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    La Loi du marché
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    604 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Une merveille d'authenticité emmenée par de beaux acteurs, tous sincères. Ce sujet qui nous concerne tous de prés ou de loin ne laissera pas de spectateurs indifférents, ou devrais-je dire ne laissera pas d'humains indifférents...?
    Il n'y a qu'un ennemi qu'on ne peut pas combattre dans ce film et c'est la loi du marché.
    vmdl
    vmdl

    3 abonnés 26 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Je suis tellement étonnée voire énervée par les critiques des journalistes par rapport à ce film que je reste sans voix. Ni fait ni à faire! N'est pas "les Frères Dardenne" ou Ken Loach qui veut, pour faire du "cinéma social" il faut du talent , beaucoup de talent et un regard emphatique, bienveillant ce qui n'est ici pas du tout le cas; et on s'ennuie, mon dieu qu'on s'ennuie ... malgré Vincent Lindon qui est exceptionnel mais qui ne peut sauver à lui seul un film mou, une caméra pauvre, une image nulle, bref NON et NON.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mai 2015
    Comment dire ? Peut-on m'expliquer ce qu'il y a de bien dans ce film ? Traitant d'un sujet qui me touche et aimant bien Lindon, je me suis dit aller le voir. Quelle déception.

    Mal filmé (mais c'est voulu), des scénettes filmées en un plan (passage de l'entretien Pôle Emploi, passage du Mobil Home), longues, chiantes, comme si le réalisateur n'avait pas assez de matière pour que le film fasse une heure et demi. Certaines scènes sont touchantes : rage de Xavier Mathieu, détresse du client qui ne peut pas payer, détresse de la caissière prise la main dans le sac, mais finalement, ces scènes n'aboutissent à rien. Lindon s'en tire très bien dans le rôle du mec qui subit, qui essaye de se maintenir la tête hors de l'eau, mais ça ne suffit pas.
    Je ne sais pas si son prix est mérité, mais le jeu de Lindon est vraiment le seul truc à retenir de ce naufrage, de cette arnaque.
    Marietori
    Marietori

    3 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2015
    Je me suis ennuyée. Certes le propos est tout à fait à propos. Les petites pièces (pions) que nous sommes, nous petits salariés ou chômeurs face à ces grosses machines dégoutantes. Pôle emploi, inefficace, dépassé, le patron du supermarché inhumain, écœurant, cherchant à licencier ses caissières parce qu’elles récupèrent les points ou les bons. Pourtant on s’ennuie. Le rapprochement avec les frères Dardenne ou Ken Loach ne tient pas la route. On ne s’ennuie pas avec eux. Une tension, une dynamique énergisante nous faisait suivre Marion Cotillard ou les « pauvres gens » anglais (cf Victor Hugo et Guédiguian). Oui nous partageons le fond, cette révolte face à cette « tragédie ordinaire » (Pierre Murat), le film est un vrai film par son regard et sa mise en scène, plans américains, plans fixes, plans séquences, pas de musique, pas de scène agréable, oui tout cela est criant de vérité, tout comme Vincent Lindon, on est presque dans un documentaire mais on s’ennuie.

    Vincent Lindon est souvent filmé de dos, de trois quart avec en prime des chambranles de porte « La tête haute » d’Emmanuelle Bercot est bien plus prenant, avec, certes, davantage de ficelles cinématographiques, mais également des acteurs tout aussi impressionnants (Benoit Magimel et Rod Paradot entre autres).
    S’il est vrai que je n’oublierai pas le regard de Vincent Lindon, ni son attitude, renvoyant à nos propres défis quotidiens, je suis déçue par le film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 30 mai 2015
    Un sublime navet pour qui veut perdre une heure trente de sa vie a contempler un vide permanent : un film sans scénario, sans dialogue, sans rien si ce n'est le banal quotidien que chacun peut vivre ou lire dans la rubrique des faits divers. Ne peut aimer ce film que des intellos de connectes de la réalité.
    MaxLaMenace89
    MaxLaMenace89

