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    The Circle
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    Rainfall_Shadow
    Rainfall_Shadow

    38 abonnés 393 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 juillet 2017
    difficile de ne pas voir dans ce film une savoureuse critique de Google ou Facebook et du no-limit qu'impose la collecte de données sur la vie privées des uns et des autres. ce film tend a montrer les risques et enjeux d'une vie exposée, sans filtre ...
    Cédri T
    Cédri T

    23 abonnés 229 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 juillet 2017
    Très bonne surprise et le thème m'a totalement plu car ce genre de choses pourraient arriver on voit les dangers que pourrait créer Internet et son observation vraiment une bonne surprise et Emma toujours aussi canon
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 217 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2017
    Eh bah voyez-vous chers lecteurs, face à ce « The Circle », je suis très partagé… Tellement partagé que je ne peux m’empêcher de réécrire en permanence ma critique, juste parce que je suis infoutu de lui mettre une note dans laquelle je me retrouve. Finalement, ce sera donc « 2 étoiles » sur 5 possibles. D’un côté j’avais vraiment envie de valoriser ce que ce film cherchait à dire et qu’il parvient d’ailleurs (en partie) à illustrer plutôt clairement. D’un autre côté, j’ai beau vouloir être bienveillant, il y a quand même beaucoup trop de trucs qui sont mal foutus dans ce « The Circle » pour dire qu’au final, c’est un film à voir… Déjà, moi, le début, j’ai vraiment eu du mal à y adhérer. Etrange sensation que de se dire que le sujet nous intéresse, que les pistes ouvertes par l’intrigue nous intéressent, et que le film pourtant nous gonfle… J’ai donc cherché à comprendre quel était le premier « hic » de ce « The Circle » et je pense qu’il se trouve d’abord dans une écriture trop convenue et surtout beaucoup trop paresseuse. Tout le parcours du personnage principal est finalement déroulé linéairement, de manière très démonstrative, sans esprit de sélection. Alors certes, parce que tout y est et tout y est simple, l'intrigue n'en est que plus claire. D'un autre côté, j'avoue grandement douter du caractère vraiment essentiel de chaque scène. spoiler: Commencer le film en consacrant une scène entière pour nous faire comprendre à quel point Mae ne s'épanouit pas son travail, et que par conséquent elle va trouver dans la revalorisation affective et salariale de The Circle les motivations à son obéissance, était-ce nécessaire ? Ou plutôt, était-ce vraiment nécessaire de le dérouler ainsi, en un bloc spécifique et exclusif situé en début de film ? Je pense que cette mécanique de pensée est suffisamment familière à tous – du moins en ce qui concerne les populations qui sont ou qui ont été active – pour qu’on puisse imaginer traiter la chose plus rapidement, ou du moins de façon plus diluée avec d’autres thématiques. Seulement voilà, je pense que le problème était justement là : l’imagination…
    Le problème de cette paresse d’écriture, c’est qu’on la retrouve un peu partout et un peu tout le temps. On la retrouve notamment quand il s’agit de nous présenter l’entourage familial, l’entreprise, les outils numériques, les collègues… Et ce problème de paresse est doublé quand on le retrouve aussi dans la forme. « The Circle » se revendique quand même d’une certaine forme d’anticipation et pourtant on a droit au final à une création visuelle et sonore en berne. Ah ça ! Je peux vous dire que j’ai parcouru ces interminables minutes d’exposition l’œil triste et l’oreille morne ! Il n’y a pas vraiment de choix formel opéré pour dire quelque-chose de cet univers par les sens. Tout est neutre. Le minimum accompli réside en ce seul bâtiment à l’architecture new-age bien fade. Rien de bien envoutant et de séduisant là-dedans donc, si bien que pour le coup j’avais clairement du mal à comprendre les phases d’extase très démonstratives par lesquelles Mae passait toutes les cinq minutes. (En même temps, si assister à un concert de Beck est