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    FaRem
    FaRem

    8 647 abonnés 9 528 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 octobre 2016
    Mia Hansen-Løve dresse le portrait d'une femme indépendante et comme elle le dit elle-même comblée intellectuellement parlant qui croyait avoir une vie bien rangée et stable jusqu'à ce que tous ceux qui l'entourent la quitte d'une façon ou d'une autre. Le réalisateur a semble-t-il voulu faire quelque chose de très réaliste donc le film est à l'image de la vie de Nathalie, c'est-à-dire monotone et un peu ennuyeux. Tout est logiquement centré sur cette dernière dont le personnage est bien développé ce qui n'est pas le cas des autres et ce qui donne à chaque fois des scènes à sens unique et donc pas toujours intéressantes. Le début est plutôt pas mal quand on la voit jongler entre plein de choses (mère, mari, enfants, amis, travail), mais après le drame, il ne se passe plus rien, il y a vraiment quelque chose qui se casse, c'est peut-être voulu d'ailleurs, mais le film tourne alors trop en rond avec une histoire qui n'avance plus. Ce n'est même pas un mauvais film, c'est juste que c'est trop classique et un peu fade pour réellement marquer. Il manque de la tension, de l'émotion et surtout des enjeux plus importants puis Isabelle Huppert bien que talentueuse ne peut pas faire des miracles et tenir seule une histoire qui finalement ne raconte pas grand-chose.
    Le film d'Ariane
    Le film d'Ariane

    77 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 avril 2016
    Mia Hansen-Løve est une cinéaste singulière dont j'ai toujours aimé le regard plein de tendresse et d'acuité qu'elle pose sur la jeunesse. Ici, c'est à une femme d'âge mûr qu'elle s'intéresse… La soixantaine juste entamée, Nathalie est une prof de philo, passionnée par son métier d'éveilleuse de conscience. Elle jongle entre ses cours, ses publications, sa famille et sa mère dépressive qui la harcèle jour et nuit. Puis rapidement, tout fout le camp : spoiler: son mari la trompe et part vivre chez sa nouvelle compagne (plus jeune, bien sûr), ses enfants quittent le nid, son éditeur la lâche et sa mère meurt.
    D'autres flancheraient pour moins que ça, mais Nathalie résiste. Elle plie mais ne rompt pas. La réalisatrice a pourtant choisi Isabelle Huppert pour incarner cette femme éprouvée qui ne renonce pas au bonheur. Et elle a bien fait. Le contraste entre la silhouette frêle de l'actrice et l'énergie que son personnage déploie pour maintenir la tête hors de l'eau malgré les coups du sort est enthousiasmant. Jamais confinée dans une position victimaire en dépit du chagrin qui l'accable, elle garde son sens de l'humour et son optimisme et reste, du coup, extrêmement attachante. Le film n'est donc jamais sinistre malgré les thèmes graves qu'il aborde. La prestation d'Isabelle Huppert y est évidemment pour beaucoup. Mutine (elle paraît au bas mot 10 ans de moins que son âge), quotidienne et légère, drôle, profonde et touchante, elle est, une fois encore, exceptionnelle dans une partition qui n'a pourtant rien de spectaculaire (on est loin de "La Pianiste"). Entourée d'un casting de choix (Edith Scob est géniale en mère insupportable), elle porte le film. Et Mia Hansen-Løve orchestre avec brio et finesse un ensemble de sentiments, de sensations et d'émotions qui interpelle la part intime de chacun de nous, quelle que soit notre expérience. Ce qui lui a valu l'Ours d'argent de la meilleure réalisatrice à Berlin, décerné par… Mery Streep.
    kingbee49
    kingbee49

