AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,8
4877 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Le Fondateur ?
5
14 critiques
4
98 critiques
3
98 critiques
2
17 critiques
1
4 critiques
0
2 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Film remarquable si on s'intéresse un tant soit peu à l'entrepreneuriat.
Le scénariste et le réalisateur nous restitue avec précision et brio la psychologie et l'enthousiasme de Rey Krok lorsqu'il découvrit l'entreprise des frères macdonald's.
Michael Keaton incarne admirablement bien l'entrepreneur se retroussant les manches. Plusieurs détails concernant la stratégie de rentabilité du restaurant, bien que son modèle d'affaires ait aujourd'hui été rendu populaire mondialement, peu de gens connaissent les détails qui ont permis à cette boîte de passer d'un simple restaurant itinérant sur un parking à une horde de restaurants.
Pas fan de Macdonald's, même plutôt le premier à cracher ouvertement sur cette entreprise qui contribue à rendre malade des millions de gens chaque année, je dois avouer m'être laissé séduit par la réalisation et le storytelling inspirant qui nous est brillament restitué dans ce film.
Musiques immersives, ambiance de développement personnel franchement réussies, plans et dialogues aux petits oignons, scénario précis, chaque dialogue et scène a une importance dans le film, rien n'est de trop, rien n'est secondaire.
Pour moi c'est une merveilleuse adaptation qui en plus de nous faire passer un bon moment nous éduque et nous inspire à différents égards.
Bravo au réal, je recommande les yeux fermés.
Le scénariste et le réalisateur nous restitue avec précision et brio la psychologie et l'enthousiasme de Rey Krok lorsqu'il découvrit l'entreprise des frères macdonald's.
Michael Keaton incarne admirablement bien l'entrepreneur se retroussant les manches. Plusieurs détails concernant la stratégie de rentabilité du restaurant, bien que son modèle d'affaires ait aujourd'hui été rendu populaire mondialement, peu de gens connaissent les détails qui ont permis à cette boîte de passer d'un simple restaurant itinérant sur un parking à une horde de restaurants.
Pas fan de Macdonald's, même plutôt le premier à cracher ouvertement sur cette entreprise qui contribue à rendre malade des millions de gens chaque année, je dois avouer m'être laissé séduit par la réalisation et le storytelling inspirant qui nous est brillament restitué dans ce film.
Musiques immersives, ambiance de développement personnel franchement réussies, plans et dialogues aux petits oignons, scénario précis, chaque dialogue et scène a une importance dans le film, rien n'est de trop, rien n'est secondaire.
Pour moi c'est une merveilleuse adaptation qui en plus de nous faire passer un bon moment nous éduque et nous inspire à différents égards.
Bravo au réal, je recommande les yeux fermés.
Si on vous demande quel est le business de l’entreprise McDonald's et que vous répondez « les burgers », alors vous devez voir ce film. Ray Kroc a su transformer son business model, de la simple vente de hamburgers à
spoiler:
la gestion d'un patrimoine immobilier planétaire loué à ses franchisés
. Je le recommande à tout entrepreneur en herbe !
. Je le recommande à tout entrepreneur en herbe !
De très très belle images, le film est bien tourné bien présenté, on est rapidement pris dans l'histoire.
J'ai aimé l'histoire, très intéressante et instructive. Michael Keaton toujours génial!!!
La reproduction des scénarios très bonne
La reproduction des scénarios très bonne
J'avais hâte de découvrir ce biopic, peut-être que l'ancienne polyvalente du poste à frite en moi voulait retourner à ses racines ! En tout cas j'ai apprécié ce biopic, que j'ai trouvé assez fidèle sur le peu que j'en connaissais. Mikael Keaton est très convaincant dans le rôle du "fondateur", je l'ai vraiment détesté ! Beaucoup d'empathie pour les frères McDonald. Le film est bien construit, il suit la trame narrative et se précipite peut-être un poil sur la fin. J'apprécie également la bande originale et les décors et costumes !
