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    Dope
    Note moyenne
    3,8
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    99 critiques spectateurs

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    Shelby77
    Shelby77

    163 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 9 juillet 2017
    Critique de "Dope".
    Film sympathique et drôle dans l'ensemble, Dope est une véritable surprise. Pourtant j'ai eu peur au début, j'ai cru que j'allais voir un énième teen movie. La musique est cool. J'ai adoré l'ambiance old school et les références au hip-hop. J'ai pris énormément plaisir à suivre de cette bande de jeunes. Le trio de tête d'affiche est au top. 4/5
    Fabien S.
    Fabien S.

    548 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Un très bon film sur trois geeks afro-américains. Ils aimaient la musique des années 90. Zoé Kravitz incarne la fille des rêves de cette bande de jeunes maltraités par ses camarades. Des personnages attachants mais certaines scènes sont bâclées.
    Eric C.
    Eric C.

    241 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 novembre 2016
    Très agréable surprise pour ce film où on s'attend très vite à retrouver le cadre et les stéréotypes des geeks, des minorités noires, des gangs, de la prédestination à la violence et au crime, de l'implication de cette communauté noire dans le travail de bas fond du traffic de stupéfiants. Et puis, peu à peu, le film nous prend à contre pied avec un bel exemple de démantèlement des caricatures et de la prédestination en mettant en valeur l'intelligence, la méritocratie, l'ascenseur social du système scolaire et éducatif. Un beau pied de nez, un film habilement mené, très bien interprété avec entre autre Zoé Kravitz et l'apparition remarquée et sensuelle du top model Chanel Iman.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 20 octobre 2016
    Une histoire qui nous plonge dans l'univers de Malcolm, un geek et fan de hip-hop des années 90 qui avec sa bande de copain essaye de s'intégrer dans cette société. Ce film est à la fois une comédie et mais aussi un sujet d'actualité. On assiste tout au long de l'histoire à de la violence. En parallèle de cela, on y découvre Malcolm et de sa rencontre avec cette jeune femme, une relation sentimentale va d’ailleurs s'installer entre eux.

    spoiler: Une des scène sympas est celle du sac remplis de drogue qui détiennent et de cette folle course de Malcolm et ses potes dans les rues pour échapper à ces dealers.


    Une bande son originale de Pharrell Williams très bien et la musique hip-hop reste dans le thème du film ce qui est pas mal aussi, le film commence plutôt bien puis cela devient décousus avec quelques clichés grotesques d'une Amérique moderne je trouve malgré tout que les acteurs sont plutôt concluant dans leurs rôles.
    Hastur64
    Hastur64

    224 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 12 septembre 2016
    Rick Famuyiwa fait parti de cette toute récente génération de réalisateurs africains-américains qui émergent et racontent l'histoire et la réalité de leur minorité aux U.S.A. Ici, sous le haut patronage de Forrest Whitaker et Farrell Williams, le réalisateur nous conte avec humour et dérision la vie de ces “quartiers difficiles” (et oui cela n'existe pas qu'en France! ). Ses trois héros sont des marginaux, des geeks fans des années 90 : look, langage et musique. Moqués, ignorés, voire harcelés, ils ont pourtant les mêmes désirs que les autres : les filles, le sexe et l'amour. À l'aube de postuler à l'université, ils se retrouvent au milieu du trafic de drogue qui gangrène leur quartier. Cette comédie nous montre les mêmes problèmes qui gangrènent les quartiers noirs depuis des décennies et les clichés que les médias transmettent, mais il le fait du point de vue de ceux qui en souffrent et ce sans misérabilisme ni consensualité. Un long-métrage très bien fait qui avec beaucoup d'humour transmet un message à son public américain : dans ces quartiers il y a aussi des jeunes brillants et pas seulement des futurs pensionnaires des pénitenciers. À voir absolument.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 août 2016
    Un film normal, perssone l'élément je dirais qu'il n'est no mauvais ni bien, je suis rester de marbre à l'histoire qui m'a pas trop emballer néanmoins ça reste correct vu que j'ai pu finir le film facilement sans m'ennuyer, un film à regarder une fois, on va dire que c'est pas mon style ..
    Bulles de Culture
    Bulles de Culture

