AlloCiné
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Porté par un Michael Keaton comme à son habitude en grande forme, ce biopic sur Ray Kroc, le fondateur de la chaîne de restaurant la plus célèbre du monde nous offre ni plus ni moins ce à quoi l'on peut s'attendre. J'ai trouvé l'histoire très intéressante il est vrai, n'étant aucunement renseigné sur le sujet j'y ai découvert de nombreuses facettes peu connues de cette grande marque, cependant, nous n'avons ici que les grandes lignes, et tout ça semble trop simple et joli pour être convainquant entièrement.
D'un point de vue de la mise en scène, il n'y a pas grand chose à dire, ça se regarde gentiment mais l'on voit bien que John Lee Hancock ne prend aucun risque, mise à part un certain dégoût et même une certaine haine que l'on peut ressentir envers cet homme d'affaires qui n'a aucun scrupule et qui déborde d'ambition, l'ensemble reste assez plat.
En conclusion, c'est un film intéressant qui nous montre les prémisses de la société de consommation actuelle, l'Amérique des années 50 y est représentée d'une bien belle manière et c'est agréable à suivre, malheureusement, rien ne relève le niveau global de l'oeuvre si ce n'est Michael Keaton et cette histoire captivante. L'ensemble de la projection pourrait se résumer à l'un de ses thèmes qui est la consommation rapide et fade suivi de l'oubli de part cette réalisation bien trop banal pour nous marquer.
D'un point de vue de la mise en scène, il n'y a pas grand chose à dire, ça se regarde gentiment mais l'on voit bien que John Lee Hancock ne prend aucun risque, mise à part un certain dégoût et même une certaine haine que l'on peut ressentir envers cet homme d'affaires qui n'a aucun scrupule et qui déborde d'ambition, l'ensemble reste assez plat.
En conclusion, c'est un film intéressant qui nous montre les prémisses de la société de consommation actuelle, l'Amérique des années 50 y est représentée d'une bien belle manière et c'est agréable à suivre, malheureusement, rien ne relève le niveau global de l'oeuvre si ce n'est Michael Keaton et cette histoire captivante. L'ensemble de la projection pourrait se résumer à l'un de ses thèmes qui est la consommation rapide et fade suivi de l'oubli de part cette réalisation bien trop banal pour nous marquer.
Michael Keaton écrase l'affiche et le film par son charisme, et son rôle d'homme d'affaires qui à les dents longues à rayer le parquet. L'histoire est plutôt folle, on peine à croire qu'à la base, la qualité était privilégiée chez les frères McDonald's. Ensuite ça s'emballe, et Ray Kroc flaire le bon coup. C'est pas mal, mais sur certains points ça manque de profondeur, on s'ennuie presque sur des moments du film. La vie personnelle de Ray Kroc est par exemple inutile je trouve, ou tout du moins, mal exploitée.
Mais bon l'épilogue est folle, et on se dirait presque que certains sont sur monde pour dominer, écraser les autres. A découvrir tout de même
Mais bon l'épilogue est folle, et on se dirait presque que certains sont sur monde pour dominer, écraser les autres. A découvrir tout de même
À lire les commentaires - et certaines critiques dans les journaux - certains sont passés complètement à côté du propos du film, qui n'est ni une hagiographie de Ray Kroc, comme j'ai pu le lire, ni un portrait à charge. Aurait-il été l'un ou l'autre, le film aurait été raté.
Certains se désolent de la mise en scène, qui serait trop conventionnelle, alors que c'est justement la force de ce film, qui mise plutôt sur son histoire, fascinante, et sur ses acteurs, de tout premier plan, dont l'époustouflant Michael Keaton, qui nous livre l'une de ses meilleures performances. L'ajout d'images d'archive ajoute une couche de réalisme à une histoire qui n'a pas besoin qu'on en rajoute des tonnes pour être digne d'intérêt.
