'apprécie beaucoup le cinéma allemand. Mais là, malheureusement, je dois avouer qu'à aucun moment, malgré le thème, ce film n'est parvenu à me captiver, j'ai même dû arrêter le DVD bien avant la fin tellement je trouvais ça intenable. La musique, omniprésente et très bruyante, ainsi que les gesticulations interminables des personnages en sont certainement les causes principales. Mais bon, je mets une étoile puisque j'admets totalement que ce film puisse être, sur certains aspects, intéressant à découvrir, en particulier pour des étudiants en cinéma et des germanistes.
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