Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
30 critiques presse
LCI
par Romain Le Vern
Solondz raconte en quatre temps le parcours de toute une vie, de l’enfance à la vieillesse. Ainsi, alors que nous pensions rire, nous voici dévastés par la mélancolie d’avoir traversé toute une vie en seulement une heure vingt. Et de finir le voyage de la plus sublime des façons.
20 Minutes
par Caroline Vié
On adopte "Le Teckel" de Todd Solondz, prix du jury et de la révélation à Deauville pour sa drôlerie féroce.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Du "Teckel", on pourrait dire qu’il manie avec précision le chaos moral et émotionnel qu’il décrit. De scène en scène, Todd Solondz nous tend un miroir que l’on croit déformant jusqu’au moment où l’on comprend qu’il est en fait des plus réalistes.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Elle
par Françoise Delbecq
Souvent drôle, toujours cynique, ce film nourri de dialogues incisifs dégage une insolence frondeuse.
La critique complète est disponible sur le site Elle
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
L’amour, la tendresse et la compassion imprègnent un récit qui ne rechigne pas à se teinter d’ironie et de cruauté à l’encontre de certains artistes contemporains et jeunes apprentis réalisateurs. Le tout observé avec esprit et intelligence. Pour preuve, l’extraordinaire et impitoyable segment final. Drôlement désespéré. Désespérément drôle !
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Originalité du sujet, brio de l’écriture, sens de la trouvaille : Todd Solondz signe un film où l’humour est plus que jamais la politesse du désespoir et renvoie l’image d’un monde triste à en pleurer, mais qui, au fil de cette impayable odyssée canine, se révèle en fait à pleurer de rire.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Le film séduit, déconcerte, file un air bien à lui. Il est drôle et triste comme un adolescent qui joue de la flûte traversière à son chien prisonnier de sa cage.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
(...) une fable sur la mort, à la fois tendre et cruelle, d’un cynisme absolu pour évoquer la société américaine et ses dérapages incontrôlés, l’ignorance, la frustration et l’isolement. Le cinéaste ausculte les rapports humains avec une lucidité bouleversante et un humour noir savoureux.
Les Fiches du Cinéma
par Gilles Tourman
Todd Solondz brosse la satire décapante et cruelle d’une certaine Amérique sentimentalement anesthésiée, bien éloignée du lissage des apparences qu’elle veut bien se donner. Noir, mais jouissif.
Libération
par Clémentine Gallot
Film à sketchs itinérant et névrotique (...). Le casting, assez brillant, affiche tout ce que le cinéma indé compte de jeunes pousses branchées et dépenaillées : Greta Gerwig, Kieran Culkin et Zozia Mamet (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heymann
Et vous trouvez ça drôle ? Oui. Car nous sommes dans un film de Todd Solondz, auteur entêté de comédies tristes (...).
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Parfois, ça ressemble davantage à un assemblage de sketches qu'à un film maîtrisé mais on rigole beaucoup et on peut considérer, comme le jury du festival de Deauville, que Todd Solondz mérite un prix d'inventivité et de rire.
Paris Match
par Yannick Vely
Nous, on s’est pissé de dessus comme un teckel trop content...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Positif
par Nicolas Bauche
Si l'enfance est un paradis perdu, l'âge adulte n'est pas loin de la chute adamique. Alors, mourir, est-ce une chance pour Solondz ? Vivre, au fond, n'est qu'une mise au supplice des sentiments.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le cinéaste américain aurait-il troqué sa glaciale causticité pour une affection canine ? Non. L'auteur de "Happiness" et de "Bienvenue dans l'âge ingrat" a plutôt donné un coup de vis supplémentaire à sa façon qui demeure narquoise et drolatique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Transfuge
par Frédéric Mercier
Comme à son habitude, Solondz a l'art de dépeindre des personnages monolithiques, pervers ou ridicules avec un ton sardonique, parfois insoutenable. Le regard est toujours aussi amer, caustique, même si à de rares occasions Solondz se montre plus émouvant et charitable qu'à l'accoutumée.
