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    The Circle
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    400 critiques spectateurs

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    CLAIRE M.
    CLAIRE M.

    20 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 juillet 2017
    Bizarrement ce film a tout pour plaire... mais je n'arrive pas à dire que c'est un bon film car il manque de la consistance avec des sensations étranges... Je pense qu'il ne faut pas dépenser de l'argent pour assister à la diffusion au cinéma mais le voir à sa sortie en DVD... Je suis restée sur ma faim !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 21 juillet 2017
    tres bon film je vous conseille d'y aller le voir car tres tres tres tres tres belle histoire et ses pourca que vous conseille se film
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 octobre 2017
    Pas terrible.
    C'est un sujet intéressant qui soulève des promesses, on s'attend à une prise de position. L'influence des réseaux sociaux et leurs limites, jusqu'où ira t-on ? Les bases sont posées cependant ce n'est pas abouti. Dommage
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 septembre 2017
    Voici un film qui vous montre tous ce que vous savez sur votre vie privé par rapport à la technologie et qui vous ne propose AUCUNE solution . Ennuyeux et confus ,trop d'intrigues démarrés et jamais aboutis ,voici THE CIRCLE .
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    101 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juillet 2017
    Loin de la complexité orwellienne attendue, le film s’enlise peu à peu dans le conformisme qu’il entreprenait de dénoncer jusqu’à un final en forme de pétard mouillé. L’interprétation d’Emma Watson et John Boyega ainsi qu’une mise en scène alerte sauvent tout de même l’ensemble de l’ennui.
    Frédéric M.
    Frédéric M.

    162 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2017
    Film très bien pensé amenant à la réflexion. On sent à peine le coté Facebook visé. Par contre je trouve que ça ne va pas assez loin, la fin me parait un peu bâclé vers la fin. Comment finir une telle histoire ? Un tel concept ? le film aurait peut être mérité une plus longue durée ? ça rappelle un peu le film antitrust
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juillet 2017
    La prestation de l'actrice Emma Watson est à coupé le souffle, le film passe très vite cependant certaines choses sont pas top dans le film. 4 faux raccords et le nombres de fois où a était cité le titre du film est un peut trop à mon goût total 68 fois. Et dernier petit point négatif à mon avis c'est que même si le film est tourné vers l'actrice Emma Watson j'aurais aimer voir plus en profondeur certains rôles développés.
    Anaïs M
    Anaïs M

