Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Alexis Dutrieux
Laurence Petit-Jouvet offre, malgré des longueurs, un documentaire utile, aux témoignages originaux, sur la discrimination en France selon l'origine, et donc le faciès.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Isabelle Danel
Chaque segment est unique et bouleversant et mon tout crie la nécessité de réfléchir encore sur ce que diversité veut dire.
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par François Bonini
En laissant la parole à des personnalités fortes, en les accompagnant d'une mise en scène soignée qui s'accorde à chacun, Laurence Petit-Jouvet trouve le ton juste pour dénoncer sans grandiloquence l'intolérable stigmatisation de tous les jours.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Croix
par Arnaud Schwartz
Laurence Petit-Jouvet fait avec ce film œuvre utile et subtile.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Monde
par Isabelle Régnier
Respectueux de ses personnages, qui rappellent à quel point cette réalité se paye de souffrance pour ceux qui l'incarnent, le film pâtit un peu de l'univocité de son propos.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Libération
par Clémentine Gallot
Un documentaire sur les «minorités visibles» qui souffre d’un air de déjà-vu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Clément Sautet
Un récit extrêmement balisé qui dresse l'état des lieux de la ségrégation raciale encore présente, aujourd'hui en France. Un sujet sincère, qui aurait gagné à plus de spontanéité et moins de discours préparés.
Critikat.com
par Adrien Mitterrand
"La Ligne de couleur" est un exemple de la dépolitisation d’un certain cinéma documentaire qui substitue à toute interrogation le vide d’un constat franchouillard, résigné et consensuel.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Télérama
par Jacques Morice
Très généreux mais pas toujours adroit, ce documentaire survole plus qu'il n'explore le sujet. On aurait préféré écouter et suivre l'une ou plusieurs de ces douze personnes pendant toute la durée du film, plutôt que de voir défiler ces mini-portraits qui ne laissent pas vraiment le temps de s'attacher à aucun d'eux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
Laurence Petit-Jouvet offre, malgré des longueurs, un documentaire utile, aux témoignages originaux, sur la discrimination en France selon l'origine, et donc le faciès.
Première
Chaque segment est unique et bouleversant et mon tout crie la nécessité de réfléchir encore sur ce que diversité veut dire.
aVoir-aLire.com
En laissant la parole à des personnalités fortes, en les accompagnant d'une mise en scène soignée qui s'accorde à chacun, Laurence Petit-Jouvet trouve le ton juste pour dénoncer sans grandiloquence l'intolérable stigmatisation de tous les jours.
La Croix
Laurence Petit-Jouvet fait avec ce film œuvre utile et subtile.
Le Monde
Respectueux de ses personnages, qui rappellent à quel point cette réalité se paye de souffrance pour ceux qui l'incarnent, le film pâtit un peu de l'univocité de son propos.
Libération
Un documentaire sur les «minorités visibles» qui souffre d’un air de déjà-vu.
Studio Ciné Live
Un récit extrêmement balisé qui dresse l'état des lieux de la ségrégation raciale encore présente, aujourd'hui en France. Un sujet sincère, qui aurait gagné à plus de spontanéité et moins de discours préparés.
Critikat.com
"La Ligne de couleur" est un exemple de la dépolitisation d’un certain cinéma documentaire qui substitue à toute interrogation le vide d’un constat franchouillard, résigné et consensuel.
Télérama
Très généreux mais pas toujours adroit, ce documentaire survole plus qu'il n'explore le sujet. On aurait préféré écouter et suivre l'une ou plusieurs de ces douze personnes pendant toute la durée du film, plutôt que de voir défiler ces mini-portraits qui ne laissent pas vraiment le temps de s'attacher à aucun d'eux.