Ce qui ressort de ce film, c'est que le succès, dans le monde actuel, appartient à ceux qui sont prêts à prendre tous les risques, qui ne manquent pas d'ambition et de vision, mais qui sont, surtout, dénués de scrupules. Les deux frères McDonald, qui sont de bonnes pâtes, n'avaient aucune chance face à un requin comme Ray Kroc. En même temps, le film évite de sombrer dans le manichéisme, laissant en suspens cette question: le monde a-t-il besoin de gens comme eux, ou comme Ray Kroc?
Certains se désolent de la mise en scène, qui serait trop conventionnelle, alors que c'est justement la force de ce film, qui mise plutôt sur son histoire, fascinante, et sur ses acteurs, de tout premier plan, dont l'époustouflant Michael Keaton, qui nous livre l'une de ses meilleures performances. L'ajout d'images d'archive ajoute une couche de réalisme à une histoire qui n'a pas besoin qu'on en rajoute des tonnes pour être digne d'intérêt.
Ce qui ressort de ce film, c'est que le succès, dans le monde actuel, appartient à ceux qui sont prêts à prendre tous les risques, qui ne manquent pas d'ambition et de vision, mais qui sont, surtout, dénués de scrupules. Les deux frères McDonald, qui sont de bonnes pâtes, n'avaient aucune chance face à un requin comme Ray Kroc. En même temps, le film évite de sombrer dans le manichéisme, laissant en suspens cette question: le monde a-t-il besoin de gens comme eux, ou comme Ray Kroc?
Le fondateur retrace la création de la franchise Mc Donald aux États-Unis dans les années 1960. Tout tourne donc autour de Ray Kroc qui découvre le restaurant des frères Mc Donald avec son fonctionnement novateur pour l'époque et qui reste le même aujourd'hui. A savoir une optimisation du temps, de l'espace, et des quantités au gramme près.
Le point positif de ce long métrage c'est que le réalisateur a choisi de ne pas enjoliver et de rester fidèle à la vérité. En effet le réalisateur rend à César ce qui est à César. Sans les frères Mc Donald, Ray Kroc n'aurait pas bâti l'empire des Restaurants Mc Donald. D'ailleurs Ray Kroc y est dépeint comme un homme d'affaire sans scrupule qui n'hésitera pas à vous écraser. Michael Keaton est d'ailleurs magistral dans ce rôle et le spectateur appréciera le détester dans ce rôle.
Au final la force de de long métrage c'est son honnêteté et une vérité retrouvée.
Le point positif de ce long métrage c'est que le réalisateur a choisi de ne pas enjoliver et de rester fidèle à la vérité. En effet le réalisateur rend à César ce qui est à César. Sans les frères Mc Donald, Ray Kroc n'aurait pas bâti l'empire des Restaurants Mc Donald. D'ailleurs Ray Kroc y est dépeint comme un homme d'affaire sans scrupule qui n'hésitera pas à vous écraser. Michael Keaton est d'ailleurs magistral dans ce rôle et le spectateur appréciera le détester dans ce rôle.
Au final la force de de long métrage c'est son honnêteté et une vérité retrouvée.
