AlloCiné
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Votre avis sur Spider-Man : New Generation ?
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En toute sincérité, je n'étais pas plus enthousiaste que ça d’aller voir cette nouvelle version de l’homme-araignée (je ne vais pas dire ras le bol des comics mais si, un peu quand même ...) et là, quelle claque ! Graphisme, bande son, scénario : tout y est pour un film d’animation proche de la perfection et qui s’adresse à un public plus adolescent qu’enfant. A coup sûr un film référence ...
Après de nombreuses versions cinématographiques,on ne connaît plus le positionnement de la franchise Spiderman. En rajeunissant le personnage principal, on ne reconnaît plus l'homme araignée.
Spider-man new generation puise sa force dans son histoire incroyable. Cette aventure permet de découvrir des nouveaux personnages tous intéressant et qui apportent tous leur poids.
Le rythme est maîtrisé, le style un peu urbain et notre héros arriverait à nous faire oublier qu'il s'agit d'un dessin animé et non d'un film en prises de vue réelles.
Autre performance celle du Caïd qui impressionne.
On peut faire confiance à cette nouvelle génération de films de super-héros car la relève n'est pas dans la prise de vue réelle mais dans ces films parfaitement animés.
Spider-man new generation puise sa force dans son histoire incroyable. Cette aventure permet de découvrir des nouveaux personnages tous intéressant et qui apportent tous leur poids.
Le rythme est maîtrisé, le style un peu urbain et notre héros arriverait à nous faire oublier qu'il s'agit d'un dessin animé et non d'un film en prises de vue réelles.
Autre performance celle du Caïd qui impressionne.
On peut faire confiance à cette nouvelle génération de films de super-héros car la relève n'est pas dans la prise de vue réelle mais dans ces films parfaitement animés.
Superbe ! C'est assez drôle car je me disais justement que le cinéma d'animation en France était enfin arrivé au niveau du cinéma US ces derniers temps (notamment avec la sortie du superbe "Astérix - Le Secret de la Potion Magique" d'Astier et Clichy), mais avec ce Spider-Man, le cinéma d'animation US fait encore un bond en avant. Visuellement, le film est vraiment exceptionnel. Rien à redire.
Pourtant le côté saccadé de l'animation dans les trailers me faisait un peu peur (ce n'est pas du 24 ou 25 img/sec), mais sur grand écran, ce n'est absolument pas dérangeant. Au contraire, la qualité de l'animation est le gros point fort du film. Et je pèse mes mots. Le travail effectué sur les couleurs et le design est tout bonnement incroyable.
A contrario, je pensais que le point fort du film serait son originalité scénaristique et malheureusement... passé la découverte des spoiler: multi-dimensions
, sans être mauvais, le reste du film m'a paru assez banal (mais toujours plus efficace que les films de Webb ou le dernier Spidey de Jon Watts)...
Pourtant le côté saccadé de l'animation dans les trailers me faisait un peu peur (ce n'est pas du 24 ou 25 img/sec), mais sur grand écran, ce n'est absolument pas dérangeant. Au contraire, la qualité de l'animation est le gros point fort du film. Et je pèse mes mots. Le travail effectué sur les couleurs et le design est tout bonnement incroyable.
A contrario, je pensais que le point fort du film serait son originalité scénaristique et malheureusement... passé la découverte des spoiler: multi-dimensions
, sans être mauvais, le reste du film m'a paru assez banal (mais toujours plus efficace que les films de Webb ou le dernier Spidey de Jon Watts)...