    38 abonnés 606 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 mai 2016
    Déception. La première demi-heure est magnifique, le personnage d'Isabelle Huppert s'expose en prof de philo dont la vocation est de donner à ses élèves l'envie de penser leur vie et règne sur le petit microcosme familial. Cela joue juste, c'est finement mis en scène, c'est rythmé et joliment photographié. Et cela à le mérite de poser les bonnes questions : qu'est-ce qu'on laisse, qu'est-ce qu'on garde et qu'est-ce qu'on transmet dans la vie, aux autres, aux siens ? Voilà, le vrai film dure donc une demi-heure. A partir de là, on glisse gentiment vers l'étude de moeurs et il ne se passe quasiment plus rien, scénaristiquement. "L'avenir" devient un documentaire sur Isabelle Huppert, figé dans un ennui agaçant. Elle prend des vacances, va au cinéma, cherche son chat mais ça ne nous fait rien, le film est en pilotage automatique... Alors qu'on aurait bien aimé qu'il se passe quelque chose de fort, de mémorable, bref, quelque chose qui nous réveille et nous emballe plutôt qu'un film qui ronronne en mâchonnant ses citations philosophico soixante-huitardes.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 27 juillet 2021
    Comme Eden c'est l'un de ces films qui montre simplement la vie d'une personne sur une certaine période de temps. Il n'y a pas de morale et il n'y a pas d'intérêt pour l'histoire pour autant que je puisse en juger, il y a très peu d'humour et plus qu'un peu de prétention. J'ai le sentiment que ce film était comme Eden assez autobiographique. Les parents de la réalisatrice Mia Hansen-Løve étaient tous deux professeurs de philosophie et elle fait simplement un film de la même manière que d'autres personnes parleraient de leurs parents à un thérapeute. Mon objection est qu'il ne se passe pas grand-chose que ce soit en termes d'intrigue ou d'implication dans cette histoire. Oui son mari la quitte pour une autre femme. Oui elle aime son ancien étudiant mais il n'y a pas beaucoup de passion dans les deux situations. Elle ne semble pas s'en soucier et moi non plus d'ailleurs. Il y a parfois de longues citations pseudo philosophiques ce qui aurait peut-être rendu le tout plus compréhensible mais les citations étaient assez longues et difficiles à suivre ou a comprendre. Malgré tout on ne devrait pas avoir besoin de ce genre de citation pour comprendre un film ou son histoire...
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 4 avril 2016
    Je trouve ce film.lumineux , une ode à la femme et à une résistante ancrée dans le réel. . Nous retrouvons une Isabelle Huppert , enfantine et rieuse , inscrite dans le social de son temps avec un métier prégnant , hors des multiples activités artistiques. Accompagnée d'un lied de Schubert poignant , telle une Truite , autrefois enjeu du regard des hommes , isabelkd se libère des contingence familiales , affectives et professionnelles retrouvant sa liberté intérieure et sa paix pour continuer sa vie. Une pensée pour Christine Pascal dont Isabelle a dans doute trouver sa source dans la véhémence et l'intégrité ,porte flambeau d'une certaine femme d'action.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    202 abonnés 395 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Isabelle est (toujours) très bien en femme trompée (rôle qu'elle a joué des milliers de fois) qui cherche un sens à sa vie. Roman Kolinka est parfait dans sa première prestation. Mais le film est engoncé dans les conventions de style du film français subventionné. La mise en scène (rigide et glacée) ne s'écarte jamais du programme qu'elle s'est fixée. Quand Mia Hansen Løve se prend pour Bergman, le film frise le ridicule.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 9 mai 2016
    Film plat !! Sans suspense et mouuuuuuuuuuu.
    A éviter , sauf si vous avez du temps à perdre....
    J'ai lutté pour ne pas dormir
    Anne M.
    Anne M.

    72 abonnés 641 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 avril 2016
    C’est un film agréable à regarder. Le chat joue un rôle non négligeable. J’aime beaucoup Isabelle Huppert de surcroît, d’où l’étoile.

    Ceci dit, je n’ai pas été convaincue par le scénario. Les références à la philosophie sont essentiellement anecdotiques et se trouvent dans les cours dispensés par Isabelle Huppert. Un seul débat s’inscrit dans l’histoire, celui de l’engagement (ou non ) des intellectuels. C’est un débat qui date.

    Autrement j’ai trouvé l’histoire parsemée de clichés un peu dépassés, les enfants du couple assez insignifiants et les acteurs dégagent peu d’émotions.
    Dora M.
    Dora M.

