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    Le Fondateur
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    Cam R.
    Cam R.

    26 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 13 février 2018
    Film très intéressant porté par la performance de Michael Keaton. Ce biopic permet de montrer l’envers du décor du monde des affaires...
    yannick R.
    yannick R.

    108 abonnés 966 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2018
    Le Fondateur est un biopic très captivant retraçant l'histoire de McDonald's avec un Michael Keaton parfait dans ce rôle de Ray Kroc.
    stallonefan62
    stallonefan62

    298 abonnés 2 574 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 février 2018
    Un biopic très intéressant et surtout très instructif sur la franchise Mc Donald's!!! Ou comment Ray Kroc a su profiter de ce filon pour en créer une franchise contre le gré des frères McDonald's !! C'est très rythmés et efficace !! Michael Keaton est excellent !!!
    Jake S.
    Jake S.

    83 abonnés 231 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 février 2018
    Très bon récit de la création et du développement du grand fast-food connu de tous : McDonald's. Le film va droit au but et sait nous apporter les éléments essentiels, c'est une qualité. Les enjeux sont intéressants et les acteurs authentiques (tout particulièrement les deux frères McDonald). Le choix de Michael Keaton est aussi cohérent et il rentre parfaitement dans son rôle d'entrepreneur-profiteur (parfois raté), constamment avide de pouvoir et d'argent. Rien de plus à dire si ce n'est que le film est très instructif quant aux révolutions de l'époque et qu'il saura vous surprendre, vous qui, comme moi avant le visionnage, s'en tenaient à l'empire McDonald's actuel sans nécessairement en connaître les origines. Très bon biopic !
    Roub E.
    Roub E.

    985 abonnés 5 023 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 9 février 2018
    Le fondateur est un film foncièrement méprisable et désagréable. C’est une véritable hagiographie non pas du créateur de l’empire de la mal bouffe qu’est McDonalds mais de celui qui a étendu l’idée à travers l’Amérique. Un personnage foncièrement antipathique menteur, on pourrait dire voleur mais dont ces défauts passent ici pour de l’ambition qui est érigée en modèle à suivre par le film sans le moindre recul. La musique assez tranquille et joyeuse finie de compléter un tableau presque aussi écœurant qu’une cure de Big Mac. Tout juste le film dit qu’il était porté sur le whisky et que c’était un mauvais mari mais la aussi on nous dit que c’est le lot d’un homme ambitieux se donnant à fond pour son business. La mise en scène est très plate et ne se pose jamais de question sur le modèle développé d’un capitalisme sauvage ou le but est de manger l’autre. J’ai fini au bord de l’indigestion.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 février 2018
    Complétement bluffé par ce film. Je suis tombé dessus par hasard, et j'aime énormément le jeu de Keaton où qu'il soit, donc je me suis laissé porté, puis l'idée du biopic sur une société qui inspire autant d'attirance que de rejet ne pouvait qu'être intriguant. Et bien je n'ai pas réussi à me poser avec cette chose curieuse car c'est exactement ce qui ressort du film, on aime, mais on déteste, mais quand même, quelle empire, puis Mac Donalds quoi, la mal bouffe. ET ça continue sans cesse. L'acteur est peu sympathique, mais quel génie, quel audace, quelle énergie. Keaton est délirant. Il peut vous faire détester ce personnage (aidé fortement par le réalisateur) puis 5 minutes après vous voilà absorbé par un phénomène qui dépasse l'entendement. C'est une course poursuite entre la raison qui se voudrait critique et sans bienveillance vis à vis du personnage trop ambitieux, mais il est tellement barré et si bien interprété par Keaton qu'il faut se mettre d'accord avec soit même. Ce biopic certes tirer par la ficelle est hyper séduisant, la réussite de Mac DO vient vous coller aux yeux son arrogante réussite, c'est même incommensurable. Oui la morale d'humilité et de mesure est tiraillée, mais que faire face à ce monstre dont l'acteur vient habiter l'esprit ?
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 février 2018
    Pas mal du tout, moi qui ne connaissais pas l’histoire de ce fast-food et bien la j’ai appris pleins de choses super intéressante
    Bernard Bonnejean
    Bernard Bonnejean