A force d'entendre partout que ce film est génial, même si j'avais été refroidi par la bande-annonce, c'est un pur film ! Même si on voulait y trouver quelque chose de mauvais, je ne suis pas sur que ce soit possible. On se sent vraiment attachés à chacun des personnages, l'histoire est top, la musique d'ambiance aussi et les différentes chansons s'intègrent parfaitement au récit. On ne perd pas de temps à vous présenter chaque personnage, peut-être que ceux qui ne sont pas trop familiers avec l'univers de Spidey pourront être un peu perdus, pour les autres c'est que du bonheur. Les valeurs véhiculées sont très bien traitées également, tout le monde sort grandi de cette expérience. Certains moments d'auto-critique des moments phares de la saga (Spider-Man 3, "With great powers..."
spoiler:
, ainsi que la scène post-générique
) sont des clins d'oeil particulièrement bien vus.
Les OAV permettent souvent de compenser les films assez moyens que l'on nous offre et celui-ci ne déroge pas à là règle. L'honneur de l'homme araignée est rétabli.
) sont des clins d'oeil particulièrement bien vus.
Les OAV permettent souvent de compenser les films assez moyens que l'on nous offre et celui-ci ne déroge pas à là règle. L'honneur de l'homme araignée est rétabli.
Sorti en 2018, cet opus, intitulé « New Génération » chez nous, constituait une petite révolution dans le monde des films d’animation. Sa maestria graphique, sa fluidité bluffante et ses incrustations inventives (bulles de dialogues, split-screen) associées à un habillage musical somptueux hissaient l’ensemble à un niveau technique inégalé. Côté scénario, l’incursion du Multivers (Spider-Verse plus exactement ici) peut être jugée plus ou moins réussie mais Marvel a prouvé par la suite, lors de déclinaisons extrêmement fâcheuses, que l’utilisation de cet artifice était périlleuse. Ici cela reste très fun et employé principalement au service du registre comique, efficacement, mais aussi pour véhiculer le message prioritaire, voire unique (en gros : tout le monde peut devenir Superman), un peu simpliste certes (après on est chez Sony/Marvel avec un homme-araignée, pas chez Godard ou Bergman !). Visuellement imparable, c’est de loin le meilleur divertissement Marvel depuis longtemps et, au vue des années suivantes, pour longtemps. Le 2ème volet venant de sortir, ça peut donner envie de se faire une nouvelle toile…
Spider-Man: New Génération est dynamique , drôle, malin, inventif et surtout visuellement magnifique.
L’histoire est faite de moments de bravoure haletant, de tensions franchement réussies et d’instants plus légers, pas inintéressants pour autant. Le tout mène vers une scène finale époustouflante.
Enfin, je dirai que Spider-Man: New Génération est un film d’animation qui propose un grand spectacle coloré. Certainement l’un des meilleurs films sur le super héros.
L’histoire est faite de moments de bravoure haletant, de tensions franchement réussies et d’instants plus légers, pas inintéressants pour autant. Le tout mène vers une scène finale époustouflante.
Enfin, je dirai que Spider-Man: New Génération est un film d’animation qui propose un grand spectacle coloré. Certainement l’un des meilleurs films sur le super héros.
Cinéphiles 44
Prix du meilleur film d’animation des plus grandes cérémonies, ce nouveau film d’animation centré sur le personnage de « Spider-Man » va vous étonner par ses idées nouvelles. Tout d’abord, il n’est pas question d’un homme araignée, mais de plusieurs ! Notre personnage principal est un adolescent noir, une première pour le comics. On fera également la connaissance du commun mais vieillissant Peter Parker blond, de Spider-Gwen une fille, de Spider-Cochon, de la japonaise Peni Parker et d’une réplique des années 2100. Parlons ensuite du graphisme. L’équipe d’animateurs va nous en mettre plein la vue grâce à un univers pop mélangeant l’animation numérique à la bande dessinée. L’histoire est touchante et fait hommage aux précédents « Spider-Man » tout en renouvelant le genre par ses personnages représentant les dîtes minorités. Ces derniers sont attachants et drôles sans jamais tomber dans une caricature lourdingue. Bref, « Spider-Man : new generation » porte très bien son nom.