    64 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 27 février 2021
    J’ai beaucoup aimé ce film. Tout semble sourire à Nathalie (Isabelle Huppert) : une famille équilibrée avec son mari et ses enfants, un métier de professeur de philosophie qu’elle adore, des publications pour une maison d’édition qui reconnaît ses compétences. Puis, tout bascule : spoiler: son mari lui annonce qu’il part vivre avec une autre femme, peu après sa maison d’édition la lâche pour privilégier un contenu plus moderne, sa mère (qui était très présente et possessive) meurt, son ancien élève, avec qui elle gardait d’excellentes relations, part vivre dans le Vercors. Elle se retrouve délaissée, abandonnée en premier lieu, puis commence à voir ces bouleversements comme des opportunités de liberté
    . C’est très beau, subtil et touchant. Une scène particulièrement émouvante : lorsqu’elle quitte - sans doute pour la dernière fois - la maison de vacances de son mari, à laquelle elle est très attachée, on sent sa douleur, sa tristesse, mais ce n’est pas dans le dramatique, cela reste très pudique et c’est d’autant plus touchant, avec en fond sonore cet air de musique de Schubert.
    Il y a également beaucoup d’humour, notamment avec la mère de Nathalie, Edith Scob qui est parfaite. Elle est intenable et cherche par tous les moyens à attirer l’attention de sa fille. Dans la maison de retraite, elle se prive par exemple de manger et lorsque sa fille arrive, elle se plaint d’avoir faim car on ne lui donne pas à manger.
    Les cours de philo sont très vivants et intéressants. Un exemple : la lecture d’un texte de Rousseau sur le bonheur qui ne serait atteint que dans le désir de celui-ci.
    C’est un film “quotidien” mais pas ennuyeux une seconde, l’ensemble est porté par Isabelle Huppert, extrêmement crédible et juste dans son interprétation de petite femme dynamique et forte qui ne se laisse pas emporter par ses émotions, qui continue à vivre malgré les aléas, sans être non plus un bloc infaillible. Tout est suggéré, c’est très subtil.
    J’ai beaucoup aimé ce film qui donne à réfléchir, et pour lequel Isabelle Huppert campe à la perfection une Nathalie très touchante.
    LARSEN
    LARSEN

    5 abonnés 38 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mars 2023
    En pleine Hupperisation du cinéma français (2016) toute la fatuité d'un petit monde bourgeois replet et nombriliste se reflète et se regarde penser dans le Veme arrondissement parisien sans même seulement lui rendre hommage.

    Et que je te jette des livres de penseurs pour donner de la contenance, et que je te fais voir ma belle bibliothèque et mon intérieur plein de si bon goût. Et que je vogue d'un amphi à l'autre d'un ample geste de sachant pour montrer quel grand oiseau je suis. Puant et plein de morgue.

    Ce n'est pas en déclarant ne pas être bourgeois qu'on ne l'est pas, assurément.

    Tous les oripeaux bobos sont de rigueur. La caricature du quartier latin bien sûr mais aussi son extension en cellule hippie dans un décor fantasmé du Vercors comme ça ne se fait plus depuis les années 70.

    Une belle maison de province ou un appartement cossu parisien (si possible...) aident tellement à mieux penser. Pourquoi n'y avais-je pas pensé depuis le temps?

    Un film sans majesté, sans éclair, sans éclat, sans passion, sans respiration, sans imagination, sans humour, plongé dans le formol et qui cherche un chemin sans jamais le trouver.

    Une question se pose cependant sérieusement : A qui s'adresse-t-il?

    Huppert fait du Huppert, la messe est dite, ll est de bon ton de s'incliner même si la lassitude point...

    La philosophie avec un grand φ n'est évidemment jamais représentée, seulement un grand air prétentieux comme support et prétexte à cette fadaise.
    françois s.
    françois s.

    3 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juillet 2017
    Heureusement que Isabelle Huppert est là pour sauver du naufrage!
    C'est mal écrit, emprunté, chiant, bobo. Français quoi...
    chas
    chas

