Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Ce portrait captivant de l'Amérique des années 1950 dépeint les prémices d'une nouvelle économie et d'une société qui fait de la consommation sa nouvelle religion. A consommer sans modération.
LCI
par Romain Le Vern
Une histoire passionnante.
La critique complète est disponible sur le site LCI
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre hagiographie glorieuse et ironie souriante, un film jouissif qui traduit la célébration d’une Amérique fière d’elle-même, tout en l’assortissant d’un regard lucide non dénué d’esprit critique.
Le Figaro
par La Rédaction
John Lee Hancok met le capitalisme sur le gril et signe une version pépère de The Social Network, bien écrite et bien jouée.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Michael Keaton impose un jeu tout en nuances pour composer le personnage charmeur, visionnaire et ambitieux qui a construit l’empire McDo en piétinant l’œuvre de ses vrais créateurs.
Le Parisien
par Catherine Balle
Véritable leçon d'entrepreneuriat, "Le Fondateur" détaille chaque étape de l'édification du modèle McDonald's, que l'on suit comme un polar. Omniprésent à l'image, Michael Keaton incarne parfaitement Kroc, antihéros parfois ombrageux.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Phalène de La Valette
Servi par un casting talentueux, Le Fondateur est une plongée dans l'histoire passionnante et largement méconnue de la naissance de McDonald's. Il faut le voir pour le croire, tant ce récit entrepreneurial est surprenant.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Adrien Gombeaud
"Le Fondateur" brille moins par une mise en scène conventionnelle que par un scénario solide de Robert Siegel et une interprétation ravageuse de Michael Keaton.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
La mise en scène, fertile en frissons de cinéma, est assurée par un habile artisan connu pour son biopic de Walt Disney période Mary Poppins. Bel ouvrage !
Le Monde
par Noémie Luciani
Solidement appuyé sur la performance subtile de Keaton, John Lee Hancock prend soin de réserver son jugement sur cet arriviste chaleureux que l’on n’aurait, au bout du compte, guère plus d’aisance à juger. C’est souvent le signe, et l’intérêt, des portraits de cinéma réussis.
Les Fiches du Cinéma
par Romain Princet
Un biopic aussi modeste qu’original.
Paris Match
par Alain Spira
Si, comme toujours, Michael Keaton a une frite d’enfer, le film, lui, évoque un Bigmac. En fait, on ne sait pas trop comment le prendre et, au final, il nous laisse sur notre faim.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Frédéric Foubert
Tout est là, en friche, mais John Lee Hancock emballe son film de façon incroyablement neurasthénique, enchaînant les scènes explicatives, loupant les délices de la reconstitution fifties, se perdant dans des digressions interminables. (...) Reste la véritable attraction du film, Michael Keaton, toujours aussi étrange et inquiétant (...).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Plus que la reconstitution soignée de l'Amérique des fifties, c'est l'évocation passionnante d'un arriviste que propose ce biopic. Avec une performance éblouissante de Michael Keaton. Pathétique et séduisant à la fois, il apporte à cette success story une dimension satirique jubilatoire.
Voici
par La Rédaction
Une aventure humaine et sociologique passionnante, sorte de fable morale, hélas un peu trop centrée sur le seul personnage (peu sympathique) de Kroc.
CinemaTeaser
par Thomas Destouches
Trop sage pour être totalement honnête.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Humanité
par Vincent Ostria
Malgré ces quelques bémols, l’impression générale reste celle d’un biopic décoratif et hagiographique.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Personnage réellement fascinant, Ray Kroc aurait mérité une approche aux tonalités plus complexes et sombres. S’ajoutent à ces travers des personnages caricaturaux, comme ces épouses qui ne semblent avoir d’autre centre d’intérêt que de la carrière de leurs maris.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Sa platitude ennuie, mais, bien plus encore, son absence totale de recul dérange.
