Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Le film trouve des points exacts où diffuser la matière obsessionnelle du roman pour l’inclure à son propre mouvement panique – et révèle une ambition d’à lui-même faire cosmos.
Culturopoing.com
par Marc Bousquet
Un moineau mort accroché par une petite corde, une fissure au plafond en forme de flèche, un bout de bois, une bouche déformée associée à une autre bouche, une main qui glisse vers une fourchette, une théière, tel est Cosmos.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Positif
par Philippe Rouyer
La caméra virevolte et la réalité se dédouble pour proposer de nouvelles variations sur une même situation pour culminer dans un finale délicieusement ambigu.
TF1 News
par Romain Le Vern
Le chaos règne dans "Cosmos". Quinze ans après "La Fidélité", Andrzej Zulawski revient aux commandes d'un film surréaliste, étrange et hilarant dans lequel il s'aventure et s'autorise à filmer des choses que l'on ne voit plus dans 99% de la production cinématographique annuelle. Il faut le voir pour le croire.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
Retour en grande forme d'Andrej Zulawski, avec ce "Cosmos" joliment déjanté.
Critikat.com
par Marie Gueden
"Cosmos" est un film de chambre au grand jour, un septuor qui prend finalement l’air et de l’ampleur, puis l’obscurité de la nuit, pour mieux mettre en lumière ses ressorts et ses rouages. Ce n’est pas très nouveau mais c’est fait dans une veine délirante, et nous est rappelé qu’« il n’existe pas de combinaisons impossibles ».
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Septième Obsession
par Daniel Uhmann
Que voit-on et qu’entend-on dans "Cosmos"? Des images d’une grande précision formelle qui nous épargnent ce scandale permanent du cinéma actuel.
Télérama
par Pierre Murat
On se fiche de l'histoire. Seul le jeu de piste importe, entre inquiétude macabre et folie douce, dans un univers où le grotesque le dispute à la beauté. C'est constamment foutraque, parfois agaçant, souvent obscur, mais impressionnant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par La Rédaction
Que l’on n’y comprenne que couic serait sans importance si un ennui épais ne pesait sur l’ensemble, que seules les apparitions de Balmer et Azéma dissipent timidement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Bienvenue dans un monde qu'on ne peut montrer sans perdre la raison !
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
On pouvait attendre le retour du cinéma brûlant de Zulawski. Et on peut donc être déçu de le voir se consumer dans cette farce hermétique, où la théâtralité l'emporte sur le lyrisme.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un propos confus.
Paris Match
par Alain Spira
Paulo Branco, le producteur, a dû oublier de lire le scénario. Quant à vous, oubliez d'aller voir ce film…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
On espérait un retour plus inspiré de l'auteur de "La Fidélité" que cet ovni hystérique.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Des textes aux acteurs, le projet dans sa globalité en devient désagréable, et on s’enlise dans l’ennui aux confins d’un cosmos pourtant abordé sans gravité par un auteur qui, au moins, ne s’est pas affranchi de la radicalité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
Le film trouve des points exacts où diffuser la matière obsessionnelle du roman pour l’inclure à son propre mouvement panique – et révèle une ambition d’à lui-même faire cosmos.
Culturopoing.com
Un moineau mort accroché par une petite corde, une fissure au plafond en forme de flèche, un bout de bois, une bouche déformée associée à une autre bouche, une main qui glisse vers une fourchette, une théière, tel est Cosmos.
Positif
La caméra virevolte et la réalité se dédouble pour proposer de nouvelles variations sur une même situation pour culminer dans un finale délicieusement ambigu.
TF1 News
Le chaos règne dans "Cosmos". Quinze ans après "La Fidélité", Andrzej Zulawski revient aux commandes d'un film surréaliste, étrange et hilarant dans lequel il s'aventure et s'autorise à filmer des choses que l'on ne voit plus dans 99% de la production cinématographique annuelle. Il faut le voir pour le croire.
Transfuge
Retour en grande forme d'Andrej Zulawski, avec ce "Cosmos" joliment déjanté.
Critikat.com
"Cosmos" est un film de chambre au grand jour, un septuor qui prend finalement l’air et de l’ampleur, puis l’obscurité de la nuit, pour mieux mettre en lumière ses ressorts et ses rouages. Ce n’est pas très nouveau mais c’est fait dans une veine délirante, et nous est rappelé qu’« il n’existe pas de combinaisons impossibles ».
La Septième Obsession
Que voit-on et qu’entend-on dans "Cosmos"? Des images d’une grande précision formelle qui nous épargnent ce scandale permanent du cinéma actuel.
Télérama
On se fiche de l'histoire. Seul le jeu de piste importe, entre inquiétude macabre et folie douce, dans un univers où le grotesque le dispute à la beauté. C'est constamment foutraque, parfois agaçant, souvent obscur, mais impressionnant.
L'Obs
Que l’on n’y comprenne que couic serait sans importance si un ennui épais ne pesait sur l’ensemble, que seules les apparitions de Balmer et Azéma dissipent timidement.
Le Monde
Bienvenue dans un monde qu'on ne peut montrer sans perdre la raison !
Les Fiches du Cinéma
On pouvait attendre le retour du cinéma brûlant de Zulawski. Et on peut donc être déçu de le voir se consumer dans cette farce hermétique, où la théâtralité l'emporte sur le lyrisme.
Ouest France
Un propos confus.
Paris Match
Paulo Branco, le producteur, a dû oublier de lire le scénario. Quant à vous, oubliez d'aller voir ce film…
Studio Ciné Live
On espérait un retour plus inspiré de l'auteur de "La Fidélité" que cet ovni hystérique.
aVoir-aLire.com
Des textes aux acteurs, le projet dans sa globalité en devient désagréable, et on s’enlise dans l’ennui aux confins d’un cosmos pourtant abordé sans gravité par un auteur qui, au moins, ne s’est pas affranchi de la radicalité.