Fêtons le cinéma
La très grande force de The Founder, c’est de construire un personnage complexe, Ray Kroc, sans jamais le juger, l’enfermer dans une axiologie négative qui en ferait un vampire capitaliste venu sucer le sang des honnêtes gens. Le film réussit à rester neutre tout en signifiant l’évolution de son personnage principal – à la fois protagoniste et antihéros – par et pour le cinéma : la composition des plans est remarquable et symbolise la position qu’occupent les entrepreneurs les uns par rapport aux autres. D’abord au bas de l’escalier conjugal, Ray remonte progressivement la pente, se couvre de l’autorité des deux frères avant de s’en affranchir, improvise un duo chanté avec la pianiste également épouse d’un représentant de la haute cuisine avant de ravir celle-ci et de rivaliser avec ladite gastronomie. Des petits détails disent les grands changements : remplie sous les yeux de Rollie, la coupe de milk-shake en poudre est cadrée sous la poitrine floutée en second plan de Joan, signe de la mainmise de Kroc et sur le marché du fast-food et sur la femme de son adversaire. Car tous les autres sont des adversaires, d’abord considérés comme des partenaires avant de devenir des boulets accrochés aux chevilles de celui qui avance et qui n’a qu’un seul mot à la bouche : persévérance. John Lee Hancock n’attaque ni ne défend le modèle capitaliste ; il le met à nu, l’exhibe dans ses stratégies coupées de l’humain et reliées au profit. Les préoccupations deviennent des slogans, le sacré devient profane, le petit vendeur un squale mangeur d’hommes et héraut de l’Amérique, de ses valeurs, du self made man dont le portrait ici brossé choque par sa franchise, son ambivalence, sa détermination à aller jusqu’au bout tout en ménageant, l’espace de quelques secondes, des moments de suspens, comme cette dernière scène où le « fondateur » ne parvient à lire une carte-mémoire, répétition d’un show à venir dont il perçoit alors le caractère immoral. Rattrapé par le passé, par les remords, de même que Lee Hancock filme Keaton de dos, dans le reflet de son miroir. Conscient d’avoir usurpé un concept, mais plus encore d’avoir ravi un nom, déposséder une famille d’un nom, de s’être approprié un nom typiquement américain (McDonalds) contre un nom à consonance slave (Kroc). La partition signée Carter Burwell resplendit d’un thème principal qui mime la marche, conquête menacée par un trébuchement, rattrapée in extremis. Ce thème dit son personnage et accompagne une œuvre immense, délicieusement coupée de toute préoccupation morale.
Porté par un Michael Keaton comme à son habitude en grande forme, ce biopic sur Ray Kroc, le fondateur de la chaîne de restaurant la plus célèbre du monde nous offre ni plus ni moins ce à quoi l'on peut s'attendre. J'ai trouvé l'histoire très intéressante il est vrai, n'étant aucunement renseigné sur le sujet j'y ai découvert de nombreuses facettes peu connues de cette grande marque, cependant, nous n'avons ici que les grandes lignes, et tout ça semble trop simple et joli pour être convainquant entièrement.
D'un point de vue de la mise en scène, il n'y a pas grand chose à dire, ça se regarde gentiment mais l'on voit bien que John Lee Hancock ne prend aucun risque, mise à part un certain dégoût et même une certaine haine que l'on peut ressentir envers cet homme d'affaires qui n'a aucun scrupule et qui déborde d'ambition, l'ensemble reste assez plat.
En conclusion, c'est un film intéressant qui nous montre les prémisses de la société de consommation actuelle, l'Amérique des années 50 y est représentée d'une bien belle manière et c'est agréable à suivre, malheureusement, rien ne relève le niveau global de l'oeuvre si ce n'est Michael Keaton et cette histoire captivante. L'ensemble de la projection pourrait se résumer à l'un de ses thèmes qui est la consommation rapide et fade suivi de l'oubli de part cette réalisation bien trop banal pour nous marquer.