    134 abonnés 634 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juillet 2016
    Très divertissant, le film vaut le coup d’œil pour une simple et bonne raison : c’est à priori le premier et seul film à mettre au premier plan la culture geek afro-américaine 3.0 dont Pharrell Williams se fait ici l’ambassadeur.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 5 juillet 2016
    En temps normal j'aurais mis 1,5 mais il faut descendre cette note de 4/5. À croire que les réalisateurs ont paye des gars du Bangladesh pour leurs mettre des 5/5 à tout va. Ce film est nul.

    les plans sont moches. Le cliché de l'intello-geek vu par un mec qui n'y connait rien. Le réalisateur devait être en partenariat avec Uwe Boll ou le créateur du film Cyprien ?

    Bref, ne regardez pas, un petit gars d'une banlieue pourri incroyable propre avec plein de dealer sort du lot et veut aller à Harvard. on nous offre une leçon de moral sur les noirs qui ont moins de chance que les blancs... Sauf qu'il est tellement mauvais ce film qu'il fait effet inverse. Ce qui est bien dommage, (au passage le film "42" est super bien pour rester dans ce sujet

    Passez votre chemin ou descendez la note de ce film si vous avez le temps.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 154 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 5 juillet 2016
    C’est l’histoire de 3 adolescents (un d’origine nigériane, l’autre étant latino et la dernière étant un garçon manqué ou lesbienne), vivant dans les quartiers pauvres de Los Angeles mais bons élèves et passionnés de musique et d’internet. L’un d’eux, Malcolm (Shameik Moore, bourré de talent) envisage même d’étudier à l’université Harvard (si son dossier est accepté). spoiler: Le trio est mêlé involontairement à un recel de stupéfiants (la nouvelle drogue où ceux qui la prennent peuvent se débarrasser de tous leurs vêtements et déambuler nus dans la rue) et qu’ils vendent sur Internet en se faisant payer en bitcoins !
    C’est filmé comme un clip vidéo et tient aussi de la bande dessinée ; la musique rend le film très rythmé et l’humour est au rendez-vous. On est loin des clichés sur les noirs. Outre Pharrell Williams (qui a participé à la musique), Forest Whitaker est aussi producteur. Aurait-on trouvé le nouveau Spike Lee ? .
    Demogorgon
    Demogorgon

    28 abonnés 428 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 14 mai 2016
    Je ne comprends pas toutes ces critiques dithyrambiques. Ce film est une formidable fumisterie dont je ne retiendrai qu'un seul point positif : la bande son. Les "nigga" à tout bout de champ, trop peu pour moi !
    Derrière sa réalisation branchée il n'y a guère autre chose que de la vulgarité et un nombre incalculable d'invraisemblances.
    Petiot L
    Petiot L

    35 abonnés 310 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 avril 2016
    Original, happy. C'est le temoinage d'un endroit, d'époques,de revendications,de survie, mais d'une manière positive. La façon de filmer, le montage et la musique en font un film " frais".
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    109 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 31 mars 2016
    Dope, de Rick Famuyiuwa aura donc fait sensation lors de ses quelques apparitions en festivals, l’année dernière, emportant avec lui l’assentiment des critiques de tous bords. Voilà donc le Teen-Movie dans sa version ghetto, l’autre facette de l’Amérique estudiantine. Dope, le terme signifiant un mec cool dans le jargon du cru, nous raconte l’histoire peu banale de trois adolescents d’un bas-fond pour le moins mal fréquenté de Los Angeles, faisant de leurs ambitions un motif en soi pour tous les joyeux débordements qu’ils commettront. La fin justifie donc les moyens, dans la bonne humeur et s’il vous plait, agrémenté d’une bande sonore signée Pharell Williams. L’artiste et producteur, parmi les plus influent du milieu, semble d’ailleurs œuvré pour un film à son image, emplit de clin d’œil à sa vie passée, calibré tel le portrait d’une jeunesse qu’il aurait voulu vivre ou qu’il a, en partie, vécu. Rien de mal à ça, bien sûr, mais le spectre de l’autosatisfaction plane tout du long sur le film, un film qui plus est produit par quelques personnalités concernée par des causes diverses et variées. Le cinéma indépendant américain, donc, dans ce qu’il a de plus préconçu. Mais cela importe peu.

