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    Mistress America
    Note moyenne
    3,1
    21 titres de presse
    • Critikat.com
    • L'Humanité
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Fiches du Cinéma
    • Studio Ciné Live
    • Sud Ouest
    • TF1 News
    • Transfuge
    • aVoir-aLire.com
    • L'Obs
    • La Croix
    • La Septième Obsession
    • Les Inrockuptibles
    • Première
    • Cahiers du Cinéma
    • CinemaTeaser
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Télérama
    • Libération

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    21 critiques presse

    Critikat.com

    par Damien Bonelli

    Une fois de plus remarquable, Greta Gerwig excelle à humaniser un personnage incapable de la moindre introspection, à en craqueler le vernis mondain pour laisser affleurer sa vulnérabilité.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Tout le charme doux-amer de ce film entraînant réside dans l’envers de son décor, dans les fêlures de cette Mistress America qui humanisent le personnage et le film. Baumbach est bien le nouveau Woody Allen.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    Le Monde

    par Thomas Sotinel

    La mise en scène vive et précise permet à Greta Gerwig d'exposer son personnage dans toute son imperfection.

    Le Parisien

    par Alain Grasset

    Il a des airs de Woody Allen, avec un ton plus tranchant. Comment ne pas tomber sous le charme des deux actrices, Greta Gerwig et Lola Kirke ?

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Fiches du Cinéma

    par Isabelle Boudet

    Une comédie douce-amère divinement écrite et interprétée par le duo Gerwig-Baumbach dans une veine cassaveto-allenienne.

    Studio Ciné Live

    par Thierry Cheze

    "Mistress America" marque une nouvelle étape dans le parcours créatif d'un duo qui écrit quelques-unes des pages les plus excitantes de la comédie moderne.

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Porté par des dialogues irrésistibles et deux comédiennes savoureuses, le récit est d'abord celui d'une inspiration littéraire.

    La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest

    TF1 News

    par Romain Le Vern

    Naoh Baumbach ne devrait plus réaliser de film sans Greta Gerwig. Il y a bien sûr un surmoi Woody Allen. Mais cet équilibre idéal entre évidence et non-dit, futilité et gravité provoque un charme fou dévastant tout sur son passage. Raconté vite et bien, "Mistress America" est simplement irrésistible.

    La critique complète est disponible sur le site TF1 News

    Transfuge

    par Ilan Malka

    Si "Mistress America" se disperse parfois un peu et n'atteint pas le magnifique équilibre comico-tragique de ses prédécesseurs, il poursuit néanmoins la musique sensible d'un auteur précieux, au regard lucide, sans aigreur, et au ton désenchanté sans pessimisme.

    aVoir-aLire.com

    par Alexandre Jourdain

    Baumbach poursuit ses velléités alléniennes dans une belle comédie légère quoique grinçante. Où New York et Greta Gerwig - encore - irradient de possibilités.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com

    L'Obs

    par La Rédaction

    Si les prémices new-yorkaises de cette comédie sont délicieuses, le film, hélas, perd ses plumes et pas mal de son rythme, en se délocalisant dans le Connecticut, malgré le charme et l’abattage screwball de Gerwig.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Marie Soyeux

    Si "Mistress America" se perd, hélas, dans un huis clos vaudevillesque moins convaincant en deuxième partie, la performance de ses actrices n’en fait pas qu’une sympathique satire new-yorkaise. Mais un film touffu où se racontent les peurs d’une génération.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Septième Obsession

    par Morgan Pokée

    MISTRESS AMERICA joue de façon insolente la carte de la greffe cinématographique en essayant de rallier l'insouciance du teen-movie américain à la vitupérante anxiété de la chronique générationnelle.

    Les Inrockuptibles

    par Léo Soesanto

    Trois ans après "Frances Ha", Greta Gerwig revient dans le cinéma de Baumbach. Comme une tornade.

    Première

    par Frédéric Foubert

    Ça va vite, très vite, Lola Kirke est une révélation et Greta Gerwig est plus spectaculaire et irritante que jamais. C’est un compliment.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Cahiers du Cinéma

    par Gaspard Nectoux

    Les obsessions de Mistress America paraissent plutôt mimées que mises en jeu, entre nostalgie vintage et zeitgeist à la remorque des séries Girls ou Mozart in the Jungle.

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    Le film est sauvé par de fantastiques actrices.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    Le Dauphiné Libéré

    par Jean Serroy

    Un avatar tardif des “screwball comédies”, le charme en moins.

    Le Journal du Dimanche

    par Stéphanie Belpêche

    Entravée par les longueurs et les bavardages existentiels, cette comédie manque de générosité, se regarde un peu trop le nombril et devient quasi du théâtre filmé dans sa deuxième partie. Pourtant les actrices se démènent mieux qu’elles peuvent...

    Télérama

    par Louis Guichard

    Mais le petit monde bizarroïde, snob ou cynique qui s'agite autour des deux jeunes femmes sert surtout à faire — laborieusement — progresser l'intrigue. La forme aussi souffre d'une baisse d'inspiration : rien de comparable au noir et blanc gracieux et cinéphile de Frances Ha...

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    Libération

    par Elisabeth Franck-Dumas

    Si ça vous fiche le tournis, à nous aussi : "Mistress America" est un hommage à peine déguisé à Woody Allen et aux comédies screwball des années 40 (...) mais Greta Gerwig n’est pas Katharine Hepburn, et l’ingénuité requise pour tomber sous son charme de perroquet échevelé est un truc qui semble difficilement atteignable passé l’âge de 15 ans.

    La critique complète est disponible sur le site Libération
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