D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
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Shawn777
Ce film d'animation, réalisé par Peter Ramsey, Bob Persichetti et Rodney Rothman et sorti en 2018, est très bon. Pourtant, j'avoue que le film ne m'attirait pas franchement et puis, suite à l'énorme (et, pour moi, inattendu) succès du film, j'ai décidé de le voir et je ne regrette pas ! Sony revient au devant de la scène en proposant un nouvel opus de la franchise "Spider-Man", mais qui n'est pas cette fois-ci en prises de vues réelles, ce qui permet notamment de se permettre beaucoup plus de choses. Bon alors, je m'y perds un peu dans le multivers de Marvel mais en gros, c'est ici l'histoire de Miles Morales qui doit apprendre à gérer ses nouveaux pouvoirs, tout en faisant la connaissance d'autres Spider-Man venus de différents univers. Bon, annoncé comme ça, le tout à tout de suite l'air complètement barré et foutraque mais finalement, l'intrigue est vraiment bien construite et on ne s'y perds pas ! Alors, n'ayant absolument pas lu les comics concernés, je ne sais pas si le film en fidèle ou non mais en tous cas, tous les personnages sont intéressants. J'ai d'ailleurs été très surpris par la tournure que prenait l'intrigue, ne m'étant auparavant pas du tout renseigné sur le film, ce qui fut donc en ce qui me concerne une très bonne surprise. De plus, le film arrive quelques fois à nous surprendre en prenant une direction assez inattendue, soit dans le choix des personnages ou alors dans l'intrigue, tout simplement. J'ai de plus vraiment adoré les graphismes et ce mélange de culture en ce qui concerne les différents styles de dessins. On notera tout de même que l'histoire est quelques fois clichée, un peu niaise, et qu'elle use un peu trop par moments de facilités narratives, ce qui est un peu dommage mais comme je m'y attendais, cela ne m'a pas vraiment dérangé et cela n'enlève rien à la qualité globale de l'histoire. "Spider-Man : Into the Spider-Verse" est donc un très bon film d'animation !
Un petit bijou d'animation à la fois touchant et divertissant. L'idéal pour se détendre un vendredi soir.
AV ciné
Un film d'animation Spider-Man très efficace !
L'histoire est satisfaisante et l'univers des différents Spider-Man est intéressant.
Miles Morales est convaincant, tous les personnages sont très convenables et très bien élaborés.
Les images sont très classes et les effets visuels sont très bien réalisés.
Les décors sont très bons et New York est très bien reproduit et appréciable.
L'ambiance est plaisante et les scènes d'action sont très bien conçues, les rebondissements sont satisfaisants.
Un film donc réussi avec des héros sympathiques dans un esthétisme très soigné, visuellement on est face à des plans vraiment époustouflants !
Un Spider-Man animé à voir pour tout amateur de l'homme araignée !
L'histoire est satisfaisante et l'univers des différents Spider-Man est intéressant.
Miles Morales est convaincant, tous les personnages sont très convenables et très bien élaborés.
Les images sont très classes et les effets visuels sont très bien réalisés.
Les décors sont très bons et New York est très bien reproduit et appréciable.
L'ambiance est plaisante et les scènes d'action sont très bien conçues, les rebondissements sont satisfaisants.
Un film donc réussi avec des héros sympathiques dans un esthétisme très soigné, visuellement on est face à des plans vraiment époustouflants !
Un Spider-Man animé à voir pour tout amateur de l'homme araignée !
une raison pour laquelle Spider-Man est le super-héros préféré de beaucoup d’amateurs du genre. L’histoire de l’homme-araignée raconte celle de la sortie de l’adolescence, l’arrivée des responsabilités, les choix à faire mais aussi le fait d’assumer d’être soi-même et de révéler le meilleur de sa personnalité.
Des thématiques qui, par résonance nostalgique ou d’actualité, n’ont finalement pas d’âge, qu’on soit adulte ou ado. Les différentes adaptations de l’homme-araignée sur la grande toile les avaient toutes plus ou moins bien intégrées, avec une mention spéciale pour la trilogie de Sam Raimi (en 2002, 2004 et 2007), avec Tobey Maguire en post-ado paumé entre ses hormones et ses nouveaux pouvoirs.
