Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Robert Eggers signe ainsi l’un des films fantastiques les plus marquants de cette dernière décennie tant par ses partis pris formels que par son engagement politique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Exigeant, complexe, "The Witch" est une autopsie terrifiante de nos peurs ancestrales.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
GQ
par Jacky Goldberg
Il y a longtemps qu’on n’avait vu film d’horreur aussi beau que "The Witch". Non pas tant par la peur qu’il occasionne, qui serait presque secondaire, que par la précision de sa mise en scène, l’intelligence de son scénario, la force de son discours.
La critique complète est disponible sur le site GQ
Le Parisien
par Michel Valentin
La force de ce film glacial et terrifiant, visant l'authenticité dans ses dialogues, décors et costumes, est qu'on ne saura jamais clairement si Satan et ses suppôts sont responsables des malheurs qui accablent cette famille isolée, ou si ses membres sont victimes d'une hystérie collective.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Philippe Guedj
Une expérience viscérale, sensorielle, à plusieurs degrés de lecture et aux influences picturales à cheval entre l'Ancien et le Nouveau Monde. A coup sûr, il ne vous laissera pas indifférent.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Les Inrockuptibles
par Romain Blondeau
Un sidérant premier film américain qui remonte aux origines de l'horreur [...] Robert Eggers réinvestit avec une foi inouïe les vieilles figures du genre, qui retrouvent là toute leur force d'évocation.
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) la fort jolie héroïne (Anya Taylor-Joy, une véritable révélation) évolue en nuisette plus ou moins ouverte selon son degré d’émotion. L’atmosphère est si glaçante qu’elle finit d’ailleurs par la retirer. Un érotisme de bon ton nimbe tout le film entre deux scènes de frissons.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Immersive et jusqu'au-boutiste, l'expérience invite au lâcher prise.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Ecran Fantastique
par Gilles Penso
(...) l'un des meilleurs films d'épouvante de ces dernières années.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Entre fantasme superstitieux et refoulés sexuels, un film de sorcellerie où la psyché individuelle se lit à la lumière de la psyché collective d’une Amérique puritaine. De quoi frémir !
Le Monde
par Thomas Sotinel
(...) un film qui se penche avec intelligence et élégance sur un moment de l’histoire que le cinéma est loin d’avoir épuisé.
Les Fiches du Cinéma
par Amélie Leray
Prix de la mise en scène à Sundance, le film livre un propos historique passionnant malgré quelques lourdeurs.
Libération
par Guillaume Tion
Cette "Witch" a la curiosité de défricher elle aussi un territoire à la géologie dangereuse : fuite, folie, soumission à Dieu, espoirs contrariés, malheurs et crimes, une terre où tout le monde perd.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Mad Movies
par Cédric Delelée
L'impression d'assister à la renaissance du cinéma d'épouvante.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un film d'horreur et d'auteur impressionnant.
Positif
par Nicolas Bauche
C'est là une entreprise historique servie avec talent pour le film de genre. La mise en scène d'Eggers photographie la puissance naturelle de l'Americana, dont on ne sait jamais tout à fait si elle est nourrissante ou empoisonnée.
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Cet impressionnant travail formel est tout entier au service d'un scénario inspiré des légendes de cette époque et qui raconte la fabrication d'un mythe, en l'occurence d'un sorcière.
TF1 News
par Romain Le Vern
"The Witch" ne se contente pas d'être anxiogène, il est aussi beau visuellement, sous influence de Elem Klimov ("Requiem pour un massacre"), riche en visions qui hantent durablement l'esprit.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
"The Witch" ensorcelle littéralement. De cette ambiance à la fois pesante et surnaturelle, le film en tire un pur moment de frayeur mentale.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Fabien Reyre
"The Witch" nous balade (...), se drapant un peu facilement dans un mystère trop vaporeux pour être pleinement intriguant, un sentiment de déception et de frustration inversement proportionnel à la montée en puissance du récit.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Le ton est austère, l’atmosphère, délétère. Robert Eggers sait doser ses effets pendant une petite heure, entre huis clos réaliste et trouées horrifiques. Las, les redondantes querelles de bénitier finissent par prendre l’ascendant sur le reste, asséchant le film et son imaginaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Metro
par Mehdi Omaïs
Davantage destiné à un public cinéphile et aguerri, ce cauchemar sensoriel devrait, malgré ses qualités formelles, égarer un paquet de spectateurs dans ses bois inextricables.
La critique complète est disponible sur le site Metro
Télérama
par Frédéric Strauss
Ici, la réflexion sur la fragilité de la condition humaine est limitée par un trop-plein d'horreur. Mais le débutant Robert Eggers a un style fort et envoûtant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Cette fable « Sundance creepy » demeure bien trop immature dans ses effets – bande-son écrasante, effets numériques souvent grotesques – pour ne pas révéler sa vraie face : celle d’un sympathique petit piège à geeks.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Déclamé en vieil anglais pour l’authenticité, ce film d’horreur grandiloquent s’étire. Reste un univers visuellement splendide et envoûtant.
