Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
L'Express
par Eric Libiot
Bientôt l'émotion gagne. Bientôt, la dureté du bitume fait mal. Derrière l'écran, la rage. (...) Un film social et fort, en compétition à Cannes, avec un Vincent Lindon extraordinaire.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Stéphane Brizé a réalisé un film à nul autre pareil, moderne, puissant, engagé (...). Pour dire la vie telle qu’elle est, il n’y a que le cinéma, ce cinéma-là plus encore que les autres, quand un Brizé, un Lindon, des inconnus inoubliables s’en emparent.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Parisien
par Hubert Lizé
Lindon est exceptionnel dans ce film coup de poing, au budget dérisoire (1,2 M€) tourné façon cinéma vérité, avec des interprètes non professionnels. Sa performance le hisse dans les candidats sérieux au prix d'interprétation.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Danièle Heymann
Pourtant on le connaît. C'est Vincent Lindon. Toujours excellent. Mais là, dans ce film, "La Loi du marché", le troisième en osmose avec Stéphane Brizé, c'est soudain autre chose. Un choc. Immédiat.
Positif
par Alain Masson
Peu de films s'appuient aussi adroitement sur des principes formels clairs pour proposer à notre connaissance des circonstances et des personnages aussi bien peints et aussi émouvants, des vérités aussi vigoureuses : le refus de désespérer dans une situation désespérée.
Voici
par La Rédaction
A la brutalité du monde du travail, Stéphane Brizé ("Mademoiselle Chambon") répond par la radicalité d'une forme brute: la structure même du film et son acteur principal (le seul professionnel), Vincent Lindon, puissant. Terrassant.
Gala
par Carlos Gomez
Lindon est colossal. De simplicité, de vérité. Avec une économie de jeu qui confine à l’ascèse. Brizé a choisi de toujours placer sa caméra dans son dos. Nous sommes alors cet homme bafoué, qui rarement s’exaspère, mais qui ne lâche rien. Une mise en scène quatre étoiles.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Humanité
par Vincent Ostria
C’est avant tout un documentaire sur Vincent Lindon plongé dans une réalité impitoyable et tentant d’y répondre avec le maximum de sensibilité. Mission accomplie.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Un film socialement lourd, et même pesant, bien porté par les épaules larges de Vincent Lindon.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Au croisement de la fiction et du documentaire, le film tient de la charge sociale et politique, et a aussi un coeur qui bat, énorme. (...). Saisissant.
Libération
par Didier Péron
Vincent Lindon est très fort (...) et, pour le coup, les nombreux non-professionnels qui l’entourent ne sont jamais traités comme de simples faire-valoir.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
par Christophe Narbonne
Brizé traque le romanesque derrière les situations les plus banales qui soient, faisant à la fois de Thierry un héros du quotidien et le miroir d’une société gangrenée par le chômage de masse et l’individualisme galopant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Vincent Lindon est magistral dans ce film social et politique brillant. (...). "La loi du marché" est l'un de ses chefs-d'oeuvre.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
TF1 News
par Yves Grosjean
Vincent Lindon, de tous les plans, est exceptionnel. Le film, fort dans son engagement, doit aussi beaucoup à sa mise en scène, très précise et maîtrisée.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télé 2 semaines
par La Rédaction
Entouré d'acteurs non professionnels dans leur propre rôle, Vincent Lindon est bluffant dans ce film qui dissèque, avec une approche quasi documentaire, la violence des rapports humains dans le monde du travail. La démonstration est implacable.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
Poursuivant sa veine documentaire, Stéphane Brizé décrit la cruauté de la société et la difficulté de retrouver du travail avec férocité. Un regard sagace plein d’empathie jamais diminué par une mise en scène un peu poussive.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Chris Huby
Brizé livre ici un long métrage d’une facture classique mais qui fonctionne parfaitement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On se dit qu’il y a, là aussi, une justesse, une synchronicité heureuse entre le film, sa forme, son sujet et la façon dont il a été fabriqué.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Comme ses personnages ne cessent de négocier, marchander ou chaparder, Brizé aussi finit par chaparder avec sa caméra braquée sur une « humanité ordinaire » espérant, avec cette arme disproportionnée et au prix de divers dispositifs d’humiliation à petit feu, recueillir quelques miettes de dignité dans ce monde sans pitié. Bien peu pour nourrir une œuvre de résistance, encore moins de combat.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Ébloui comme face au soleil, le spectateur se retrouve obligé de baisser les yeux, interdit du moindre commentaire. À quoi bon contester le réel ?
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Critikat.com
par Théo Ribeton
Il y a quelque chose des "Délits flagrants" de Raymond Depardon, mais Brizé achève alors surtout de démontrer son obsession infecte pour les scènes d’humiliation, ces avilissements dont il se plait à faire l’exhibition, et qui n’ont rien d’une main tendue à la condition prolétaire, bien au contraire (...).
