Le Teckel
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47 critiques spectateurs

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Le 4ème homme
Le 4ème homme

34 abonnés 48 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 23 septembre 2023
Voilà un film totalement décousu. Je m'attendais à voir un film drôle, ça n'est absolument pas le cas, à part un ou deux traits furtifs. Il y a des moments très mauvais, mal joué et sans rythme aucun ( j'aime bien un des critiques professionnels qui voit là un film très rythmé...).
La deuxième partie du film serait, à mon avis plutôt meilleure, mais ça n'engendre pas vraiment la franche rigolade...Bref, on ne voit pas trop le message, s'il y a, que le réalisateur a voulu faire passer.
Cineseba
Cineseba

48 abonnés 623 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 26 février 2021
" Après avoir lu un article vantant la comédie noire et grinçante du film "Le teckel, je m'attendais à voir les quatre petites histoires drôles avec une saucisse à poils et à quatre pattes, sous le regard féroce de la société américaine ... Alors, je suis allé voir pour savourer des moments de rire devant l'écran de cinéma. Désillusion totale ! Ce n'est pas forcément le film à chiens, sur le teckel ! Le teckel ne fait que la figuration pendant tout le film ! On suit sa vie selon les différents propriétaires.

Le film "Le teckel" réunit les quatre sketches pour nous raconter le quotidien d'un couple maniaque avec un enfant qui vient de sortir d'une leucémie, d'une assistante vétérinaire amoureuse d'un ancien camarade de classe drogué, d'un professeur de cinéma dépressif et d'une vieille dame acariâtre pendant la visite de sa petite fille ... Mais que fait le teckel, "un bijou à quatre pattes" (Mon dieu !) dans ce film ! Certes, le premier sketch est le plus drôle, le plus piquant car on se surprend à ricaner de la nausée d'un chien qui a beaucoup mangé et des merdes sur le tapis, dans le trottoir ... Malheureusement, tout au long du film, le teckel devient, disons, invisible ... Le réalisateur Todd Solondz semble vouloir se concentrer davantage sur les tranches de vie des personnages déprimants ... Soporifique tant qu'il n'y pas grand chose à raconter ! Je n'ai pas compris ce que le réalisateur de ce film ennuyeux, a voulu dire ... Trop mou ! Et, l'humour noir trop complexe ! Dommage ! Bouh ! Je n'ai pas aimé ce film malgré quelques rires jaunes ... Mmmh ! Une seule surprise dans ce film : la présence de Danny Devito, un bon acteur du film "La guerre des Roses " ! Bon, en bref, ne perdez pas de temps à aller le voir ! "
chrischambers86
chrischambers86

14 465 abonnés 12 571 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 7 août 2020
On ne sait pas trop quoi penser de ce petit film indèpendant qui rappelle le cinèma de Woody Allen et de Robert Bresson ("Au hasard Balthazar") sans avoir l'air y toucher! On reconnait la patte de Todd Solondz ("Happiness") qui revient en 2016 à Deauville pour nous prèsenter ce très curieux "Wiener-Dog", oscillant entre la comèdie et la tristesse du dèsespoir, avec divers personnages! Ce n'est pas tout à fait le genre de film à sketches qu'on a l'habitude de voir (cf. l'intermission) et qui en a dèjà vu pas mal! Celui-ci est inattendu, pas très drôle et amer, avec tout ce que cela intègre! Et même si le rèsultat n'est pas forcèment enthousiasmant en nous laissant presque sur pilote automatique, il faut reconnaître que c'est bien mis en scène et interprètè avec sincèritè, Greta Gerwig & Kieran Culkin en tête! Moins emballè en revanche par l'interprètation de Julie Delpy même si le gamin est formidable dans le premier segment...
riverainpsy
riverainpsy

34 abonnés 425 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 16 octobre 2019
Un film intelligent , pince sans rire et provoquant ; qui n'est certes pas un chef d'oeuvre ni sur la forme ni sur le fond mais qui pose tout de même quelques bonnes questions dans cet enchaînement de sketch au fil des étapes ( cruelles) d'une vie .
streletz
streletz

11 abonnés 16 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 30 avril 2022
Todd Solondz nous expose divers personnages de société au travers d'un regard attendrissant : celui d'un chien vivant sa vie avec différents propriétaires. Un film au symbolisme très fort.
DAVID MOREAU
DAVID MOREAU

138 abonnés 2 258 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 8 octobre 2017
CREATURE FEROCE. La vie privée d'un teckel qui cherche un foyer pour enfin se reposer. Bas sur les pattes, affectueux, vigoureux et pot de colle, le gentil cerbère est le symbole de la fidélité, sauf que Solondz le tien en laisse. Le teckel est parti....il est monté la haut. Nom d'un chien !
cinono1
cinono1

323 abonnés 2 089 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 5 septembre 2017
Ce teckel qui voyage de maitre en maitre est le prétexte pour Todd Solondz pour nous présenter toute un galerie de personnages, allant de l'enfant malade au trisomique, du professeur aigri ou la vétérinaire dépressive. Et c'est le mérite de Solondz de nous présenter des personnages avec leurs peines, pas hyper-charismatique. Il y a encore une dimension sarcastique dans son cinéma mais elle s'accompagne d'une vraie empathie pour ces personnages.
Fabien S.
Fabien S.