    17 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 8 février 2018
    Enviable ou pitoyable ? Admirable ou révoltant ? Gênant en tout cas. L'histoire industrielle est remplie de ces destins controversés. Qui connaît John Montagu, quatrième comte de Sandwich ? et son domestique ? Qui connaît Alexander Graham Bell ? et Elisha Gray ? Qui connaît Thomas Edison ? et Joseph Swan ? L'humanité doit aux seconds l'invention du sandwich, du téléphone et de la lampe à incandescence ; les premiers ont su en exploiter les brevets. Le titre "Le Fondateur" est censé traduire l'anglais "The Combine". Eût-il été préférable de garder "La Combine" ? Attention aux faux-amis : l'anglais "combine" désigne "un groupe de personnes qui travaillent ensemble à la même entreprise commerciale". C'est le cas au début : Ray Kroc (Michael Keaton) s'associe aux frères Dick et Mac McDonald (Nick Offerman et John Carroll Lynch) pour faire évoluer leur affaire. Il s'agit bien d'une "combine" au sens anglais du terme. Mais elle tournera vite à la "combine" française, puisque viennent s'y mêler la ruse, la spoliation et le reniement de la parole donnée. Tant et si bien qu'on peut se poser la question sur les véritables intentions du film. N'y avait-il, à l'origine, chez Don Handfield, le producteur et chez John Lee Hancock que la volonté unique de vanter l'American Dream et le business spirit ? On peut vraiment en douter. Personnellement, j'ai trouvé ce self made man particulièrement antipathique. Le vrai Kroc se définit lui-même, dans une tirade à susciter autant d'étonnement que de crainte, comme "un rapace sans scrupules". Peut-être le regard du spectateur français moyen risque-t-il de n'être pas aussi bienveillant que celui de son homologue états-unien. A vérifier.
    Fred B.
    Fred B.

    11 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2018
    J'ai bien aimé ce film qui m'a éclaire sur la véritable histoire de la chaine McDonald's, c'est toujours ça pour la culture, je sais désormais qu'il existait un certain Ray Kroc qui a été un grand artisan du succès de cette marque... mais également une belle saloperie si on peut passer l'expression.
    Car si les frères McDonald œuvraient dans le respect des gens et de ses employés, Kroc lui n'a eu de cesse de faire du pognon à n'importe quel prix (au point même de piquer la femme d'un de ses franchisés, certes magnifique (Linda Cardellini

    Si on en vient à détester Ray Kroc par ses manières plus que limites, c’est forcément que Michael Keaton interprète bien son personnage et sait s'entourer des bons assistants. Un homme pourri mais qui a eu le mérite d’être ingénieux et surtout persévérant, le mot clé de sa réussite
    Claude DL
    Claude DL

    93 abonnés 1 691 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 février 2018
    Une brillante démonstration de la constitution d'un empire. Qu'on aime ou non le concept, qu'on aime ou non manger dans ses restaurants, force est de reconnaitre que ce "fondateur" possédait les ingrédients pour réussir : savoir reconnaitre une bonne idée quand on ne l'a pas soi-même, avoir une grande force de travail, persévérer, et de la chance, notamment celle de rencontrer les bonnes personnes au bon moment. Certes, cela suppose beaucoup de roublardise,voire de filouterie, et cela suppose aussi des victimes. Mais c'est le propre du capitalisme et de l'entreprenariat. On n'a pas encore trouvé moins mal. En tout cas, une composition bluffante de Michaël Keaton.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 28 décembre 2017
    Difficile d’imaginer personne plus exécrable que Ray Kroc, commercial minable et créateur de la franchise McDonald. Et pourtant à force de parcourir les biopics, il semblerait que ce soit le lot de tous les entrepreneurs. Si ce film met en lumière des vérités qu’il est bon de connaitre, il n’est en revanche pas particulièrement plaisant à visionner du fait de cette absence totale d’empathie.
    angel M.
    angel M.

    6 abonnés 224 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 novembre 2017
    Il y a qu'un seul mot a dire: voleur. Comment un homme et avec l'aide d'un homme peut voler l'idée et faire ce qu'il a fait pour qu'elle en arrive a ça. Pour les modérateurs: je donne mon avis, la libertée d'expretion vous connaissez. Je voudrait qu'on me reponde en donnant un argument sur ce qui a été dit avant
    C.Dervaux
    C.Dervaux

