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Hollywood-Biographer
187 abonnés
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2,5
Publiée le 18 juillet 2017
James PONSOLDT livre un film assez inégal dans l'ensemble. "The Circle" met beaucoup de temps avant d'atteindre son rythme de croisière. On ne comprend pas tout de suite les enjeux du scénario. Mais une fois qu'ils sont posés, le cinéaste survole ses bonnes intentions. Cela manque parfois de rythme et de profondeur. Le final est trop vite expédié. Certains personnages méritaient d'être plus développés ; en particulier celui interprété par John BOYEGA. En ce qui concerne le reste du casting, les têtes d'affiche Emma WATSON et Tom HANKS font le métier. Mais ce film sur l'univers des réseaux sociaux gagnait à être mieux ficelé.
Un bon sujet mal exploité. Le comportement de Mae est incohérent, tout comme son ascension fulgurante dans la hiérarchie de l'entreprise. Le rôle du créateur de l'entreprise est largement sous-exploité (et on se demande ce qu'il fait de ses journées). Certaines pistes (le data-center dans l'ancienne station de métro) sont abandonnées en cours de route. Et je ne parle pas de la fin, totalement bâclée, à un niveau de ratage rarement atteint... Et pourtant, le film se regarde sans déplaisir, Tom Hanks est parfais dans son rôle de PDG/gourou, Emma Watson est correcte, il y a du rythme, et on se dit que, mine de rien, on assiste à une fiction qui ressemble beaucoup à ce qui pourrait être un futur pas si lointain. En résumé, une sensation de gâchis...
Internet, les réseaux sociaux, Youtube, ces médias qui partagent nos vies au quotidien pour toujours plus nous rapprocher. C'est le sujet de ce film, sujet d'actualité par excellence, et sujet à controverse ! The Circle a réussi à nous captiver : est-ce la prestation d'Emma Watson avec ce personnage naïf mais pas stupide, la réalisation classique mais très efficace, ou ce thème de l’hyper-connexion qui forcément nous parle ? Tout ça joue effectivement, mais le point fort de ce film, c'est le malaise qu'il nous fait ressentir, le retour sur nous-même, le questionnement à propos des limites des réseaux sociaux ou du pouvoir des entreprises face aux gouvernements. Il pousse à la réflexion, à la modération, et c'est forcément bon ! La fin est-elle même pleine de mystère, on a d'ailleurs émis quelques hypothèses ensemble en partant ! C’est aussi très intéressant de se pencher sur la « transparence » du personnage, réfléchir à ses multiples définitions… Bref, un film intelligent, qu’on a vraiment apprécié et qu’on conseille vivement !
Assez déçue de ce film qui avait pourtant un potentiel fort intéressant. Sur un thème à la « Black Mirror », nous suivons l'ascension de Mae incarnée par Emma Watson, dans une entreprise basée sur la poussée des technologies, de réseaux et médias sociaux très influente. L'entreprise va pousser de plus en plus loin l'évolution de ses produits tout en réduisant les limites de la vie privée des gens. Et pourtant sur une bonne idée de scénario, la mayonnaise ne prend pas. Le film est creux et fade, on s'ennuie. J'ai trouvé qu'Emma Watson était assez médiocre dans son rôle, certains personnages ne sont pas développés, on trouve des incohérences ou des scènes assez absurdes sans conséquences. Bref, j'ai eu un regard détaché pendant une bonne partie du film. La fin ne m'a fait ni chaud, ni froid. Pour une vraie critique des dangers des réseaux sociaux et technologies, pour une vérité qui dérange, je vous conseille la série que j'ai mentionnée plus haut, « Black Mirror ».
Le genre de film qui laisse le spectateur au milieu du gué en bâclant la fin. Pourtant, la mayonnaise monte bien, la problématique est à la hauteur et puis rien, ou presque. Dommage, les acteurs méritaient mieux.
Globalement déçu. Le film est correct mais cela aurait pu être tellement mieux.
Au début, j ai remarqué fréquemment des acteurs les bras ballants de façon peu naturelle, au bout d un moment je ne l'ai plus remarqué, je ne suis pas sûr que ce soit parce que cela n arrivait plus.
Je pense que le film fait une faute en ne nous disant pas ce que Mae fait du seeWach qu elle récupère son premier vendredi. A partir du moment où le film attire notre attention sur les seeWach, il ne peut plus faire comme s ils n étaient pas important, d autant plus qu ils ont leur importance durant le kayak ou le pont. Celui de Mae devait être plus développé, ou ne pas lui en donner.
De même, lorsque le film fait allusion à une messagerie secrète décryptée, le film ne peut pas faire l impasse de révéler ce qu elle contient.
Lorsque mae parle d une reappropriation de youTru, le film doit préciser ce qui change, à ce moment là du film, cela ne me semble pas acceptable d en faire l économie.
