Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Critikat.com
par Damien Bonelli
Une fois de plus remarquable, Greta Gerwig excelle à humaniser un personnage incapable de la moindre introspection, à en craqueler le vernis mondain pour laisser affleurer sa vulnérabilité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Tout le charme doux-amer de ce film entraînant réside dans l’envers de son décor, dans les fêlures de cette Mistress America qui humanisent le personnage et le film. Baumbach est bien le nouveau Woody Allen.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène vive et précise permet à Greta Gerwig d'exposer son personnage dans toute son imperfection.
Le Parisien
par Alain Grasset
Il a des airs de Woody Allen, avec un ton plus tranchant. Comment ne pas tomber sous le charme des deux actrices, Greta Gerwig et Lola Kirke ?
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Une comédie douce-amère divinement écrite et interprétée par le duo Gerwig-Baumbach dans une veine cassaveto-allenienne.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
"Mistress America" marque une nouvelle étape dans le parcours créatif d'un duo qui écrit quelques-unes des pages les plus excitantes de la comédie moderne.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Porté par des dialogues irrésistibles et deux comédiennes savoureuses, le récit est d'abord celui d'une inspiration littéraire.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
TF1 News
par Romain Le Vern
Naoh Baumbach ne devrait plus réaliser de film sans Greta Gerwig. Il y a bien sûr un surmoi Woody Allen. Mais cet équilibre idéal entre évidence et non-dit, futilité et gravité provoque un charme fou dévastant tout sur son passage. Raconté vite et bien, "Mistress America" est simplement irrésistible.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Ilan Malka
Si "Mistress America" se disperse parfois un peu et n'atteint pas le magnifique équilibre comico-tragique de ses prédécesseurs, il poursuit néanmoins la musique sensible d'un auteur précieux, au regard lucide, sans aigreur, et au ton désenchanté sans pessimisme.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Baumbach poursuit ses velléités alléniennes dans une belle comédie légère quoique grinçante. Où New York et Greta Gerwig - encore - irradient de possibilités.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par La Rédaction
Si les prémices new-yorkaises de cette comédie sont délicieuses, le film, hélas, perd ses plumes et pas mal de son rythme, en se délocalisant dans le Connecticut, malgré le charme et l’abattage screwball de Gerwig.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Marie Soyeux
Si "Mistress America" se perd, hélas, dans un huis clos vaudevillesque moins convaincant en deuxième partie, la performance de ses actrices n’en fait pas qu’une sympathique satire new-yorkaise. Mais un film touffu où se racontent les peurs d’une génération.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Morgan Pokée
MISTRESS AMERICA joue de façon insolente la carte de la greffe cinématographique en essayant de rallier l'insouciance du teen-movie américain à la vitupérante anxiété de la chronique générationnelle.
Les Inrockuptibles
par Léo Soesanto
Trois ans après "Frances Ha", Greta Gerwig revient dans le cinéma de Baumbach. Comme une tornade.
Première
par Frédéric Foubert
Ça va vite, très vite, Lola Kirke est une révélation et Greta Gerwig est plus spectaculaire et irritante que jamais. C’est un compliment.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Les obsessions de Mistress America paraissent plutôt mimées que mises en jeu, entre nostalgie vintage et zeitgeist à la remorque des séries Girls ou Mozart in the Jungle.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Le film est sauvé par de fantastiques actrices.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un avatar tardif des “screwball comédies”, le charme en moins.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entravée par les longueurs et les bavardages existentiels, cette comédie manque de générosité, se regarde un peu trop le nombril et devient quasi du théâtre filmé dans sa deuxième partie. Pourtant les actrices se démènent mieux qu’elles peuvent...
Télérama
par Louis Guichard
Mais le petit monde bizarroïde, snob ou cynique qui s'agite autour des deux jeunes femmes sert surtout à faire — laborieusement — progresser l'intrigue. La forme aussi souffre d'une baisse d'inspiration : rien de comparable au noir et blanc gracieux et cinéphile de Frances Ha...
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Si ça vous fiche le tournis, à nous aussi : "Mistress America" est un hommage à peine déguisé à Woody Allen et aux comédies screwball des années 40 (...) mais Greta Gerwig n’est pas Katharine Hepburn, et l’ingénuité requise pour tomber sous son charme de perroquet échevelé est un truc qui semble difficilement atteignable passé l’âge de 15 ans.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Critikat.com
Une fois de plus remarquable, Greta Gerwig excelle à humaniser un personnage incapable de la moindre introspection, à en craqueler le vernis mondain pour laisser affleurer sa vulnérabilité.
