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    Mistress America
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    Critik D
    Critik D

    145 abonnés 1 103 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 janvier 2016
    Une nouvelle fable new-yorkaise qui nous est conté ici par Noah Baumbach. Il nous raconte ici deux histoires différentes : tout d'abord celle de deux future membre d'une même famille qui se rencontre et qui malgré différence vont finir par s'apprécier et même à tisser des liens. Et la seconde histoire est celle d'une jeune trentenaire, toujours dans la mouvance de la ville qui ne dort jamais, positive, pétillante et pleine de vie qui a cependant encore du mal à savoir qui elle est. Je me rends compte qu'il est difficile d'écrire un avis précis sur ce film, puisque dans un premier temps j'aurais applaudis l'histoire mais accabler les longueurs, quelque manque dans le scénario et que l'on sent une absence sans pouvoir la définir. J'aurais cependant positiver avec le jeu des deux actrices principales, Greta Gerwig est éblouissante et maîtrise son personnage tout comme Lola Kirke qui malgré son visage quelque peu fermé arrive à nous faire passer beaucoup de chose par un simple regard. J'aurais dit toute ses choses en écrivant davantage et en mettant plus de formes, mais en écrivant cette critiquant, en analysant mes dires, je me rend finalement compte que pour bien comprendre le film et avoir un avis arrêté il faudrait le visionner une seconde fois. Maintenant que l'on connait la chute, il faudrait analyser tout le film pour comprendre chaque partie qui se joue, les retombées de chaque phrases, gestes ou actes. Comprendre comment on peut prévoir la nouvelle chute de Brooke, pourquoi tout est toujours mis en échec, mais également pourquoi Tracy n'arrive pas à créer du lien.... J'espère avoir l'occasion de le revoir pour tirer tout cela au clair.... ou pas. Dans tous les cas, si vous aimez les histoires existentielles se déroulant à New York vous pourriez y trouver votre bonheur, pour les autres sa ne sera qu'un énième film sur la question, devant le quel on souffre par moment d'ennui et de longueur alors que le film est assez court.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Les frères Coen ne sont pas les seuls à aimer les losers au point d'en faire des héros magnifiques. Brooke a trente ans, elle est jolie, populaire, pleine d'idées... Brooke a tout mais finalement elle n'a rien. On suit Brooke à travers les yeux de la jeune Tracy, adorable étudiante qui arrive à New York et s'attache à Brooke. Personne d'autre que l'extraordinaire Greta Gerwig n'aurait pu aussi bien incarner le personnage de Brooke. Le tandem fonctionne à merveille et on espère bien revoir Lola Kirke, qui interprète Tracy, dans d'autres longs métrages. Si le film est touchant, c'est sans doute surtout grâce à son scénario, mais plus encore grâce à ses dialogues. "Mistress America" est très bien écrit, certaines répliques sont brillantes et traduisent à merveille le désenchantement que connaissent bien des trentenaires. Et qu'importe que l'histoire se passe chez la jeunesse branchée de New York puisque Noah Baumbach et Greta Gerwig (qui coécrit le film) ont su lui donner un relief universel.
    Christoblog
    Christoblog

    756 abonnés 1 623 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 12 janvier 2016
    Aller voir le nouveau Noah Baumbach devient une sorte de réflexe : c'est comme aller voir le nouveau Woody Allen.

    D'ailleurs on pense souvent au deuxième quand on voit Mistress America : Manhattan comme le parangon de coolitude, l'excitation des rues, le débit de Greta Gerwig qui surjoue comme Woody seul peut le faire, la percussion de certains dialogues frappants, l'aspect choral doucement déjanté de la communauté bobo.

    Ce qu'il y a d'étonnant dans cette affaire, c'est de comparer deux réalisateurs dont l'un pourrait être le grand-père de l'autre (Baumbach : 49 ans / Allen : 80 ans). Le petit jeune a tout à prouver dans l'affaire : il n'a produit ni son September, ni sa Rose pourpre du Caire, ni son Manhattan.