pour elle le summum du fun, je peux comprendre pas mal de choses). D’ailleurs, on pourrait aussi en parler de cette pauvre Mae. Plus personnage-fonction qu’autre chose, elle n’est clairement là que pour permettre de dérouler la démonstration du film et c’est là qu’à mon avis la mécanique s’enraye le plus. Et ce n’est pas forcément l’utilisation de Mae en tant que personnage-fonction qui me dérange en soit. Après tout un film qui entend développer une démonstration se doit bien de passer par ce genre d’astuce pour être efficace. Seulement voilà, encore faut-il que l’illusion fonctionne et que le personnage ne se limite pas qu’à ça. Il faut qu’on puisse se reconnaître dans les émotions de ce personnage, ou au moins dans sa logique. Or, sur ce point, c’est assez catastrophique je dois bien avouer. Et c’est là pour moi que tout bloque. Moi je n’arrive pas à me projeter dans une intrigue dont la principale animatrice est aussi inconsistante. Mon souci, c’est que je considère que Mae, en tant que personnage, n’est ni capable de générer de l’empathie, ni capable de convaincre par sa logique. C’est un personnage lisse qui ne se limite qu’à un banal « j’aime mes parents et mes potes. » Rien de plus ne nous est malheureusement donné pour qu’on l’aime elle, dans sa singularité, pas plus que ses parents. Et ce qui est triste, c’est que sa logique ne parvient pas à compenser son manque cruel de relief. Un jour elle a des réticences et moque avec lucidité les excès de l’entreprise, et puis d’un seul coup, il faut que – pour les besoins de scénario – elle se transforme en un être totalement acquis à la cause et dépourvu de tout sens critique. Alors certes, il y a bien une explication, mais elle est vraiment fainéante et pas très crédible ( spoiler: La veille, la nana se sent tellement oppressée par tous ces regards qu’on porte sur elle qu’elle en vient à fuir en kayak pour trouver un peu de solitude ; mais parce que c’est la technologie de The Circle qui lui permet de la sauver de la noyade, alors le lendemain elle se décide de lever toutes ses réticences auprès de la boîte et de s’y livrer en toute transparence. Non mais oh ! Là non ! Comment veux-tu qu’on accorde de la considération à ce que pense et ressent cette fille si on nous suggère que finalement son attitude n’est dictée que par des postures superficielles qu’elle peut retourner comme ça, par simple choix ?
    ) Et pour le coup c’est vraiment dommage parce que le déroulement de l’intrigue permet parfois de saisir de belles questions éthiques ! Mieux encore : ce film peut même se vanter de traiter la plupart de ces questions avec une réelle intelligence et clairvoyance. J’apprécie notamment beaucoup que le film ait su faire preuve d’ambivalence dans la façon de présenter chaque innovation proposée par l’entreprise. ( spoiler: Certes, on critique bien le fait que les minis caméras peuvent tout espionner, mais d’un autre côté, on sait insister sur le fait qu’elles permettent d’améliorer notre quotidien, voire de sauver des vies ! Même chose pour les bracelets qui peuvent tracer les personnes tout en permettant un suivi médical hors pair.
    ) D’ailleurs, à ce petit jeu là, je ne pourrais nier le mérite qu’à ce « The Circle » d’être parvenu à pousser la démonstration suffisamment loin pour qu’elle puisse nous offrir quelques moments très signifiants comme spoiler: cette incroyable (et très flippante) course-poursuite visant le pauvre Mercer
    , ou bien encore spoiler: les quelques illustrations bienvenues visant à montrer comment des entreprises aussi influentes pouvaient facilement influencer ou phagocyter le champ du politique