    140 abonnés 1 767 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 novembre 2017
    Pianiste, puis vendeur à l’idéologie parfois houleuse, le très ambitieux Ray Crok n’a jamais eu pour raison de cacher son amour pour le pouvoir. Un trait de caractère qu’il a su mettre à profit des années durant, lui qui a toujours juré que « si vous ne prenez pas de risques, vous n’avez rien à faire dans le business ». Visionnaire accompli aux méthodes de travail flirtant avec le déraisonnable, l’homme d’affaire rencontre les frères MacDonald’s dans les années 50 et rachète la chaîne en 1961. La suite est à l’image de la réussite de la chaîne de restauration rapide qui, aujourd’hui encore, nourrit 1% de la population mondiale. Très honnête lors de la présentation du film aux médias américains, le réalisateur John Lee Hancock (« Saving Mr. Banks ») a avoué ne rien connaître des débuts de MacDonald’s en précisant qu’il avait une affection particulière pour Crok à ses débuts, pour finalement ne plus approuver sa conduite de vie. Une anecdote intéressante dont il a su de détacher au moment de l’élaboration du projet avec l’aide de son scénariste. En plein boom économique, l’Amérique d’hier, en proie au capitalisme moderne, y est parfaitement retranscrite : au-delà de vraisemblablement sentir l’aura du rêve américain, le soucis du détail est à l’honneur et la bonne idée, de tout à chacun, germe chez le voisin.
    En véritables maîtres d’armes, Michael Keaton, Nick Offerman et John Carroll Lynch s’approprient leurs personnages avec une aisance déconcertante, sans pour autant dire que l’histoire ne puisse rattraper la réalité (mais il convient de le signaler). Sous-fifres, têtes pensantes ou démagogues, chaque protagoniste apporte au « Fondateur » sa raison d’exister et son importance prépondérante sur l’industrie du biopic d’aujourd’hui : rarement une histoire n’aura touché autant de monde que celle-ci (et sous de bien nombreux aspects). Ultra réaliste, percutant, riche d’enseignement et film très névrosé, « Le Fondateur » est une implacable réussite qui doit aussi et surtout son succès à son chef-décorateur Michael Corenblith, ainsi qu’à ses équipes. Désireux de travailler dans les meilleures des conditions possibles (avec un résultat probant à la clef), ils n’ont pas hésité à aller visiter le musée exposant une collection de photos d’époque.
    Cette détermination retranscrit clairement à l’aura du spectateur qui, loin de se sentir « personnellement » touché par cette histoire, ne peut que saluer le soucis du détail.
    Si « Le fondateur » faisait encore parti de la fameuse liste noire des meilleurs scripts n'ayant pas trouvé de financements en 2014, cette page est à tourner. Peut-être parce que, selon les mots de Crok, « Quand vous êtes vert, vous grandissez. Quand vous êtes mûrs, vous pourrissez ».
    Ewen Blake
    Ewen Blake

    159 abonnés 1 204 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 2 octobre 2017
    "Contracts are like heart. They are made to be broken". Hollywood a un don : spoiler: transformer les salops en héros
    . Depuis John Wayne, boucher génocideur d'indiens vendu comme un chevalier de la "conquête de l'ouest" jusqu'au loup de Wall Street, escroc spécialisé dans l'arnaque des pauvres dépeint comme un génie allumé cool et branché. The founder s'inscrit dans cette même lignée. C'est un film maîtrisé bien écrit et bien joué. Et même si je n'ai pas été passionné il répond à une vraie curiosité : connaitre la "success story" à l'origine d'un restaurant dans lequel nous sommes déjà tous allés. On apprend ainsi que Mc Donald est un propriétaire terrien autant qu'un acteur de l'agroalimentaire, qu'à l'origine les Mc Donalds étaient de bons gars attachés au respect du client et qui ne sacrifiait pas la qualité au nom du profit.
    Ceci étant dit le film me gène limite me dégoûte à cause du traitement de faveur dont bénéficie son founder, filmé avec beaucoup d'empathie. Ce mec est un connard arrogant et égoïste dont la vie est tourné vers un but unique : faire du fric ! Il délaisse son épouse, prend des risques dont les conséquences sont communes sans lui en parler, séduit la femme de celui qui espère devenir son associé (pratique), arnaque dans les grandes largeurs les Mc Donalds qui lui ont fait confiance et in fine, construit sa fortune sur une idée volée avant de construire un restaurant devant celui des frères fondateurs dans le but ultime de les ruiner !!! Je pense sincèrement que ce genre de production a un impact sur l'inconscient collectif et nous enseigne que peut-importe le moyen, le succès a raison de la morale et l'histoire vous pardonnera si vous triomphez. Par extension c'est le système capitaliste dans ses pires excès qui est ainsi adoubé. Car malgré tout ça, pas un jugement sur l'homme qui répète son discours présidentiel devant la glace en nous confiant son secret "nul besoin d'être un génie il faut seulement persister". Tant mieux c'est quelque chose que tous les acheteurs de billets du monde se pensent capables de faire. Pourquoi un tel traitement de faveur du réalisateur ? Pour l'argent encore une fois. Qui irait voir un film qui proposerait un héro auquel on ne s'attache ni ne s'identifie. C'est vicieux mais c'est Hollywood.
    apotheme
    apotheme

    118 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 2 octobre 2017
    Le fondateur nous permet de découvrir une histoire que peu de personnes connaissent sur le développement de la chaîne de restauration Mac Donalds.
    Un Michael keaton jouant à la perfection sont rôle.
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