Derniers Avis : The Circle - Page 2

Nous sommes tous déjà fichés par notre carte bleue, smartphone mais ce serait pire avec l’utilisation massive et aveugle des réseaux sociaux. D’ailleurs cela a déjà commencé et souvent pour le pire avec des personnes qui retrouvent des messages ou des vidéos les concernant sur le web. Le film donne une vision de ce que pourrait être l’avenir avec plus de vie privée et l’emprise sur certains les obligeant à tout publier sans esprit critique. Le film se termine bien par un retournement de situation. Oui mais voilà, ce retournement ne m’a pas convaincu et du coup m’a gâché une bonne partie du film.

Sujet super intéressant, mais entrée en matière assez lente et conclusion complétement ratée.
Le personnage principal approuve et valide toutes les dérives de The Circle, ignore ses propres responsabilités (avoir été l'instrument de la société) et conclut que le système (dont elle vient de voir les pires aspects) est pas si mal et doit être généralisé à tous.
Plus de vie privée, plus d'intimité, plus de relations vraies, n'être qu'une façade, imposer une caméra à tous et tout le temps.
Les 2 patrons et leurs agissements douteux sont pointés du doigt, mais les millions de followers hargneux, envieux, pervers et malsains au possible qui veulent toujours plus et qui aiment plus détester que aimer ainsi que les milliers d'influenceurs prêts à perdre intimité et liberté pour avoir des likes sont clairement identifiés pendant le film mais au moment de la conclusion, ils sont oubliés..
Quand on voit ce que Black Mirror sait faire avec ce genre de sujet... Le réalisateur est vraiment passé à côté du sujet.

Ce film reflète parfaitement la société vers laquelle notre monde se dirige, une société où l'on stocke toutes nos données pour construire des bases de données de plus en plus complètes pour nous aider au quotidien. Une société dans laquelle tout le monde partage sa vie avec tout le monde. Le film met aussi en garde contre le partage de la vie privée, surtout quand cela touche des personnes proches.

The Circle film avec pour actrice principale Emma Watson. The Circle c’est l’histoire de Mae (Emma Watson) qui s’engage dans une société privé étudiant les nouvelles technologies et les réseaux sociaux. Alors qu’elle prend de plus en plus de place au sein de l'entreprise, Mae va participer à une expérience qui repousse les limites de la vie privée, de l’éthique et de la transparence.

Tout d’abord ce film est assez intriguant ne serait que pour son formidable casting avec Emma Watson incarnant la protagoniste principal de l'œuvre et Tom Hanks en bourreau de la société.

Si le début est un peu mou, le film travaille une intrigue connue mais particulièrement intéressante, les réseaux sociaux et la fin de la vie privée tout en repoussant sans cesse les limites de l'éthique et des libertés.

Ce film semble avoir beaucoup de potentiel mais se heurte à son impossibilité à présenter des solutions aux problèmes déjà connus. Au final on n’a juste l’impression d’avoir vu un épisode de black mirror en moins bien.

Le personnage de Mae est aussi difficile à cerner puisqu’elle se contredit sans cesse, effectivement Mae semble avoir besoin d’une certaine liberté notamment quand elle part faire du kayak ou qu’elle trouve que l’entreprise va trop loin mais finalement ces actes vont en faveur de l’entreprise. Elle continue encore et encore à devenir de plus en plus transparente donc sans vie privée.

Le fait que Mae reste du côté de l’entreprise aurait pu être expliqué simplement, elle fait cela pour son père mais finalement non elle caresse l’idée même du cercle sans aucune remise en question alors que cela à eu un impact négatif important sur sa vie.

The Circle ressemble un peu à la Chine finalement, il n’y a aucune vie privée la seule différence c’est qu' en plus du gouvernement, le public connaît aussi toute ta vie privée.

En plus d’autres défauts comme des entretiens débiles, des non réactions de Mae, une présentation de petite caméra qui n’a aucun impact, des caméras impossibles ou encore une scène qui dénonce le comportement humain aux lieu des technologies, la morale de l’histoire est claquée.

Alors que l’on s’attend à un retournement de situation à la fin, finalement cette morale semble nous dire que ce manque de vie privé est une bonne chose…

Le film démontre beaucoup de problème que causerait un tel système mais finalement il nous dit que ce n’est pas grave, vraiment ???

