Derniers Avis : The Circle - Page 23

Une jeune femme, Mae, incarnée par Emma Watson va rejoindre un groupe nommé "The circle" qui gère les technologies et médias sociaux dans le monde. La première partie est tonique avec la découverte de ce milieu et l'innocence de Mae qui croit là découvrir la vie dont elle rêvait, au point de renier son enfance rurale. La suite est plus simpliste avec cette ultra-connexion qui va montrer la face cachée du système.L'ensemble est quelque peu naïf mais il dénonce quand même les dérives du net et j'ai trouvé Emma Watson assez juste dans ce rôle de jeune à la fois sensible et arriviste. Tom Hanks en tant que "gourou" de cette organisation est lui aussi assez crédible.

difficile de ne pas voir dans ce film une savoureuse critique de Google ou Facebook et du no-limit qu'impose la collecte de données sur la vie privées des uns et des autres. ce film tend a montrer les risques et enjeux d'une vie exposée, sans filtre ...

L'intrigue du film est pas mal malheureusement l'histoire est très linéaire. Les personnages ne sont pas très convaincant. J'ai l'impression que la rencontre de Mae (Emma Watson) avec les personnages est surfait, voir décousue. On ne comprend pas forcément le rôle des protagonistes dans certaines scènes ou le lien de ces personnes avec Mae.
Il faut le dire ce genre de film me fait penser à un téléfilm de l'après-midi.
Il y à un point positif: Le film pointe les conséquences des réseaux sociaux sur la vie privée.

Je suis vraiment déçu ! Avec ce sujet je m'attendais à quelque chose de génial mais malheureusement ça n'a pas été le cas ! La quasi-totalité des situations du film sont bâclées, elles ne vont pas au bout de ce que l'on attend.
La fin ne donne vraiment pas ce à quoi l'on s'attend. On peut le dire on reste vraiment sur notre fin...
De plus, le film n'apporte rien sur ce qu'il souhaite dénoncer, aucune morale, rien !
Vraiment dommage...

Grand admirateur des distopies à la 1984 et de la merveilleuse Emma Watson, je pensais recevoir la claque de l'année en visionnant ce Thriller. Malheureusement, ce film s'installe dans mon top 5 des plus grosses déceptions cinématographiques. Un message supposé "dénoncer" qui nous passe totalement au dessus de la tête, une intrigue plate et sans rebondissements, un casting pas terrible (sauvé par Emma Watson et Tom Hanks). Bref, l'ennui total. Ne vous attendez pas à un bon Thriller satirique qui s'acharne sur la société car son objectif est clairement manqué et son potentiel inexploité. A éviter...

Je suis allée voir le film malgré les critiques négatives sur internet de journaux anglais et américains.
Je voulais avoir ma propre opinion et j'avais beaucoup aimé snowden le film sur l'importance du respect de la vie privée en lien avec internet.
Je suis très déçue de ce film qui ne présente pas réellement ses personnages ni le scénario, il ne se passe pas grand chose et au final on ne sort pas de ce film en se posant des questions ce film n'amène aucune réflexion..
juste ennuyeux à regarder passez votre chemin...

Une critique sociale sur les dangers des réseaux sociaux. Le personnage principal joué par Emma Watson prend un peu trop parti, manquant curieusement d'esprit critique sur ce qu'il lui arrive pour une jeune femme aussi brillante. Son comportement ne dénonce rien il contribue au système dans lequel elle semble être aliénée... John Boyega, excellent comédien par ailleurs, ne sert ici, strictement à rien ! Du déjà vu mille fois. Ça ne cassera pas 3 pouces à Facebook. C'est vrai que la vie réelle c'est mieux et qu'il n'est pas totalement nécessaire de voir ce film pour le savoir… Aurait pu sortir sur Netflix.