Spider-Man : New Generation s’inscrit dans cet héritage. Cette fois, on suit Miles Morales, qui vient tout juste d’être piqué par cette fameuse araignée radioactive (refrain déjà entendu). Connu dans les comic-books, le jeune ado rebelle et fûté est une variation de l’homme-araignée totalement dans l’air du temps – comme son éditeur Marvel sait si bien l’exploiter : il est le fils d’un père afro-américain, flic, et d’une mère latino, infirmière. Il est entre deux cultures, donc, mais aussi entre deux mondes – il intègre, grâce au mérite, une prestigieuse école des beaux quartiers, loin du sien, plus populaire – et entre plusieurs univers.
Pour des motivations vraiment secondaires, un gros méchant de l’histoire, Le Caïd, ouvre une brèche entre plusieurs dimensions qui expédie, dans le New York de Miles Morales, un Peter Parker – le Spider-Man qu’on connaît tous – quarantenaire et ventripotent, Spider-Gwen – la femme-araignée –, d’amusantes itérations des années 1930 et 2100 du Tisseur ainsi que… Spider-Cochon, plus proche d’un Porky Pig costumé que de celui des Simpson. Voilà donc six super-héros pour le prix d’un, New Generation (Into the Spider-verse en VO) est particulièrement généreux.
Des thématiques qui, par résonance nostalgique ou d’actualité, n’ont finalement pas d’âge, qu’on soit adulte ou ado. Les différentes adaptations de l’homme-araignée sur la grande toile les avaient toutes plus ou moins bien intégrées, avec une mention spéciale pour la trilogie de Sam Raimi (en 2002, 2004 et 2007), avec Tobey Maguire en post-ado paumé entre ses hormones et ses nouveaux pouvoirs.
Spider-Man : New Generation s’inscrit dans cet héritage. Cette fois, on suit Miles Morales, qui vient tout juste d’être piqué par cette fameuse araignée radioactive (refrain déjà entendu). Connu dans les comic-books, le jeune ado rebelle et fûté est une variation de l’homme-araignée totalement dans l’air du temps – comme son éditeur Marvel sait si bien l’exploiter : il est le fils d’un père afro-américain, flic, et d’une mère latino, infirmière. Il est entre deux cultures, donc, mais aussi entre deux mondes – il intègre, grâce au mérite, une prestigieuse école des beaux quartiers, loin du sien, plus populaire – et entre plusieurs univers.
Pour des motivations vraiment secondaires, un gros méchant de l’histoire, Le Caïd, ouvre une brèche entre plusieurs dimensions qui expédie, dans le New York de Miles Morales, un Peter Parker – le Spider-Man qu’on connaît tous – quarantenaire et ventripotent, Spider-Gwen – la femme-araignée –, d’amusantes itérations des années 1930 et 2100 du Tisseur ainsi que… Spider-Cochon, plus proche d’un Porky Pig costumé que de celui des Simpson. Voilà donc six super-héros pour le prix d’un, New Generation (Into the Spider-verse en VO) est particulièrement généreux.
Dédié à la mémoire de Stan Lee et Steve Ditko, créateurs du personnages décédés quelques mois avant la sortie du film, Spider-Man New Generation vise les sommets en proposant une animation en relief de grande qualité et un scénario original dans lequel plusieurs Spider-Man se rencontrent suite à une faille spatio-temporelle. Le jeune afro-américain Miles Morales en est le personnage principal, collégien à Manhattan tentant de s’intégrer et d’aborder Gwen Stacy, petite blonde qui semble beaucoup lui plaire. Très branché américain avec un humour qui n’est pas sans rappeler le Dingo et max de Disney, le film enchaîne les gags adolescents de manière assez efficace avec quelques références propres aux jeunes de cité (dire « wesh » en mettant sa main sur son épaule, faire des graffitis sur les murs quand on a un père flic).