    Les films de Baumbach s'enchaînent ainsi sur le même tempo : le suivant ressemble au précédent en plus coloré (Frances Ha était tourné en noir et blanc) ou en moins Greta Gerwig (seul While we're young ne comprend pas cette actrice au générique). Ce sont de bien subtiles variations pour un propos qui reste toujours un peu le même : la vie est compliquée au coeur de New-York, quand il s'agit de choisir entre une soirée fancy et une tentative de devenir artiste.

    Dans cet opus, plutôt meilleur que les précédents, on pourra apprécier la scène de la villa de Mamie-Claire et de Dylan, réglée comme du papier à musique et fertile en rebondissements comme autant de potlachs à retardement.

    Bref, compliqué.
    btravis1
    btravis1

    100 abonnés 529 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Retour non gagnant pour le duo Greta-Noah, leur nouveau film ne confirme pas vraiment l'essai de Frances Ha, leur précédent film commun. Ce n'est pas vraiment drôle, on finit même par se lasser à certains moments. Le début est pourtant prometteur, le casting agréable, mais à partir de la rencontre entre Tracy et Brooke, cela devient moins intéressant, le personnage de Tracy prend alors le dessus sur celui de Brooke qui monopolise pourtant l'écran mais devient vite une caricature. Les seconds rôles apportent alors une touche humoristique qui donne un second souffle au film; mais on reste sur sa faim, comme pour "While we're young" (le précédent film de Noah Baumbach) qui partait d'une bonne idée mais avait du mal à enchaîner ensuite.
    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 janvier 2016
    Une nouvelle déception de la part de Noah Baumbach après l'insipide While we're young. Le film n'atteint jamais la puissance scénaristique et comique de Frances Ha, l'histoire étant les 3/4 du film sans grand intérêt, ressemblant à un teen movie raté, seules les 20 dernières minutes relèvent un peu le niveau du film, traçant un portrait touchant de la fantasque Brooke. Toutefois, le film vaut le détour pour ses deux actrices principales, Gretat Gerwig qui arrive à apporter drôlerie et sensibilité à son personnage, et Lola Kirke, de quasi tous les plans.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 10 janvier 2016
    Toujours se méfier des affiches qui vantent les qualités "drôlistiques" d'un film "Greta Gerwig n'a jamais été aussi drôle" "impossible de ne pas tomber amoureux de Mistress America" et bien pour ma part je suis très loin d'être tombé amoureux de Mistress America, petite comédie banale, souvent affligeante, malgré des dialogues, qui parfois sonnent bien, mais n'est pas Woody Allen qui veut et on s'ennuie ferme. Pas mal de blablas, tout le monde parle en même temps, la bande son en VF est nulle (je préconise pour ceux qui souhaiteraient quand même se lancer, de le voir en VO), des acteurs souvent à côté de la plaque, seule Lola Kirke sort un peu du lot. Heureusement que ça dure moins de 90' mais elles m'ont parues bien longues...
    Jonathan M
    Jonathan M

    116 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2016
    1h24 de vie trépidante d'une Greta Gerwig farouchement excitée. Excitée un peu par tout et rien à la fois, le film se nourri de micro-gags pas tous efficaces. Comme son double Noah Baumbach derrière la caméra, il a des inspirations fulgurantes de mise en scène mais ne les pousse pas à l'extrême. L'exemple de la scène où ils sont 5 en même temps à lire la nouvelle de Tracy, géniale ! Mais à trop vouloir faire court, cela manque un brin de relief. On cherche à respirer. La seconde partie est la plus réussite selon moi.
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    99 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 10 janvier 2016
    On retrouve, comme dans While we’re young, les caractéristiques d’un personnage qui rêve de garder une jeunesse qui s’éloigne peu à peu et refuse de regarder la réalité en face. Si les dialogues font souvent mouche, le film manque pourtant de rythme et Noah Baumbach ne parvient pas à retrouver l’allant de Frances Ha (...). On fait confiance au cinéaste pour redresser la barre dès son prochain long-métrage.

    LA SUITE :
    Anne M.
    Anne M.

