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Votre avis sur Cézanne et moi ?
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WutheringHeights
Une mise en scène sans la moindre inspiration accompagne lourdement des acteurs qui cabotinent en roue libre (...). Un film raté d’un bout à l’autre.
Après avoir réalisé plusieurs comédies, Danièle Thompson a décidé de se tourner vers une histoire qui lui trottait dans la tête depuis plusieurs années : l'amitié durable mais houleuse entre Emile Zola et Paul Cézanne. Ces deux-là, amis d'enfance dont on a retrouvé de nombreuses correspondances, ont toujours eu une relation intense faite de hauts et de bas alors que le destin les a sans cesse opposés. L'un est fils de bourgeois, l'autre est orphelin de père ; l'un admire le travail de l'autre tandis que l'autre s'en montre incapable ; l'un finit par mener une vie de bohème tandis que l'autre vit s'embourgeoise et quand l'un manque d'inspiration, l'autre trouve enfin la reconnaissance...
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selenie
Sans doute le film le plus ambitieux de Danièle Thompson sur une amitié de près de 40 ans entre Zola et Cézanne. Le premier soucis reste l'interprétation. Cézanne est très et trop colérique, Zola est très et trop intraverti. Mais le réel problème de Danièle Thompson comme souvent, c'est la mise en scène sans relief et académique. C'est décevant quand le sujet du film est deux artistes qui n'étaient certainement pas académique. Dommage...
Mme Thompson, (co)scénariste de gros succès (paternels) comiques et de quelques bluettes en solo après la disparition du regretté Gérard Oury, puis réalisatrice aussi, de quelques comédies bourgeoises insignifiantes, se hausse du col, et tente d'illustrer, à la "Parce que c'était lui, parce que c'était moi", l'amitié de deux "monstres sacrés" de notre patrimoine culturel du Second Empire et de la 3e-République, l'écrivain des Rougon-Macquart (20 volumes), et le peintre de la Ste-Victoire (des milliers de tableaux). Ambitieux, et "casse-gueule". Le résultat n'est pas (simplement) décevant - 0 vision de cinéaste, il est totalement navrant. Même au niveau du "duo" d'acteurs en vedette : Canet (Zola) et Gallienne (Cézanne). De piètres cabotins - point-barre ! Passez votre chemin !
Mais quelle horreur, pitié ! Des dialogues inintéressants, des plans inutiles, l'accent du sud de Gallienne qui s'en va une fois sur trois (pourquoi ne pas prendre quelqu'un avec un accent du sud plutôt que d'infliger cela à Gallienne qui du coup joue mal ?). La seule chose qui pourrait sauver ce film sont les beaux décors de campagne, et encore, si c'est pour les filmer en y mettant des acteurs inutiles pour recréer des tableaux (pour recréer le Déjeuner sur l'herbe ?) non merci !
J'ai passé un très bon moment en compagnie de deux acteurs qui tiennent magnifiquement leur rôle.
On découvre l'histoire d'une amitié profonde entre ces talents qu'étaient Cézanne et Zola.
J'ai préféré l'interprétation de Guillaume Canet (E. Zola) à celle de G. Gallienne (P. Cézanne). L'écrivain fait preuve d'un calme à tout épreuve alors que le peintre est coléreux, désagréable et sans concessions.
Habitant la région provençale, je n'ai pu qu'apprécier et redécouvrir de magnifiques paysages.
Je recommande !
On découvre l'histoire d'une amitié profonde entre ces talents qu'étaient Cézanne et Zola.
J'ai préféré l'interprétation de Guillaume Canet (E. Zola) à celle de G. Gallienne (P. Cézanne). L'écrivain fait preuve d'un calme à tout épreuve alors que le peintre est coléreux, désagréable et sans concessions.
Habitant la région provençale, je n'ai pu qu'apprécier et redécouvrir de magnifiques paysages.
Je recommande !
tixou0
Mais que voilà donc un film admirable !..... On ne sait qu'admirer le plus.... Façon antiphrase, cependant... Le scénario ? Bricolage (autour d'événements avérés, et/ou scènes "à faire" - ah, cette "rencontre avec mes lecteurs" à une terrasse de café, pour EZ à Aix, pour caser l'affaire Dreyfus... simple exemple de l'opportunité et de la fluidité du "récit"). Le dialogue ? Même quand calé sur des extraits de livres du grand homme, sonne faux - alors, pour l'"ordinaire" dudit.... Le montage, la mise en scène ? Même pas de l'honnête académique.... au mieux du poussif démonstratif, ressemblant au pire du pédagogisme cher à l'éd nat. L'interprétation, peut-être ? Partant d'un casting... étonnant, où les personnages sont, ou d'emblée vieux (vieux acteurs/trices distribués - comme Sabine Azéma), ou jeunes ad vitam (acteurs/trices jeunes, ou assez jeunes, ne bougeant pas d'un iota, 30 ans durant...voir les "jeunes premières" Alice Pol et Déborah François), on pense : "caricature" (les 2 "héros") - jeu ampoulé, voire hystérique - et l'on ne peut que pester devant tant de complaisance et de cabotinage, "0 émotion" - chacun fait son petit numéro nombriliste, sans le début du moindre naturel... et le spectateur, navré, bâille, et bâille encore.... Simple amorce de liste, évidemment. Une galerie "grévinesque" pathétique. Un beau sujet (l'écrivain Zola et le peintre Cézanne : l'un révélant l'autre, au fil d'une amitié se compliquant, de l'enfance à l'âge mûr) jamais traité autrement que superficiellement. Ni intelligence, ni esthétique, au rendez-vous. Danièle Thompson, décidément, n'avait de talent (comme coscénariste) que du temps d'un certain Oury.... C'est ici particulièrement patent : à avoir tenté beaucoup trop ambitieux pour elle, la dame se prend "La Bûche" la plus magistrale de sa carrière de réalisatrice !
