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René Feret plonge avec sa délicatesse habituelle dans la mélancolie d'un grand écrivain, médecin des corps et fin analyste de l'âme humaine. "Anton Tchékhov 1890" fait résonner une musique délicate digne de l'œuvre de cet écrivain au cœur en hiver et aux écrits brillants.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Lorsque Tchekhov écrit à sa sœur que "les enfants apportent un élément de tendresse, de pureté, de modestie et de joie", il ne fait que définir les plus belles qualités de ce film, certes suranné mais très attachant.
Rarement, dans une évocation de personnalité célèbre, on aura vu la caractéristique source de célébrité ramenée à une dimension si problématique, besogneuse, terre à terre, humaine.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Nulle pesanteur biographique ou hagiographique ici. René Féret dresse un portrait domestique d'Anton Tchekhov saisi au cœur des siens dans une ronde de sentiments et de gestes, presque ordinaires. Un mythe humanisé, modeste médecin de campagne de son état, qui découvre son génie. Un film limpide, emmené par une savoureuse troupe d'acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Au fil des images claires, des paysages paisibles et des séquences en clair-obscur, une troublante atmosphère tchékhovienne se dégage, renforcée par le jeu des acteurs.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
De l’art de donner vie à ses personnages, de les faire exister d’une pichenette quel que soit leur rang au sein du récit, par la grâce d’une mise en scène impressionniste, impulsée par une fébrile vitalité.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Dans une mise en scène fluide et épurée, René Ferret réussit à nous entraîner assez vite dans l’intimité et l’humanité de Tchekhov non sans une pointe de passion, d’autant qu’il est fort bien incarné par Nicolas Giraud.
Ici, la caméra n'est plus une vaine afféterie, mais impose une présence corporelle qui dissout le vernis de la reconstitution. De même la palette de jours diffus et de clairs-obscurs (...) ravivent les vertus d'un romanesque à l'ancienne qui ne serait pas encore perméable à l'académisme d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le scénario privilégie une construction tout en nuances, en détours et en revirements, qui déjoue les prévisions, évite les scènes attendues et distille habilement l'information. Ce qui donne lieu à d'intéressants effets de miroir entre les menus évènements du quotidien et le processus créateur.
Mis en scène avec un classicisme joliment inspiré, le film inscrit le cheminement de l’écrivain dans un contexte familial digne des maîtres du cinéma italien, mais perd un peu de son intensité quand le didactisme d’ une longue expédition politique entend mettre des points sur les "i".
La critique complète est disponible sur le site Première
On est à coup sûr très loin d'un biopic à l'américaine ; mais on est certain d'avoir approché, en une heure et demie, le cœur de cette existence achevée à l'âge de 44 ans. C'est une esquisse, un fantôme vivant réinventé à travers le temps.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
L’interprétation à fleur de peau mais tout en retenue de Marie Féret trouve à merveille la note juste d’une émotion à la fois poignante et comme sereine que tout le film parvient à tenir admirablement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le film est élégant mais trop sage, peut-être guidé par une excessive déférence à l’égard du héros littéraire, dépeint comme tel. Un film de fan, en somme.
La critique complète est disponible sur le site Libération
En dépit de sa forme très – sans doute trop – classique, Anton Tchekhov 1890 parvient à nous faire saisir l’essentiel d’un parcours et d’une œuvre à l’exigence précieuse.
La critique complète est disponible sur le site Time Out Paris
(René Féret) célèbre avec bonheur la tendresse qui lie Anton Pavlovitch (Nicolas Giraud, fragile, touchant) à ses frères et à sa soeur. (...) Tout se gâte, néanmoins, lorsque le médecin-dramaturge gagne, en 1890, la terre des bagnards russes : l'île de Sakhaline. Là, l'évident manque de moyens devient rédhibitoire.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
René Feret plonge avec sa délicatesse habituelle dans la mélancolie d'un grand écrivain, médecin des corps et fin analyste de l'âme humaine. "Anton Tchékhov 1890" fait résonner une musique délicate digne de l'œuvre de cet écrivain au cœur en hiver et aux écrits brillants.