    37 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 avril 2016
    Pas la peine d’insister une fois encore sur la prétention d’un titre trop absolu, genre « La Vie, l'Amour, la Mort » qui faisait sourire jadis, alors qu’il s’agit au contraire d’un film modeste, subtil, retenu. Quelques scènes sont très réussies, comme une déception dans le Vercors ou une annonce en principe primordiale en mode mineur. Par contre si des dialogues philosophiques sont réussis, à d’autres moments on ne sait si la prof dicte ou donne à réfléchir et c’est gênant pour ceux qui connaissent le bâtiment. Une leçon sous les arbres ne révèle pas une prof très présente à ses élèves. Alors que la conversation d’un groupe libertaire concernant la notion d’auteur, très « Nuit debout », sonne juste, dans une langue étrangère, pour marquer les distances entre les générations sans les surligner comme à d’autres moments avec les éleveurs de chèvres sans chèvres.
    Les aléas de la vie familiale sont surmontés avec sagesse, et ce moment de cinéma nous repose de tant d’hystéries, tout en revenant sur des questions éternelles qui mettent en balance solitude et liberté. Est-ce que j’ai bien vu deux petites filles du temps des bords de mer devenues une fille et un garçon à l’âge de quitter la maison, ce qui marquerait une incohérence de scénario ? Les touches sont justes le plus souvent comme avec les grands parents qui s’accaparent le nouveau né sans un regard pour la mère et aussi l’arrière grand-mère qui se débat, insupportable mais loin des numéros d’actrice excentrique comme j’ai pu l’entendre de la part de critiques patentés.
    Une petite chanson peut dire la vie aussi bien qu’une phrase de Lévinas :
    « À la claire fontaine
    M'en allant promener
    J'ai trouvé l'eau si belle
    Que je m'y suis baigné »
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 avril 2016
    Isabelle Huppert a fait dans le passé des compositions extraordinaires, puis s'est parfois laissée aller dans des chemins convenus et pas aussi géniaux. Elle ne m'a pas déplut ici, et même colle bien à son personnage de prof de philo déconnecté de la réalité. L'intérêt de la première partie du film est sa relation infernale avec une mère maniaco-dépressive: un enfer dont elle parait avoir pris son parti.
    La mise en scène en scène est fluide et le montage dynamique. Là où cela se gâte, c'est lorsque Hansen-Love aborde la séparation d'avec son mari et la relation platonique avec son ancien élève. Le scénario est plat (justement), et l'on attend toujours qu'il se passe enfin quelque chose. Ah, peut-être l'intrigue c'est qu'il ne doit rien se passer, que si une prof de philo raisonne parfaitement devant sa classe, mais qu'en revanche elle puisse se planter complètement dans la vraie vie. Où bien la metteur en scène veut-elle nous montrer les ravages de cette mère castratrice? La deuxième moitié tourne à vide, et Marcon a bien raison de se barrer comme annoncé.
    Roman Malika s'agite en intello gauchisant dans sa ferme du Vercors, image d'Epinal pas bien originale en se demandant ce qu'il fait là pour faire avancer l'intrigue.
    Pas sur que l'on se rappelle de l'Avenir dans le futur.
    avril 16.
    MemoryCard64
    MemoryCard64

    42 abonnés 375 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 juin 2016
    Fin de l'année scolaire, fin du lycée, début de l'été. Une période de l'année judicieusement choisie par Mia Hansen-Løve pour parler de l'avenir de Nathalie, professeur de philosophie jouée par Isabelle Huppert, à un moment charnière de sa vie. En effet, une série d'événements malheureux viendra subitement bousculer cette femme. Bien qu'il s'agisse de choses assez graves que tout le monde redoute à un moment ou un autre, la réalisatrice choisit de laisser ces événements au second plan pour s'intéresser aux à-côtés, aux petits détails qui accompagnent ce genre de situations. Elle met en scène, de manière très épurée, des segments de vie dont l'intonation n'est pas toujours réaliste (comme la scène où le personnage principal, faisant cours dans un parc, reçoit un appel urgent et explique sans pudeur à ses élèves de quoi il s'agit avant de partir) mais qui reste réelle. Isabelle Huppert occupe une place importante dans l'appréciation du film. Son jeu, qui est d'habitude assez particulier, semble ici cassé. Elle prend des intonations étranges, paraît souvent monotone et détachée, mais son personnage est humain et vrai, pour une raison que j'ignore. Elle a une manière de ne pas en vouloir aux autres, de prendre sur elle, d'être patiente qui est touchante. Et puis soudain, au détour d'une phrase, des larmes jaillissent sans prévenir, qu'elle cherche à cacher honteusement... Mia Hansen-Løve manie bien l'émotion, je crois. L'Avenir présente donc l'arrivée des problèmes comme la fin des responsabilités pour Nathalie, qui devra vivre avec une liberté nouvelle l'attente du futur. Je perçois ce film comme une sorte de voyage initiatique, sans réel but ni conclusion : on a vu la vie d'une femme, on a un peu vécu avec elle et puis c'est tout. Et c'est déjà pas mal.
    saurar
    saurar

    12 abonnés 123 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2016
    Je ne suis pas de l'avis d'une majorité des internautes et des critiques qui ont apprécié le film . Le sujet construit sur une vie quotidienne et ses divers problèmes: profession, mère, chat noir, mari, ancien élève, société, réflexion philosophique Franco germanique, le lien entre ces différents éléments n'est pas toujours très évident . Le tout m'est apparu un peu trop cérébral, mais surtout sans générer de plaisir ou d'émotion dans le déroulement du film, même si l'interprétation des principaux interprètes et très satisfaisante, de même que la réalisation du film. Une impression d'inachevé se dégage à plusieurs reprises et en particulier au final. Je dois reconnaître que je me suis presque ennuyé.
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