Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
Il y a plus de cinéma et plus de beauté dans "Tangerine", porté, emporté par un amour et un respect indéfectibles pour ses personnages en marge, que dans bien des superproductions plus huppées.
Paris Match
par Yannick Vely
L’utilisation de l’iPhone permet de capter des moments de vie, d’accentuer la confusion des disputes verbales et physiques. Et quand la «caméra» se pose pour le tour de chant d’Alexandra, on est ému aux larmes, touché au cœur par la mélancolie de sa voix. Petits moyens, grand film.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
CinemaTeaser
par Raphaëlle Pireyre
L'exubérance à outrance cache un véritable malaise que Sean Baker, le réalisateur, a capturé avec une grande acuité.
Culturopoing.com
par Marc Bousquet
Un road-movie à pied, une rencontre avec personnages abîmés et touchants, un regard bienveillant sur un Los-Angeles interlope, une quête désespérée d’un petit morceau de tendresse,Tangerine est tout cela à la fois.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Dominique Widemann
L'ensemble est souvent drôle, cruel, corrosif comme certains Fassbinder, foutraque à la manière des premiers films de quartier d'Almodovar.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est immédiatement captivé par la mise en scène de "Tangerine", qui propose une immersion totale dans un univers sans pitié pour ces jeunes femmes marginalisées qui tentent de garder la tête haute malgré la discrimination, la maltraitance et les humiliations quotidiennes (...) Le réalisateur, Sean Baker, opte pour un ton tragicomique, alternant disputes homériques et réconciliations pudiques, ne portant jamais de jugement sur ses héroïnes au caractère bien trempé.
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Bricolé avec trois iPhone et quelques milliers de dollars, ce portrait de ville relève aussi du coup d'éclat formaliste, exploitant à merveille les nouvelles potentialités des images numériques (...).
Libération
par Clémentine Gallot
Repéré au dernier festival de Sundance, notamment pour son casting composé en majorité de non-professionnels recrutés via YouTube et Vine (...), ce buddy movie, aussi sidérant qu’outrancier, prend le parti insolite d’infiltrer la communauté trans au ras du trottoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Eric Vernay
Le film de Sean Baker vaut mieux que son côté racoleur. Le fait qu’il soit shooté au Smartphone n’a rien du gimmick inutile : l’objet discret et léger permet de saisir le pouls de la rue sans grain docu disgracieux, l’image saturée de couleurs jaune orangé explosant en format Scope.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Ça file, ça pulse, ça gueule. Les « fuck » et les « bitch » à gogo, les cris et les piaillements, le bruit assourdissant d'un Los Angeles à la lumière de mandarine, Sean Baker les saisit avec son iPhone 5 S. Ce qu'il perd probablement en élégance, il le gagne en rythme. Il colle au plus près de tous ses personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Un charisme et une énergie électrisants irriguent la balade vengeresse d’un prostitué transsexuel.
aVoir-aLire.com
par Loris Hantzis
En tentant de capter l’atmosphère d’un lieu plutôt que d’une communauté, Tangerine réussi son pari et nous plonge avec légèreté dans le Hollywood Boulevard des taxis et des travestis.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Jean-Sébastien Chauvin
"Tangerine" vaut bien mieux que son pitch anodin ou son argument marketing. (…) Surtout, Sean Baker filme Los Angeles comme on l’a rarement vu.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Couronné du prix du Jury au festival de Deauville, "Tangerine" séduit par l’énergie qui s’en dégage, l’originalité de son récit et de sa réalisation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Thomas Sotinel
La rançon de ce minimalisme se paie en petites baisses de tension, en transitions un peu forcées, que le réalisateur, décidément malin, fait passer en imposant l'ambiance générale du film faite de cette palette orangée délirante et de musiques électroniques tonitruantes.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un scénario sans grande originalité, et guère de consistance. Mais une chronique qui a de la pêche et du tempérament.
TF1 News
par Romain Le Vern
Largement plus stimulant dans la part documentaire sur le cimetière de rêves à Los Angeles que dans la part fictionnelle (facilités scénaristiques, interminable climax), "Tangerine" propose néanmoins quelque chose qui gratte, qui hurle, qui agresse, qui détonne. Et qui se révèle moins dans le rire ou dans l'exploitation que dans l'empathie et la compassion.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Le Parisien
par Alain Grasset
Un film survitaminé, mais trop esthétisant, ce qui peut énerver par moments.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
On ne dépasse malheureusement pas le côté expérimental, malgré l'énergie foutraque de l'ensemble.
