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ned123
161 abonnés
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4,0
Publiée le 1 février 2016
J'ai vu un film... qui m'a beaucoup touché tellement à différents moments de l'histoire, il parle de moi, et de mes amis... Les 2 comédiennes qui forment un duo de charme sont touchante de sincérité... Les dialogues sont particulièrement savoureux et les situations touchantes. La mise en scène et les scènes qui se succèdent mettent en valeur le jeu et les échanges de fond entre les différents personnages. Cette comédie douce-amère au rythme survolté nous emmène dans une direction pleine de conscience et d'humanité. C'est un film à voir et une oeuvre de Baumbach nécessaire pour avancer !
Après Frances Ha, le réalisateur Noah Baumbach fait de nouveau appel à Greta Gerwig et mieux que ça il l'a même invité à écrire le scénario à deux mains (bon le fait qu'ils soient en couple doit aussi jouer). La pétillante actrice s’est ainsi offert un rôle où elle peut ainsi laisser libre court à sa douce folie et on se laisse volontiers entrainer dans son sillon. On appréciera également le reste du casting à commencer par Lola Kirke ou encore Nicolette, la jalouse compulsive interprété par Jasmine Cephas Jones. Mistress America offre ainsi une parenthèse pleine de jovialité, ce qui ne se refuse pas !
Une comédie qui se perd un peu mais dont le charme comble les quelques lacunes. Le casting est étincelant, Greta Gerwig surtout. Son personnage de peste est le plus attachant de la distribution, elle est à mes yeux la plus grande satisfaction de ce film. La simplicité qui se dégage du scénario fait plaisir à voir, un long métrage qui fait du bien tout en sobriété.
Alors la !! Ayant vu quand même une grande partie de la filmo De Noah Baumbach et e dois dire que mon préférer c est Frances ha qui est une claque dans son genre !! quand est sortie while we re younng l année dernière je l attendais , ma déception fut grande , je ne pensais pas qu avec ce nouveau film il remonterai dans mon estime !!!
Survolte , dynamique , euphorisant , drôle, mignon , sublime tout ces mots me viennent à l esprit pour décrire ce film tellement les émotions subies dans le film sont nombreuses et intenses !! encore le portrait de deux femmes dans leur époque , a se chercher leur place.
Ses futurs demie soeur dont une fraîchement arrivées sur new york tombe en admiration devant son aînée au point d écrire sur elle !! on a donc une comédie bordélique qui va a fond !! qui nous lâche pas avec ces personnage tous aussi loufoque les uns que les autres !!
Greta gerwig est génial mais le vrai coup de cœur c est lola Kirke qui est adorable une vraie revelation de douceur , de classe et de beauté !!
un film que je recommande vivement !! un film qui donne le smile !!
Une nouvelle fable new-yorkaise qui nous est conté ici par Noah Baumbach. Il nous raconte ici deux histoires différentes : tout d'abord celle de deux future membre d'une même famille qui se rencontre et qui malgré différence vont finir par s'apprécier et même à tisser des liens. Et la seconde histoire est celle d'une jeune trentenaire, toujours dans la mouvance de la ville qui ne dort jamais, positive, pétillante et pleine de vie qui a cependant encore du mal à savoir qui elle est. Je me rends compte qu'il est difficile d'écrire un avis précis sur ce film, puisque dans un premier temps j'aurais applaudis l'histoire mais accabler les longueurs, quelque manque dans le scénario et que l'on sent une absence sans pouvoir la définir. J'aurais cependant positiver avec le jeu des deux actrices principales, Greta Gerwig est éblouissante et maîtrise son personnage tout comme Lola Kirke qui malgré son visage quelque peu fermé arrive à nous faire passer beaucoup de chose par un simple regard. J'aurais dit toute ses choses en écrivant davantage et en mettant plus de formes, mais en écrivant cette critiquant, en analysant mes dires, je me rend finalement compte que pour bien comprendre le film et avoir un avis arrêté il faudrait le visionner une seconde fois. Maintenant que l'on connait la chute, il faudrait analyser tout le film pour comprendre chaque partie qui se joue, les retombées de chaque phrases, gestes ou actes. Comprendre comment on peut prévoir la nouvelle chute de Brooke, pourquoi tout est toujours mis en échec, mais également pourquoi Tracy n'arrive pas à créer du lien.... J'espère avoir l'occasion de le revoir pour tirer tout cela au clair.... ou pas. Dans tous les cas, si vous aimez les histoires existentielles se déroulant à New York vous pourriez y trouver votre bonheur, pour les autres sa ne sera qu'un énième film sur la question, devant le quel on souffre par moment d'ennui et de longueur alors que le film est assez court.
