Note moyenne
3,1
15 titres de presse
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
L'Express
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L'Humanité
On encourt peut-être le risque de l'exotisme bon marché, manquant des fils permettant de mesurer l'ampleur du recyclage des styles auquel se livre sans vergogne mais avec quelle délectation.
Première
Ce film change agréablement dans le sens où, à l'intérieur d'un univers universel (un polar tout ce qu'il y a de classique), il invente une forme et traite d'une réalité spécifique au pays.
Repérages
Lee Myung-se, qui n'a visiblement pas peur du ridicule (...) fonce tête baissée en virtuose jongleur, joue entre premier et second degré, triture forme et narration pour ne laisser aucun répit à ses personnages. Ni à ses spectateurs.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Urbuz
(...) la jouyeuseté de l'entreprise casse toute idée de pesanteur et de prétention, le film se révélant, à mesure qu'il avance, un assemblage cubique jouisseur et enfantin.
Aden
On est d'abord séduit par un tel déploiement d'inventivité visuelle, puis agacé par cette façon sophistiquée de tourner constamment autour du pot.
L'Obs
L'ensemble manque parfois de nerf, mais témoigne de la virtuosité formelle du réalisateur, qui exécute les scènes à faire (...) de façon malicieusement décalée, et avec une constante recherche esthétique.
Libération
Passée la surprise, et quelques jolis plans relatant en images fixes l'effervescence d'une rave, on se fatigue assez vite d'un tel remue-ménage formel, détaché de toute contingence dramatique.
MCinéma.com
Un film policier au scénario basique, mais à certaines scènes époustouflantes visuellement parlant.
Télérama
(...) un étrange objet, entre manga et clip, cinéma muet et polar violent, où les lieux traversés - quais portuaires, toits d'immeubles, gargotes - ont tous leur cachet.
Chronic'art.com
Une fois démasqués les vains alibis formalistes de Sur la trace du Serpent, on hésite à qualifier celui-ci de polar esthète sans intérêt ou simplement de mauvais film d'action.
Ciné Live
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Le Monde
Le montage haché, les déformations, le noir et blanc, le travail sur le ralenti et la vitesse décrivent une forme de rhétorique, qui, si elle est parfois éprouvante, parvient à un degré extrême de déréalisation.
Positif
(...) une enfilade de poursuites et de fusillades esthétisantes.