L'Humanité
Tout le charme doux-amer de ce film entraînant réside dans l’envers de son décor, dans les fêlures de cette Mistress America qui humanisent le personnage et le film. Baumbach est bien le nouveau Woody Allen.
Le Monde
La mise en scène vive et précise permet à Greta Gerwig d'exposer son personnage dans toute son imperfection.
Le Parisien
Il a des airs de Woody Allen, avec un ton plus tranchant. Comment ne pas tomber sous le charme des deux actrices, Greta Gerwig et Lola Kirke ?
Les Fiches du Cinéma
Une comédie douce-amère divinement écrite et interprétée par le duo Gerwig-Baumbach dans une veine cassaveto-allenienne.
Studio Ciné Live
"Mistress America" marque une nouvelle étape dans le parcours créatif d'un duo qui écrit quelques-unes des pages les plus excitantes de la comédie moderne.
Sud Ouest
Porté par des dialogues irrésistibles et deux comédiennes savoureuses, le récit est d'abord celui d'une inspiration littéraire.
TF1 News
Naoh Baumbach ne devrait plus réaliser de film sans Greta Gerwig. Il y a bien sûr un surmoi Woody Allen. Mais cet équilibre idéal entre évidence et non-dit, futilité et gravité provoque un charme fou dévastant tout sur son passage. Raconté vite et bien, "Mistress America" est simplement irrésistible.
Transfuge
Si "Mistress America" se disperse parfois un peu et n'atteint pas le magnifique équilibre comico-tragique de ses prédécesseurs, il poursuit néanmoins la musique sensible d'un auteur précieux, au regard lucide, sans aigreur, et au ton désenchanté sans pessimisme.
aVoir-aLire.com
Baumbach poursuit ses velléités alléniennes dans une belle comédie légère quoique grinçante. Où New York et Greta Gerwig - encore - irradient de possibilités.
L'Obs
Si les prémices new-yorkaises de cette comédie sont délicieuses, le film, hélas, perd ses plumes et pas mal de son rythme, en se délocalisant dans le Connecticut, malgré le charme et l’abattage screwball de Gerwig.
La Croix
Si "Mistress America" se perd, hélas, dans un huis clos vaudevillesque moins convaincant en deuxième partie, la performance de ses actrices n’en fait pas qu’une sympathique satire new-yorkaise. Mais un film touffu où se racontent les peurs d’une génération.
La Septième Obsession
MISTRESS AMERICA joue de façon insolente la carte de la greffe cinématographique en essayant de rallier l'insouciance du teen-movie américain à la vitupérante anxiété de la chronique générationnelle.
Les Inrockuptibles
Trois ans après "Frances Ha", Greta Gerwig revient dans le cinéma de Baumbach. Comme une tornade.
Première
Ça va vite, très vite, Lola Kirke est une révélation et Greta Gerwig est plus spectaculaire et irritante que jamais. C’est un compliment.
Cahiers du Cinéma
Les obsessions de Mistress America paraissent plutôt mimées que mises en jeu, entre nostalgie vintage et zeitgeist à la remorque des séries Girls ou Mozart in the Jungle.
CinemaTeaser
Le film est sauvé par de fantastiques actrices.
Le Dauphiné Libéré
Un avatar tardif des “screwball comédies”, le charme en moins.
Le Journal du Dimanche
Entravée par les longueurs et les bavardages existentiels, cette comédie manque de générosité, se regarde un peu trop le nombril et devient quasi du théâtre filmé dans sa deuxième partie. Pourtant les actrices se démènent mieux qu’elles peuvent...
Télérama
Mais le petit monde bizarroïde, snob ou cynique qui s'agite autour des deux jeunes femmes sert surtout à faire — laborieusement — progresser l'intrigue. La forme aussi souffre d'une baisse d'inspiration : rien de comparable au noir et blanc gracieux et cinéphile de Frances Ha...
Libération
Si ça vous fiche le tournis, à nous aussi : "Mistress America" est un hommage à peine déguisé à Woody Allen et aux comédies screwball des années 40 (...) mais Greta Gerwig n’est pas Katharine Hepburn, et l’ingénuité requise pour tomber sous son charme de perroquet échevelé est un truc qui semble difficilement atteignable passé l’âge de 15 ans.