La réalisation est de très bonne facture avec une esthétique très proche des pages colorées d’un comics. L’animation semble même parfois volontairement ralentie, avec un nombre réduit d’images par secondes pour donner la sensation de pages qui se tournent. Bien sûr, Miles ne tarde pas à se faire mordre par une araignée nouvelle génération et obtient des pouvoirs habituels de l’Homme-Araignée en plus de la compétence de se rendre invisible. Ne maîtrisant pas encore ses capacités à coller aux murs et aux plafonds, il rencontre un ersatz de Peter Parker, sorte de monsieur tout le monde pas très doué et au ventre dépassant pas mal de son costume. Il va faire équipe pour contrer les plans du Caïd, présenté comme un gangster excessivement costaud et responsable spoiler: de la mort du vrai Spider-Man
, comme relayé dans les médias quelques minutes auparavant.
D’autres versions du héros apparaissent alors afin de constituer une équipe solide : Spider-Gwen, le Spider-Man Noir, un Spider-Cochon en référence aux Simpson (qui eux-mêmes faisaient référence à Spider-Man dans leur film) et même Peni Parker, issue d’une adaptation japonaise. Stan Lee effectue aussi un dernier caméo comme vendeur de costume à Miles dans une boutique. Pour assister le Caïd, quelques méchants emblématiques sont également présents en la personne du Bouffon Vert, d’une femme Octopus, du Scorpion et même du Rôdeur, dont la véritable identité s’avère intéressante par rapport au héros principal mais se trouve malheureusement sous-exploitée. Avec une animation de haute volée, les scènes d’action immergent totalement dans l’univers avec l’aide de nombreux phylactères contenant des textes pour appuyer les propos des personnages, bien souvent de manière comique. Un film hommage vraiment réussi !
La réalisation est de très bonne facture avec une esthétique très proche des pages colorées d’un comics. L’animation semble même parfois volontairement ralentie, avec un nombre réduit d’images par secondes pour donner la sensation de pages qui se tournent. Bien sûr, Miles ne tarde pas à se faire mordre par une araignée nouvelle génération et obtient des pouvoirs habituels de l’Homme-Araignée en plus de la compétence de se rendre invisible. Ne maîtrisant pas encore ses capacités à coller aux murs et aux plafonds, il rencontre un ersatz de Peter Parker, sorte de monsieur tout le monde pas très doué et au ventre dépassant pas mal de son costume. Il va faire équipe pour contrer les plans du Caïd, présenté comme un gangster excessivement costaud et responsable spoiler: de la mort du vrai Spider-Man
, comme relayé dans les médias quelques minutes auparavant.
D’autres versions du héros apparaissent alors afin de constituer une équipe solide : Spider-Gwen, le Spider-Man Noir, un Spider-Cochon en référence aux Simpson (qui eux-mêmes faisaient référence à Spider-Man dans leur film) et même Peni Parker, issue d’une adaptation japonaise. Stan Lee effectue aussi un dernier caméo comme vendeur de costume à Miles dans une boutique. Pour assister le Caïd, quelques méchants emblématiques sont également présents en la personne du Bouffon Vert, d’une femme Octopus, du Scorpion et même du Rôdeur, dont la véritable identité s’avère intéressante par rapport au héros principal mais se trouve malheureusement sous-exploitée. Avec une animation de haute volée, les scènes d’action immergent totalement dans l’univers avec l’aide de nombreux phylactères contenant des textes pour appuyer les propos des personnages, bien souvent de manière comique. Un film hommage vraiment réussi !