Pour ce qui est des points positifs, déjà les acteurs, Tom Hanks joue toujours très bien et Emma Watson joue très juste. Les décors sont beaux.

Malgré ces nombreux défauts le film reste assez divertissant, je ne peux pas dire avoir passé un mauvais moment devant le film.

Cependant le trop grand nombre de problèmes dans ce film font de cette production un échec qui avait pourtant du potentiel.

J'ai revu ce film hier et j'ai été très déçu et je lui avais donné deux étoiles alors qu'il ne les mérite même pas. L'écriture du scénario est tout à fait mauvais l'intrigue est mal ficelée et même le jeu des acteurs n'était que décent et encore un résultat surprenant compte tenu de la notoriété du casting. Le concept général de The Circle semble initialement intéressant mais lorsqu'on l'explore en profondeur et qu'on le présente dans cette histoire on trouve de nombreux défauts et par moments cela semble presque stupide. Au fur et à mesure que le film avance les choix et les actions du personnage principal semblent contradictoires avec la façon dont il a été présenté au début et il devient donc difficile pour le public de s'identifier à lui.. À la fin il est devenu évident que The Circle avait espéré offrir un commentaire social profond sur la technologie et le comportement humain mais il a finalement échoué en créant un film aussi prévisible parfois incompréhensible et ringard. Les dialogues sont presque risibles par moments et aucun personnage ne semblait complexe ou réel. Plutôt que de susciter des discussions ou des réflexions profondes il vous laisse avec un grand sentiment de déception et d'insatisfaction quant à la façon dont l'histoire a été menée ainsi qu'une frustration face à l'immense quantité de trous dans l'intrigue. The Circle tente de se faire un nom parmi les nombreux films sur les dangers de la technologie mais comme toujours une écriture paresseuse et une intrigue pauvre et prévisible ne peuvent que conduire au résultat décevant...

Un film sidérant sur l'emprise "amicale" des nouvelles technologies sur nos vies et sur le pouvoir que nous leur donnons.

Plus une déception qu'un frustration.
On se demande où le film à put autant foiré, le casting est excellent, le thème abordé tout autant et pourtant on ne ressent rien a part de l'ennuie, l'empathie est inexistante pour mae alors qu'Emma Watson fait son possible (spoiler) : la mort de son amie n'a aucun intérêt, comme ci il fallait encore insister sur le danger de the circle (politique , puces dans le fémur...) bref déçu que le projet soit aussi pauvre et ennuyeux.

Film a la Black Mirror, très bien joué. Anticipation de ce que pourrait être les dérives d'une société hyper connectée. On a aimé ce film.

On ne sait pas trop si le film critique ou pas finalement la société dans laquelle nous vivons. Nous suivons la vie d'une jeune fille qui devient influenceuse en même temps sur les médias, puis dans sa boîte. Pas un très grand intérêt car tout ce qui est montré fait parti intégrante de nos vies, bien qu'il y ai quelques débats pas encore règles aujourd'hui.
Ça n'aurait pas marché sans Tom Hanks et Emma Watson qui n'ont d'ailleurs rien d'incroyable dans le film.

Se laisse regarder sans être transcendant, le duo Watson/Hanks fonctionne incroyablement bien cependant tout le long du film persiste cette sensation désagréable de gratter uniquement la surface. Un potentiel inexploité.

Film moyen, il avait pourtant un casting de qualité et qui est très tendance (Emma Watson, Tom Hanks, John Boyega...). Une histoire de base avec une idée futuriste un peu apocalyptique dans un monde où on ne sait plus vraiment où la technologie doit s'arrêter ? à quel point doit-on dévoiler sa vie privée ? Pour ça The Circle arrive à nous faire peur et prendre conscience des réseaux sociaux et de leur influence sur ce point-là on ne peut rien lui reprocher. Mais pourtant j'ai l'impression que la fin de ce film a été baqueler. Une mise en place trop longue pour une péripétie passer à la trappe, en 10 minutes May arrive à se remettre de ce drame pour au final une fin de film rater avec une résolution de la problématique pas terrible à mon goût et surtout très courte. Pas d'élargissement je suis resté sur ma faim. Dommage!