    . Alors oui, à un moment, pour ces mérites là, j’étais prêt à lui attribuer quand même trois étoiles à ce film. Après tout pourquoi pas ? Certes, il se la joue facile dans ses effets d’intrigue, mais au-delà de ça il a le mérite de pousser assez loin et assez clairement la réflexion qu’il entend porter sur son sujet. Du coup je me disais qu’ils seraient certainement nombreux les spectateurs à y trouver leur compte dans ce « The Circle » et qu’au fond, même moi, je n’avais pas tant que ça à me plaindre… Donc soit… Why not… Mais bon… En faisant ce choix-là, d’une certaine manière, je validais implicitement le fait qu’on pouvait excuser la platitude des personnages. En faisant ce choix-là aussi, je validais aussi la linéarité du propos, et ses expositions bloc par bloc. Pire, en faisant cela, je validais une forme impersonnelle, irréfléchie et consensuelle qu’un sujet intéressant pourrait à lui seul justifier… Du coup, j’ai décidé de ne pas faire ce choix. Non, ce serait vous mentir : moi, ce genre de démarche dans un film, ça ne me satisfait pas. L’impersonnel, ça ne me satisfait pas. Le consensuel, ça ne me satisfait pas. Et ça ne me satisfait pas quand ça conduit un auteur à ne pas pousser son art jusqu’au bout. Par sa maîtrise du propos et de certaines scènes, James Ponsoldt démontre qu’il maitrise les codes du cinéma et qu’il comprend les problématiques du sujet qu’il traite. Alors oui, on peut se satisfaire de ce qu’il apporte, mais on peut aussi se plaindre de ce qu’il aurait pu apporter et qu’il n’a pas fait, par simplicité, par consensualisme, voire presque par lâcheté. OK, c’est chouette d’aborder la question du bousculement de la barrière vie publique / vie privée, notamment quand Mae se décide à livrer toute sa vie au monde entier. OK, c’est malin d’user de l’argument du spoiler: « après tout, si on est honnête on a rien à cacher, et si on est généreux on a tout à partager… »
    Mais derrière, ça aurait quand même mérité que soit posée la grande question qui se cache derrière tout ça ; j’entends par là celle de l’intimité ! Parce que bon, réduire la chose à spoiler: la seule pose toilettes et à la sexualité de ses parents
    , encore une fois c'est fort simpliste parce que moralement très consensuel. Alors qu'il aurait si intéressant d'explorer véritablement la question ! spoiler: Mae est-elle légitime à réclamer de l’intimité pour enfreindre les tabous et les normes sociales chez elle dans son cadre privé ? Peut-on lui reconnaître le droit de s’y balader à poil si elle le veut ? De se masturber tranquillement sur son canapé si l’envie lui prend ? Ou bien encore de discuter de sujets polémiques en présence de personnes de confiance parce qu'elle aime ça ?
    Avec ce genre d'approches, on creusait vraiment le sujet, parce qu’au-delà de questionner l’emplacement du curseur entre vie publique / vie privée, on pouvait même questionner sa nécessité et sa légitimité. Là on aurait pu reconnaître au film le mérite d’avoir vraiment réfléchi à toutes les intrications qui sont liées à cette question des réseaux sociaux et plus largement de la surveillance sociale ! Et même chose pour les enjeux posés en conclusion ! spoiler: Que le film nous dise : « Au final, au lieu de lutter contre l’outil, apprenons à utiliser l’outil pour lutter contre certaines de ses utilisations », moi ça me va. Je réponds OK, c’est intéressant. Mais que le film décide de ne pas montrer ces formes de lutte, quelles en seraient leurs limites, ou bien encore quelles seraient les ripostes éventuelles du système face à ces luttes, eh bah je trouve que ça manque ! Et qu’on ne me dise pas que, pour le coup, se risquer à se projeter là-dedans ça devenait trop fantasque ! Non ! Ce genre de lutte existe déjà et alimentent même l’actualité ! Seulement voilà, sur ce point là aussi, le choix qui a été opéré à été celui de la simplicité et de la consensualité.
    Eveiller les consciences pourquoi pas, mais il ne faudrait pas déclencher un débat non plus… Eh bah moi ça m’attriste ça ! C’est petit au fond. Et moi j’estime qu’on a le droit d’être exigeant… Donc non, à mes yeux « The Circle » ne peut être considéré comme un film satisfaisant. Non, je ne m’estime pas satisfait quand on peut plus et qu’on fait moins. Le gâchis ne me satisfait pas. Et si dans le monde des séries on a été capable de repousser les standards de qualité dans le plus grand intérêt de tout le monde, je ne vois pas pourquoi on ne pourrait pas le faire au cinéma… Exigeons-le, je pense qu’on aurait tous à y gagner… Après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    S.i.n
    S.i.n