Très souvent, les films qui ont pour fil conducteur les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont quelque peu abscons pour le spectateur lambda néophyte, peu ou prou utilisateur de ces médias et outils sociaux mais ne sachant pas forcément dans le détail comment tout ça fonctionne. Ce film échappe à cet écueil car il n'aborde pas tellement les aspects techniques, les fameux algorithmes de qui vous savez tant on devine ce qu'évoque dans cette fiction cette firme "Circle". L'affaire nous est finalement présentée comme un gigantesque "Secret Story" dans lequel, sous couvert de proposer des services, la firme multinationale et tentaculaire épie tout, exploite tout, fait l'interface dans tous les actes de la vie, sait tout sur chacun... malgré quelques réticences sinon résistances vite dépassées. Ce n'est ici que de la fiction, même si certaines applications mises en scène sont connues et immédiatement reconnues tandis qu'on devine bien que les autres sont en cours de définition, si ce n'est de déploiement déjà. Un film d'anticipation, servi avec une morale (à la fin seulement). Peut-être que dans quelques années, on sourira de ce scénario soit parce que la réalité aura complètement banalisé les situations décrites et qu'on s'y sera fait sans imaginer avoir à les contester (ou simplement pouvoir), soit parce que les craintes dépeintes seront apparues totalement hors de propos. La démonstration reste toutefois assez superficielle. La preuve : même pas peur ! Bien que probablement il faudrait, comme le porte comme message ce film.

Un thème largement utilisé avec plus ou moins de réussite. On peut évoquer Black Mirror qui va beaucoup plus loin et maîtrise son art. The Circle quant à lui, ne nous surprend pas et vient gentillement soulever des questions sans y apporter beaucoup de matière.

The Circle nous plonge dans notre monde d'ici quelques années...un monde où la technologie altèrerait les composantes les plus humaines des êtres humains, leurs libertés individuelles ainsi que leurs vies privées.
Un film d'anticipation grand public, intelligent qui pointe les déviances de l'utilisation des technologies et les montrent de façon réussi, entre l’enthousiasme de telles avancées et impact sur la vie réelle.
Un film agréable avec des interpretations justes qui se veulent réalistes, important, et qui amène a réfléchir sur la surabondance de technologies et de la direction prise avec ses dernières.

Quelle déception ! Le sujet aurait pu donner un très bon film, le casting aussi, il manque juste un scénario. Pas crédible et franchement mou, un film dont on peut très facilement se passer.

Un magnifique film : intelligent qui divertit aussi très bien pour mieux comprendre les effets de groupe et sur la toile

Un Tom Hanks dans un rôle où on ne le voit pas souvent et Emma Watson loin d'un monde bisounours.

Une histoire de big brother (pas si loin de la réalité) où les réseaux sociaux et le monde virtuel d'aujourd'hui sont devenus un monde parallèle.

Scénario très intéressant sur un sujet qui touche tous les connectés à la toile et aux conséquences de tout partager (cet avis en est l'essence même) !

De bonnes choses dans ce monde hyper connecté et de moins bonnes sont à retenir.

L'éthique y prend toute sa place dans aucun problème. La médiation sur notre rôle dans tout ça est un point essentiel !

