Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
"Ma Loute" ne cherche même plus vraiment la sidération (…) : il témoigne avant tout de la monstrueuse faculté d’absorption d’une œuvre dont la propension à la démesure semble aujourd’hui sans limites.
Chronic'art.com
par Guillaume Orignac
Il y a désormais un peu de Hergé, de Castafiore et de Dupont dans ces tableaux flamands, de la malice et de la joie qui, en venant colorer la gravité de son cinéma, lui offrent une secrète tonalité mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Voilà du cinéma orgueilleusement mal élevé, qui a l’air de se foutre de tout, mais fonctionne avec une régularité d’horloge.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Entre "La Vie de Jésus" et "P’tit Quinquin". Bourgeoisie décadente et prolétariat carnivore. Amour fou et passion dévorante. Luis Bunuel aurait adoré cette féroce farce surréaliste.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une farce burlesque et noire, qui met en scène des bouffons, parfaits spécimens d’une humanité dont ils reflètent la violence primitive et la comédie sociale. De quoi hurler de rire.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Nul hiatus de jeu entre les professionnels et les amateurs, tous unifiés par la vision décidément très puissante de Bruno Dumont, mix unique de dépouillement réaliste et de stylisation outrée, de déjà-vu reconfiguré et de jamais-vu.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
TF1 News
par Romain Le Vern
Un miracle de mise en scène, de poésie et d'humour drogué. Clivant, évidemment, mais dément.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
"Ma Loute" est une authentique farce, truculente et burlesque, mais avec de vrais morceaux de tragédie, relevée d'une grande louche de mysticisme, d'un zeste de gore, et portée par l'abattage réjouissant de Luchini et de Juliette Binoche, mais aussi par la pléthore de non professionnels qui partagent l'affiche.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
En défricheur patenté, Bruno Dumont joue de la comédie comme d’une caisse de résonance expérimentale. Bigarré, imbécile, mal élevé... Ma Loute fait du burlesque un agrément de tragédie avec une maîtrise extraordinaire. Chef d’œuvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Josué Morel
Toute la beauté du film, à l’image du superbe dénouement de "P’tit Quinquin", réside dans le passage du champ-contrechamp à l’étreinte de deux corps.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Vincent Roussel
D’une certaine manière, Dumont convoque une fois de plus tous les thèmes qui lui sont chers mais les réinvestit dans des figures burlesques totalement inédites.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Dans "La vie est un long fleuve tranquille", Le Quesnoy et Groseille vivaient un sacré choc culturel en se rencontrant. Chez Dumont, on passe le cran supérieur, en mode anthropophage !
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Express
par Eric Libiot
Sinon, Luchini est formidablement drôle, Binoche totalement en roue libre et Dumont filme les paysages comme personne.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Figaroscope
par Étienne Sorin
Entre l’histrion misanthrope et le cinéaste radical, on attendait des étincelles. On est servi. On ne s’était pas moqué des riches avec autant de férocité au cinéma depuis longtemps – voir la scène du repas, d’anthologie.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Monde
par Isabelle Regnier
(...) la mécanique se grippe un peu parfois, mais comme pour tout protocole expérimental, cela fait partie du jeu. Le charme de cette cruelle fantaisie avec laquelle Bruno Dumont pose une fois de plus la question du Mal n’en est que plus dissonant, et c’est tant mieux.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Thierry Dague
Au-delà de cet humour qui ne fera pas rire tout le monde, on est séduit par l'histoire d'amour ambiguë entre les rejetons des deux clans (Brandon Lavieville et Raph, formidables) et par la magnifique mise en scène qui sublime les paysages comme les visages.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par La Rédaction
Trente minutes en trop, peut-être, mais une audace poétique qui fait sacrément du bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
(...) c’est justement cette indécision (...) qui réjouit et libère, permettant au personnage d’échapper à sa classe et à son sexe, permettant aussi au film d’échapper lui-même à la dictature du genre, et de se frayer un chemin propre (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Stéphane Goudet
Parfois le film trébuche, mais souvent il sidère, emporte et réjouit par son audace et sa folie, qualités si rares dans le cinéma contemporain, a fortiori franças. Plusieurs fois, on songe à l'âge d'or du cinéma italien, à Scola, Risi, jusqu'à ce que "8 1/2" de Fellini soit explicitement cité.
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
"Ma Loute" est assurément le film le plus drôle de Dumont. Son plus désespéré aussi.
Télérama
par Jacques Morice
POUR : C'est toute la malice de "Ma Loute" de glisser sous l'apparat du film en costumes une série de métaphores sur le monde d'aujourd'hui.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Septième Obsession
par Claire Micallef
"Ma Loute" recycle de manière poussive les motifs du"P’tit Quinquin" (duo de flics burlesque, disparitions) dans la France du début du XXème siècle sans faire d’étincelles.
Paris Match
par Alain Spira
La première demi-heure est délirante de drôlerie, de surprises en bourrasques. (...) Puis, le scénario tourne au répétitif, le trop-plein de burlesque noie le burlesque. (...) Reste que "Ma Loute" est un film à voir pour le dépaysement qu'il produit, les rires qu'il provoque, la beauté qu'il exhale et les acteurs délirants qu'il nous offre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
VSD
par Olivier Bousquet
On pense aux saillies de Scola, Risi et Ferreri. Avec parfois, une touche de poésie à la Fellini. Le problème tient dans la répétition des situations. Passée une première heure emballante, le film s’enlise. Dans une baie, c’est normal. Dans une salle, c’est plus ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site VSD
Télérama
par Pierre Murat
CONTRE : Le grand problème de Bruno Dumont — et il reste immuable, qu'il change d'univers ou de style —, c'est sa misandrie. Vraie ou fausse. Revendiquée, en tout cas. C'est une impasse.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
"Ma Loute" ne cherche même plus vraiment la sidération (…) : il témoigne avant tout de la monstrueuse faculté d’absorption d’une œuvre dont la propension à la démesure semble aujourd’hui sans limites.