Film après film, le new-yorkais Noah Baumbach creuse le sillon de son sujet, l’angoisse du temps qui passe sans que l’on puisse avoir prise sur sa propre vie, une certaine inadaptation sociale de ses héros. En l’occurrence, il s’agit de deux héroïnes, deux facettes d’un même personnage. Brooke et Tracy sont deux futures « demi-sœurs », car leurs père et mère respectifs s’apprêtent à se marier. Tracy, la plus jeune, est « freshman » à la très select université féminine new-yorkaise de Barnard. Aspirante écrivaine, elle s’y ennuie pourtant terriblement, ne se reconnaissant dans aucune des activités proposées, basiques et ternes, très loin de l’idée qu’elle se fait de New-York. Seule, la rencontre avec Tony (Matthew Shear) apporte de la légèreté dans son quotidien, un étudiant de l’université de Columbia qui suit les mêmes cours qu’elle, qui a les mêmes ambitions littéraires qu’elle, et qui est tout aussi décalé qu’elle. Mais quand elle s’aperçoit que Tony sort avec une personne (Jasmine Cephas-Jones) rencontrée après elle (« j’ai besoin de quelqu’un à aimer et non de quelqu’un avec qui être en compétition » dira-t-il), Tracy finit par entrer en contact avec Brooke, une jeune femme plus âgée qu’elle, plus exubérante, plus enivrante, avec qui elle pense enfin pouvoir découvrir le New-York de ses rêves.
Mistress America vaut surtout pour ses personnages, très attachants quoique maladroits dans l'écriture, voire absurdes. Mais la mise en scène pleine de pep's, l'alchimie entre les deux actrices et une BO envoûtante tout droit sortie des années 80 rattrapent le film. Il manque simplement au mélange un petit plus, une étincelle de vie qui aurait rendu le long-métrage encore meilleur. Dommage. Pour en savoir plus, lisez notre critique complète sur :
Moins d'un an après While we're young, revoilà Noah Baumbach. Pour l'occasion, il retrouve son actrice et révélation du très réussi Frances Ha (2013), dont on est bien, ici, dans la lignée. Greta Gerwig est donc à nouveau sur l'affiche en tant que premier rôle et scénariste (et même cette fois productrice). Ce Mistress America est agréable, souvent drôle, légèrement irritant, parfois un peu ennuyeux (notamment au début). Il tranche surtout véritablement avec la comédie américaine actuelle. On entend partout que Baumbach est le nouveau Woody Allen. Pas vraiment faux. Même si la parenté est assez lointaine à mon goût. C'est toujours aussi vif, intelligent, mais beaucoup plus mélancolique et doux amer, je trouve, que d'habitude. A noter la belle révélation et la belle performance de Lola Kirke qui volerait presque la vedette à sa partenaire. Voilà donc une comédie bien sympathique, pas la meilleure de son réalisateur cependant (j'en reste toujours à Les Berkman se séparent et Frances Ha), qui se laisse regarder avec un certain plaisir mais ne restera pas inoubliable...