D'un point de vue de la mise en scène, il n'y a pas grand chose à dire, ça se regarde gentiment mais l'on voit bien que John Lee Hancock ne prend aucun risque, mise à part un certain dégoût et même une certaine haine que l'on peut ressentir envers cet homme d'affaires qui n'a aucun scrupule et qui déborde d'ambition, l'ensemble reste assez plat.
En conclusion, c'est un film intéressant qui nous montre les prémisses de la société de consommation actuelle, l'Amérique des années 50 y est représentée d'une bien belle manière et c'est agréable à suivre, malheureusement, rien ne relève le niveau global de l'oeuvre si ce n'est Michael Keaton et cette histoire captivante. L'ensemble de la projection pourrait se résumer à l'un de ses thèmes qui est la consommation rapide et fade suivi de l'oubli de part cette réalisation bien trop banal pour nous marquer.
Ce film est intéressant à découvrir, car au fil des images on découvre comment l'enseigne McDo est devenue ce qu'elle est aujourd'hui.
Et le but de départ n'était absolument pas d'en faire une chaîne de restos spécialistes de la malbouffe mais tout l'inverse. Les deux frères qui ont eu l'idée de ce resto servant de la nourriture faite maison rapidement pour un prix raisonnable et dans le respect du client se sont complètement faits croquer par ce requin de la finance qui a sauté sur l'occasion pour s'approprier l'affaire petit à petit!!
De ce fait ce film m'a mise en colère. Je n'ai donc eu aucune empathie pour le personnage principal, un arriviste manipulateur et sans scrupules, qui a volé à ces deux frères leur idée, leur concept, leur nom, et bien sûr leur argent..
C'est un film cultivant donc mais tellement révoltant !! Même si c'est occasionnel, il m'arrive comme tout le monde je pense, d'aller chez McDo... Ce film vous donne envie de boycotter cette franchise...
A voir au moins une fois.
Et le but de départ n'était absolument pas d'en faire une chaîne de restos spécialistes de la malbouffe mais tout l'inverse. Les deux frères qui ont eu l'idée de ce resto servant de la nourriture faite maison rapidement pour un prix raisonnable et dans le respect du client se sont complètement faits croquer par ce requin de la finance qui a sauté sur l'occasion pour s'approprier l'affaire petit à petit!!
De ce fait ce film m'a mise en colère. Je n'ai donc eu aucune empathie pour le personnage principal, un arriviste manipulateur et sans scrupules, qui a volé à ces deux frères leur idée, leur concept, leur nom, et bien sûr leur argent..
C'est un film cultivant donc mais tellement révoltant !! Même si c'est occasionnel, il m'arrive comme tout le monde je pense, d'aller chez McDo... Ce film vous donne envie de boycotter cette franchise...
A voir au moins une fois.
Film très intéressant sur la création de McDonald's. Il permet de bien nous dévoiler tous les aspects de l'expansion des restaurants McDonald's et ne glorifie pas l'image de Ray Kroc, puisqu'il est clairement présenté comme un opportuniste qui n'hésite pas à traillir sa parole. Michael Keaton est excellent dans son rôle et l'ambiance des années 50 est très bien retranscrite. Cependant, la deuxième heure de film est beaucoup moins intéressante et palpitante que la première. Le film aurait peut-être gagné à être plus court et à moins s'étendre sur les détails financiers et juridiques de l'histoire, même si certains détails sont importants. Ça reste quand même un très bon biopic, qui résume parfaitement l'histoire de McDonald's et si vous ne connaissez pas cette histoire, c'est un bon film pour la découvrir. Je recommande.
