Derniers Avis : The Circle - Page 9

Caricature des réseaux sociaux et de ce qu'il peut en découler. J'aime beaucoup ce personnage qui change, elle ne suit pas forcément ce que l'on peut croire. Héroïne atypique ou naïve.

Très décevant.
Le film relate pendant 1h50 les évidences au sujet des dangers des réseaux sociaux.
J'ai été surprise du manque de réaction de l'ensemble de la communauté vivant sur le campus.
Sur tout cet auditoire stupide seulement trois personnages réagissent : Annie, Kalden et enfin...May qui creuse une tombe visible et qui nous laisse la regarder s'enterrer.
Sinon l'ensemble des concitoyens de cette aventure virtuelle considère plus que normal qu'il n'ait plus aucun secret, qu'il n'ait que 3 minutes pour aller au toilettes, et qu'il puisse être filmé pendant ses ébats.
Et on accorde aucune importance aux personnages secondaires, le fondateur de the Circle n'a pas plus de trois répliques, les personnages d'Annie, de Mercer et de tant d'autres sont plus que baqués.
Pour finir , la film s'achève sous le signe d'absence de morale, puisque le monde demeure dans l'acceptation d'être surveillé. Big Brother is wathing on you !

Thel circle nous invite à réfléchir sur l'impact de la technologie dans notre monde actuel tu quels conséquences la technologie les réseaux..... peuvent nous atteindre. C'est vrai que la fin du film laisse à désirez mais je pense que avant de trop critiquer ce film il faudrait lire le film

Avec des airs d’Antitrust et de Facebook nous voilà plongé dans l’univers des réseaux sociaux avec une frontière à définir entre vie public et vie privée.

Le film peut paraître manquer de rythme mais au final le résultat est vraiment pas mal.

Mais à quel moment démarre ce film ? Que de longueurs ! Que de scènes prévisibles ! Dommage, l'idée semblait intéressante.

Le film est une introduction perpétuelle. L'élément perturbateur est prévisible à des kilomètres. Il ne se passe rien durant ce film. Que ce soit du point de vue du scénario que du jeu d'acteur. Un beau navet!! Dommage car à partir du thème abordé des données personnelles et de la vie privée et internet il y avait beaucoup mieux à faire......tom Hanks est inexistant dans ce film.

Le début du film est vraiment prometteur, avec son univers qui semble riche et crédible, et un scénario tout droit sorti de Black Mirror... et puis tout s'écroule quand on se rend compte que le film va tourner autour du personnage interprété par Emma Watson (loin de moi l'idée de remettre en cause son jeu d'actrice, mais il y avait mieux à faire), que son scénario est bancal et banal et quand on découvre le final très décevant. Une bonne idée bâclée et manquant cruellement de profondeur.

The Circle aborde le sujet de la vie privé face aux réseaux sociaux. Un futur proche où notre intimité deviendra visible aux yeux de tous !
Emma Watson et Tom Hanks sont les deux grandes stars de ce films. Ils sont tous très juste et ce deuxième s'empare parfaitement de son rôle d'embrigadeur !
J'ai trouvé le film assez plat. Intruige faite à la bat vite, la fin été incroyablement mauvaise ! Aucune solution n'est apporté, ce n'est qu'une suite d'événements ... mais il est tout de même interressant de voir cette vision péjorative des technologies et d'Internet dans cette réalisation relativement regardable !

En un mot : nul
Rien qui ne vaille la peine de le regarder.
Il n’y a pas d’histoire, juste une succession de scène sans intérêt

L'histoire du film avait le mérite de m'intéresser au départ, à savoir le rapport entre vie privée et l'enregistrement et l'utilisation des données personnelles via l'utilisation de réseaux sociaux.
Etant une grande fan d'Harry Potter également, j'étais contente de retrouver Emma Watson dans le rôle principal.
Que ne fut pas ma déception!
Je n'ai pas du tout trouver les acteurs impliqués dans leurs rôles, et d'habitude j'apprécie beaucoup Emma Watson dans ses autres rôles, mais là... Un jeu très décevant.
Les discours du chef de l'entreprise "The Circle" (Tom Hanks) ne m'ont même pas convaincue à moitié, alors qu'il est censé encenser les foules...
L'histoire aurait pu être bien mieux ficelée, beaucoup plus intéressante, poussant à la réflexion sur ce sujet d'actualité, mais non, j'ai bien faillit m'endormir.
Il n'y a pas de réelle fin au film ( spoiler: l'affaire de la sénatrice qui s'attaque à l'entreprise n'est qu'un bruit de fond dans le scénario, et les "découvertes horribles" à la fin du film sur les 2 dirigeants de l'entreprise n'auront aucun impact sur la fin, sur la politique de l'entreprise
) , ce qui rend tout cela encore plus décevant.
Ce n'est même pas une fin ouverte, il n'y a juste aucune fin.