Il n'est pas si étonnant de ressentir un brin de frustration devant les films de Noah Baumbach tant ses personnages sont vulnérables, souvent voués à la procrastination et pour tout dire incertains dans ce qu'ils veulent faire de leur vie malgré les apparences et leur volonté. Le premier mérite de Mistress America est de ne pas se prendre au sérieux et de verser aimablement dans la fantaisie voire dans la loufoquerie dans sa dernière partie. Pour prendre du plaisir au film, il faut aimer les dialogues ping-pong tellement rapides que les questions ne trouvent pas toujours les réponses et que les répliques en arrivent à se chevaucher. Les références littéraires abondent dans ce petit monde new yorkais à première vue superficiel et égocentrique. Certes, mais il y a des thèmes plus profonds qui se cachent sous le babillage et l'excentricité : le mal de vivre, le passage à l'âge adulte, la dépendance affective, la solitude, le vampirisme intellectuel, etc. La relation entre les deux héroïnes n'est pas si conventionnelle et son évolution, son renversement dans le rapport dominante/dominée est écrite au cordeau derrière une façade farfelue et extravagante. L'interprétation de Greta Gerwig et Lola Kirke est brillante et les sous-intrigues, faussement inutiles, réjouissantes et facétieuses. Ne pas citer Woody Allen comme référence première parait évidemment impossible mais Baumbach s'en démarque par une acidité plus prononcée et un montage beaucoup plus serré. Quant à l'atmosphère de New York, elle donne à Mistress America sa patine et un charme supplémentaire. La vraie frustration du film, finalement, c'est sa brièveté.
Baumbach, malgré Greta Gerwig, est ici un cran en dessous de Frances Ha, de Broadway Therapy et surtout de While we're young. Cette nouvelle variation sur le thème du passage de l'adolescence à l'âge adulte est particulièrement bavarde et manque un peu de pertinence sous nos latitudes en raison du fort tropisme américano-centré que le réalisateur déploie. Si certains thèmes exposés sans fausse pudeur nous touchent - peut-être parce que le cinéma américain n'en a pas l'habitude - on a un peu plus de mal à s'apitoyer sur la difficulté d'une petite étudiante provinciale à s'insérer dans le petit monde bourgeois d'une université new-yorkaise et dans un de ses clubs les plus snobs. On retiendra à l'actif de ce film, la découverte d'une Lola Kirke qui fait mieux que d'être le faire -valoir de Greta Gerwig. À suivre...
MISTRESS AMERICA, deuxième film de Noah Baumbach sorti cette année, après "While we're young". Séduite par "Frances Ha" en 2012, déjà incarnée par la pétillante Greta Gerwig à l'abattage et au charme incontestables, je suis allée découvrir l'histoire de Tracy (Lola Kirke, une révélation), jeune femme de 18 ans, venant faire ses études à New York. Souffrant de solitude, déçue par la ville et le campus, elle prend contact avec Brooke, la fille du futur mari de sa mère, New-Yorkaise pur jus, extravagante et hyper bavarde. Un peu trop pour moi d'ailleurs. La comédie "sentimentalo-socialo-new-yorkaise" est presque un genre en soi. Woody Allen, une fois de plus, n'est pas très loin, son ombre plane un peu systématiquement sur tous les films avec la Grosse Pomme en toile de fond. Malheureusement les déboires des deux demoiselles n'ont ni l'intérêt ni le sel des comédies de Woody ! C'est marrant parfois, mais cette logorrhée fatigue un peu à la longue… et rien ne m'a vraiment captivée dans les interrogations qui agitent leur cerveau. La seule chose qui me plaise inconditionnellement, c'est NYC, son ambiance, ses restos, ses lumières, ses rues, sa skyline et (presque) tous les films qui la célèbrent me donnent envie d'y vivre.
Heureusement qu'il reste Woody Allen et ses disciples pour relever le niveau du cinéma américain, quand même pas bien folichon ces derniers temps. Sans être un chef-d'oeuvre, Mistress America intrigue, séduit, agace parfois et sait même émouvoir. Il n'y a sans doute pas autant de profondeur que chez Maestro Woody mais enfin, le déluge verbal plaisant, une juste dose de surréalisme léger, un bon rythme et un magnifique duo d'actrices permettent de passer un très agréable moment. Un bon film dans la catégorie doux-amer et peignant des personnages condamnés à l'optimisme tragique.