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 20 juillet 2017
    Vraiment très déçu de la fin et du film en lui même qui reste assez plat tout le long de l'histoire.
    Je ne le regarderai pas une deuxième fois
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 217 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Eh bah voyez-vous chers lecteurs, face à ce « The Circle », je suis très partagé… Tellement partagé que je ne peux m’empêcher de réécrire en permanence ma critique, juste parce que je suis infoutu de lui mettre une note dans laquelle je me retrouve. Finalement, ce sera donc « 2 étoiles » sur 5 possibles. D’un côté j’avais vraiment envie de valoriser ce que ce film cherchait à dire et qu’il parvient d’ailleurs (en partie) à illustrer plutôt clairement. D’un autre côté, j’ai beau vouloir être bienveillant, il y a quand même beaucoup trop de trucs qui sont mal foutus dans ce « The Circle » pour dire qu’au final, c’est un film à voir… Déjà, moi, le début, j’ai vraiment eu du mal à y adhérer. Etrange sensation que de se dire que le sujet nous intéresse, que les pistes ouvertes par l’intrigue nous intéressent, et que le film pourtant nous gonfle… J’ai donc cherché à comprendre quel était le premier « hic » de ce « The Circle » et je pense qu’il se trouve d’abord dans une écriture trop convenue et surtout beaucoup trop paresseuse. Tout le parcours du personnage principal est finalement déroulé linéairement, de manière très démonstrative, sans esprit de sélection. Alors certes, parce que tout y est et tout y est simple, l'intrigue n'en est que plus claire. D'un autre côté, j'avoue grandement douter du caractère vraiment essentiel de chaque scène. spoiler: Commencer le film en consacrant une scène entière pour nous faire comprendre à quel point Mae ne s'épanouit pas son travail, et que par conséquent elle va trouver dans la revalorisation affective et salariale de The Circle les motivations à son obéissance, était-ce nécessaire ? Ou plutôt, était-ce vraiment nécessaire de le dérouler ainsi, en un bloc spécifique et exclusif situé en début de film ? Je pense que cette mécanique de pensée est suffisamment familière à tous – du moins en ce qui concerne les populations qui sont ou qui ont été active – pour qu’on puisse imaginer traiter la chose plus rapidement, ou du moins de façon plus diluée avec d’autres thématiques. Seulement voilà, je pense que le problème était justement là : l’imagination…
    Le problème de cette paresse d’écriture, c’est qu’on la retrouve un peu partout et un peu tout le temps. On la retrouve notamment quand il s’agit de nous présenter l’entourage familial, l’entreprise, les outils numériques, les collègues… Et ce problème de paresse est doublé quand on le retrouve aussi dans la forme. « The Circle » se revendique quand même d’une certaine forme d’anticipation et pourtant on a droit au final à une création visuelle et sonore en berne. Ah ça ! Je peux vous dire que j’ai parcouru ces interminables minutes d’exposition l’œil triste et l’oreille morne ! Il n’y a pas vraiment de choix formel opéré pour dire quelque-chose de cet univers par les sens. Tout est neutre. Le minimum accompli réside en ce seul bâtiment à l’architecture new-age bien fade. Rien de bien envoutant et de séduisant là-dedans donc, si bien que pour le coup j’avais clairement du mal à comprendre les phases d’extase très démonstratives par lesquelles Mae passait toutes les cinq minutes. (En même temps, si assister à un concert de Beck est pour elle le summum du fun, je peux comprendre pas mal de choses). D’ailleurs, on pourrait aussi en parler de cette pauvre Mae. Plus personnage-fonction qu’autre chose, elle n’est clairement là que pour permettre de dérouler la démonstration du film et c’est là qu’à mon avis la mécanique s’enraye le plus. Et ce n’est pas forcément l’utilisation de Mae en tant que personnage-fonction qui me dérange en soit. Après tout un film qui entend développer une démonstration se doit bien de passer par ce genre d’astuce pour être efficace. Seulement voilà, encore faut-il que l’illusion fonctionne et que le personnage ne se limite pas qu’à ça. Il faut qu’on puisse se reconnaître dans les émotions de ce personnage, ou au moins dans sa logique. Or, sur ce point, c’est assez catastrophique je dois bien avouer. Et c’est là pour moi que tout bloque. Moi je n’arrive pas à me projeter dans une intrigue dont la principale animatrice est aussi inconsistante. Mon souci, c’est que je considère que Mae, en tant que personnage, n’est ni capable de générer de l’empathie, ni capable de convaincre par sa logique. C’est un personnage lisse qui ne se limite qu’à un banal « j’aime mes parents et mes potes. » Rien de plus ne nous est malheureusement donné pour qu’on l’aime elle, dans sa singularité, pas plus que ses parents. Et ce qui est triste, c’est que sa logique ne parvient pas à compenser son manque cruel de relief. Un jour elle a des réticences et moque avec lucidité les excès de l’entreprise, et puis d’un seul coup, il faut que – pour les besoins de scénario – elle se transforme en un être totalement acquis à la cause et dépourvu de tout sens critique. Alors certes, il y a bien une explication, mais elle est vraiment fainéante et pas très crédible ( spoiler: La veille, la nana se sent tellement oppressée par tous ces regards qu’on porte sur elle qu’elle en vient à fuir en kayak pour trouver un peu de solitude ; mais parce que c’est la technologie de The Circle qui lui permet de la sauver de la noyade, alors le lendemain elle se décide de lever toutes ses réticences auprès de la boîte et de s’y livrer en toute transparence. Non mais oh ! Là non ! Comment veux-tu qu’on accorde de la considération à ce que pense et ressent cette fille si on nous suggère que finalement son attitude n’est dictée que par des postures superficielles qu’elle peut retourner comme ça, par simple choix ?