Fêtons le cinéma
La très grande force de The Founder, c’est de construire un personnage complexe, Ray Kroc, sans jamais le juger, l’enfermer dans une axiologie négative qui en ferait un vampire capitaliste venu sucer le sang des honnêtes gens. Le film réussit à rester neutre tout en signifiant l’évolution de son personnage principal – à la fois protagoniste et antihéros – par et pour le cinéma : la composition des plans est remarquable et symbolise la position qu’occupent les entrepreneurs les uns par rapport aux autres. D’abord au bas de l’escalier conjugal, Ray remonte progressivement la pente, se couvre de l’autorité des deux frères avant de s’en affranchir, improvise un duo chanté avec la pianiste également épouse d’un représentant de la haute cuisine avant de ravir celle-ci et de rivaliser avec ladite gastronomie. Des petits détails disent les grands changements : remplie sous les yeux de Rollie, la coupe de milk-shake en poudre est cadrée sous la poitrine floutée en second plan de Joan, signe de la mainmise de Kroc et sur le marché du fast-food et sur la femme de son adversaire. Car tous les autres sont des adversaires, d’abord considérés comme des partenaires avant de devenir des boulets accrochés aux chevilles de celui qui avance et qui n’a qu’un seul mot à la bouche : persévérance. John Lee Hancock n’attaque ni ne défend le modèle capitaliste ; il le met à nu, l’exhibe dans ses stratégies coupées de l’humain et reliées au profit. Les préoccupations deviennent des slogans, le sacré devient profane, le petit vendeur un squale mangeur d’hommes et héraut de l’Amérique, de ses valeurs, du self made man dont le portrait ici brossé choque par sa franchise, son ambivalence, sa détermination à aller jusqu’au bout tout en ménageant, l’espace de quelques secondes, des moments de suspens, comme cette dernière scène où le « fondateur » ne parvient à lire une carte-mémoire, répétition d’un show à venir dont il perçoit alors le caractère immoral. Rattrapé par le passé, par les remords, de même que Lee Hancock filme Keaton de dos, dans le reflet de son miroir. Conscient d’avoir usurpé un concept, mais plus encore d’avoir ravi un nom, déposséder une famille d’un nom, de s’être approprié un nom typiquement américain (McDonalds) contre un nom à consonance slave (Kroc). La partition signée Carter Burwell resplendit d’un thème principal qui mime la marche, conquête menacée par un trébuchement, rattrapée in extremis. Ce thème dit son personnage et accompagne une œuvre immense, délicieusement coupée de toute préoccupation morale.
Je trouve ce biopic excellent. C’est fascinant de connaitre l’histoire de ce géant qu’est McDonald’s. On connaît l’importance actuelle qu’à cette chaine de restauration rapide de nos jours, mais ce n’est pas tout le monde qui sait la manière dont elle s’est construite. Cette histoire est très bien racontée en suivant Ray Kroc qui n’est pas le créateur de McDonald’s mais celui qui a franchisé ce petit restaurant Californien. Ce personnage est très bien exploré et on apprend à le connaitre. On comprend ses motivations et ce qui va le pousser à agir comme il le fait. On peut aimer ou détester, en tout cas ça ne laissera pas neutre. En effet, la prestation de Michael Keaton est géniale. Cet acteur a une force incroyable dans son jeu. Il est passionnant à suivre. Au-delà du récit, c’est sa manière de le faire vivre qui est la grosse force de ce biopic. Bien qu’on suive Ray Kroc, il faut savoir tout de même que c’est raconter du point de vue de la famille McDonald. Certains aspects sont donc peut-être peu objectifs quand on voit ce qu’il est advenu. Au passage, Nick Offerman et John Carroll Lynch sont super dans la peau des deux frères. J’ai apprécié aussi le rythme car les moments importants sont détaillés, afin de pouvoir tout comprendre et être plongé dedans, alors que le reste est fait de manière dynamique pour ne pas être lourd. Le tout est donc agréable à voir.
Une histoire incroyable et passionnante comme savent si bien faire les américains pour raconter les histoires d'ascension social. On suit toutes les étapes entrepreneurial de l'entreprise allant de sa naissance jusqu'à sa mondialisation et c'est bluffant !
Franchement super intéressante l'approche du film sur ce que l'on appelle le rêve américain. En effet, on ne voit pas la chose comme 100% positive, on nous montre aussi les travers de cette réussite. Keaton passe du raté à la personne la plus riche, mais les impacts de cette cupidité nous sont montrés au travers des deux frères. L'histoire donc est cool, dommage qu'elle soit entachée par un rythme inégal (moment lent, puis avancé de l'histoire rapide, puis re lent, répétition etc...). Les acteurs sont convaincants et ne nous font pas douter sur l'histoire. Au niveau du montage et de la réalisation il n'y a pas grand chose à signaler, tout est soigné. Bref, je conseille vraiment ce film qui à mes yeux est tout de même une critique sur les puissants qui prennent aux plus petits.