Télérama
par Louis Guichard
Todd Solondz cultive le malaise, met un point d'honneur à affronter les sujets que Hollywood escamote : la maladie, le handicap (...), la vieillesse, l'obésité... Mais, à une ou deux scènes près, ses provocations sont nuancées par une discrète empathie pour les personnages et une attention extrême aux acteurs.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La rédaction
Une tragicomédie irrévérencieuse et très noire.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
En quelques dialogues corrosifs, Solondz dynamite les clichés et plonge le spectateur dans les délices d’un cinéma écrit où la cruauté satirique égratigne. Une verve qui ne saura laisser indifférent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Bande à part
par Olivier Pélisson
L’effet implacable et drolatique du tout est accentué par le soin apporté à l’image, aux décors, aux costumes, qui enserrent les caractères étudiés dans de petites boîtes précieuses, où la causticité gagne en efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Culturopoing.com
par Xanaé BOVE
De quoi regagner espoir en un réalisateur qui semblait avoir abandonné toute confiance en la fiction, parti dans un mur conceptuel kamikaze.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Le Monde
par Jean-François Rauger
La mise en scène, avec ses plans frontaux et un sens du rythme jouant sur un humour à combustion lente, tirant le film vers une forme de bande dessinée « ligne claire », semble accentuer cette volonté rédemptrice.
Le Parisien
par Tanneguy De Kerpoisson
Un peu lent parfois, ce film grinçant en fera rire certains, en offusquera d'autres. Mais impossible de rester indifférent à ces adorables saucisses sur pattes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Derrière la dérision du propos, sous une fausse couche de cynisme (en réalité de la provocation savamment distillée), Todd Solondz nous livre une fois de plus un film très dérangeant (plein d’excréments), pas joyeux mais drôle.
Première
par Frédéric Foubert
La désinvolture manifeste de l'ensemble laisse à penser que l'ex-chouchou de la scène indé des 90s ne retrouvera jamais le niveau de son chef-d'oeuvre "Happinesss". Mais on peut juger admirable son acharnement à démontrer qu'il reste le meilleur ennemi de l'homme.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
En dépit de baisses de rythme provoquant quelques longueurs, la qualité du "Teckel" tient dans cette façon incroyablement douce de souiller tout ce que la bonen morale souhaiterait laisser dans un état virginal.
Critikat.com
par Adrien Dénouette
(...) sur le terrain des premiers amours de Solondz, celui du cynisme faussement-rédempteur et de l’innocence maltraitée, "Le Teckel" fait quasiment office de torture-porn tous publics.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
L’humour se révèle pour le moins grinçant jusqu’à sa chute, bien dans la tonalité cynique du film qui suscite rire jaune ou franc malaise. "Le Teckel" met en scène des éclopés de la vie peu sympathiques, ce qui ne motive guère pour s’attacher à leur sort.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Une forme considérablement plus lourde et prématurément vieillie de cinéma indépendant supposément irrévérencieux.
LCI
Solondz raconte en quatre temps le parcours de toute une vie, de l’enfance à la vieillesse. Ainsi, alors que nous pensions rire, nous voici dévastés par la mélancolie d’avoir traversé toute une vie en seulement une heure vingt. Et de finir le voyage de la plus sublime des façons.
20 Minutes
On adopte "Le Teckel" de Todd Solondz, prix du jury et de la révélation à Deauville pour sa drôlerie féroce.
CinemaTeaser
Du "Teckel", on pourrait dire qu’il manie avec précision le chaos moral et émotionnel qu’il décrit. De scène en scène, Todd Solondz nous tend un miroir que l’on croit déformant jusqu’au moment où l’on comprend qu’il est en fait des plus réalistes.
Elle
Souvent drôle, toujours cynique, ce film nourri de dialogues incisifs dégage une insolence frondeuse.
La Voix du Nord
L’amour, la tendresse et la compassion imprègnent un récit qui ne rechigne pas à se teinter d’ironie et de cruauté à l’encontre de certains artistes contemporains et jeunes apprentis réalisateurs. Le tout observé avec esprit et intelligence. Pour preuve, l’extraordinaire et impitoyable segment final. Drôlement désespéré. Désespérément drôle !
Le Dauphiné Libéré
Originalité du sujet, brio de l’écriture, sens de la trouvaille : Todd Solondz signe un film où l’humour est plus que jamais la politesse du désespoir et renvoie l’image d’un monde triste à en pleurer, mais qui, au fil de cette impayable odyssée canine, se révèle en fait à pleurer de rire.
Le Figaro
Le film séduit, déconcerte, file un air bien à lui. Il est drôle et triste comme un adolescent qui joue de la flûte traversière à son chien prisonnier de sa cage.
Le Journal du Dimanche
(...) une fable sur la mort, à la fois tendre et cruelle, d’un cynisme absolu pour évoquer la société américaine et ses dérapages incontrôlés, l’ignorance, la frustration et l’isolement. Le cinéaste ausculte les rapports humains avec une lucidité bouleversante et un humour noir savoureux.
Les Fiches du Cinéma
Todd Solondz brosse la satire décapante et cruelle d’une certaine Amérique sentimentalement anesthésiée, bien éloignée du lissage des apparences qu’elle veut bien se donner. Noir, mais jouissif.
