Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Si ce film sensible a été étrangement comparé à "Little Miss Sunshine" par le Hollywood Reporter, ce n’est pas pour sa fantaisie mais pour sa manière, juste et tendre, de parler d’une jeunesse en souffrance.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Obs
par La Rédaction
Tout repose sur les deux jeunes actrices, Amy Deasismont et Rebecka Josephson, qui sont formidables.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film qui touche un problème rarement traité - le poids et les troubles alimentaires des adolescents - avec justesse et sensibilité.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Sans jamais sombrer dans le pathos, Sanna Lenken montre la violence des symptômes d’une maladie insidieuse dont les victimes se réfugient dans le déni et qui détruit leur famille entière.
Critikat.com
par Juliette Goffart
"My Skinny Sister", premier long métrage de Sanna Lenken, nous plonge avec humour et sensibilité dans le microcosme d’une vie adolescente complètement dominée par le corps, ses désirs, et ses angoissantes perturbations.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
En dépit de ses maladresses, ce long-métrage touche juste, porté par l’interprétation de la plus jeune, incarnée par la sensible Rebecka Josephson.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Noémie Luciani
"My Skinny sister" est une étude fine des dommages collatéraux de la maladie sur les membres d'une famille (...).
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Un premier long métrage suédois, sensible et maîtrisé, sur l'amour et la rivalité entre deux sœurs et sur les dysfonctionnements familiaux. Une intelligente et fine montée en tension.
Première
par Eric Vernay
"My Skinny Sister" superpose deux récits (...) Mais c’est en empruntant une troisième piste, celle, imprévisible et loufoque, du journal intime de Stella, que le film s’incarne enfin. On reste donc un peu sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Ce premier long (...) manque de souffle scénaristique mais révèle un créateur d'atmosphère angoissante à suivre.
Télérama
par Frédéric Strauss
En s'attaquant à ce sujet délicat, voire tabou, la jeune réalisatrice suédoise évite le film dossier : elle ne donne pas de clés, pas d'explications, mais, guidée, on le sent, par sa propre expérience, construit un univers d'émotions à la fois intériorisées et à vif.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Judith Godinot
Si certains passages obligés sont un peu patauds, le film touche tout de même à quelque chose de sensible.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
Si ce film sensible a été étrangement comparé à "Little Miss Sunshine" par le Hollywood Reporter, ce n’est pas pour sa fantaisie mais pour sa manière, juste et tendre, de parler d’une jeunesse en souffrance.
L'Obs
Tout repose sur les deux jeunes actrices, Amy Deasismont et Rebecka Josephson, qui sont formidables.
Le Dauphiné Libéré
Un film qui touche un problème rarement traité - le poids et les troubles alimentaires des adolescents - avec justesse et sensibilité.
Le Journal du Dimanche
Sans jamais sombrer dans le pathos, Sanna Lenken montre la violence des symptômes d’une maladie insidieuse dont les victimes se réfugient dans le déni et qui détruit leur famille entière.
Critikat.com
"My Skinny Sister", premier long métrage de Sanna Lenken, nous plonge avec humour et sensibilité dans le microcosme d’une vie adolescente complètement dominée par le corps, ses désirs, et ses angoissantes perturbations.
La Croix
En dépit de ses maladresses, ce long-métrage touche juste, porté par l’interprétation de la plus jeune, incarnée par la sensible Rebecka Josephson.
Le Monde
"My Skinny sister" est une étude fine des dommages collatéraux de la maladie sur les membres d'une famille (...).
Les Fiches du Cinéma
Un premier long métrage suédois, sensible et maîtrisé, sur l'amour et la rivalité entre deux sœurs et sur les dysfonctionnements familiaux. Une intelligente et fine montée en tension.
Première
"My Skinny Sister" superpose deux récits (...) Mais c’est en empruntant une troisième piste, celle, imprévisible et loufoque, du journal intime de Stella, que le film s’incarne enfin. On reste donc un peu sur notre faim.
Studio Ciné Live
Ce premier long (...) manque de souffle scénaristique mais révèle un créateur d'atmosphère angoissante à suivre.
Télérama
En s'attaquant à ce sujet délicat, voire tabou, la jeune réalisatrice suédoise évite le film dossier : elle ne donne pas de clés, pas d'explications, mais, guidée, on le sent, par sa propre expérience, construit un univers d'émotions à la fois intériorisées et à vif.
aVoir-aLire.com
Si certains passages obligés sont un peu patauds, le film touche tout de même à quelque chose de sensible.