Big Brother is watching you !
Voilà le film est résumé, on est dans la critique, la satire, la dénonciation de ces startup qui on prient leur envol et qui gouverne les réseaux sociaux. On retrouve l'esprit de la Silicone Valley, jeunes surdoués et geek; voilà le monde de demain. Le curseur est poussé à fond et dénonce les dérives, jusqu'au boutisme. C'est bien fait et plutôt flippant de voir où nous en sommes et ou cela va nous mener. Car ne rêvons pas, l'escalade est en route et il n'y a pas grand chose qui pourra la stopper, la freiner peut-être, la stopper surement pas!
Le film est basé sur l'expérience d'Emma WATSON que l'on suit dans cette dérive, intriguée, sceptique, séduite, conquise, troublée, indécise, révolté. Il manque le côté frénétique, le côté thriller, pour que cela soit plus efficace, et on nous laisse à notre propre réflexion, histoire de ne pas braver notre liberté de pensé.

Le film est globalement bon, avec une Emma Watson toujours excellente.
Cependant le film manque d'épaisseur; réalisé dans le but d'entraîner une prise de conscience, l'objectif n'est pas atteint: le film survole le sujet sans vraiment entrer au cœur du problème: Big Brother. De plus, le "méchant" incarné par Tom Hanks ne l'est pas vraiment.
Cela rend le film plus divertissant qu'autre chose.

Pas mal surtout pour le fait que le film donne matière à réflexion sur des sujets comme la vie privée (qui peut parfaitement être restreinte), le travail, la liberté, le droit de vote, la vidéo-surveillance, les réseaux sociaux, la transparence.... Après les points les moins bons sont notamment sur la fin avec le cliché du grand patron avide d'argent, Boyega assez sobre et moins mauvais que dans la plupart de ses films mais peu utile à l'intrigue, la bluette insipide, la traque et la vindicte absurde de gens connectés, l'absence de mention de l'utilisation et la monétisation des données personnelles . Personnellement, il suffit de ne pas s’intéresser à ces réseaux sociaux pour leurs être imperméables, c'est simple. Quant à réaliser son potentiel, participer à la société, de tout temps des gens se sont mis en marge de celle-ci tel que les ermites de l'antiquité. Ce n'est pas obligatoire et des lors que ça le devient, cela perd sons sens de devoir tel que le droit de vote d'un clic.

Entre une et trois étoiles, mon coeur balance.

Une étoile

Film globalement décevant au premier abord. Comme beaucoup de spectateurs, j'ai trouvé simplistes le scénario et la psychologie du personnage principal interprété par Emma Watson. Décevante aussi, à première vue, spoiler: la fin en eau de boudin
.

Trois étoiles

Et pourtant... Avec un peu de recul, le propos du film est peut-être plus profond qu' il y paraît si on le revoit au filtre de sa conclusion. spoiler: Sur le coup, je n'y ai rien compris. Le réalisateur semble préparer un retournement de situation. Je m'attends à un plaidoyer simpliste de l'héroïne contre la surveillance généralisée, et au dévoilement des dirigeants que je vois déjà se lancer dans une fuite grotesque, couverts d'opprobre...
Et bien, pas du tout ! spoiler: L'héroïne embrasse leur cause. Elle ne comprend rien à leurs motivations (a lot of money, of course...) mais les prend au mot et force l'entreprise à pousser ses préceptes à l'extrême. C'est à priori incohérent après la tragédie qu'elle vient de vivre mais l'important n'est pas dans la vraisemblance du scénario. Il est dans ses implications. Dans la vraie vie, les barrières des libertés et de la sphère privée tombent une à une et le comble, c'est que nous en sommes les complices. Plutôt que de nous rebeller, de couper nos téléphones et nos ordinateurs, nous accueillons à bras ouverts les bénéfices des nouvelles technologies. A la rigueur de la nature, à l'aventure, nous préférons la chaleur du radiateur et l'ivresse d'un égo bercé d'illusions. En réalité, c'est moins manichéen, mais simplifions le propos. Face aux manipulateurs cyniques, nous sommes mûrs pour une sorte de syndrome de Stockholm. C'est de cette maladie que souffre l'héroïne. Dès lors, on comprend mieux qu'elle chasse ses malaises d'un revers de manche, ses incohérences et son caractère superficiel.