Les Chansons que mes frères m’ont apprises : Critique presse
Les Chansons que mes frères m’ont apprises
Note moyenne
3,9
24 titres de presse
20 Minutes
L'Humanité
L'Obs
Libération
Ouest France
Sud Ouest
Critikat.com
Franceinfo Culture
L'Express
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Les Inrockuptibles
Paris Match
Première
Studio Ciné Live
Télérama
Cahiers du Cinéma
La Croix
Le Journal du Dimanche
Le Monde
Les Fiches du Cinéma
Paris Match
aVoir-aLire.com
TF1 News
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
24 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
On ne saurait trop recommander au public français d’aller le découvrir.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Humanité
par Vincent Ostria
Chloé Zhao inscrit le récit dans la nature, décor de western, et l’intègre aux activités des personnages (dont le rodéo et les balades à cheval). D’où un superbe film social et paysager à la fois, où les Indiens américanisés préservent une part irréductible.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Chloé Zhao choisit de livrer plutôt des indications et des renseignements sur la vie dans cette réserve, avec assez de maîtrise et de doigté pour ne jamais faire la leçon. Les images (...) sont d'une beauté à couper le souffle.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Julien Gester
(...) ce caractère aventureux participe au charme d’un film par ailleurs très attachant par le détachement ouaté avec lequel il louvoie entre les immuables codes de la fiction d’initiation américaine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Dans ce premier long-métrage, Chloé Zaho, jeune cinéaste d'origine chinoise, porte un regard chaleureux sur le monde indien et dresse le portrait d'une communauté minée par l'alcool et la drogue.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Voilà l'un des plus beaux films qu'on puisse découvrir en cette rentrée, signé par une réalisatrice d'origine chinoise, Chloé Zhao, qui a consacré quatre années de sa vie à une réserve indienne du Dakota du Sud.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Ursula Michel
Une chronique familiale brutale et tendre qui se débarrasse des clichés pour mieux cerner cette communauté invisible.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Franceinfo Culture
par Jean-François Lixon
Ce film poignant et réaliste restera peut-être comme un témoignage sur la 7e génération après Sitting Bull qui prophétisait que tout recommencerait avec elle.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Beau sujet que Chloé Zhao, cinéaste chinoise partie travailler aux Etats-Unis, traite comme une chronique poétique et impressionniste, en filmant avec émotion et légèreté un scénario qui s'écrit (quasi) au jour le jour.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Chloé Zhao porte un regard aimant sur ce monde en vase clos dont elle scrute les errances, les aliénations. Elle en arrache de tendres et cruels instants de vie. Plein les yeux, plein le cœur !
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un premier film au rythme inégal, mais qui porte un regard original sur les Indiens aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
La douceur du regard de l'ange candide du film, jashaun, truchement par lequel on observe le frère se débattre contre la fatalité et contre l'emprise de la communauté, magnifie cette oeuvre aussi simple qu'entêtante.
Paris Match
par Yannick Vely
Le scénario est plus classique, son déroulement sans grande surprise jusqu’au coup de théâtre final, mais le film possède le charme des grands espaces et de la sensibilité à fleur de peau de sa jeune réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Hendy Bicaise
Un héritage qu’elle dépasse en s’attelant à la description de la réserve indienne dans laquelle vivent ses personnages (Pine Ridge, dans le Dakota), où la prohibition de l’alcool et son contournement ont des effets dévastateurs sur la communauté. Cette part du récit lui confère une estimable valeur documentaire.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Éric Libiot
C'est assez beau, même si «l’intrigue» s'épuise un peu à force de n'avoir pas grand-chose à raconter. Mais c'est le jeu. Il faut savoir se laisser prendre par ce film qui dégage un charme fou.
Télérama
par Bruno Lcher
Les Chansons que mes frères m'ont apprises se démarque avec délicatesse des codes du genre pour former une oeuvre singulière, révélant au passage une cinéaste qui signe un très beau premier film aux accents forcément initiatiques.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Laura Tuillier
La beauté du film est pudique, elle tient à des choix presque documentaires dans la forme et la méthode, qui permettent aux héros de prendre en charge à la fois l’émotion, la sensualité et la vitalité du film, avec une grande spontanéité.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
"Les Chansons que mes frères m’ont apprises" montre le désespoir des adultes, les déterminismes attachés au lieu, la lutte de la communauté contre le fléau de l’alcoolisme, mais aussi l’espérance que portent les plus jeunes, le maintien de traditions fortes, la beauté des grandes plaines et des badlands (...).
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Entre documentaire et fiction, cette chronique familiale sur l’identité et l'émancipation est un peu lente mais le regard bienveillant de la réalisatrice Chloé Zhao suffit à provoquer l’empathie.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Thomas Sotinel
Tourné sur la réserve sioux de Pine Ridge, le premier film de Chloé Zhao transcende la faiblesse de son scénario par son inspiration poétique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Lucille Bion
Filmé avec passion, le premier long métrage de Chloé Zhao mêle réalité et fiction pour évoquer avec pudeur le quotidien de deux Natifs-Américains.
Paris Match
par Yannick Vely
"Les Chansons que mes frères m’ont apprises" tient principalement pour son approche documentaire et le lyrisme de sa mise en scène. Le scénario est plus classique (...) mais le film possède le charme des grands espaces et de la sensibilité à fleur de peau de sa jeune réalisatrice.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
aVoir-aLire.com
par Arthur Champilou
Le rythme de l’action est inégal, mais la justesse de ton et la bienveillance avec laquelle la cinéaste saisit la vie de ses personnages font de cette chronique sociale un joli petit moment de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
TF1 News
par Romain Le Vern
Trop de joliesse, trop de pose.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
20 Minutes
On ne saurait trop recommander au public français d’aller le découvrir.