    8 abonnés 66 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 juillet 2017
    Incroyablement captivant et réfléchi. The Circle nous apporte une réflexion utile sur l'avancée des technologies du domaine "social", en traitant également du rapport entre vie privée et vie public. À noter qu'Emma Watson et Tom Hanks livrent une prestation impeccable. Je recommande.
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    58 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 juillet 2017
    Thriller saupoudré de sciences fiction mais à peine car cette évolution technologique pourrait très bien arriver dans un futur proche, The Circle utilise le thème des réseaux sociaux afin de dénoncer les limites de leur exploitation dans une société qui va de plus en plus vers le tout connecté. Interprétée par Emma Watson (Harry Potter, Regression, La Belle et la Bête), Mae est engagée dans une entreprise florissante où les nouvelles technologies laissent croire à un monde forcément meilleur car plus on avance dans le film, plus on sait tout sur tout le monde. Le fondateur Eamon Bailey, joué par Tom Hanks (Dans l’ombre de Mary, Le pont des espions, Inferno), lui donne alors davantage de responsabilités et elle devient alors la première à participer à une expérience révolutionnaire qui bouscule les limites de la vie privée, de l'éthique et des libertés individuelles.

    La critique des réseaux sociaux est frappante à plusieurs reprises, et notamment lorsque deux collègues de Mae viennent lui reprocher gentiment qu’ils ne la connaissent que trop peu car elle ne raconte rien de son temps libre sur l’immense réseau social de la société, eux qui savent déjà un certain nombre de choses sur elle sans avoir eu à lui demander, la base de données partageant toutes sortes d’informations sur les individus avec photos, graphiques et documents directement affichés. Il est intéressant de noter qu’à ce sujet, le créateur du logiciel interprété par John Boyega (Finn dans Star Wars le réveil de la force) se fasse passer intentionnellement pour un utilisateur lambda pour profiter de sa vie privée. L’expérience visant à établir une transparence totale sur l’individu, Mae porte sur elle une petite caméra afin que n’importe qui puisse suivre ses moindres faits et gestes à chaque moment de la journée, excepté quand elle dort et quand elle va aux toilettes pour une durée de trois minutes seulement.

    On voit en temps réel les commentaires écrits de ses followers, allant du groupisme au sarcastique en passant par les clichés les plus kawaii. Les limites de la vie privée commencent à se faire gravement ressentir lorsque Mae retourne chez ses parents et spoiler: les surprend en pleins ébats
    malgré la sclérose de son père, ou encore lorsque la recherche participative d’un individu disparu sur grand écran devant tout le monde spoiler: conclut à un suicide
    . Mais le film va encore plus loin que ça en dénonçant également les limites du système démocratique, en mettant la masse des utilisateurs dans la peau de véritables moutons aveuglés par une sorte d’esclavage consenti, de quoi faire écho à la société du début du XXIème siècle, allant même jusqu’à parler de vote obligatoire et d’un tout en un généralisé pour quiconque aurait un compte chez The Circle. Et la seule porte de sortie est brillamment mise en avant sur la fin : spoiler: battre publiquement les dirigeants sur leur propre système afin de les obliger à subir ce qu’ils ont infligé aux autres
    . Un film brillant !
    dominique P.
    dominique P.

    808 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 juillet 2017
    J'ai adoré ce film, cette histoire.
    C'est vraiment intéressant, prenant, inquiétant, bluffant, et renversant vers la fin.
    Toujours vers la fin, il y a beaucoup d'émotions liées à un ami de l'héroïne principale, vous verrez.
    Le rythme est bien mené, l'actrice principale est formidable.
    Ce film montre bien les dangers de la technologie poussée, envahissante.
    Jorik V
    Jorik V

    1 230 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juillet 2017
    D’emblée, ça cloche quand commence « The Circle ». L’introduction qui présente le personnage principal de Mae est trop succincte et obéit à un montage erratique. Et par la suite, l’ensemble de la narration du long-métrage de James Ponsoldt ne s’améliore pas vraiment tout comme l’évolution psychologique de son personnage principal et celle de l’intrigue. Cette dernière comprend beaucoup trop d’invraisemblances et de passages attendus. En outre, pour marteler sa morale certes plus que défendable, le film emploie un traitement et des situations trop outrancières pour paraître réelles, en tout cas à l’heure actuelle. En effet, quelle personne normalement constituée accepterait d’abandonner son droit à la vie privée et se faire filmer 24h/24 tout au long de sa vie, et non pas dans une période donnée pour un jeu télévisé ou autre. Et ce n’est qu’un exemple parmi d’autres.

    Les intentions de pointer du doigt les dangers de la globalisation des informations personnelles, l’omnipotence des réseaux sociaux ou encore la désocialisation de la nouvelle génération au profit d’une socialisation virtuelle est louable, néanmoins elle arrive un peu tard. « The Circle » enfonce des portes ouvertes même si certaines choses montrées ici font froid dans le dos, car on pressent qu’elles seront bientôt possibles dans la vraie vie comme elles le sont dans ce film d’anticipation si des lois ne protègent pas nos vies privées. C’est d’ailleurs dans cette démonstration d’un monde où les informations personnelles deviennent publiques et enregistrées que le film intéresse le plus tout comme dans sa vision d’une compagnie futuriste toute entière vouée au progrès technologique social jusqu’au point de non-retour. Dommage que la réalisation soit aussi paresseuse que l’intrigue et qu’elle n’invente jamais rien sur un sujet qui demandait pourtant une esthétique racée et novatrice.