Un très bon Biopic. Michael Keaton joue magnifiquement et n'en fait pas trop pour rendre le personnage plus attachant qu'il ne le serait. A voir pour comprendre l'ascension fulgurante d'une des entreprises les plus puissante au monde.
Édifiant portrait sans complaisance de Ray "S." Kroc, le VRP devenu PDG VIP de l'empire des resto-vites, en s'étant associé, tel un loup dans la bergerie, dans l'affaire familiale des frères McDonald's avant de les en évincer. En affaires il ne faut pas faire de sentiments.
L'épatante histoire de Ray Kroc, un banal commercial, qui s'arrête un jour pour déjeuner dans un restaurant tenu par les frères Mc Donald. La file d'attente est longue mais elle avance étonnement vite. Il va alors voir les patrons et leur demande comment ils font pour servir des hamburgers préparés sur place aussi rapidement. Il trouve leur concept tellement intéressant, qu'il leur propose de développer des franchises. Réticents, les frères McDonald vont finir par accepter mais l'ambition de Kroc est sans limites et des tensions vont vite apparaître entre les créateurs du concept et celui qui l'a développé commercialement. L'histoire est passionnant, d'autant plus qu'elle est vraie et que l'on connait tous les fast-food McDonald. Michael Keaton interprète superbement Ray Kroc, le protagoniste du film.
Ce film nous raconte l'histoire de l'expansion des restaurants fast-food McDonald's avec M. Keaton en fondateur de cet empire. C'est donc un biopic sur Ray Kroc qui a fondé cet immense business. L'histoire est intéressante car non seulement on ne la connait pas mais en plus elle donne une bonne image des frères McDonald's et de leur concept et le personnage de Kroc est aussi très intéressant. En effet il est présenté comme un looser mais encore plein d'énergie passé 50 ans toujours prêt à s'engager dans une nouvelle aventure. De plus le concept McDonald's imaginé et mis en place par les 2 frères donne une belle image des McDo qui s'est un peu perdue maintenant. C'est un peu comme avec Starbucks dont les fondateurs originaux n'avaient aucune envie que cela devienne un business international.
Le film est intéressant à regarder, on ne s'ennuie pas, les décors sont bien faits et c'est éducatif, c'est presque un documentaire.
Le film est intéressant à regarder, on ne s'ennuie pas, les décors sont bien faits et c'est éducatif, c'est presque un documentaire.
Un excellent Biopic. Michael Keaton incarne le fondateur de McDonald's. Laura Dern interprète sa femme . Linda Cardellini tient le rôle de l'épouse de l'un des franchisants. John Carroll Lynch joue Mac McDonald.
Si nous connaissons tous les restaurants McDonald's, peu d’entre nous connaissent l’histoire qui se cache derrière cet empire. "Le Fondateur" met en lumière l’envers du décor des fameuses arches dorées.
Dans l’Amérique des années 50, encore habituée à manger dans des drive-in au service hasardeux et lent, les frères Richard et Maurice McDonald créent le concept du « Speedee Service System ». Fini l’attente, on se déplace à pied pour commander des burgers et des frites servis avec une rapidité jamais vue et sans couvert, la révolution est en marche et le succès est immédiat. Il faut dire que nous sommes dans les prémices d’un monde pour qui la rapidité et l’efficacité deviennent plus important que la qualité.
Bien que très linéaire et totalement académique, le film de John Lee Hancock n’en reste pas moins passionnant, surprenant et dépeint un personnage repoussant !
Si l’on découvre et admire la créativité et l’esprit très humain des 2 frères McDonald, leur démarche est rapidement mise en opposition avec celle du « fondateur » ; Ray Kroc (qui porte vraiment bien son nom) magistralement porté à l’écran par Michael Keaton.