    ) Et pour le coup c’est vraiment dommage parce que le déroulement de l’intrigue permet parfois de saisir de belles questions éthiques ! Mieux encore : ce film peut même se vanter de traiter la plupart de ces questions avec une réelle intelligence et clairvoyance. J’apprécie notamment beaucoup que le film ait su faire preuve d’ambivalence dans la façon de présenter chaque innovation proposée par l’entreprise. ( spoiler: Certes, on critique bien le fait que les minis caméras peuvent tout espionner, mais d’un autre côté, on sait insister sur le fait qu’elles permettent d’améliorer notre quotidien, voire de sauver des vies ! Même chose pour les bracelets qui peuvent tracer les personnes tout en permettant un suivi médical hors pair.
    ) D’ailleurs, à ce petit jeu là, je ne pourrais nier le mérite qu’à ce « The Circle » d’être parvenu à pousser la démonstration suffisamment loin pour qu’elle puisse nous offrir quelques moments très signifiants comme spoiler: cette incroyable (et très flippante) course-poursuite visant le pauvre Mercer
    , ou bien encore spoiler: les quelques illustrations bienvenues visant à montrer comment des entreprises aussi influentes pouvaient facilement influencer ou phagocyter le champ du politique
    . Alors oui, à un moment, pour ces mérites là, j’étais prêt à lui attribuer quand même trois étoiles à ce film. Après tout pourquoi pas ? Certes, il se la joue facile dans ses effets d’intrigue, mais au-delà de ça il a le mérite de pousser assez loin et assez clairement la réflexion qu’il entend porter sur son sujet. Du coup je me disais qu’ils seraient certainement nombreux les spectateurs à y trouver leur compte dans ce « The Circle » et qu’au fond, même moi, je n’avais pas tant que ça à me plaindre… Donc soit… Why not… Mais bon… En faisant ce choix-là, d’une certaine manière, je validais implicitement le fait qu’on pouvait excuser la platitude des personnages. En faisant ce choix-là aussi, je validais aussi la linéarité du propos, et ses expositions bloc par bloc. Pire, en faisant cela, je validais une forme impersonnelle, irréfléchie et consensuelle qu’un sujet intéressant pourrait à lui seul justifier… Du coup, j’ai décidé de ne pas faire ce choix. Non, ce serait vous mentir : moi, ce genre de démarche dans un film, ça ne me satisfait pas. L’impersonnel, ça ne me satisfait pas. Le consensuel, ça ne me satisfait pas. Et ça ne me satisfait pas quand ça conduit un auteur à ne pas pousser son art jusqu’au bout. Par sa maîtrise du propos et de certaines scènes, James Ponsoldt démontre qu’il maitrise les codes du cinéma et qu’il comprend les problématiques du sujet qu’il traite. Alors oui, on peut se satisfaire de ce qu’il apporte, mais on peut aussi se plaindre de ce qu’il aurait pu apporter et qu’il n’a pas fait, par simplicité, par consensualisme, voire presque par lâcheté. OK, c’est chouette d’aborder la question du bousculement de la barrière vie publique / vie privée, notamment quand Mae se décide à livrer toute sa vie au monde entier. OK, c’est malin d’user de l’argument du spoiler: « après tout, si on est honnête on a rien à cacher, et si on est généreux on a tout à partager… »
    Mais derrière, ça aurait quand même mérité que soit posée la grande question qui se cache derrière tout ça ; j’entends par là celle de l’intimité ! Parce que bon, réduire la chose à spoiler: la seule pose toilettes et à la sexualité de ses parents
    , encore une fois c'est fort simpliste parce que moralement très consensuel. Alors qu'il aurait si intéressant d'explorer véritablement la question ! spoiler: Mae est-elle légitime à réclamer de l’intimité pour enfreindre les tabous et les normes sociales chez elle dans son cadre privé ? Peut-on lui reconnaître le droit de s’y balader à poil si elle le veut ? De se masturber tranquillement sur son canapé si l’envie lui prend ? Ou bien encore de discuter de sujets polémiques en présence de personnes de confiance parce qu'elle aime ça ?
    Avec ce genre d'approches, on creusait vraiment le sujet, parce qu’au-delà de questionner l’emplacement du curseur entre vie publique / vie privée, on pouvait même questionner sa nécessité et sa légitimité. Là on aurait pu reconnaître au film le mérite d’avoir vraiment réfléchi à toutes les intrications qui sont liées à cette question des réseaux sociaux et plus largement de la surveillance sociale ! Et même chose pour les enjeux posés en conclusion ! spoiler: Que le film nous dise : « Au final, au lieu de lutter contre l’outil, apprenons à utiliser l’outil pour lutter contre certaines de ses utilisations », moi ça me va. Je réponds OK, c’est intéressant. Mais que le film décide de ne pas montrer ces formes de lutte, quelles en seraient leurs limites, ou bien encore quelles seraient les ripostes éventuelles du système face à ces luttes, eh bah je trouve que ça manque ! Et qu’on ne me dise pas que, pour le coup, se risquer à se projeter là-dedans ça devenait trop fantasque ! Non ! Ce genre de lutte existe déjà et alimentent même l’actualité ! Seulement voilà, sur ce point là aussi, le choix qui a été opéré à été celui de la simplicité et de la consensualité.
    Eveiller les consciences pourquoi pas, mais il ne faudrait pas déclencher un débat non plus… Eh bah moi ça m’attriste ça ! C’est petit au fond. Et moi j’estime qu’on a le droit d’être exigeant… Donc non, à mes yeux « The Circle » ne peut être considéré comme un film satisfaisant. Non, je ne m’estime pas satisfait quand on peut plus et qu’on fait moins. Le gâchis ne me satisfait pas. Et si dans le monde des séries on a été capable de repousser les standards de qualité dans le plus grand intérêt de tout le monde, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas le faire au cinéma… Exigeons-le, je pense qu’on aurait tous à y gagner… Après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Alvin LeFaiseur
    Alvin LeFaiseur