Culturopoing.com
Robert Eggers signe ainsi l’un des films fantastiques les plus marquants de cette dernière décennie tant par ses partis pris formels que par son engagement politique.
Ecran Large
Exigeant, complexe, "The Witch" est une autopsie terrifiante de nos peurs ancestrales.
GQ
Il y a longtemps qu’on n’avait vu film d’horreur aussi beau que "The Witch". Non pas tant par la peur qu’il occasionne, qui serait presque secondaire, que par la précision de sa mise en scène, l’intelligence de son scénario, la force de son discours.
Le Parisien
La force de ce film glacial et terrifiant, visant l'authenticité dans ses dialogues, décors et costumes, est qu'on ne saura jamais clairement si Satan et ses suppôts sont responsables des malheurs qui accablent cette famille isolée, ou si ses membres sont victimes d'une hystérie collective.
Le Point
Une expérience viscérale, sensorielle, à plusieurs degrés de lecture et aux influences picturales à cheval entre l'Ancien et le Nouveau Monde. A coup sûr, il ne vous laissera pas indifférent.
Les Inrockuptibles
Un sidérant premier film américain qui remonte aux origines de l'horreur [...] Robert Eggers réinvestit avec une foi inouïe les vieilles figures du genre, qui retrouvent là toute leur force d'évocation.
20 Minutes
(...) la fort jolie héroïne (Anya Taylor-Joy, une véritable révélation) évolue en nuisette plus ou moins ouverte selon son degré d’émotion. L’atmosphère est si glaçante qu’elle finit d’ailleurs par la retirer. Un érotisme de bon ton nimbe tout le film entre deux scènes de frissons.
CinemaTeaser
Immersive et jusqu'au-boutiste, l'expérience invite au lâcher prise.
L'Ecran Fantastique
(...) l'un des meilleurs films d'épouvante de ces dernières années.
Le Dauphiné Libéré
Entre fantasme superstitieux et refoulés sexuels, un film de sorcellerie où la psyché individuelle se lit à la lumière de la psyché collective d’une Amérique puritaine. De quoi frémir !
Le Monde
(...) un film qui se penche avec intelligence et élégance sur un moment de l’histoire que le cinéma est loin d’avoir épuisé.
Les Fiches du Cinéma
Prix de la mise en scène à Sundance, le film livre un propos historique passionnant malgré quelques lourdeurs.
Libération
Cette "Witch" a la curiosité de défricher elle aussi un territoire à la géologie dangereuse : fuite, folie, soumission à Dieu, espoirs contrariés, malheurs et crimes, une terre où tout le monde perd.
Mad Movies
L'impression d'assister à la renaissance du cinéma d'épouvante.
Ouest France
Un film d'horreur et d'auteur impressionnant.
Positif
C'est là une entreprise historique servie avec talent pour le film de genre. La mise en scène d'Eggers photographie la puissance naturelle de l'Americana, dont on ne sait jamais tout à fait si elle est nourrissante ou empoisonnée.
Studio Ciné Live
Cet impressionnant travail formel est tout entier au service d'un scénario inspiré des légendes de cette époque et qui raconte la fabrication d'un mythe, en l'occurence d'un sorcière.
TF1 News
"The Witch" ne se contente pas d'être anxiogène, il est aussi beau visuellement, sous influence de Elem Klimov ("Requiem pour un massacre"), riche en visions qui hantent durablement l'esprit.
aVoir-aLire.com
"The Witch" ensorcelle littéralement. De cette ambiance à la fois pesante et surnaturelle, le film en tire un pur moment de frayeur mentale.
Critikat.com
"The Witch" nous balade (...), se drapant un peu facilement dans un mystère trop vaporeux pour être pleinement intriguant, un sentiment de déception et de frustration inversement proportionnel à la montée en puissance du récit.
L'Obs
Le ton est austère, l’atmosphère, délétère. Robert Eggers sait doser ses effets pendant une petite heure, entre huis clos réaliste et trouées horrifiques. Las, les redondantes querelles de bénitier finissent par prendre l’ascendant sur le reste, asséchant le film et son imaginaire.
Metro
Davantage destiné à un public cinéphile et aguerri, ce cauchemar sensoriel devrait, malgré ses qualités formelles, égarer un paquet de spectateurs dans ses bois inextricables.
Télérama
Ici, la réflexion sur la fragilité de la condition humaine est limitée par un trop-plein d'horreur. Mais le débutant Robert Eggers a un style fort et envoûtant.
Cahiers du Cinéma
Cette fable « Sundance creepy » demeure bien trop immature dans ses effets – bande-son écrasante, effets numériques souvent grotesques – pour ne pas révéler sa vraie face : celle d’un sympathique petit piège à geeks.
Le Journal du Dimanche
Déclamé en vieil anglais pour l’authenticité, ce film d’horreur grandiloquent s’étire. Reste un univers visuellement splendide et envoûtant.