Marianne
Il y a plus de cinéma et plus de beauté dans "Tangerine", porté, emporté par un amour et un respect indéfectibles pour ses personnages en marge, que dans bien des superproductions plus huppées.
Paris Match
L’utilisation de l’iPhone permet de capter des moments de vie, d’accentuer la confusion des disputes verbales et physiques. Et quand la «caméra» se pose pour le tour de chant d’Alexandra, on est ému aux larmes, touché au cœur par la mélancolie de sa voix. Petits moyens, grand film.
CinemaTeaser
L'exubérance à outrance cache un véritable malaise que Sean Baker, le réalisateur, a capturé avec une grande acuité.
Culturopoing.com
Un road-movie à pied, une rencontre avec personnages abîmés et touchants, un regard bienveillant sur un Los-Angeles interlope, une quête désespérée d’un petit morceau de tendresse,Tangerine est tout cela à la fois.
L'Humanité
L'ensemble est souvent drôle, cruel, corrosif comme certains Fassbinder, foutraque à la manière des premiers films de quartier d'Almodovar.
Le Journal du Dimanche
On est immédiatement captivé par la mise en scène de "Tangerine", qui propose une immersion totale dans un univers sans pitié pour ces jeunes femmes marginalisées qui tentent de garder la tête haute malgré la discrimination, la maltraitance et les humiliations quotidiennes (...) Le réalisateur, Sean Baker, opte pour un ton tragicomique, alternant disputes homériques et réconciliations pudiques, ne portant jamais de jugement sur ses héroïnes au caractère bien trempé.
Les Inrockuptibles
Bricolé avec trois iPhone et quelques milliers de dollars, ce portrait de ville relève aussi du coup d'éclat formaliste, exploitant à merveille les nouvelles potentialités des images numériques (...).
Libération
Repéré au dernier festival de Sundance, notamment pour son casting composé en majorité de non-professionnels recrutés via YouTube et Vine (...), ce buddy movie, aussi sidérant qu’outrancier, prend le parti insolite d’infiltrer la communauté trans au ras du trottoir.
Première
Le film de Sean Baker vaut mieux que son côté racoleur. Le fait qu’il soit shooté au Smartphone n’a rien du gimmick inutile : l’objet discret et léger permet de saisir le pouls de la rue sans grain docu disgracieux, l’image saturée de couleurs jaune orangé explosant en format Scope.
Télérama
Ça file, ça pulse, ça gueule. Les « fuck » et les « bitch » à gogo, les cris et les piaillements, le bruit assourdissant d'un Los Angeles à la lumière de mandarine, Sean Baker les saisit avec son iPhone 5 S. Ce qu'il perd probablement en élégance, il le gagne en rythme. Il colle au plus près de tous ses personnages.
VSD
Un charisme et une énergie électrisants irriguent la balade vengeresse d’un prostitué transsexuel.
aVoir-aLire.com
En tentant de capter l’atmosphère d’un lieu plutôt que d’une communauté, Tangerine réussi son pari et nous plonge avec légèreté dans le Hollywood Boulevard des taxis et des travestis.
Cahiers du Cinéma
"Tangerine" vaut bien mieux que son pitch anodin ou son argument marketing. (…) Surtout, Sean Baker filme Los Angeles comme on l’a rarement vu.
La Croix
Couronné du prix du Jury au festival de Deauville, "Tangerine" séduit par l’énergie qui s’en dégage, l’originalité de son récit et de sa réalisation.
Le Monde
La rançon de ce minimalisme se paie en petites baisses de tension, en transitions un peu forcées, que le réalisateur, décidément malin, fait passer en imposant l'ambiance générale du film faite de cette palette orangée délirante et de musiques électroniques tonitruantes.
Ouest France
Un scénario sans grande originalité, et guère de consistance. Mais une chronique qui a de la pêche et du tempérament.
TF1 News
Largement plus stimulant dans la part documentaire sur le cimetière de rêves à Los Angeles que dans la part fictionnelle (facilités scénaristiques, interminable climax), "Tangerine" propose néanmoins quelque chose qui gratte, qui hurle, qui agresse, qui détonne. Et qui se révèle moins dans le rire ou dans l'exploitation que dans l'empathie et la compassion.
Le Parisien
Un film survitaminé, mais trop esthétisant, ce qui peut énerver par moments.
Studio Ciné Live
On ne dépasse malheureusement pas le côté expérimental, malgré l'énergie foutraque de l'ensemble.