    62 abonnés 282 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 mai 2015
    Stéphane Brizé invoque dans La Loi du Marché les problématiques de la crise et ses conséquences humaines avec une justesse aussi glaçante que touchante. D'une austérité clinique, la mise en scène fait se succéder les scénettes dans un courant sec, presque inhospitalier, assumant les frustrations du récit, quelques coups de scalpel dans l'âme de son protagoniste omniprésent qui se noie dans l'enfermement social. Certes proche du documentaire avec ses plans serrés et sa caméra portée, le cadre se révèle aussi viscéralement figurative pour nous plonger dans la subjectivité du personnage, le rythme épousant sa détresse, les jeux de profondeur de champ touchant du doigt son éloignement. Au sein de cette chronique aussi modeste qu'étouffante, la présence considérable de Vincent Lindon amène une bulle d'air, à travers lequel tout passe par les yeux et la posture, pion des tortures insaisissables d'une société qui dépose une cible sur chaque dos.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Et bah! Cela ne vaut pas forcément le déplacement... Des longueurs, rien de développer, plat sans grand rythme, taciturne, tout est plaqué, pas de sensations particulières, des personnes peu attachantes car rien ne fait que l'on puisse s'y "attacher" Bref! Très déçu, en deçà des critiques... Vincent Lindon très bon mais bon... cela n'est pas un jeu où l'on doit "sortir de soi" et pour la palme?... Allez chercher le casque! film à éviter.
    Blog Be French
    Blog Be French

    43 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mai 2015
    La scène d'ouverture du film plonge le spectateur dans ce que propose de mieux Stéphane Brizé dans La Loi du Marché : une forme de sincérité, ou du moins une recherche de réalité pour tenter de faire comprendre à son public la galère que peuvent rencontrer les chômeurs en France. Très bien… Passé outre, il ne reste plus grand chose à tirer du film ! Une scène d'introduction de 5 minutes résume à elle seule 1h30 de tournage en rond. Brizé finit donc par nous livrer un drame social cliché, avec peu de moments de sympathie (si ce n'est une scène de danse avec sa famille), et où les scènes s'avèrent être d'un ennui total. Montrer la vie d'un homme normal avec une réalisation beaucoup trop simpliste et sans émotion tend au final à rendre ce cas dérisoire. Certaines scènes s'étendent (comme celle de la vente du mobile-home) à en devenir lassantes, tandis que d'autres se répètent indéfiniment au point d'en faire une overdose (scènes dans les cellules de la sécurité du magasin, où Vincent Lindon est toujours filmé de trois quarts, dos au spectateur, et où les accusés défilent les uns après les autres avec le même discours). Dans La Loi du Marché, Brizé choisit de proposer un catalogue de poncifs misérabilistes, propulsant ainsi la comédie Discount au rang de film social de l'année ! Les dialogues n'apportent rien et Vincent Lindon traîne sa carcasse en un jeu monocorde tout au long du film.

    Pari raté pour Stéphane Brizé… Son drame social tient plus du « faux-documentaire » que du vrai travail d'un cinéaste. Lindon reste correct mais toujours dans le même registre, ne justifiant absolument pas son prix d'interprétation. Mieux vaut retourner vers Ken Loach, au moins avec lui la forme arrive toujours à sublimer le fond…

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    LeFilCine
    LeFilCine

    184 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Le titre du film de Stéphane Brizé est à garder en tête tout au long de la projection. En effet, le récit se décompose en petites séquences qui, chacune, montrent les dérives de la loi du marché et ses conséquences sur certains Hommes. Si les qualités du film sont indéniables, que dire qui n'a pas déjà été dit sur Vincent Lindon ! C'est lui qui interprète Thierry, cet homme terriblement ordinaire, qui a perdu son travail et qui se bat pour s'en sortir au milieu des siens. Cet homme qui essaye de rester digne et intègre, malgré les injustices et les humiliations. Lindon incarne ce personnage à la perfection. Ce rôle, récompensé par le prix d'interprétation à Cannes, couronne une carrière remarquable. Mais il ne faut pas oublier bien sûr qu'il y a un grand metteur en scène à la baguette. Stéphane Brizé signe un film d'un grand réalisme, du cinéma social comme seul le cinéma français sait le faire en ce moment. Il fait des choix de mise en scène intéressants : les différentes séquences sont très compartimentées et s'étirent en longueur de manière judicieuse. Chacune de ces petites scènes dit quelque chose de notre époque avec une terrible justesse. La caméra, souvent immobile (sauf à la fin), filme de biais, de dos, de côté, de travers. Et ceci pour capter, comme volés, des petits moments familiaux, du quotidien ou, plus souvent du monde du travail. La loi du marché est une œuvre dans l’air du temps, intelligente, porté par un formidable Vincent Lindon. Un grand film sensible, percutant et poignant.
    EricDebarnot
    EricDebarnot