Une fois le film fini, la première phrase qui me vient en tête, c'est : "putain, c'est beau!". Le scénario est pas mal trouvé en plus, avec tous les continuum espace-temps qui se mêlent et les Spider-Men de chaque dimension se retrouve en une seule. Leur but va être de retourner chacun dans leur monde avant qu'ils ne se désintègrent. Le travail d'animation est remarquable, les couleurs choisies pour chaque plan sont magnifiques, côté beauté plastique, y'a pas à dire, on est servis!
En plus de ça, il y a beaucoup d'imagination avec plein de trucs originaux, mais je ne spoilerai rien ici pour laisser la surprise à ceux qui se décideront à découvrir le film. On a quand même droit à notre petit caméo de Stan Lee et ça, c'est vraiment sympa aussi.
2 petits bémols quand même. Le premier, c'est que le film est très "dynamique", il y a trop peu de moments d'accalmie, et on ressort de là presque aussi fatigués que nos héros. Là, de l'action, vous allez en avoir.
Le deuxième bémol vient de la bande son. Tant que ce sont les musiques originales ou des titres de hip-hop 90's style Notorious BIG, ça va. Mais dès qu'on sombre dans le rap / r'n'b moderne gonflé à l'auto-tune, rien ne va plus. Et malheureusement, j'ai bien l'impression que c'est ce genre sans âme qui a le dessus sur l'ensemble du film. Un grand dommage donc.
Malgré tout, le film est une réussite, et mérite amplement le visionnage.
En plus de ça, il y a beaucoup d'imagination avec plein de trucs originaux, mais je ne spoilerai rien ici pour laisser la surprise à ceux qui se décideront à découvrir le film. On a quand même droit à notre petit caméo de Stan Lee et ça, c'est vraiment sympa aussi.
2 petits bémols quand même. Le premier, c'est que le film est très "dynamique", il y a trop peu de moments d'accalmie, et on ressort de là presque aussi fatigués que nos héros. Là, de l'action, vous allez en avoir.
Le deuxième bémol vient de la bande son. Tant que ce sont les musiques originales ou des titres de hip-hop 90's style Notorious BIG, ça va. Mais dès qu'on sombre dans le rap / r'n'b moderne gonflé à l'auto-tune, rien ne va plus. Et malheureusement, j'ai bien l'impression que c'est ce genre sans âme qui a le dessus sur l'ensemble du film. Un grand dommage donc.
Malgré tout, le film est une réussite, et mérite amplement le visionnage.
Fantastique film d'animation qui mérite vraiment d'être vu ! Loin d'être un film abrutissant pour enfant, le scénario, les personnages, leur développement, les enjeux, les techniques d'animation, et la bande-son n'ont rien à envier aux icones des films d'animations pour adultes.
Ainsi ce Spiderman peut-être un peu déroutant pour les fans de la trilogie de Sam Raimi, mais propose quelque chose de vraiment original, de novateur, et surtout quelque chose d'incroyablement bien maîtrisé, tout en rendant magnifiquement hommage à ce héros mythique.
Ainsi ce Spiderman peut-être un peu déroutant pour les fans de la trilogie de Sam Raimi, mais propose quelque chose de vraiment original, de novateur, et surtout quelque chose d'incroyablement bien maîtrisé, tout en rendant magnifiquement hommage à ce héros mythique.
Bon, j'ai fait un effort, vu que ce film était dans tous les tops des meilleurs films. J'ai essayé deux fois avant d'abandonner au bout d'une heure, en vérifiant la fin. C'est d'une laideur infinie et l'animation, mauvaise, fait mal à la tête. Il n'y a pas vraiment d'histoire et aucun enjeu car la fin se devine au bout de 10 minutes. Pourquoi? Pourquoi faire "jeune" et ainsi moche? Pourquoi user jusqu'à la corde et l'absurde une pseudo-mythologie qui n'existe que si on a vu tous les Spiderman? Ce film est une métaphore de ce qu'est devenu Hollywood: des univers parallèles où on raconte 100 fois, 1000 fois la même histoire avec d'infimes nuances. Moi, j'arrête.
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