On ne peut pas dire que « The Circle » ne pose pas de bonnes questions, même s’il les pose de façon un peu maladroite parfois, et même s’il se garde bien d’y apporter une réponse définitive. Le puissance monopolistique des géants du net que nous utilisons tous, et moi la première à l’instant précis où je poste cette chronique sur le web, pose des questions aigües de droit, de morale et de bon sens. « The Circle », même s’il forcit un peu le trait et va au bout d’une logique quasi-totalitaire (dans la quelle ne nous sommes pas (encore) embarqués), fait la démonstration assez limpide de ce que pourrait être une société connectée à outrance et sans garde-fous. James Ponsoldt, le réalisateur, concentre sa caméra sur Emma Watson et son personnage, négligeant un petit peu les autres personnages qui auraient pourtant bien mérités plus de lumière. C’est le premier petit défaut que je concède à son film, ses seconds rôles (tenus quand même par Tom Hanks, John Boyega ou encore Karen Gillian) ne sont pas assez écrits alors qu’il y aurait plein de choses à apprendre sur leur mentalité, leur parcours, leurs motivations. Mais Emma Watson et son joli minois emporte le film avec elle. Très attachante, même quand son personnage se fourvoie carrément, Emma Watson confirme qu’elle est actrice réfléchie, discrète mais pointue dans ses choix cinématographiques, qui ne cède pas à la facilité des blockbusters de super héros Marvell qui envahissent les grands écrans. C’est une actrice que j’apprécie de plus en plus, à l’écran et en dehors. La réalisation de James Ponsoldt n’est pas flamboyante, son film est plutôt efficacement réalisé, sans temps morts, sans (trop) de scènes superflues. Les scènes de tensions sont peut –être un petit peu trop soulignées par des effets inutiles et une musique trop fortes, mais c’est un travers que peu de réalisateur arrivent à contourner ! La musique d’ailleurs, électronique comme il se doit, est plutôt agréable, bien qu’un peu trop présente et trop puissante à mon gout. Le film, qui dure presque deux heures, passe assez bien et même si sa trame est assez conventionnelle, on ne s’ennuis pas. La trame est conventionnelle parce que c’est au travers d’une jeune recrue que le dérapage de Circle se matérialise : au début, elle est enthousiaste, parfois déroutée (et il y a de quoi) par certains aspect de l’entreprise mais trop fascinée pour réagir. Pleine de bonnes idées, elle progresse vite (très vite, trop vite pour que cela soit crédible ?) et se met à participer activement, sans arrière pensées, au projet fou de Circle, jusqu’à même faire en réunions des propositions surréalistes qu’on pourrait qualifier sans trop forcer le trait de … totalitaires, et tout cela avec la meilleur intention du monde. Comme certains géant du Net le font déjà, Circle présente chacune de ses avancées technologique comme un bienfait pour l’humanité : surveiller la santé des gens en permanence avec un bracelet connecté, c’est bien sur pour éviter qu’ils ne développent des maladies ; mettre des caméra minuscules partout, c’est bien entendu pour empêcher que l’information ne soit censurée par une dictature ; connecter le monde entier, c’est évidemment pour retrouver des criminels fugitifs ; permettre le vote politique par le moyen d’un compte personnel Circle, c’est carrément pour faire revivre la démocratie ; implanter des puces sur les enfants, c’est forcément pour éviter les kidnappings, etc… Mais l’enfer est pavé de ces bonnes idées altruistes et soi-disant désintéressées. Le scénario force un peu le trait, en espérant faire une démonstration limpide des effets pervers inouïs qui nous menacent : fichage médical, fichage politique, annihilation totale de la vie privée, tyrannie de la transparence : mis au pas d’une société mondialisée où tout le monde surveille tout le monde, tout le monde traque tout le monde, tout le monde juge tout le monde et seuls quelques uns ont en main les données de milliards d’êtres humains. La technologie, c’est formidable quand c’est aux mains de gens responsables, avec une morale et un sens civique moyennement développé. Dans des mains avides de pouvoir, d’argent (les deux vont ensemble) et sans morale ni scrupule, cela devient un péril. Comme la démocratie porte en son sein sa propre autodestruction, la technologie porte en elle sa propre perversité. J’enfonce une porte bien ouverte en disant cela, et le film de John Ponsoldt ne fait que cela aussi : enfoncer une porte ouverte. Je ne sais pas si le scénario est d’une crédibilité totale, traitez-moi de naïve mais je pense qu’on a, en tant que société et en tant qu’individu, une capacité de résistance assez puissante au totalitarisme technologique, et encore pas mal de garde-fous légaux à notre service. « The Circle » peut éventuellement aider à une prise de conscience pour un jeune public ultra connecté qui n’aurait pas encore le recul nécessaire pour comprendre les dangers inhérents aux réseaux sociaux. Ma foi, si le film de Ponsoldt sert à cela, c’est déjà pas mal. En tant que spectatrice, je regrette juste quelques petits choses : une fin elliptique un peu bizarre, quelques invraisemblances (au niveau du personnage de Mae et de sa progression notamment), quelques rebondissements déjà vus au cinéma, quelques petites choses un peu téléphonées. Je regrette aussi d’avoir vu un Bill Paxton dans son dernier rôle au cinéma, très diminué et méconnaissable, à tel point que je ne l’ai reconnu qu’en lisant son nom dans le générique de fin !

Rarement vu une niaiserie pareille, à part enfoncer des portes ouvertes et nous dire que "attention Big brother vous surveille" (non sans déconner? quel scoop! ) aucun intérêt. Et en plus il n'y a pas de véritable fin ou alors je ne l'ai pas comprise....
A réserver aux fans absolus d'Emma Watson