Film d'aucun intérêt, ennuyeux à souhait.
Scénario décousu et lent, interprétation maivaise.
Bref, du mauvais film français subventionné....
Scénario décousu et lent, interprétation maivaise.
Bref, du mauvais film français subventionné....
Quel mauvais film, on dirait un téléfilm france 3 région Provence pour les scolaires.
Le reconstitution est cheap, les paysages clichés et le scénario mal foutu.
La réalisatrice ferait mieux de retourner à ses comédies chorales bourgeoises, plutôt que d'essayer de traiter des grands sujets.
Quant aux acteurs, c'est le grand guignol avec concours de barbes et postiches.
Gallienne se croit à la Comédie Française, comme d'habitude, mais il est incapable de garder le même accent tout le long du film. Décidément il n'est bon que quand il joue sa mère !! Et Canet se la joue tellement sobre et intérieur qu'il en devient insignifiant et fadasse. Pauvres Zola et Cézanne, ils ne les méritaient pas...
Le reconstitution est cheap, les paysages clichés et le scénario mal foutu.
La réalisatrice ferait mieux de retourner à ses comédies chorales bourgeoises, plutôt que d'essayer de traiter des grands sujets.
Quant aux acteurs, c'est le grand guignol avec concours de barbes et postiches.
Gallienne se croit à la Comédie Française, comme d'habitude, mais il est incapable de garder le même accent tout le long du film. Décidément il n'est bon que quand il joue sa mère !! Et Canet se la joue tellement sobre et intérieur qu'il en devient insignifiant et fadasse. Pauvres Zola et Cézanne, ils ne les méritaient pas...
Une très forte amitié entre les deux artistes, malgré de fortes divergences, mais tous deux d'un très grand talent. Même stress, même incertitude et parfois même échec, mais deux caractères opposés, ce film très bien interprété avec deux acteurs m'a fait passer un agréable moment. J'ignorais la bourgeoisie dans laquelle trempait Zola, car lorsque l'on se fit à ses romans qui décrivent plutôt la classe ouvrière, on ne peut l'imaginer. Quant à Cézanne j'ai découvert ses grosses colères, voire son agressivité,...et son immense talent (que je connaissais déjà à travers les nombreuses toiles exposées dans divers musées). Bon scénario et bonne réalisation. Un film à voir...
Vu en avant -première en présence de Danièle Thompson, simple accueillante et intéressante au possible. Guillaume Canet (Zola) y est remarquable, tout en intériorité rongée par l'angoisse du créateur face à un Guillaume Galiene (Cézanne) envahissant, caractériel et dérangeant, pourtant l'équilibre est là dans le rapport fusionnel et explosif, antagoniste ou solidaire entre ces deux hommes.Ce film parle de la difficulté de créer, de l'impossibilité de maîtriser la réaction du public qui reçoit l'oeuvre artistique avec en toile de fond la vie privée compliquée de Zola et de Cézanne.
C'est un très bel essai, d'une grande délicatesse, d'une grande sincérité, et passionnant sur le plan de l'intérêt psychologique de la relation de ces deux grands artistes. A voir...et à comprendre ; )
C'est un très bel essai, d'une grande délicatesse, d'une grande sincérité, et passionnant sur le plan de l'intérêt psychologique de la relation de ces deux grands artistes. A voir...et à comprendre ; )
dominique P.
J'apprécie énormément ce style de films c'est-à-dire les films racontant des histoires vraies avec de beaux décors, de beaux costumes et de l'émotion.
"Cézanne et moi" en est le parfait exemple.
J'ai aimé suivre ces deux artistes à leur époques, cela m'a passionnée.
"Cézanne et moi" en est le parfait exemple.
J'ai aimé suivre ces deux artistes à leur époques, cela m'a passionnée.
Dommage,les deux acteurs principaux,et d'autres sont parfaits,de très belles"photos" mais le propos est décousu,la réalisation mauvaise.Ce film m'a semblé long très long.
J'ai bcp aimé. Je ne voyais pas Canet et Galliene mais Zola et Cezanne. Dialogues de grande qualité. j'ai découvert une histoire entre ces 2 génies que je ne connaissais pas .
un superbe cadre, que la Provence est belle tout de même
pour une belle et très difficile amitié entre deux grands artistes
interprétés par deux acteurs formidables.
on apprend pas mal de choses sur leur rencontre et la
difficulté vraiment pour les peintres d'être reconnu de leur vivant
à leur juste valeur.
pour une belle et très difficile amitié entre deux grands artistes
interprétés par deux acteurs formidables.
on apprend pas mal de choses sur leur rencontre et la
difficulté vraiment pour les peintres d'être reconnu de leur vivant
à leur juste valeur.
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