Le biopic nous dévoile l’esprit d’entrepreneur d’un homme prêt à tout pour satisfaire son égo, son ambition et sa soif de pouvoir. S’il est des requins dans le monde du business, Ray a une dentition et un appétit digne des plus grands spécimens.
Chaque étape est détaillée et même si le film a dû faire quelques concessions pour ne pas trop attaquer le groupe McDo, la critique bien que subtile, reste vive et la consommation érigée en nouvelle religion du modèle Américain ainsi que ses apôtres du marketing en prennent pour leur grade.
Mais c’est surtout le trajet de celui qui a créé la McDonald's Corporation qui est compté sans ambages. La franchise sur les franchises en somme !
Un film qui n’est pas indigeste, c’est parfait pour finir ou commencer l’année.
Dans l’Amérique des années 50, encore habituée à manger dans des drive-in au service hasardeux et lent, les frères Richard et Maurice McDonald créent le concept du « Speedee Service System ». Fini l’attente, on se déplace à pied pour commander des burgers et des frites servis avec une rapidité jamais vue et sans couvert, la révolution est en marche et le succès est immédiat. Il faut dire que nous sommes dans les prémices d’un monde pour qui la rapidité et l’efficacité deviennent plus important que la qualité.
Bien que très linéaire et totalement académique, le film de John Lee Hancock n’en reste pas moins passionnant, surprenant et dépeint un personnage repoussant !
Si l’on découvre et admire la créativité et l’esprit très humain des 2 frères McDonald, leur démarche est rapidement mise en opposition avec celle du « fondateur » ; Ray Kroc (qui porte vraiment bien son nom) magistralement porté à l’écran par Michael Keaton.
Le biopic nous dévoile l’esprit d’entrepreneur d’un homme prêt à tout pour satisfaire son égo, son ambition et sa soif de pouvoir. S’il est des requins dans le monde du business, Ray a une dentition et un appétit digne des plus grands spécimens.
Chaque étape est détaillée et même si le film a dû faire quelques concessions pour ne pas trop attaquer le groupe McDo, la critique bien que subtile, reste vive et la consommation érigée en nouvelle religion du modèle Américain ainsi que ses apôtres du marketing en prennent pour leur grade.
Mais c’est surtout le trajet de celui qui a créé la McDonald's Corporation qui est compté sans ambages. La franchise sur les franchises en somme !
Un film qui n’est pas indigeste, c’est parfait pour finir ou commencer l’année.
L'histoire du phénomène McDonalds ! Tout un programme ! Franchement, c'est super intéressant de voir l'origine de cette machine désormais mondialement connue (et dont on a dû mal à imaginer l'absence désormais), même si forcément, le tout doit être enjolivé un petit peu...Mais là, c'est assez bien foutu. La première partie sur la découverte du système des deux frères à l'origine de tout est captivante (les deux petits cornichons, la moutarde, le ketchup...). La seconde l'est beaucoup moins par contre, si bien que l'on assiste malgré nous
spoiler:
au triste sort de ces deux frères inventifs complètement spoliés
et à l'abandon pur et simple des seconds rôles, carrément sous exploités (à l'image de Laura Dern). Ceci dit, Michael Keaton est très bon en VRP, entre ambition exacerbée, audace fulgurante et spoiler: aucun état d'âme sur la fin ("un contrat, c'est comme un cœur, c'est fait pour être brisé"
). Le self-made man à l'état pur, symbole de la réussite à l'américaine.
et à l'abandon pur et simple des seconds rôles, carrément sous exploités (à l'image de Laura Dern). Ceci dit, Michael Keaton est très bon en VRP, entre ambition exacerbée, audace fulgurante et spoiler: aucun état d'âme sur la fin ("un contrat, c'est comme un cœur, c'est fait pour être brisé"
). Le self-made man à l'état pur, symbole de la réussite à l'américaine.
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