J'avais beaucoup aimé le livre, plus profond et posant beaucoup plus de questions sur l'évolution des nouvelles technologies dans notre société.
J'ai trouvé le film brouillon, vide de sens, des scènes qui s'enchainent sans avoir capturé mon attention et la fin....
bref, lisez le livre sans hésitez et oublié le fim.

Pas un excellent film malgré les 2 acteurs dans les rôles principaux.
Toutefois ce film donne une bonne vision de la problématique liée à l'hyper-connectivité et à l'analyse du big data par des logarithme commerciaux ou politiques.

Ce film étais bien partie mais la chute m’a semblé léger.
Hormis ça, c’est un film qui pose la question sur les réseaux sociaux et la vie!

C’est rageant de voir qu’un film a les capacités d’être un chef-d’œuvre mais qu’à cause de sa fin il se vautre en beauté et devient presque un nanard. Ce film avait tout pour être un bon film :
-un bon scénario
-une bonne mise en scène
-des bons acteurs (surtout Hanks)
Watson, quant à elle, est chiante à toujours bouger sa tête et à fermer les yeux ; c’est vraiment pénible au bout d’un moment !
-une bonne musique.
Mais non, la fin gâche tout.
Le film tient debout jusqu’au final : Watson va découvrir tous les secrets de l’organisation. Tom Hanks et son acolyte font une tête bizarre menaçante, l’air de dire : « toi tu vas crever avant le générique ». Watson se retrouve face à un drone et, là, on se dit que Hanks et son organisation sont au service de l’armée et que le but de l’organisation est de fournir des infos à un gouvernement totalitaire contrôlé par l’armée, on se dit que suite aux secrets dévoilés le drone va tuer Watson. Mais non.
Ce film ne sert donc à rien ! Juste à nous dire qu’il faut qu’on étale notre vie privée. Le sujet est très intéressant mais il est mal abordé. Le film est donc oubliable.
John Boyega est présent dans le film, on ne sait pas pourquoi. Son rôle était intéressant mas inexploité.
Ce film est donc mauvais juste à cause du final qui gâche tout. Pas étonnant qu’il n’ait pas marché !

Éternel débat que nous offre cette production, certifiée hollywoodienne mais sans moyens clinquants : Où s'arrête la liberté individuelle face à l'intérêt général ? La sécurité, enjeu majeur nécessitant de restreindre la liberté, ou prétexte à la violation pure et simple de la vie privée ? Chacun aura pu en juger à son échelle depuis l'arrivée de Facebook en 2004, offrir des parcelles de sa vie à ses contacts constitue à la fois un moyen de communier et un piège pouvant se refermer sur soi. Dictature de l'agenda « médiatique » nous poussant à évoquer nos moindres faits et gestes, sorties triviales comme vicissitudes professionnelles et sentimentales. Mae, dans la peau de la naïve immergée dans le panier de crabes, parlera à tous ou presque tant on a tous un jour été le « petit nouveau » d'une entreprise dont on doit intégrer les codes.
Nous nous trouvons donc dans un futur palpable, totalement dévoué à la toute puissance de la technologie au détriment de l'humain. Tout doit être raconté, partagé, sous-pesé, tourné vers des followers au lieu de répondre à des envies, plaisirs, passions, encore moins pulsions personnelles. Aussi Mae l'apprend à ses dépends lors d'une des scènes-clés du film où deux de ses supérieurs hiérarchiques lui expliquent avec une froide douceur qu'elle doit être plus active sur le réseau, au point de démarcher des collègues avant d'entreprendre la moindre sortie en kayak. L'oppression de l'humour bureaucratique est parfaitement restituée pour clore une amorce impeccable.
La suite est moins convaincante car le film se perd dans son refus de trancher pour/contre les préceptes de ce monde basé sur la transparence totale où il y aurait une mini-caméra implantée dans chaque arbre. L'héroïne alterne moments de rébellion et soumission zélée aux suggestions de ses chefs pour offrir un pied-de-nez final tombant un peu à plat. Quant aux conséquences sur son entourage, elles restent de l'ordre du prévisible, trop appuyés et caricaturales pour donner du corps au récit, construire une argumentation forte. Au final ce sujet majeur aura été traité par le bout de la lorgnette, pas le moindre des paradoxes !