L'Humanité
Chloé Zhao inscrit le récit dans la nature, décor de western, et l’intègre aux activités des personnages (dont le rodéo et les balades à cheval). D’où un superbe film social et paysager à la fois, où les Indiens américanisés préservent une part irréductible.
L'Obs
Chloé Zhao choisit de livrer plutôt des indications et des renseignements sur la vie dans cette réserve, avec assez de maîtrise et de doigté pour ne jamais faire la leçon. Les images (...) sont d'une beauté à couper le souffle.
Libération
(...) ce caractère aventureux participe au charme d’un film par ailleurs très attachant par le détachement ouaté avec lequel il louvoie entre les immuables codes de la fiction d’initiation américaine.
Ouest France
Dans ce premier long-métrage, Chloé Zaho, jeune cinéaste d'origine chinoise, porte un regard chaleureux sur le monde indien et dresse le portrait d'une communauté minée par l'alcool et la drogue.
Sud Ouest
Voilà l'un des plus beaux films qu'on puisse découvrir en cette rentrée, signé par une réalisatrice d'origine chinoise, Chloé Zhao, qui a consacré quatre années de sa vie à une réserve indienne du Dakota du Sud.
Critikat.com
Une chronique familiale brutale et tendre qui se débarrasse des clichés pour mieux cerner cette communauté invisible.
Franceinfo Culture
Ce film poignant et réaliste restera peut-être comme un témoignage sur la 7e génération après Sitting Bull qui prophétisait que tout recommencerait avec elle.
L'Express
Beau sujet que Chloé Zhao, cinéaste chinoise partie travailler aux Etats-Unis, traite comme une chronique poétique et impressionniste, en filmant avec émotion et légèreté un scénario qui s'écrit (quasi) au jour le jour.
La Voix du Nord
Chloé Zhao porte un regard aimant sur ce monde en vase clos dont elle scrute les errances, les aliénations. Elle en arrache de tendres et cruels instants de vie. Plein les yeux, plein le cœur !
Le Dauphiné Libéré
Un premier film au rythme inégal, mais qui porte un regard original sur les Indiens aujourd’hui.
Les Inrockuptibles
La douceur du regard de l'ange candide du film, jashaun, truchement par lequel on observe le frère se débattre contre la fatalité et contre l'emprise de la communauté, magnifie cette oeuvre aussi simple qu'entêtante.
Paris Match
Le scénario est plus classique, son déroulement sans grande surprise jusqu’au coup de théâtre final, mais le film possède le charme des grands espaces et de la sensibilité à fleur de peau de sa jeune réalisatrice.
Première
Un héritage qu’elle dépasse en s’attelant à la description de la réserve indienne dans laquelle vivent ses personnages (Pine Ridge, dans le Dakota), où la prohibition de l’alcool et son contournement ont des effets dévastateurs sur la communauté. Cette part du récit lui confère une estimable valeur documentaire.
Studio Ciné Live
C'est assez beau, même si «l’intrigue» s'épuise un peu à force de n'avoir pas grand-chose à raconter. Mais c'est le jeu. Il faut savoir se laisser prendre par ce film qui dégage un charme fou.
Télérama
Les Chansons que mes frères m'ont apprises se démarque avec délicatesse des codes du genre pour former une oeuvre singulière, révélant au passage une cinéaste qui signe un très beau premier film aux accents forcément initiatiques.
Cahiers du Cinéma
La beauté du film est pudique, elle tient à des choix presque documentaires dans la forme et la méthode, qui permettent aux héros de prendre en charge à la fois l’émotion, la sensualité et la vitalité du film, avec une grande spontanéité.
La Croix
"Les Chansons que mes frères m’ont apprises" montre le désespoir des adultes, les déterminismes attachés au lieu, la lutte de la communauté contre le fléau de l’alcoolisme, mais aussi l’espérance que portent les plus jeunes, le maintien de traditions fortes, la beauté des grandes plaines et des badlands (...).
Le Journal du Dimanche
Entre documentaire et fiction, cette chronique familiale sur l’identité et l'émancipation est un peu lente mais le regard bienveillant de la réalisatrice Chloé Zhao suffit à provoquer l’empathie.
Le Monde
Tourné sur la réserve sioux de Pine Ridge, le premier film de Chloé Zhao transcende la faiblesse de son scénario par son inspiration poétique.
Les Fiches du Cinéma
Filmé avec passion, le premier long métrage de Chloé Zhao mêle réalité et fiction pour évoquer avec pudeur le quotidien de deux Natifs-Américains.
Paris Match
"Les Chansons que mes frères m’ont apprises" tient principalement pour son approche documentaire et le lyrisme de sa mise en scène. Le scénario est plus classique (...) mais le film possède le charme des grands espaces et de la sensibilité à fleur de peau de sa jeune réalisatrice.
aVoir-aLire.com
Le rythme de l’action est inégal, mais la justesse de ton et la bienveillance avec laquelle la cinéaste saisit la vie de ses personnages font de cette chronique sociale un joli petit moment de cinéma.
TF1 News
Trop de joliesse, trop de pose.