    212 abonnés 1 262 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Il est facile de mépriser cette "Loi du Marché" en se contentant de déplorer la confusion que souhaite créer Stéphane Brizé entre documentaire façon Depardon (acteurs non professionnels, conversations filmées à distance, personnages vus de dos, etc.) et fiction militante, ou encore un scénario qui semble abuser en ajoutant un fils handicapé aux malheurs de son héros laminé par la barbarie capitaliste. Ces critiques sont valides, et justifient peut-être qu'on désavoue la démarche de Brizé. Reste que le sujet du film "tient tout seul" : cette accumulation d'humiliations vécues au long du parcours d'un homme qui encaisse sans broncher - il faut noter la justesse de Vincent Lindon, qui en fait très peu, mais le fait très bien - nous plonge rapidement dans une empathie malaisante, et fait du film une épreuve émotionnelle indiscutable, sans pour autant avoir recours aux vieilles ficelles du mélodrame social ou - justement - du film à thèse. De par sa sobriété sèche, et avec son refus très honorable d'une résolution finale, ou même d'un simple exutoire aux frustrations du personnage principal (et des nôtres), "la Loi du Marché" fonctionne en fait mieux que, par exemple, pas mal de films de Ken Loach aux sujets assez similaires. Pour cela, on lui pardonnera beaucoup.
    Dandure
    Dandure

    174 abonnés 203 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 mai 2015
    Attention cet avis contient des spoilers tels que : spoiler: dura lex, sed lex (dure est la loi mais c'est la loi)

    D’où provient ce sentiment de malaise à la vision du film ? Évidemment un peu de cette loi du marché qui incite au « tous contre tous » au sein d'une même classe sociale, ici, celle du prolétariat (chômeurs et bas salaires). Mais pas que. Il surgit aussi du brouillage entre réalité et fiction. La caméra à l’épaule délivre en mode documentaire la vie, la vraie, par petites tranches, dans ses moments de flottement, quand la parole se fait hésitante, quand le texte ne semble pas écrit à l'avance. On simule l'émission Striptease et son art de la découpe. Pourtant le réalisateur trahit cette fausse neutralité. Il ajoute de la noirceur au monde du travail mais édulcore celui de la famille. Comme si la loi du marché ne s’immisçait pas jusque dans les cœurs. Là n'était pas le sujet. Il fallait juste démontrer la violence des échanges en milieu précaire. De ce point de vue, on rit parfois, souvent on enrage devant l'énormité kafkaïenne de certaines situations malheureusement vraisemblables. Le trouble atteint son paroxysme en la personne de Vincent Lindon. Lui qui incarne des valeurs de dignité à la ville comme à l'écran, se paye le luxe de rester droit dans ses bottes et de dire non, là où tous les autres s'avilissent dans la loi du marché. Lui seul est fort, eux sont faibles, lui seul a une parole, eux sont de mauvaise foi, lui seul est libre, eux sont soumis, lui est intègre, eux sont mesquins. Lui est acteur, eux sont parfois d'authentiques travailleurs. Lui est récompensé et palmé, eux sont vraiment au SMIC. Lui joue au pauvre, eux beaucoup moins. D'où la désagréable impression qu'avec ce dispositif « réaliste », les bourgeois de gauche, nostalgiques du mythe de la "belle" pauvreté des paysans et des ouvriers se servent de la misère d'autrui pour nous faire une leçon d'humanisme naïf. Moralité: faudrait pas prendre des vessies pour des lanternes, ni ces fictions pour des réalités.
    Pathé t'es pas fan.
    Pathé t'es pas fan.

    19 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Vincent Lindon, mérite bien son oscar. malgré qu'il joue un peu comme dans ma petite entreprise, en plus vieux cela va beaucoup mieux... pourtant le film est durement psychologie et tellement vraisemblable.. une sorte d'engrenages
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 29 mai 2015
    Je ne suis pas une très grande fan de cinéma français à la base (est-ce politiquement correct de dire ça ?) mais j'étais curieuse de voir ce film suite à la Masterclass de Vincent Lindon et Stéphane Brizé à laquelle j’ai assisté au Forum des images le 10 mai dernier. En les écoutant parler, j’ai eu envie de voir leur film car leur démarche me plaisait : Raconter une vérité sur la société après avoir fait de nombreuses recherches.

    Vincent Lindon a récemment reçu le prix d'interprétation masculine au dernier festival de Cannes, c’était donc encore une bonne raison de voir ce film.

    Le réalisateur nous expliquait qu’il avait totalement changé de style de mise en scène avec ce film en préférant la caméra embarquée aux plans fixes. Cette technique a donné un côté documentaire au film, renforcé par le fait que Vincent Lindon était le seul acteur professionnel.

    Brizé a le mérite de nous mettre immédiatement dans le vif du sujet, sans introduction. Le reste du film est également sans fioriture : pas de plan de coupe, pas de transition. Tout s'enchaîne simplement, la caméra étant presque toujours sur Lindon.