    64 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 janvier 2016
    J’aime beaucoup Noah Baumbach, Greta Erwig, et parfois je me plais à aller contre l’avis général, ceci dit, si le film est agréable à regarder et les acteurs bien sympathiques, je dirais que ça ne fait pas mouche, que la mayonnaise ne prend pas , que le soufflé retombe vite.

    Je n’ai pas trop compris les enjeux du film.

    Ce sont des choses qui arrivent, en souhaitant davantage de succès au prochain film !
    traversay1
    traversay1

    3 179 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    Il n'est pas si étonnant de ressentir un brin de frustration devant les films de Noah Baumbach tant ses personnages sont vulnérables, souvent voués à la procrastination et pour tout dire incertains dans ce qu'ils veulent faire de leur vie malgré les apparences et leur volonté. Le premier mérite de Mistress America est de ne pas se prendre au sérieux et de verser aimablement dans la fantaisie voire dans la loufoquerie dans sa dernière partie. Pour prendre du plaisir au film, il faut aimer les dialogues ping-pong tellement rapides que les questions ne trouvent pas toujours les réponses et que les répliques en arrivent à se chevaucher. Les références littéraires abondent dans ce petit monde new yorkais à première vue superficiel et égocentrique. Certes, mais il y a des thèmes plus profonds qui se cachent sous le babillage et l'excentricité : le mal de vivre, le passage à l'âge adulte, la dépendance affective, la solitude, le vampirisme intellectuel, etc. La relation entre les deux héroïnes n'est pas si conventionnelle et son évolution, son renversement dans le rapport dominante/dominée est écrite au cordeau derrière une façade farfelue et extravagante. L'interprétation de Greta Gerwig et Lola Kirke est brillante et les sous-intrigues, faussement inutiles, réjouissantes et facétieuses. Ne pas citer Woody Allen comme référence première parait évidemment impossible mais Baumbach s'en démarque par une acidité plus prononcée et un montage beaucoup plus serré. Quant à l'atmosphère de New York, elle donne à Mistress America sa patine et un charme supplémentaire. La vraie frustration du film, finalement, c'est sa brièveté.
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    63 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 janvier 2016
    MISTRESS AMERICA, deuxième film de Noah Baumbach sorti cette année, après "While we're young". Séduite par "Frances Ha" en 2012, déjà incarnée par la pétillante Greta Gerwig à l'abattage et au charme incontestables, je suis allée découvrir l'histoire de Tracy (Lola Kirke, une révélation), jeune femme de 18 ans, venant faire ses études à New York. Souffrant de solitude, déçue par la ville et le campus, elle prend contact avec Brooke, la fille du futur mari de sa mère, New-Yorkaise pur jus, extravagante et hyper bavarde. Un peu trop pour moi d'ailleurs. La comédie "sentimentalo-socialo-new-yorkaise" est presque un genre en soi. Woody Allen, une fois de plus, n'est pas très loin, son ombre plane un peu systématiquement sur tous les films avec la Grosse Pomme en toile de fond. Malheureusement les déboires des deux demoiselles n'ont ni l'intérêt ni le sel des comédies de Woody ! C'est marrant parfois, mais cette logorrhée fatigue un peu à la longue… et rien ne m'a vraiment captivée dans les interrogations qui agitent leur cerveau. La seule chose qui me plaise inconditionnellement, c'est NYC, son ambiance, ses restos, ses lumières, ses rues, sa skyline et (presque) tous les films qui la célèbrent me donnent envie d'y vivre.
    Yves G.
    Yves G.

    1 329 abonnés 3 326 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 11 janvier 2016
    Pendant la première demi-heure du film, un doute m’a envahi. M’étais-je trompé de salle ? Avais-je pris ma mauvaise paire de lunettes pour ne pas reconnaître Greta Gerwig ?
    Qui d’elle ou de Tracy (Lola Kirke), jeune étudiante fraîchement arrivée à New York et désespérant d’y mener enfin la vie urbaine trépidante dont elle avait rêvé, est la « Mistress America » du titre ?
    Le mystère s’est dissipé au tiers du film lorsque Brooke (Greta Gerwig), New Yorkaise caricaturale, au débit de mitraillette, entre enfin en scène.