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2017
    La fin gâche beaucoup de choses et laisse pantois. Tout ça pour ça ? Emma Watson peu convaincante. Un film bavard qui donne surtout à voir une succession de discours. Tom Hanks encore parfait même dans un petit rôle comme ici.
    Si vous n'avez toujours pas compris les dangers actuels d'une réelle dictature des Google, Elon Musk et consorts (pour faire bref) alors courez voir ce film pour son 1h30 de démonstration appuyée. Sinon passez vous perdriez juste votre temps, ou mieux visionnez "Bienvenue à Gattaca", chef-d'oeuvre du genre, parmi quelques autres.
    SebLefr3nch
    SebLefr3nch

    172 abonnés 686 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 juillet 2017
    La multiplication des nouvelles technologies au service des réseaux sociaux ne pouvait donner lui qu'à un thriller. Dans une société, The Circle (dont le siège fait penser aux prochains bureaux d'Apple), une nouvelle recrue va se trouver embrigadée dans le tourbillon des possibilités de son nouvel emploi au point qu'il vient à occuper toute sa vie. Et malgré elle, elle va en subir les conséquences. On ne peut pas s'empêcher de faire un pareil avec des société comme Facebook ou Google et l'implication qu'elles ont sur la vie de leurs employés. On trouve ça cool au départ puis on devient addict et la chute devient difficile. Le scénario est plutôt intéressant mais il n'a pas suffisamment de points d'accroches pour vraiment nous faire palpiter. La réalisation est pas mal mais manque d'originalité par moment. Emma Watson s'en sort bien, tout comme Tom Hanks, mais ce n'est pas leur meilleur film. Un film plutôt intéressant sur le papier mais qui nous laisse sur une fin bien étrange.
    Cédric R
    Cédric R

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2017
    Sujet intéressant mais déjà obsolète. Le film est pour moi sortie trop tard ou tout simplement pas à la bonne époque. Se laisse quand même regardé.
    Cineseba
    Cineseba

    37 abonnés 617 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 juillet 2017
    "Le film " The circle" aborde le thème sur les dangers des réseaux sociaux qui bousculent les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles jusqu'à percer nos secrets. "Nos secrets sont des mensonges " ... Il dénonce le concept des réseaux sociaux qui ne protège pas et qui ne respecte pas les vies privées, le fameux jardin secret des internautes et aussi le monde virtuel où tout le monde se connecte sans se contacter, se connaitre réellement. Certes, le sujet est intéressant mais malheureusement, ce film n'élargit pas et n'approfondit non plus beaucoup de réflexions percutantes. Manque de profondeur dans la réflexion sur la problématique des réseaux sociaux ! On a vite l'impression que le film tourne en rond, qu'il se perd. Le scénario n'est pas assez travaillé, à la fois trop plat et naif, à mon gout ! Il montre un peu trop les décors qui me font penser aux jolis décors des entreprises de "Google", "Facebook" où tout le monde est détendu, heureux ! Trop superficiel, mmmmh ! On est loin du suspense haletant. Décevant ! Le personnage d'Emma Watson, Mae Holland avide pour gravir les échelons, accepte de vivre des expériences sous le regard voyeur des internautes de "The Circle", elle est trop simple et naïve. En plus, la fin du film est ratée, elle nous laisse sur notre faim. On ne sait même pas quel est le message de ce film : "Les réseaux sociaux sont dangereux pout soi et néfastes pour l'entourage, oui, et alors ? " ... MMmhh .. Dommage car l'idée est très bonne. Je préfère de loin le film "Nerve" d'Ariel Schulman et Henry Joost ... Mmhhh "
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 19 juillet 2017
    Grotesque. Manque de réalisme, tout est visible a des kilomètres, les personnage sont tous stupides.
    Alain A.
    Alain A.

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2017
    J'ai vraiment adoré l'histoire de ce film en plus les.acteurs sont dynamiques
    bref je me suis vraiment pas ennuyé
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