Basé sur l'histoire vraie de Ray Kroc un voyageur de commerce qui a franchisé le premier restaurant familial McDonald et l'a transformé en conglomérat international qu'il est aujourd'hui. Le Fondateur raconte une tranche fascinante de l'histoire du XXe siècle. Le titre est bien choisi faisant allusion à la dynamique du film avec Kroc se déclarant le fondateur de McDonald alors qu'en fait l'idée d'un service de restauration rapide et efficace n'a jamais été la sienne au départ. Michael Keaton est excellent dans le rôle principal exsudant à la fois charme et charisme tout en se dégageant toujours comme s'il avait quelque chose dans sa manche. Il y a plusieurs plans super clichés qui s'attardent sur son visage alors qu'il livre des arguments de vente convaincants et il y a une magnifique séquence à la fin de le film où plusieurs de ses sermons dans différents endroits sont édités ensemble pour se chevaucher en un seul grand discours. Keaton se débrouille également très bien en tant que victime et agresseur à différents moments. Parfois il apparaît comme un outsider trop sympathique dont les rêves sont entravés par la réticence des frères McDonalds à faire des compromis au nom du progrès. À d'autres moments il semble incroyablement impitoyable avec la façon dont il contourne tout sur son chemin. Le Fondateur a peut-être bénéficié de comédie pour alléger l'ambiance car c'est un film amusant mais aussi un film qui fait réfléchir quand on considère sa base dans un fait réel...
Film très intéressant.
On part avec une histoire très forte, bien racontée et très bien jouée.
Permet d'en connaître plus sur l'histoire de McDonald.
Et ne donne pas envie d'aller leur donner de la thune ^^
Film vu le 23/07/2020
On part avec une histoire très forte, bien racontée et très bien jouée.
Permet d'en connaître plus sur l'histoire de McDonald.
Et ne donne pas envie d'aller leur donner de la thune ^^
Film vu le 23/07/2020
j'ai trouvé le film pas si mal même si le rythme est difficile , le film est quand même super intéressant , et cette histoire méritait d'être raconté.
T-Tiff
"Le fondateur" de John Lee Hancock raconte l'histoire de celui qui a permis à un petit restaurant de burgers nommé McDonald's de devenir la plus grande chaîne mondiale de restauration rapide. Ce personnage est Ray Kroc, très bien interprété par Michael Keaton, un farouche capitaliste qui ne reculera devant rien pour faire de son entreprise un succès planétaire. Ainsi, les frères McDonald, créateur du restaurant originel, se retrouveront progressivement mis de côté. Le biopic est vraiment intéressant car il raconte l'histoire peu connue de la création d'une entreprise que tout le monde connaît, et de restaurants dans lesquels nous avons quasiment tous déjà mangé. La narration de fin du film indique d'ailleurs que chaque jour, McDonald's nourrit 1% de la planète. Impressionnant. Pour le reste, rien de particulier à analyser, la mise en scène est très classique, la narration est linéaire, les personnages secondaires un peu effacés. "Le fondateur" est un film intéressant, sans fulgurances.
Comment un homme de la cinquantaine, raillé par ses proches, soutenu du bout des lèvres par sa femme qui lui rappelle qu'il y a des traites à payer, devient milliardaire ? Tout d'abord il écoute un livre audio : The Power of the Positive, de Clarence Floyd Nelson. En clair il s'imprègne d'une pensée positive, s'éloigne des personnes négatives, et devient ainsi disponible pour saisir les opportunités. Et quelle opportunité ! Le film nous fait plonger dans les années 1950, quand tout commença pour McDonald's. Les décors, les costumes, les voitures, tous les détails sont traités avec attention. La passion du personnage principal, sa détermination à réussir, tout ce qu'il a du endurer pour imposer sa vision, sont insipirants. Une bonne leçon de déterminisme et d'entrepreunariat.
le film retrace bien l'histoire du fondateur du fast good aux Etats-Unis. N'étant pas du tout emballé au début pour le regarder je me suis pris dans l'histoire qui a été pour moi captivante je ne mets pas en 5e étoile car c'est tout de même un peu long raccourcir le film d'une demi-heure aurait pu passer largement.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse