Avis : The Circle - Page 5

J'étais enthousiasmé en voyant la bande-annonce, le sujet, les acteurs et puis... Et puis... Et puis RIEN! C'est tristement creux. Il n'y a aucune surprise, le jeu est plat, oui, oui, même Tom Hanks, le scénario n'a aucun rebondissement. C'est franchement dommage car le sujet aborde un questionnement qui nous effraie tous un peu, l'omniprésence du net, des réseaux sociaux, des caméras, du tout connecté etc... Enfin toujours est-t'il que c'est ici franchement peu développé et d'une platitude navrante. Si le sujet vous plait, il ne faut pas rater la série Black Mirror qui est d'une profondeur jamais atteinte dans l'abord de cette crainte du tout connecté.

Vu le casting et l'affiche prometteuse, je m'attendais à mieux.
Emma Watson est formidable, Tom Hanks, intéressant.
Se voulant être une satire sociale dénonçant les dérives d'un Monde de plus en plus connecté, ce film se loupe admirablement. La faute à un traitement mal dosé, une fin bâclée, des personnages secondaires inexistants, une absence de tension et d'empathie.

Si Emma Watson tient le rôle de façon impeccable, le scénario, lui, ne fait pas dans la finesse. Et sous couvert de dénoncer le risque d'atteinte à la vie privée et le danger de globalisation d'informations individuelles, livre un film pataud et tiré par les cheveux. La réflexion mâchée pour le spectateur devient aussi fade que la prise de conscience de l'héroïne et nous laisse sur le carreau. Bof bof...

James PONSOLDT livre un film assez inégal dans l'ensemble. "The Circle" met beaucoup de temps avant d'atteindre son rythme de croisière. On ne comprend pas tout de suite les enjeux du scénario. Mais une fois qu'ils sont posés, le cinéaste survole ses bonnes intentions. Cela manque parfois de rythme et de profondeur. Le final est trop vite expédié. Certains personnages méritaient d'être plus développés ; en particulier celui interprété par John BOYEGA. En ce qui concerne le reste du casting, les têtes d'affiche Emma WATSON et Tom HANKS font le métier. Mais ce film sur l'univers des réseaux sociaux gagnait à être mieux ficelé.

The Circle tente de nous alerter sur les dangers des réseaux sociaux dans des usages poussés à leur paroxysme. Outre le côté hôpital qui se fout de la charité, ce sera peut être une prise de conscience pour certains mais c'est surtout un empilage de banalité pour beaucoup. En se focalisant sur des dérives extrêmes il en oubli les usages actuels et ses risques certes moins spectaculaires mais encore plus insidieux si l'on y prend pas garde. L'effort d'anticipation est louable et la forme pas désagréable mais sans grande personnalité.

Superbe Scenario sur LA Maîtrise de Soie ou Pas, Emma Watson forme un Super Beau Rôle de diffuser sa Vie Personnel ! Ce FILM éclaire sur le Partage, La Transparence entre Vie privé et Vie Public et avec une Complicité que tout le monde recherche à Divulger ! FILM à Voir dans le Cadre Du Futur et que l'on peut toujours Changer ! Et Pas s'enfermer dans Cercle Viscieux Du Monde Numérique trop évolué et trop exagéré et sans aucune limites de La Vie Public et Vie Privé !

film avec un sujet de société très actuel traité sous forme de Thriller ,cela semblait prometteur. mais non raté .l atmosphère manque d intensité et la mécanique décrite assez superficielle et manque de cohérence. la fin est prévisible.'

Sur le podium des pires films de ma vie.

L'histoire n'a aucun sens, les personnages n'ont aucun sens, la fin vient lentement et péniblement achever ce "film".

A éviter !

« The Circle » est un très bon film de science-fiction, dont l’histoire mêle réalité, technologie existante et à venir. L’intrigue est adroitement ficelée. Le rythme est correct. Les personnages sont bien travaillés, mais le focus est essentiellement placé sur le rôle d’Emma Watson. L’actrice livre une bonne prestation. Tom Hanks offre également une belle performance, offrant un personnage charismatique, intelligent, manipulateur. John Boyaga dispose d’un rôle secondaire. La trame se permet d’écorcher gentiment les réseaux sociaux et le message est à la fois intelligent et effrayant. C’est clairement un récit de mise en garde contre l’orientation négative de certaines technologies. À voir …

Ok je viens de finir "The Circle " et je dois avouer que c'est plutot perturbant.
Le film tourne autour de Big Brother en tout cas autour de ce contexte mais chaque choix fait pas "Mae" l'actrice principale est illogique et va a contre sens de ce qu'elle est en privé, et en public.
ils développent une intrigue a la "1984, d'Orwell" dans l'idée mais avec une prise de position positive a BB (Big Brother), enfin ils vont même plus loin en disant clairement que tout le monde devrait être BB..
Pourtant on voit le négatif de tout cela et quand on connait un minimum la nature humaine on sait que tout ça est une très mauvaise idée alors je ne comprend pas du tout ce qu'ils veulent exprimer, car, plusieurs personnages centraux représentes en gros les points de vues de groupe dominant mais condensés en quelques personnages et celui qui en ressort comme positif c est toujours le plus extreme, celui qui va plus loin, et, qui est également le plus dangereux.
Etrange.