Chronic'art.com
Il y a désormais un peu de Hergé, de Castafiore et de Dupont dans ces tableaux flamands, de la malice et de la joie qui, en venant colorer la gravité de son cinéma, lui offrent une secrète tonalité mélancolique.
L'Obs
Voilà du cinéma orgueilleusement mal élevé, qui a l’air de se foutre de tout, mais fonctionne avec une régularité d’horloge.
La Voix du Nord
Entre "La Vie de Jésus" et "P’tit Quinquin". Bourgeoisie décadente et prolétariat carnivore. Amour fou et passion dévorante. Luis Bunuel aurait adoré cette féroce farce surréaliste.
Le Dauphiné Libéré
Une farce burlesque et noire, qui met en scène des bouffons, parfaits spécimens d’une humanité dont ils reflètent la violence primitive et la comédie sociale. De quoi hurler de rire.
Les Inrockuptibles
Nul hiatus de jeu entre les professionnels et les amateurs, tous unifiés par la vision décidément très puissante de Bruno Dumont, mix unique de dépouillement réaliste et de stylisation outrée, de déjà-vu reconfiguré et de jamais-vu.
TF1 News
Un miracle de mise en scène, de poésie et d'humour drogué. Clivant, évidemment, mais dément.
Transfuge
"Ma Loute" est une authentique farce, truculente et burlesque, mais avec de vrais morceaux de tragédie, relevée d'une grande louche de mysticisme, d'un zeste de gore, et portée par l'abattage réjouissant de Luchini et de Juliette Binoche, mais aussi par la pléthore de non professionnels qui partagent l'affiche.
aVoir-aLire.com
En défricheur patenté, Bruno Dumont joue de la comédie comme d’une caisse de résonance expérimentale. Bigarré, imbécile, mal élevé... Ma Loute fait du burlesque un agrément de tragédie avec une maîtrise extraordinaire. Chef d’œuvre.
Critikat.com
Toute la beauté du film, à l’image du superbe dénouement de "P’tit Quinquin", réside dans le passage du champ-contrechamp à l’étreinte de deux corps.
Culturopoing.com
D’une certaine manière, Dumont convoque une fois de plus tous les thèmes qui lui sont chers mais les réinvestit dans des figures burlesques totalement inédites.
Franceinfo Culture
Dans "La vie est un long fleuve tranquille", Le Quesnoy et Groseille vivaient un sacré choc culturel en se rencontrant. Chez Dumont, on passe le cran supérieur, en mode anthropophage !
L'Express
Sinon, Luchini est formidablement drôle, Binoche totalement en roue libre et Dumont filme les paysages comme personne.
Le Figaroscope
Entre l’histrion misanthrope et le cinéaste radical, on attendait des étincelles. On est servi. On ne s’était pas moqué des riches avec autant de férocité au cinéma depuis longtemps – voir la scène du repas, d’anthologie.
Le Monde
(...) la mécanique se grippe un peu parfois, mais comme pour tout protocole expérimental, cela fait partie du jeu. Le charme de cette cruelle fantaisie avec laquelle Bruno Dumont pose une fois de plus la question du Mal n’en est que plus dissonant, et c’est tant mieux.
Le Parisien
Au-delà de cet humour qui ne fera pas rire tout le monde, on est séduit par l'histoire d'amour ambiguë entre les rejetons des deux clans (Brandon Lavieville et Raph, formidables) et par la magnifique mise en scène qui sublime les paysages comme les visages.
Le Point
Trente minutes en trop, peut-être, mais une audace poétique qui fait sacrément du bien.
Libération
(...) c’est justement cette indécision (...) qui réjouit et libère, permettant au personnage d’échapper à sa classe et à son sexe, permettant aussi au film d’échapper lui-même à la dictature du genre, et de se frayer un chemin propre (...).
Positif
Parfois le film trébuche, mais souvent il sidère, emporte et réjouit par son audace et sa folie, qualités si rares dans le cinéma contemporain, a fortiori franças. Plusieurs fois, on songe à l'âge d'or du cinéma italien, à Scola, Risi, jusqu'à ce que "8 1/2" de Fellini soit explicitement cité.
Studio Ciné Live
"Ma Loute" est assurément le film le plus drôle de Dumont. Son plus désespéré aussi.
Télérama
POUR : C'est toute la malice de "Ma Loute" de glisser sous l'apparat du film en costumes une série de métaphores sur le monde d'aujourd'hui.
La Septième Obsession
"Ma Loute" recycle de manière poussive les motifs du"P’tit Quinquin" (duo de flics burlesque, disparitions) dans la France du début du XXème siècle sans faire d’étincelles.
Paris Match
La première demi-heure est délirante de drôlerie, de surprises en bourrasques. (...) Puis, le scénario tourne au répétitif, le trop-plein de burlesque noie le burlesque. (...) Reste que "Ma Loute" est un film à voir pour le dépaysement qu'il produit, les rires qu'il provoque, la beauté qu'il exhale et les acteurs délirants qu'il nous offre.
VSD
On pense aux saillies de Scola, Risi et Ferreri. Avec parfois, une touche de poésie à la Fellini. Le problème tient dans la répétition des situations. Passée une première heure emballante, le film s’enlise. Dans une baie, c’est normal. Dans une salle, c’est plus ennuyeux.
Télérama
CONTRE : Le grand problème de Bruno Dumont — et il reste immuable, qu'il change d'univers ou de style —, c'est sa misandrie. Vraie ou fausse. Revendiquée, en tout cas. C'est une impasse.