Télérama
par Jérémie Couston
Trop occupé à tresser des louanges, le film occulte les dérives monstrueuses générées par ce modèle économique. Et l'on reste, comme toujours chez McDo, sur sa faim.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Femme Actuelle
Ce portrait captivant de l'Amérique des années 1950 dépeint les prémices d'une nouvelle économie et d'une société qui fait de la consommation sa nouvelle religion. A consommer sans modération.
LCI
Une histoire passionnante.
Le Dauphiné Libéré
Entre hagiographie glorieuse et ironie souriante, un film jouissif qui traduit la célébration d’une Amérique fière d’elle-même, tout en l’assortissant d’un regard lucide non dénué d’esprit critique.
Le Figaro
John Lee Hancok met le capitalisme sur le gril et signe une version pépère de The Social Network, bien écrite et bien jouée.
Le Journal du Dimanche
Michael Keaton impose un jeu tout en nuances pour composer le personnage charmeur, visionnaire et ambitieux qui a construit l’empire McDo en piétinant l’œuvre de ses vrais créateurs.
Le Parisien
Véritable leçon d'entrepreneuriat, "Le Fondateur" détaille chaque étape de l'édification du modèle McDonald's, que l'on suit comme un polar. Omniprésent à l'image, Michael Keaton incarne parfaitement Kroc, antihéros parfois ombrageux.
Le Point
Servi par un casting talentueux, Le Fondateur est une plongée dans l'histoire passionnante et largement méconnue de la naissance de McDonald's. Il faut le voir pour le croire, tant ce récit entrepreneurial est surprenant.
Positif
"Le Fondateur" brille moins par une mise en scène conventionnelle que par un scénario solide de Robert Siegel et une interprétation ravageuse de Michael Keaton.
La Voix du Nord
La mise en scène, fertile en frissons de cinéma, est assurée par un habile artisan connu pour son biopic de Walt Disney période Mary Poppins. Bel ouvrage !
Le Monde
Solidement appuyé sur la performance subtile de Keaton, John Lee Hancock prend soin de réserver son jugement sur cet arriviste chaleureux que l’on n’aurait, au bout du compte, guère plus d’aisance à juger. C’est souvent le signe, et l’intérêt, des portraits de cinéma réussis.
Les Fiches du Cinéma
Un biopic aussi modeste qu’original.
Paris Match
Si, comme toujours, Michael Keaton a une frite d’enfer, le film, lui, évoque un Bigmac. En fait, on ne sait pas trop comment le prendre et, au final, il nous laisse sur notre faim.
Première
Tout est là, en friche, mais John Lee Hancock emballe son film de façon incroyablement neurasthénique, enchaînant les scènes explicatives, loupant les délices de la reconstitution fifties, se perdant dans des digressions interminables. (...) Reste la véritable attraction du film, Michael Keaton, toujours aussi étrange et inquiétant (...).
Télé 7 Jours
Plus que la reconstitution soignée de l'Amérique des fifties, c'est l'évocation passionnante d'un arriviste que propose ce biopic. Avec une performance éblouissante de Michael Keaton. Pathétique et séduisant à la fois, il apporte à cette success story une dimension satirique jubilatoire.
Voici
Une aventure humaine et sociologique passionnante, sorte de fable morale, hélas un peu trop centrée sur le seul personnage (peu sympathique) de Kroc.
CinemaTeaser
Trop sage pour être totalement honnête.
L'Humanité
Malgré ces quelques bémols, l’impression générale reste celle d’un biopic décoratif et hagiographique.
La Croix
Personnage réellement fascinant, Ray Kroc aurait mérité une approche aux tonalités plus complexes et sombres. S’ajoutent à ces travers des personnages caricaturaux, comme ces épouses qui ne semblent avoir d’autre centre d’intérêt que de la carrière de leurs maris.
Studio Ciné Live
Sa platitude ennuie, mais, bien plus encore, son absence totale de recul dérange.
Télérama
Trop occupé à tresser des louanges, le film occulte les dérives monstrueuses générées par ce modèle économique. Et l'on reste, comme toujours chez McDo, sur sa faim.