spoiler: Et sérieux a la fin quant elle voit que ce système est dangereux et que ça représente le même fait que de mettre une arme entre les mains des gens de façon légale et quasi incontrôlée, sans limite, et que son ami meurt par sa faute (en partie). Elle choisit d'aller encore plus loin !!!! Et autre chose d'illogique, pendant tout le film on voit qu'une partie d'elle (et on pourrait vraiment la croire schizophrène car ses choix ressembles a plusieurs personnalités distinctes) voit le mal même lors de ses discussions avec "Ty" je crois, bref l'autre fondateur du groupe (qui lui balance toutes les infos sensibles alors que bordel il ne la connait même pas) on voit qu'elle sens le mauvais coté de "The Circle" et pourtant elle pousse le vice de la compagnie encore plus loin pour finir par en prendre le contrôle ! en tout cas c est ce qui est clairement sous entendu en laissant les deux autres fondateurs dans le noir et en guidant l communauté vers la lumière a la fin. Du coup quoi ? ça serait ça l'idée ? Que le personnage principal entre dans un monde merveilleux, puis se rende compte qu'il n'est pas si merveilleux mais choisisse quand même de le rendre encore plus malsain en l'entrainant avec elle et tout le monde qui la suit avec elle aussi ? genre je saute d'une falaise sautez avec moi ! (je crois même qu'ils utilisent cette expression dans le film).


Pour conclure je dirais que le film aurait pu faire des meilleurs choix par exemple en prenant l'exemple "Snowden", là j'ai plus l'impression qu'ils développent une intrigue très actuelle, légèrement futuriste et choisissent de lui donner une morale d'ado formater et inconscient.
Dommage et dangereux pour le message que ça pourrait envoyer a certaines personnes.

Un film intéressant malgré ses nombreux défauts qui promet un futur terrifiant, réaliste jusqu'à créer un malaise.
Une critique plus détaillée et d'autres sur le-blog-d-elisabeth-g.blogspot.fr

Le film part sur une bonne voix avant de largement déraper dans les 20 dernières minutes. La fin est largement ratée confuse voir assez immorale.
Dans sa globalité, le film donne un goût d'inachevé tout du long. Des pistes intéressantes sont proposées tout le long sans jamais être exploité.

La bande-annonce suffit, pas besoin d'aller le voir.

Malgré une narration assez boiteuse, The Circle a le mérite d'aborder plusieurs sujets liés au "Big Data" d'un point de vue critique voire - sans péjoration - réactionnaire. Bien sûr le thème central du film reste l'empiétement progressif et insidieux des géants du numérique (Google, Facebook, etc.) sur la vie privée dans une logique de profit et sous couvert d'humanisme (fameux prétexte "des droits de l'homme" pour masquer une ploutocratie prédatrice, le fascisme n'étant pas toujours là où le croit...). Mais des critiques sur d'autres thèmes sont également abordés de façon plus ou moins anecdotique (critique de l'art abstrait, du transhumanisme, de la novlangue et du progressisme en général ; opposition entre tertiarisation parasitaire de ces emplois "technologiques" et le travail sédentaire "de la campagne"). Au final, le traitement - à travers un prisme conservateur qu'on a pas l'habitude de voir venant d'Hollywood - d'un certain nombre de ces sujets touchant de près ou de loin au Big Data, qui seront vraisemblablement des sujets à débat dans un futur proche, change et fait plaisir à voir.

Une jeune femme, Mae, incarnée par Emma Watson va rejoindre un groupe nommé "The circle" qui gère les technologies et médias sociaux dans le monde. La première partie est tonique avec la découverte de ce milieu et l'innocence de Mae qui croit là découvrir la vie dont elle rêvait, au point de renier son enfance rurale. La suite est plus simpliste avec cette ultra-connexion qui va montrer la face cachée du système.L'ensemble est quelque peu naïf mais il dénonce quand même les dérives du net et j'ai trouvé Emma Watson assez juste dans ce rôle de jeune à la fois sensible et arriviste. Tom Hanks en tant que "gourou" de cette organisation est lui aussi assez crédible.

Adepte de la théorie du complot bonsoir! The Circle est à la fois basé sur une histoire d'autant plus forte que la technologie actuelle se rapproche dangereusement de celle du film, mais plonge aussi dans un tel "n'importe quoi" que tout tombe à plat. La réalisation indolente et le timing complètement ahurissant contribue à faire plonger ce faux blockbuster dans le fond. La critique de Facebook et Apple aurait pu faire mouche, mais en faisant passer "The Circle" pour une entreprise davantage populiste que progressiste, on peine à y retrouver de la pertinence. Finalement, la partie la plus intéressante est davantage située dans la description de ces entreprises de type start-up où la frontière entre vie privée et vie professionnelle n'est pas tranchée, où les collègues sont incités à devenir amis, où le temps libre est un temps de travail, où la nécessaire intimité ne peut rester privée (Secrets are lies). La génération Y qui rêve d'intégrer ce monde où les patrons font semblant d'être des potes pour mieux les exploiter pourrait en prendre de la graine. Une constante malgré tout, Emma Watson reste lumineuse.