    Ce qui est important ici, c’est la vivacité du récit, des personnages, le dynamisme du metteur en scène et, en quelques occasions, l’inspiration dans les dialogues. Sans forcer, Dope se tourne donc vers le contre-courant d’une culture adolescente américaine qui se voit comme l’innocence réincarnée, une jeunesse qui s’éclate en ne faisant que des bêtises sans conséquences. Avec leurs films, Famuyiuwa, Pharrell et notamment Forest Withaker entendent bien dépoussiérer le mythe et convoquent l’illégalité, la clandestinité des pratiques des quartiers malfamés pour en arriver au même postulat. La gloire, du moins une forme de gloire. De geeks, Malcolm et ses copains sont passés au statut de Dopes. En gros, on ne sort pas du ghetto sans arrogance, sans panache et sans la débrouillardise requise. On veut bien. Pour autant, on sent poindre à chaque instant la possibilité d’un dérapage peu élégant, le film étant sur le fil du rasoir, perpétuellement, entre bonne intentions et malsaines perspectives. C’est peut-être ça qui aura si bien plu à un public qui fuit depuis des lustres l’aseptisation des productions de ce type, dans la majorité des cas.

    Coté interprétation, saluons les trois jeunes méconnus, du moins pour l’instant. A l’exception de Tony Revolori, vu chez Wes Anderson et son Grand Budapest Hôtel, le casting nous tombe du ciel et nous pourrons découvrir un certain Shameik Moore, un gaillard, il faut le dire, plutôt touchant. Fringuer à la façon du prince de Bel Air, affublé d’une coupe de cheveux à faire fuir ces dames jusqu’aux confins du déserts voisins, ce jeunot brave tout sur son chemin avec un entrain réjouissant, souvent amusant, un geek découvrant le monde et toutes les possibilités offertes de s’émanciper de sa condition.

    Dope, donc, sera finalement un hymne un peu naïf à la liberté de réussir sa vie, qu’importe les défaveurs, qu’importe notre cadre de vie. C’est engageant, c’est sympathique et cela mérite d’être vu. De là à propulser le film au rang des grandes œuvres contemporaines, je n’irai pas jusque-là. 11/20
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 29 mars 2016
    Dope est loin d’être le feel good movie que l’on nous vendait. L’histoire semble beaucoup trop linéaire avec seulement quelques petits sursauts uniquement là pour permettre de relancer un peu l’histoire. On retiendra de ce film, son message principalement et la qualité du jeu du trio Shameik Moore, Tony Revolori et Kiersey Clemons. Malheureusement, malgré un sujet important, le réalisateur semble ne pas pouvoir traiter ce sujet en manquant cruellement de dynamisme et de nous apporter une réalisation qui semble toute droit sortie des années 90.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 365 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 mars 2016
    Prix du Public au Festival de Deauville, Dope est un hommage au hip-hop des années 90. Cette comédie qui se déroule pourtant bien aujourd’hui, prend plaisir à s’attacher à l’âge d’or de cette culture. Ce fanatisme transparaît alors dans les costumes, les décors, la façon de cadrer les plans et bien entendu dans les morceaux choisis. Dope est aussi un film qui se joue des nombreux clichés sur la représentation des noirs. Ainsi l’humour est perpétuellement présent et le film devient synonyme de fraîcheur et d’énergie. On peut souligner un mode de répétition parfois de trop, mais dans l’ensemble Dope est une œuvre ébouriffante.
    D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 2 mars 2016
    j'ai beaucoup aimé simple mais bien réalisé , et les questions raciales sont bien misent en évident .
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