Libération
Film à sketchs itinérant et névrotique (...). Le casting, assez brillant, affiche tout ce que le cinéma indé compte de jeunes pousses branchées et dépenaillées : Greta Gerwig, Kieran Culkin et Zozia Mamet (...).
Marianne
Et vous trouvez ça drôle ? Oui. Car nous sommes dans un film de Todd Solondz, auteur entêté de comédies tristes (...).
Ouest France
Parfois, ça ressemble davantage à un assemblage de sketches qu'à un film maîtrisé mais on rigole beaucoup et on peut considérer, comme le jury du festival de Deauville, que Todd Solondz mérite un prix d'inventivité et de rire.
Paris Match
Nous, on s’est pissé de dessus comme un teckel trop content...
Positif
Si l'enfance est un paradis perdu, l'âge adulte n'est pas loin de la chute adamique. Alors, mourir, est-ce une chance pour Solondz ? Vivre, au fond, n'est qu'une mise au supplice des sentiments.
Sud Ouest
Le cinéaste américain aurait-il troqué sa glaciale causticité pour une affection canine ? Non. L'auteur de "Happiness" et de "Bienvenue dans l'âge ingrat" a plutôt donné un coup de vis supplémentaire à sa façon qui demeure narquoise et drolatique.
Transfuge
Comme à son habitude, Solondz a l'art de dépeindre des personnages monolithiques, pervers ou ridicules avec un ton sardonique, parfois insoutenable. Le regard est toujours aussi amer, caustique, même si à de rares occasions Solondz se montre plus émouvant et charitable qu'à l'accoutumée.
Télérama
Todd Solondz cultive le malaise, met un point d'honneur à affronter les sujets que Hollywood escamote : la maladie, le handicap (...), la vieillesse, l'obésité... Mais, à une ou deux scènes près, ses provocations sont nuancées par une discrète empathie pour les personnages et une attention extrême aux acteurs.
Voici
Une tragicomédie irrévérencieuse et très noire.
aVoir-aLire.com
En quelques dialogues corrosifs, Solondz dynamite les clichés et plonge le spectateur dans les délices d’un cinéma écrit où la cruauté satirique égratigne. Une verve qui ne saura laisser indifférent.
Bande à part
L’effet implacable et drolatique du tout est accentué par le soin apporté à l’image, aux décors, aux costumes, qui enserrent les caractères étudiés dans de petites boîtes précieuses, où la causticité gagne en efficacité.
Culturopoing.com
De quoi regagner espoir en un réalisateur qui semblait avoir abandonné toute confiance en la fiction, parti dans un mur conceptuel kamikaze.
Le Monde
La mise en scène, avec ses plans frontaux et un sens du rythme jouant sur un humour à combustion lente, tirant le film vers une forme de bande dessinée « ligne claire », semble accentuer cette volonté rédemptrice.
Le Parisien
Un peu lent parfois, ce film grinçant en fera rire certains, en offusquera d'autres. Mais impossible de rester indifférent à ces adorables saucisses sur pattes.
Les Inrockuptibles
Derrière la dérision du propos, sous une fausse couche de cynisme (en réalité de la provocation savamment distillée), Todd Solondz nous livre une fois de plus un film très dérangeant (plein d’excréments), pas joyeux mais drôle.
Première
La désinvolture manifeste de l'ensemble laisse à penser que l'ex-chouchou de la scène indé des 90s ne retrouvera jamais le niveau de son chef-d'oeuvre "Happinesss". Mais on peut juger admirable son acharnement à démontrer qu'il reste le meilleur ennemi de l'homme.
Studio Ciné Live
En dépit de baisses de rythme provoquant quelques longueurs, la qualité du "Teckel" tient dans cette façon incroyablement douce de souiller tout ce que la bonen morale souhaiterait laisser dans un état virginal.
Critikat.com
(...) sur le terrain des premiers amours de Solondz, celui du cynisme faussement-rédempteur et de l’innocence maltraitée, "Le Teckel" fait quasiment office de torture-porn tous publics.
La Croix
L’humour se révèle pour le moins grinçant jusqu’à sa chute, bien dans la tonalité cynique du film qui suscite rire jaune ou franc malaise. "Le Teckel" met en scène des éclopés de la vie peu sympathiques, ce qui ne motive guère pour s’attacher à leur sort.
Cahiers du Cinéma
Une forme considérablement plus lourde et prématurément vieillie de cinéma indépendant supposément irrévérencieux.
L'Express
C'est triste. Ou ennuyeux. Ou les deux.