    « Mistress America » est un mauvais titre et une très bonne affiche. Que voit-on sur l’affiche ? Non pas une mais deux actrices. Le titre nous dit que le film tournera autour d’un caractère. L’affiche le contredit.
    Et le film aussi qui ne lâche pas Tracy et qui ne nous montre Brooke qu’à travers son regard, tour à tour fasciné et séduit.

    Vous me direz que le procédé n’est pas nouveau, que « Le choix de Sophie » ou « Moby Dick » avait en vérité pour héros Stingo et Achab. Mais bon. Même si Noah Baumbach est un réalisateur plein de promesses, que j’ai beaucoup aimé « Frances Ha » (avec Greta Gerwig) et « While we’re young (sans Greta G.), il est encore un peu tôt pour le comparer à Styron ou à Melville.

    Vous me concéderez alors ce point, pour rajouter aussitôt qu’il n’y a pas de quoi en faire tout un plat.
    Et vous aurez raison.
    Parce qu’une fois qu’on a compris que « Mistress America » ne parlait pas d’une New Yorkaise hystérique et superficielle mais d’une jeune étudiante en mal de modèle, on repart sur de bons rails.
    Sauf que ces rails sur lesquels on chemine durant le deuxième tiers du film ne mènent pas à grand’chose. Son troisième tiers se termine en effet par un huis clos vaudevillesque, dans une villa futuriste, sur une colline du Connecticut. Nourri à l’énergie de New York, le film de Noah Baumbach s’en prive suicidairement. Victime d’une panne sèche, il s’éteint après quelques hoquets embarrassants.
    dominique P.
    dominique P.

    794 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    C'est une comédie new-yorkaise de plus qui s'avère pas mal dans l'ensemble.
    C'est amusant, divertissant mais c'est relativement banal aussi.
    Bref un petit film sympa mais pas indispensable.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    234 abonnés 1 602 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    Après Greenberg et Frances Ha, Noah Baumbach retrouve Greta Gerwig au cinéma pour une collaboration double, côté scénario et côté interprétation. La personnalité de la jeune femme irrigue tout le film, d'abord à travers le personnage de Brooke, fantasque et débordant d'une énergie maladroite, ensuite à travers la réalisation qui épouse le rythme de vie effervescent de ce personnage. Le résultat oscille entre comédie fofolle, à la façon des comédies US des années 1930-1940, inspiration hyper-woody-allenienne, d'une intarissable bavardise névrotique et absurde, et tableau sociologique qui croque des trentenaires new-yorkais branchouilles et fragiles. Comme toujours dans le cinéma de Noah Baumbach, le regard est intelligent, tout empreint d'une lucidité drôle, piquante, et d'une tendresse amère, un peu désenchantée. Les thématiques récurrentes sont là : moulages et décalages sociaux, tentation du jeunisme, fascination et trahison... C'est bien vu, bien écrit, bien mis en scène et bien joué. Mais ce n'est pas sans écueils, le premier étant un trop-plein de mots qui fusent tous azimuts, répliques-mitraillettes qui amusent souvent mais ont aussi un effet soûlant, le second étant l'aspect artificiel d'une surécriture, notamment lors de la séquence vaudevillesque dans la maison du Connecticut, qui rompt avec le réalisme social mis en place. Malgré ses excès et dérives, le film demeure assez plaisant. Pas aussi charmant que Frances Ha, mais intéressant comme morceau du puzzle générationnel que construit le cinéaste au fil des années.
    selenie
    selenie

    5 577 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 janvier 2016
    Le réalisateur-scénariste retrouve sa muse et sa co-scénariste Greta Gerwig. Si Greta Gerwig reste dans un personnage très proche de "Frances Ha" elle est cette fois moins paumée, plus mature tandis que le personnage de la petite soeur permet une sorte de passage de témoin. Noah Baumbach s'inscrit dans la mouvance de Woody Allen avec l'ébullition verbale et citadine, les décors cinégénique de New-York mais avec un humour moins psycho-centré et moins corrosif. Brooke est un ersatz de Bridget Jones, plus tête à claque et moins marrante.
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