587 abonnés 4 150 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 5 septembre 2017
Une excellente comédie. Le personnage central est un chien. Un film surprenant, marrant, inattendu.Le casting est composé de Danny Devito , Julie Deply, Greta Gewing ,Kieran Culkin, Ellen Burstyn. Une distribution prodigieuse au service d'une fiction grinçante de la médiocrité humaine.
Yves G.
Yves G.

1 564 abonnés 3 587 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 2 janvier 2017
Un teckel passe de maître en maître : un enfant qui récupère d’une leucémie, une jeune célibataire en week-end chez un couple trisomique, un professeur de cinéma désabusé, une vieille femme au crépuscule de sa vie.

Amérique sous Tranxène. Todd Solondz est un cinéaste américain indépendant qui a réalisé des films à l’humour grinçant. « Fear, anxiety and depression » est le titre emblématique de son premier opus qu’il tourne en 1989 pour son diplôme de fin d’études. Suivront « Bienvenue dans l’âge ingrat » (1995), « Happiness » (1997), « Storytelling » (2001)…

On retrouve sa patte (c’est le cas de le dire) noire et vacharde dans ces quatre historiettes politiquement incorrectes. Dans la première, Julie Delpy joue un mère de famille hystérique ; dans la deuxième Greta Gerwig reprend le rôle qui est le sien de film en film de grande adulescente dégingandée ; le troisième avec Danny DeVito est l’occasion d’une critique au Karcher de l’université américaine et de ses dérives ; le dernier ouvre le film à une réflexion sur la mort et le sens de la vie… avant de le clore par une conclusion hilarante qui a provoqué les sifflets du public à Sundance.

Le problème du Teckel est celui de tous les films à sketches : ses chapitres sont trop courts pour laisser le temps de s’y intéresser ; le lien qui les unit est trop ténu pour justifier leur juxtaposition (si le passage du teckel de son premier à son deuxième propriétaire est raconté, les deux suivants sont paresseusement passés sous silence).
mazou31
mazou31

104 abonnés 1 304 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 27 novembre 2016
Raté ! Un film lent, grinçant, cynique, ennuyeux et pas du tout « drolatique » comme certains le qualifient. Les personnages sont stéréotypés, jouent souvent mal et n’apportent aucune des émotions qu’ils sont censés transmettre. Cette histoire en quatre temps est sans intérêt, la réalisation est bâclée (ou loupée), la musique insupportable bien souvent. Seul le chien, très passif, apporte un peu de compassion. Le réalisateur guide même très mal ce bien sympathique acteur qui ne demande qu’à faire plaisir ! Je pense ici au formidable roquet de « The Artist ». Je suis surpris par le choix du jury de Deauville qui en a eu de plus judicieux !
Quiouchon
Quiouchon

3 abonnés 12 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 18 novembre 2016
A éviter absolument ! Il n' y a a rien à rajouter aux critiques précédentes des spectateurs qui sont tout à fait explicites et pertinentes.…. en revanche les réactions de la Presse sont pour le moins confondantes !
Rappelons juste qu' il s' agit de sketeches montrant: un enfant gravement malade doté d' une mère névrosée, un drogué annonçant à son frère trisomique le décès de leur père mort d' alcoolisme, un scénariste pauvre, moche, et sans succès que notre élégant Solondz s' applique à ridiculiser, une très vieille dame aigrie, seule au monde qui appelle son chien "cancer". Nous avons même droit à un très long travelling sur les déjections du Teckel.

Et voici quelques "perles" de nos chers critiques: "C' est le parcours d' une vie.. finir le voyage de la plus sublime façon". Explication: Le Teckel, après s' être fait écrasé par une dizaine de voitures, se retrouve empaillé et robotisé… C' est de l' humour qui faisait déjà rire les Dadaistes en 1916, mais est ce vraiment sublime?
"Nous sommes plongés dans les élices d' une cinéma écrit"
"Le film séduit"
"Il est drolatique, à pleurer de rire. Narquois". Ouest France à "Rigolé" sic.
Le Monde : La Mise en scène accentue cette volonté rédemptrice.
Les décors, costumes .. ensèrent les caractères dans de petites boites précieuses.
Paris Match remporte peut être la palme en indiquant: On s' est pissé dessus ( le reste de la critique, est un festival.

