Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
13 critiques presse
Critikat.com
par Marianne Fernandez
C’est en filmant la trajectoire de son protagoniste (qui veut perdre sa virginité avant la fin de l’été) que Duccio Chiarini offre à un récit d’initiation sa pâte sensible et astucieuse, transformant l’exercice rebattu en comédie adolescente de première qualité.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film plein de sourire et de justesse, qui a la grâce maladroite de l’adolescence.
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Une comédie pleine de fraîcheur qui nous rappelle les difficiles et angoissantes étapes de l'adolescence qui, une fois passées, sont très vite oubliées.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Metro
par Mehdi Omaïs
Solaire et humain, "L’éveil d’Edoardo" séduit par la justesse de son portrait. Celui d’un ado introverti, lesté de fêlures, impeccablement campé par le jeune comédien Matteo Creatini.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Positif
par Jean-Antoine Gili
Toute la subtilité du film réside dans sa façon légère de cerner des moments de grande fragilité sentimentale et de préoccupations fonctionnelles (les élans du coeur et la défectuosité organique) dans un rapport compliqué avec les parents, avec les amis, avec les filles.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Histoire anecdotique, mais non convenue, "L'Eveil d'Edoardo" aborde la sexualité adolescente avec humour et émotion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Christophe Carrière
Ce premier long-métrage n'a rien de graveleux. C'est au contraire un film plein de finesse et de délicatesse.
Le Monde
par Noémie Luciani
Duccio Chiarini relève le défi : son premier film est un bol d'air frais, et son Edoardo un fort beau spécimen de cet âge redoutable qu'est l'adolescence, capable de faire cohabiter dans un seul corps problématique le poète avec le cochon.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Damien Leblanc
Avec son héros fragile physiquement et paniqué intérieurement, cette initiation sensuelle tire parti de sa mise en scène aérée pour créer une drôle de rencontre entre trivialité et sensibilité.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Jamais teen movie n'avait parlé aussi frontalement du rapport que les garçons entretiennent avec leur sexe. Entre "American Pie" et "Un amour de jeunesse, une chronique tendre, dépourvue de vulgarité.
Transfuge
par Oriane Jeancourt Galignani
Un été, une bourgade au bord de la mer, des garçons et des filles qui se tournent autour. La plus vieille histoire du monde ? Sans doute, mais ajoutez à cela une malformation, minime, du sexe du protagoniste, et vous avez L'Eveil d'Edoardo, douce comédie initiatique.
Les Inrockuptibles
par Jean Baptiste Morain
"L’Eveil d’Edoardo" est un film assez curieux, totalement déséquilibré.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Pierre Murat
Le réalisateur hésite, visiblement, entre la comédie ado égrillarde (pour avoir du succès) et la chronique sentimentale fragile (plus ou moins autobiographique). C'est elle qui l'emporte, en définitive, mais sans convaincre ni séduire. A l'image du héros, le film reste morose et banal.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
C’est en filmant la trajectoire de son protagoniste (qui veut perdre sa virginité avant la fin de l’été) que Duccio Chiarini offre à un récit d’initiation sa pâte sensible et astucieuse, transformant l’exercice rebattu en comédie adolescente de première qualité.
Le Dauphiné Libéré
Un film plein de sourire et de justesse, qui a la grâce maladroite de l’adolescence.
Les Fiches du Cinéma
Une comédie pleine de fraîcheur qui nous rappelle les difficiles et angoissantes étapes de l'adolescence qui, une fois passées, sont très vite oubliées.
Metro
Solaire et humain, "L’éveil d’Edoardo" séduit par la justesse de son portrait. Celui d’un ado introverti, lesté de fêlures, impeccablement campé par le jeune comédien Matteo Creatini.
Positif
Toute la subtilité du film réside dans sa façon légère de cerner des moments de grande fragilité sentimentale et de préoccupations fonctionnelles (les élans du coeur et la défectuosité organique) dans un rapport compliqué avec les parents, avec les amis, avec les filles.
Franceinfo Culture
Histoire anecdotique, mais non convenue, "L'Eveil d'Edoardo" aborde la sexualité adolescente avec humour et émotion.
L'Express
Ce premier long-métrage n'a rien de graveleux. C'est au contraire un film plein de finesse et de délicatesse.
Le Monde
Duccio Chiarini relève le défi : son premier film est un bol d'air frais, et son Edoardo un fort beau spécimen de cet âge redoutable qu'est l'adolescence, capable de faire cohabiter dans un seul corps problématique le poète avec le cochon.
Première
Avec son héros fragile physiquement et paniqué intérieurement, cette initiation sensuelle tire parti de sa mise en scène aérée pour créer une drôle de rencontre entre trivialité et sensibilité.
Studio Ciné Live
Jamais teen movie n'avait parlé aussi frontalement du rapport que les garçons entretiennent avec leur sexe. Entre "American Pie" et "Un amour de jeunesse, une chronique tendre, dépourvue de vulgarité.
Transfuge
Un été, une bourgade au bord de la mer, des garçons et des filles qui se tournent autour. La plus vieille histoire du monde ? Sans doute, mais ajoutez à cela une malformation, minime, du sexe du protagoniste, et vous avez L'Eveil d'Edoardo, douce comédie initiatique.
Les Inrockuptibles
"L’Eveil d’Edoardo" est un film assez curieux, totalement déséquilibré.
Télérama
Le réalisateur hésite, visiblement, entre la comédie ado égrillarde (pour avoir du succès) et la chronique sentimentale fragile (plus ou moins autobiographique). C'est elle qui l'emporte, en définitive, mais sans convaincre ni séduire. A l'image du héros, le film reste morose et banal.