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
Bientôt l'émotion gagne. Bientôt, la dureté du bitume fait mal. Derrière l'écran, la rage. (...) Un film social et fort, en compétition à Cannes, avec un Vincent Lindon extraordinaire.
L'Obs
Stéphane Brizé a réalisé un film à nul autre pareil, moderne, puissant, engagé (...). Pour dire la vie telle qu’elle est, il n’y a que le cinéma, ce cinéma-là plus encore que les autres, quand un Brizé, un Lindon, des inconnus inoubliables s’en emparent.
Le Parisien
Lindon est exceptionnel dans ce film coup de poing, au budget dérisoire (1,2 M€) tourné façon cinéma vérité, avec des interprètes non professionnels. Sa performance le hisse dans les candidats sérieux au prix d'interprétation.
Marianne
Pourtant on le connaît. C'est Vincent Lindon. Toujours excellent. Mais là, dans ce film, "La Loi du marché", le troisième en osmose avec Stéphane Brizé, c'est soudain autre chose. Un choc. Immédiat.
Positif
Peu de films s'appuient aussi adroitement sur des principes formels clairs pour proposer à notre connaissance des circonstances et des personnages aussi bien peints et aussi émouvants, des vérités aussi vigoureuses : le refus de désespérer dans une situation désespérée.
Voici
A la brutalité du monde du travail, Stéphane Brizé ("Mademoiselle Chambon") répond par la radicalité d'une forme brute: la structure même du film et son acteur principal (le seul professionnel), Vincent Lindon, puissant. Terrassant.
Gala
Lindon est colossal. De simplicité, de vérité. Avec une économie de jeu qui confine à l’ascèse. Brizé a choisi de toujours placer sa caméra dans son dos. Nous sommes alors cet homme bafoué, qui rarement s’exaspère, mais qui ne lâche rien. Une mise en scène quatre étoiles.
L'Humanité
C’est avant tout un documentaire sur Vincent Lindon plongé dans une réalité impitoyable et tentant d’y répondre avec le maximum de sensibilité. Mission accomplie.
Le Dauphiné Libéré
Un film socialement lourd, et même pesant, bien porté par les épaules larges de Vincent Lindon.
Le Journal du Dimanche
Au croisement de la fiction et du documentaire, le film tient de la charge sociale et politique, et a aussi un coeur qui bat, énorme. (...). Saisissant.
Libération
Vincent Lindon est très fort (...) et, pour le coup, les nombreux non-professionnels qui l’entourent ne sont jamais traités comme de simples faire-valoir.
Première
Brizé traque le romanesque derrière les situations les plus banales qui soient, faisant à la fois de Thierry un héros du quotidien et le miroir d’une société gangrenée par le chômage de masse et l’individualisme galopant.
Studio Ciné Live
Vincent Lindon est magistral dans ce film social et politique brillant. (...). "La loi du marché" est l'un de ses chefs-d'oeuvre.
TF1 News
Vincent Lindon, de tous les plans, est exceptionnel. Le film, fort dans son engagement, doit aussi beaucoup à sa mise en scène, très précise et maîtrisée.
Télé 2 semaines
Entouré d'acteurs non professionnels dans leur propre rôle, Vincent Lindon est bluffant dans ce film qui dissèque, avec une approche quasi documentaire, la violence des rapports humains dans le monde du travail. La démonstration est implacable.
aVoir-aLire.com
Poursuivant sa veine documentaire, Stéphane Brizé décrit la cruauté de la société et la difficulté de retrouver du travail avec férocité. Un regard sagace plein d’empathie jamais diminué par une mise en scène un peu poussive.
Ecran Large
Brizé livre ici un long métrage d’une facture classique mais qui fonctionne parfaitement.
Les Inrockuptibles
On se dit qu’il y a, là aussi, une justesse, une synchronicité heureuse entre le film, sa forme, son sujet et la façon dont il a été fabriqué.
Cahiers du Cinéma
Comme ses personnages ne cessent de négocier, marchander ou chaparder, Brizé aussi finit par chaparder avec sa caméra braquée sur une « humanité ordinaire » espérant, avec cette arme disproportionnée et au prix de divers dispositifs d’humiliation à petit feu, recueillir quelques miettes de dignité dans ce monde sans pitié. Bien peu pour nourrir une œuvre de résistance, encore moins de combat.
Chronic'art.com
Ébloui comme face au soleil, le spectateur se retrouve obligé de baisser les yeux, interdit du moindre commentaire. À quoi bon contester le réel ?
Critikat.com
Il y a quelque chose des "Délits flagrants" de Raymond Depardon, mais Brizé achève alors surtout de démontrer son obsession infecte pour les scènes d’humiliation, ces avilissements dont il se plait à faire l’exhibition, et qui n’ont rien d’une main tendue à la condition prolétaire, bien au contraire (...).