Cahiers du Cinéma
Lorsque Tchekhov écrit à sa sœur que "les enfants apportent un élément de tendresse, de pureté, de modestie et de joie", il ne fait que définir les plus belles qualités de ce film, certes suranné mais très attachant.
Critikat.com
Rarement, dans une évocation de personnalité célèbre, on aura vu la caractéristique source de célébrité ramenée à une dimension si problématique, besogneuse, terre à terre, humaine.
Culturopoing.com
Nulle pesanteur biographique ou hagiographique ici. René Féret dresse un portrait domestique d'Anton Tchekhov saisi au cœur des siens dans une ronde de sentiments et de gestes, presque ordinaires. Un mythe humanisé, modeste médecin de campagne de son état, qui découvre son génie. Un film limpide, emmené par une savoureuse troupe d'acteurs.
L'Obs
Un film austère et poignant.
La Croix
Au fil des images claires, des paysages paisibles et des séquences en clair-obscur, une troublante atmosphère tchékhovienne se dégage, renforcée par le jeu des acteurs.
La Voix du Nord
De l’art de donner vie à ses personnages, de les faire exister d’une pichenette quel que soit leur rang au sein du récit, par la grâce d’une mise en scène impressionniste, impulsée par une fébrile vitalité.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui raconte de façon simple et subtile la naissance de l’écrivain et les composantes de son univers.
Le Journal du Dimanche
Dans une mise en scène fluide et épurée, René Ferret réussit à nous entraîner assez vite dans l’intimité et l’humanité de Tchekhov non sans une pointe de passion, d’autant qu’il est fort bien incarné par Nicolas Giraud.
Le Monde
Ici, la caméra n'est plus une vaine afféterie, mais impose une présence corporelle qui dissout le vernis de la reconstitution. De même la palette de jours diffus et de clairs-obscurs (...) ravivent les vertus d'un romanesque à l'ancienne qui ne serait pas encore perméable à l'académisme d'aujourd'hui.
Les Fiches du Cinéma
Une peinture passionnante d’un homme magnifique.
Positif
Le scénario privilégie une construction tout en nuances, en détours et en revirements, qui déjoue les prévisions, évite les scènes attendues et distille habilement l'information. Ce qui donne lieu à d'intéressants effets de miroir entre les menus évènements du quotidien et le processus créateur.
Première
Mis en scène avec un classicisme joliment inspiré, le film inscrit le cheminement de l’écrivain dans un contexte familial digne des maîtres du cinéma italien, mais perd un peu de son intensité quand le didactisme d’ une longue expédition politique entend mettre des points sur les "i".
Studio Ciné Live
Voir la critique sur le site de Studio Ciné Live.
Sud Ouest
On est à coup sûr très loin d'un biopic à l'américaine ; mais on est certain d'avoir approché, en une heure et demie, le cœur de cette existence achevée à l'âge de 44 ans. C'est une esquisse, un fantôme vivant réinventé à travers le temps.
TF1 News
La vie de Tchekhov dans un film plein d'esprit, transcendé par un comédien en or : Nicolas Giraud.
Time Out Paris
Un biopic réussi, voilà qui n’est finalement pas si fréquent.
aVoir-aLire.com
L’interprétation à fleur de peau mais tout en retenue de Marie Féret trouve à merveille la note juste d’une émotion à la fois poignante et comme sereine que tout le film parvient à tenir admirablement.
L'Express
Voir le site de L'Express.
Libération
Le film est élégant mais trop sage, peut-être guidé par une excessive déférence à l’égard du héros littéraire, dépeint comme tel. Un film de fan, en somme.
Time Out Paris
En dépit de sa forme très – sans doute trop – classique, Anton Tchekhov 1890 parvient à nous faire saisir l’essentiel d’un parcours et d’une œuvre à l’exigence précieuse.
Télérama
(René Féret) célèbre avec bonheur la tendresse qui lie Anton Pavlovitch (Nicolas Giraud, fragile, touchant) à ses frères et à sa soeur. (...) Tout se gâte, néanmoins, lorsque le médecin-dramaturge gagne, en 1890, la terre des bagnards russes : l'île de Sakhaline. Là, l'évident manque de moyens devient rédhibitoire.