    Ce qui est frappant c’est bien sûr le jeu de Lindon ou le non jeu car comme il le dit, il ne joue pas, il devient le personnage. C’est une une façon de concevoir le jeu d’acteur de manière très particulière comme Mastroianni, c’est-à-dire sans réelle réflexion sur le personnage, sans attachement au texte, mais presque essentiellement sur le langage corporel donnant cette impression très naturelle du jeu. (lire la suite sur le blog)
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 mai 2015
    Tout simplement le meilleur film que j'ai vu depuis bien longtemps, boulversant de réalisme, et une mention particulière à Vincent Lindon que j'adore ,merveilleux acteur authentique,tout à fait réaliste et qui ne lâche pas prise malgré les échecs.Une fin tout à fait prévisible et qui démontre bien les limites que notre éthique nous indique à ne pas dépasser(j'aurais fais la même chose!) ,le prix décerné au festival de cannes est amplement mérité, les autre acteurs sont très bien aussi.
    Un chef d'oeuvre à voir absolument......
    benoitG80
    benoitG80

    3 438 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mai 2015
    "La Loi du Marché" sonne éminemment juste en étant le reflet précis et plus qu'exact, de situations dramatiques bien trop souvent vécues de loin ou de près par beaucoup, écrasés et terrassés par "La Loi de l'Argent" !
    Tous les thèmes abordés convergent ainsi vers le même constat, celui d'un monde insensible, cruel et impitoyable !
    Et curieusement, bien que d'excellents moments, des entretiens au pôle emploi jusqu'aux visites avec la conseillère bancaire, soient criants de vérité, ce quasi-documentaire de Stéphane Brizé manque malgré tout de nerf, de force...
    Ce traitement presque chirurgical privilégié par le réalisateur a bien sûr tout son intérêt par l'aspect glacé, implacable de faits connus qui ont le grand mérite d'être portés à l'écran, mais en même temps cette triste histoire de tout un chacun répétée à l'infini, aurait gagné à être littéralement englobée dans son vrai contexte, celui d'une époque féroce où ne comptent que la rentabilité et l'argent...
    Jamais en effet, il ne nous est rappelé tous ces profits, toutes ces richesses que les PDG et actionnaires engrangent sans vergogne, pendant que d'autres trinquent pour des broutilles de bon de réduction, de misérables et indispensables steaks volés pour pouvoir survivre...
    Certes Stéphane Brizé dénonce et a tout à fait raison de le faire, mais il y avait tant à mettre en opposition à cette misère, pour rendre ce mal qui ronge notre société encore bien plus ignoble et terrible !
    Ici, on assiste au parcours d'un homme usé, fatigué, très bien interprété par Vincent Lindon mais trop formaté pour ce genre de prestation, dont la famille est à mon avis sacrifiée dans le film...
    Même si on assiste à quelques instants de son intimité difficile par certaines scènes très explicites, on aimerait voir cette épouse jouer son véritable rôle, avoir une vraie présence, afin de rendre le quotidien de cette famille encore mieux rendu, et ses membres encore plus touchants.
    Il manque sans doute toute la tension et l'émotion qui font la différence entre une fiction et un documentaire, où les cris de joie ou de colère, l'encouragement et la déception auraient donné de la puissance et de la crédibilité à ces individus humiliés, broyés et réduits à néant...
    Stéphane Brizé nous montre ainsi rien de bien nouveau que l'on ne sache déjà, comme si lui-même découvrait une dure réalité insoupçonnée de sa personne, mais malgré tout il faut reconnaître qu'il vise extrêmement juste quand il s'agit de l'attitude intéressée de la banque en fonction de la position de son client, de l'hypocrisie des formations ou de l'ambiance délétère d'un supermarché qui espionne ses employés et ses clients, jusqu'au jugement des résultats insuffisants d'un jeune handicapé qui se bat de toutes ses forces pour réussir !!!
    Donc beaucoup de constats terribles en soi, très bien montrés assurément, mais sur un mode trop détaché, trop distant, trop coupé du contexte général pour que ce film prenne vie et nous secoue vraiment comme on l'espérait !
    Sans rien en dire, la fin semble décevante quant au choix que fait Thierry par rapport à son travail de surveillant, alors qu'elle aurait pourtant mérité un vrai positionnement, une attitude vraiment constructive de sa part, et donner ainsi un espoir de lutte enfin attendu...
    Il y a encore tant à faire dans notre monde !!!
    Au final, un film social intéressant sans aucun doute, mais terriblement englué dans une forme très maîtrisée et trop mesurée.
    Un parti pris qui se défend peut-être, mais discutable quant à l'impact trop limité à mon avis.
    Dénoncer, constater, nous ouvrir les yeux, absolument, mais aussi se battre et aller de l'avant, ce sont aussi les buts essentiels du cinéma !
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