    Enfin il ne faut pas oublier que nous sommes dans le cadre d’un thriller pourtant le suspense et la tension sont tous deux aux abonnés absents. Quant aux changements d’opinion de Mae au fur et à mesure que le film avance, ils sont trop brusques et excessifs pour que l’on puisse s’identifier à elle une seule seconde. De plus, certains seconds rôles sont complètement sacrifiés ou oubliés en cours de route comme ceux de John Boyega ou Karen Gillian. On a l’impression qu’il manque des scènes et que le scénario regorge de trous noirs. Si l’ensemble se suit sans déplaisir, il ne marquera certainement pas les mémoires tout comme son double dénouement ; le premier étant aussi surprenant qu’un happy-end chez Disney quand le second s’avère complètement ridicule. Une belle déception et une tâche dans les carrières de Tom Hanks et Emma Watson.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juillet 2017
    La prestation de l'actrice Emma Watson est à coupé le souffle, le film passe très vite cependant certaines choses sont pas top dans le film. 4 faux raccords et le nombres de fois où a était cité le titre du film est un peut trop à mon goût total 68 fois. Et dernier petit point négatif à mon avis c'est que même si le film est tourné vers l'actrice Emma Watson j'aurais aimer voir plus en profondeur certains rôles développés.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 21 juillet 2017
    Fascinant et flippant, simple et profond sans être pride de tête.. Emma watson mène ce film avec brio dans la reflexion sur le Zero secret Tout partagé... Et j'ai adoré !
    Alain D.
    Alain D.

    530 abonnés 3 230 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 1 mars 2018
    Fiction écrite et réalisée par De James Ponsoldt est menée de façon dynamique et attrayante. Le scénario basé sur les nouvelles technologies nous montre quelques applications d'objets connectés. Il dénonce les dérives d'un puissant média social bousculant les limites de la vie privée. On peut juste regretter que l'évolution de l'histoire soit un peu trop prévisible.
    Emma Watson est lumineuse dans le rôle principal de Mae Holland ; elle porte littéralement le film car on voit très peu Tom Hanks.
    Alain A.
    Alain A.

    9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 juillet 2017
    J'ai vraiment adoré l'histoire de ce film en plus les.acteurs sont dynamiques
    bref je me suis vraiment pas ennuyé
    Beatrice S
    Beatrice S

    1 abonné 33 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 juillet 2017
    Un magnifique film : intelligent qui divertit aussi très bien pour mieux comprendre les effets de groupe et sur la toile
    Serge D.
    Serge D.

    12 abonnés 88 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 14 juillet 2017
    Quelle déception ! Le sujet aurait pu donner un très bon film, le casting aussi, il manque juste un scénario. Pas crédible et franchement mou, un film dont on peut très facilement se passer.
    Seriaddict
    Seriaddict

    1 abonné 9 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 juillet 2017
    Je suis repartie très agréablement surprise par ce film très bien mené par une superbe Emma Watson. On demande une suite :)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juillet 2017
    Film génial que je vois se faire descendre par la critique, la critique qui fait l'éloge de Spider-Man et de tous les autres films sans scénario, sans idée, déjà vu... bref
    2.6 pour ce film, 3.6 pour Spider-Man homecoming, 4.1 pour fast and furious 8, 4.0 pour star wars 7 et... 2.7 pour fight club, on se demande qui on engage dans ces machins là.
    Ne vous y fiez pas si vous hésitez à voir ce film. C'est un excellent film vraiment, et vous pouvez garder votre cerveau c'est permis exceptionnellement pour cet séance.
    Contrairement à toutes les critiques que j'ai lu, ce film n'est pas un pamphlet anti réseaux sociaux trop mou selon eux pour dénoncer le danger de ces "affreuses choses" ou ils sont certainement tous inscrit.
    Et bien je voudrais vous apprendre que savoir nuancer un raisonnement est une preuve d'intelligence. Et ce film est tout en nuance. Il dit le mal qu'occasionne les réseaux sociaux et la vidéo surveillance omniprésente ce dont - à mon sens - on est tous plus où moins conscient: perte de l'individualité, de la vie privée, du contact humain, d'une part de liberté ect.
    Mais il dit aussi tout le bien que peut apporter tout ça: fini l'impunité des malfaiteurs et donc une forte baisse des méfaits, une transparence totale des affaires politiques, une meilleure protection par les services de secourisme une démocratie plus directe ect
    Donc un film intelligent, tout en nuance et qui voit la progression des réseaux sociaux et de la vidéo surveillance comme une innovation inévitable de nos sociétés, comme Zola le voyait des grands magasins dans au bonheur des dames. Il y a du bon, du mauvais mais encore une fois c'est inévitable et ENCORE une fois c'est un très bon film.
    Tchao
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