1h24 de vie trépidante d'une Greta Gerwig farouchement excitée. Excitée un peu par tout et rien à la fois, le film se nourri de micro-gags pas tous efficaces. Comme son double Noah Baumbach derrière la caméra, il a des inspirations fulgurantes de mise en scène mais ne les pousse pas à l'extrême. L'exemple de la scène où ils sont 5 en même temps à lire la nouvelle de Tracy, géniale ! Mais à trop vouloir faire court, cela manque un brin de relief. On cherche à respirer. La seconde partie est la plus réussite selon moi.
Les frères Coen ne sont pas les seuls à aimer les losers au point d'en faire des héros magnifiques. Brooke a trente ans, elle est jolie, populaire, pleine d'idées... Brooke a tout mais finalement elle n'a rien. On suit Brooke à travers les yeux de la jeune Tracy, adorable étudiante qui arrive à New York et s'attache à Brooke. Personne d'autre que l'extraordinaire Greta Gerwig n'aurait pu aussi bien incarner le personnage de Brooke. Le tandem fonctionne à merveille et on espère bien revoir Lola Kirke, qui interprète Tracy, dans d'autres longs métrages. Si le film est touchant, c'est sans doute surtout grâce à son scénario, mais plus encore grâce à ses dialogues. "Mistress America" est très bien écrit, certaines répliques sont brillantes et traduisent à merveille le désenchantement que connaissent bien des trentenaires. Et qu'importe que l'histoire se passe chez la jeunesse branchée de New York puisque Noah Baumbach et Greta Gerwig (qui coécrit le film) ont su lui donner un relief universel.
Le duo formé Noah Baumbach et Greta Gerwig est de retour pour ce Mistress America évoquant à la fois l’atteinte des idéaux de vie et le vol de chat. Fraichement agréable ! ♥♥♥½
Tracy (Lola Kirke) va au lycée à New York mais n’a aucune envie d’aller à l’Université et veut un style de vie glamour. Lorsqu’elle peut enfin y accéder grâce à sa demi-sœur (Greta Gerwig), elle va être complètement sous le charme de cette façon de vivre.
Seconde réalisation cette année pour le prolifique Noah Baumbach. Après While we’re young tout juste sorti en Europe, voici donc Mistress America passé par Sundance en janvier dernier. Co-scénarisé avec Greta Gerwig, il retrouve New York et ses problématiques existentielles de jeunes adultes.
Si Baumbach essaie par moment de toucher la grâce d’un Woody Allen, il y arrive peu malgré la pluralité de ses personnages et son comique de situation. Peut-être se forge t’il sa propre identité au fil des films…toutefois, même si son dernier semble mineur, il n’en est pas moins agréable à regarder. This photo provided by Fox Searchlight Pictures shows, Lola Kirke, from left, as Tracy, Cindy Cheung as Karen, Michael Chernus as Dylan, Heather Lind as Mamie-Claire and Matthew Shear as Tony in a scene from "Mistress America." (Fox Searchlight Pictures via AP
This photo provided by Fox Searchlight Pictures shows, Lola Kirke, from left, as Tracy, Cindy Cheung as Karen, Michael Chernus as Dylan, Heather Lind as Mamie-Claire and Matthew Shear as Tony in a scene from « Mistress America. » (Fox Searchlight Pictures via AP) Quelques performances d’acteurs dont Jasmine Cephas Jones irrésistible !
Car si Mistress America est moins jouissif que Frances Ha, on passe néanmoins un très bon moment en compagnie de ces deux sœurs que tout oppose. Le seul bémol serait peut-être à mettre au crédit de Greta Gerwig qu’on imagine mal dans la peau d’une arriviste prête à tout pour réussir dans la vie. La belle qu’on a dernièrement vu dans le film français EDEN prend sa place mais d’autres actrices auraient sans doute donné plus de couleurs au personnage de Brooke.
Du petit cinéma indépendant sympathique comme les aime le festival de Sundance