Je pense que les commentaires sur le niveau de ces critiques sont inutiles ? Seuls sont exemptes de ces inepties Les Cahiers du Cinéma et l' Express.
Conclusion: comme très souvent, amis cinéphiles, fiez vous surtout aux critiques des vrais cinéphiles, et non pas aux salonards snobs qui ne savent plus que dire pour avoir l' air d' être dans le coup.
Laurent C.
Laurent C.

268 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 12 novembre 2016
Quatre histoires avec pour un trait commun, une chienne, pouvant s'appeler Saucisse, et même Cancer. En fait, le chien est une sorte de voyageur, d'accompagnateur de ces humains, blancs et américains, perdus et tristes. "Le Teckel" raconte avec une acuité surprenante ces électeurs qui ont permis à Trump de devenir Président. Des êtres perchés dans leur bout de monde, malades pour certains, aigris et vieillissants pour d'autres, abîmés par la vie, handicapés, désabusés souvent. On regrettera dans cette œuvre de Todd Solondz une franche inégalité dans le traitement de ces quatre histoires. Certes, l'acidité de son regard est incontestable. On rit souvent, un rire jaune et cruel, mais en réalité, on rit de soi-même à chaque fois, de nos mensonges, de nos suffisances, de notre désarroi dont nous sommes responsables. Mais il manque peut-être un soupçon de cohérence entre ces récits, la chienne étant parfois totalement inutile. On ressort pourtant de ce film totalement remonté, joyeux et pensif, tout en étant un peu perturbé par la présentation de cette société américaine.
Peter Franckson
Peter Franckson

61 abonnés 1 189 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 14 novembre 2016
Le film comprend 4 sketches où une femelle teckel à poil court sert de fil conducteur. Dans le 1er, un père (dont l’épouse est Julie Delpy) offre à son fils, qui a été traité par chimiothérapie, un teckel. Superbe travelling transgressif sur les émissions fécales du chien, le long du trottoir au son du « Clair de lune » de Claude Debussy ! Le chien malade est recueilli par une jeune assistante vétérinaire . Elle rencontre dans un magasin un ami de lycée qu’elle décide d’accompagner, avec le teckel, chez son frère trisomique dans l’Ohio. Sketch drôle et émouvant car Todd Solondz porte un regard bienveillant sur des personnages souvent ignorés au cinéma. Point faible du film, le teckel se retrouve, sans explications, chez un professeur de cinéma (Danny DeVito) honni par ses étudiants. Il se servira du chien pour régler ses comptes avec l’université… Toujours sans explication, le teckel se retrouve chez une vieille dame égoïste, atteinte d’un cancer et que sa petite fille vient voir, avec son compagnon, artiste post-moderne, pour obtenir de l’argent. Le teckel fera leur bonheur… Un film inégal [il fait penser à « Au hasard, Balthazar » (1966) de Robert Bresson où c’est un âne qui est trimballé de propriétaire en propriétaire mais en moins ennuyeux] qui se laisse, néanmoins, regarder grâce à son ton décalé qui est la marque de fabrique de Todd Solondz. .
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 6 novembre 2016
Avis de spectateur ordinaire : d'après la pub, le thème du film avait pour acteur central un chien qui, passant de maître en maître, modifiait positivement la vie ses propriétaires ; par conséquent, je m'attendais donc à voir un animal-acteur-titre qui, par les comportements et l'attachement que seul un chien peut apporter à celui qui l'aime, donne à ce dernier plusieurs fois ce qu'il a reçu de lui. En fait, le teckel est ici animal inexpressif, même pas un figurant, qui aurait aussi bien pu être en céramique car il ne JOUE aucun rôle Seule, la première situation s'approchant légèrement du scénario promis, suscite quelques émotions (mépris, haine, compassion, …).Tout le reste, c'est à dire 2/3 du film, est d'une platitude et d'une inconsistance affligeantes, donc ennuyeuses, sur la forme (car, en plus, les images sont minable ) comme sur fond.
desiles ben
desiles ben

32 abonnés 204 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 2 novembre 2016
Film excellent mais d'une très grande tristesse atténuée par quelques personnages tragicomiques. A travers un teckel qui passe de main en main au fil du film, servant successivement de compagnie à des héros à divers âges de la vie, le cinéaste aborde ses sujets de prédilection, la solitude, l'égoïsme, la cruauté. Les dialogues dévoilent toute l'hypocrisie d'une langue qui n'est plus composée que de formules toutes faites et dans laquelle le mensonge et la vacuité atteignent des sommets. La politesse tout américaine pour dissimuler l'inavouable. Une réussite !
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