La scène avec les animateurs de réseau sociaux me semble trop longue, trop démonstrative, trop outrancière, trop explicite. Le film aurait été bien plus efficace à rester plus sobre : après la question sur ses horaires de son week-end, la remarque sur sa participation aux deux groupe de the circle aurait suffit accompagnée d une autre remarque déplacée insistante par exemple quelque chose du genre "untel y participe, ce n est quand même pas pour le fuir que vous n y allez pas ?".
Les portables qui s allument dans l obscurité pour signifier qu il n y a plus de possibilité de se cacher, que les gens deviennent acteurs agissants, je comprend le message, mais la façon dont c est fait me semble bien faible, décevante. Il aurait fallu je pense que les portables soient en mode flash, projection de lumière. En mode allumé la lumière qu ils diffusent ne convient pas à la scène.
La fin est très décevante car elle consiste en un tournant et il n y a pas assez sur ce qui suit.
Que fait l inventeur de youtru de ses journées, comment sait-il des secrets. Le génie de l informatique est une explication trop facile et trop pauvre. Qu il soit indépendant et n air de compte à rendre à personne n explique pas qu il puisse aller où bon lui semble comme il veut.
Sur beaucoup de points le film ne fait pas fini, pas soigné et du coup est décevant. Trop d impasses, trop de facilités,
Quelle parodie de nos très grosses sociétés de réseaux sociaux qui nous rendent complètement addict et qui savent beaucoup de choses sur les abonnés - même s'ils "privatisent" croient-ils !!! Le film vaut par la prestation d'Emma Watson - excellente - moins par celle de Tom Hanks, loin de Philadelphia par exemple!!! Pour le reste, on sent bien les gérants de ce monstre informatique, en voulant toujours plus, allant tout de même vers des obligations qui semblent irréels.... tirant les ficelles financières en tout cas, de tout ce système. Bref, intéressant, mais c'est long à aboutir à une certaine révolte légitime et bienvenue. Sans doute pas assez de surprise, on reste dans du "conventionnel" de ce monde bien sur !! **
Tout est terriblement prévisible, attraction-épanouissement-rejet. Le film cherche à nous éveiller aux dangers de l'interaction vie privée/ vie public et au populisme rampant, mais réussit surtout à nous assoupir. Et ce n'est pas la fade résolution qui changerait la donne. C'est reste toutefois assez efficace et heureusement, c'est la charmante Emma Watson qui mène l'enquète quand Tom Hanks en chef d'entreprise-gourou réussit une composition assez délectable.
Oh le malaise ! Ce film est angoissant, étouffant par moment, rien que pr la scène de son compte sur le réseau social du campus il mérite d'être vu! Je me sens mal en ayant vu ça Comment perdre toute humanité bosser faire du virtuel et faire du superficiel Heureusement que j'ai conscience de ces dérives.....
Un film assez attendu sur un sujet d'actualité brûlant. Il pose néanmoins bien les enjeux et la fascination/répulsion d'une ère numérique toute puissante. Tom Hanks est très crédible en Steve Job/Zuckerberg et même si certaines situations sont caricaturales il en reste qq chose de ce film...
L'enfer est pavé de bonnes intentions.... Essai de "Défense et Illustration" avec cet ultra médiocre "The Circle" (seul l'aspect circulaire rappelle l'univers de Dante - le reste est du gloubiboulga pour incultes découvrant - sans avoir l'idée de le lire - Orwell, ou "Le Meilleur des mondes" d'Huxley, tellement occupés qu'ils sont à tapoter leur vie minable sur les réseaux sociaux). Dans la posture de Belzébuth, le personnage de Tom Hanks (qui devait avoir des impôts à régler, pour avoir accepté aussi mauvais rôle), et dans celle de l'humain affairé à sa propre perte (et à celle du genre humain, en général) une idiote de compétition - personnage dévolu à Emma Watson.... On aura compris que même la trêve estivale, peu propice aux sorties intéressantes, ne justifie pas que l'on visionne ce genre de navet.
un film bien tourné et dérangent qui nous pose la question de la place des réseaux sociaux et de la limite de la vie privée. Le réalisme et la tournure que prend le scénario sont bien tournée de façon à ce que l'on puise ce dire cela peut et va se produire. Donc un film captivant et dérangent j'adore
Une critique assez juste et efficace des géants de l'internet, les fameux GAFA (Google, Amazon, Facebook, Apple) et de leur tendance à contrôler des pans de plus en plus grands de nos vies. Certains trouveront le film alarmiste et caricatural - il l'est parfois spoiler: (notamment la scène lors de laquelle deux employés demandent à Maé de joindre la communauté ) - mais malheureusement il ne fait qu'anticiper une tendance déjà à l’œuvre depuis plusieurs années. Il faudra sans doute qu'un film pour une prise de conscience des dangers de la fin de la vie privée. Dans un futur proche, the circle risque bien d'être "vicious".